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Lège tient la forme
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© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.
Supplément à La Libre Belgique - N°148 - Semaine du 10 au 16 mai 2012
PP>2-3
BRUN
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VOGH
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TIENT LAFORMELIÈGE
Conjoncture Château AnnoncesDans ce supplément,8 pages pour trouverle bien de votre choix.
Cap sur le châteaude la Roche-en -Ardenne.Suivez le guide. P.4
Divers projets fleurissentle long du canalà Anderlecht. P. 5
D.R.
PP. 7>13
© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.
2 Le dossier SEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO 3Le dossierSEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
l Conjoncture
Liège: le retour en ville se confirme
h Le marché de l’immobilierrésidentiel à Liège s’est bien portéen 2011. La star des ventes, c’estle studio.
LE MOUVEMENT DU RETOUR EN VILLE, quise manifeste depuis 23 ans, est frémissant maisse confirme. C’est très positif car cela va créer del’habitat de qualité en zone urbaine”, déclare Sébastien Maertens, notaire à Liège. Et effectivement, selon l’analyse du marché de l’immobilier liégeois en 2011, conduite par la Compagnie des notaires de Liège, le nombre detransactions immobilières à Liège reste soutenu et les biens mis en vente s’écoulent sansgrande difficulté. Les tendances d’achat sontvariées et présentent quelques spécificités,comme l’explique maître Maertens. “A Liège,on n’achète pas de grosses villas et le très haut degamme est bon marché car la demande est quasiinexistante. Il y a 10 ou 15 ans, les grosses maisons de maître étaient achetées par des Hollandais qui bénéficiaient de conditions fiscales trèsintéressantes. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas etce sont des Liégeois qui acquièrent ces maisons.
On constate une offre importante pour des appartements qui partent comme des petits pains,mais ils ne sont pas toujours de bonne qualité. Lesmaisons unifamiliales ont aussi la cote. 90 % desmaisons à Liège datent d’avant guerre et nécessitent souvent des travaux lourds que les acheteurssont prêts à entreprendre. Le neuf reste rare maisquand des terrains sont vides et constructibles, ilssont vite comblés. Les logements neufs, pourautant qu’ils ne dépassent pas deux chambres,trouvent rapidement preneur, avant même la findu chantier. ”Mais la vedette toutes catégories, c’est le stu
dio. “C’est sans conteste le bien du moment, celuiqui a le plus augmenté tant en termes de transaction que de prix”, souligne l’étude des notairesliégeois. “Il n’est pas rare de voir des studios sevendre pour plus de 6070000 euros à Liège,alors qu’un appartement sans grand confort peinera à être vendu à 90000 euros. Le studio, c’estun placement souvent plus rentable, facile à louer,dont l’accès financier est plus facile et qui permettra, si besoin, aux enfants d’avoir un pied àterre pour les études supérieures. ”
Différents grands projets immobiliers résidentiels, sur le site de l’ancien hôpital de Bavière et quai Godefroid Kurth, dans le quartierd’Outremeuse, ainsi qu’au Sart Tilman, sonten voie de concrétisation. Des centaines de lo
gements destinés aux familles des classesmoyennes devraient être créés et ainsi partiellement combler un manque criant en Cité ardente. Les autorités communales cherchent,avec ce type de projets, à amplifier le retour enville. Liège avait en effet perdu des milliersd’habitants en quelques décennies, partis versla périphérie. Les notaires liégeois constatentde grandes disparités entre les différents quartiers de la ville, en matière de prix notamment. Ce sont les quartiers du ThieràLiège,du Laveu et de SaintGilles qui occupent lestrois premières marches du podium. L’acheteur devra débourser en moyenne respectivement 167000, 156000 et 151000 euros pouracquérir une maison. En bas de classement, ontrouve SainteMarguerite, le Sart Tilman etAmercoeur avec des prix moyens de 113000,110000 et 80000 euros. Pour Sébastien Maertens, le cas de SainteMarguerite reste un mystère. “Le quartier occupe une position centrale etles maisons sont belles mais les prix restent trèsbas et la population précarisée. Quant à Amercoeur, il y manque de l’activité économique pour
attirer les acheteurs. Il faudrait que la Ville octroie des incitants pour rénover ce type de quartiers dans leur ensemble (par exemple des primesmassives à la rénovation des façades) afin d’yfaire revenir une population plus favorisée.” Lequartier des Guillemins, en pleine refonte depuis la construction de la gare Calatrava, nesemble pas encore susciter d’engouement particulier. “Ilmanque d’espaces verts et sera enmutation pendant des années encore. A l’entame destravaux de la gare, on avait assisté à une augmentation sensible des prix de l’immobilier quis’est tassée depuis. Mais on peut envisager unedemande accrue dans quelque temps”, précisemaître Maertens. En conclusion, les notairesindiquent que le marché liégeois reste sousévalué par rapport à son potentiel. “Il va encorebien progresser car les biens restent très accessibles, comparés à d’autres villes. Le potentiel del’immobilier va dépendre de l’activité économique et du développement de la ville.”Un appel dupied au monde politique et aux entrepreneurs ?Isabelle Lemaire
Le nombre de transactions immobilières à Liège reste soutenu.
Épinglé
Les étages des commerces sont vides A Liège, beaucoup d’étagesau-dessus de rez-de-chaussée commerciaux sont inoccupés. Cesappartements vides constituent un gros potentiel de logements, milleau minimum dans l’hyper-centre, selon une étude menée par la Ville.Comment expliquer cette désaffection ? “Bon nombre de ces immeu-bles étaient auparavant des maisons unifamiliales avec magasin,habitées par le commerçant lui-même et sa famille. Donc, la plupartdu temps, il n’y a pas d’entrée séparée pour les étages et des aména-gements pour en créer une sont inenvisageables”, explique maîtreGrégoire. “On peut également souligner le fait que peu de genssouhaitent vivre dans une rue commerçante, souvent bruyante etque, si la maison est classée par les services de l’Urbanisme commeétant unifamiliale (au contraire d’une maison de rapport), le proprié-taire ne doit pas s’acquitter d’une taxe sur les logements inoccupés.”Face à un manque de logements de qualité dans le centre pour lesclasses moyennes, la Ville de Liège souhaite revaloriser ces étagesdésertés. Elle a lancé en 2009 un projet pilote de rénovation de deuximmeubles, abritant un rez-de-chaussée commercial, situés place dela République française. Les travaux, achevés en mars 2011, ontpermis l’aménagement de cinq appartements. Un exemple qui tendraà se développer dans les années à venir, puisqu’il est une des priori-tés du Projet de Ville.
Toujours plus de kotsh La demande et l’offre sont importantes et plusieurs projets de résidences pour étudiants voient le jour.
Ville estudiantine, Liège dispose d’uneimportante offre de kots. Environ 8000logements de moins de 28 m2 sontrépertoriés. Le parc de logements pourétudiants est très diversifié, bien répartisur l’ensemble du territoire communalet les prix sont stables. Pendant desannées, des propriétaires privés, soucieux d’accroître leurs rentrées financières, ont transformé leurs immeublesà appartements en maisons à kots.Conséquence : de nombreux Liégeoisont du mal à trouver un véritable appartement dans certains quartiers.“Certains de ces logements finissent parêtre loués à des adultes dans une situation financière précaire. Et il faut également préciser que 60 % des kots qu’ontrouve à Liège sont dans un état misérable”, affirme Renaud Grégoire, un notaire liégeois.Afin d’endiguer le phénomène, la Ville
ne délivre quasiment plus de permisd’urbanisme pour créer des kots. Maisde nombreux propriétaires passentoutre. Alors que faire ? Eh bien soutenirdes initiatives privées de création derésidences pour étudiants. Deux grosprojets sont actuellement dans lescartons. Le premier concerne le promoteur liégeois Laurent Minguet. Il souhaite transformer d’anciens ateliers du
quartier SaintLéonard en ensembleultramoderne de 283 kots, pour uninvestissement global de 10 millionsd’euros. Le bâtiment, qui devrait êtreinauguré en 2014, serait passif, pourvude chambres d’une superficie allant de14 à 25 m2 au loyer de 350 euros, d’espaces communs (salles de sport, cuisi
nes, buanderies,…) et entouré de placesde parking voitures et vélos. Ledeuxième est situé juste en face desbâtiments de l’université, place du XXAoût. C’est la résidence André Dumont,un bâtiment ayant servi de salles decours pour l’ULg, qui devrait être reconvertie d’ici un an, avec la création de
236 chambres. La Ville vient d’accorderà la société Eckelmans immobilier,spécialisée dans le développement derésidences estudiantines et déjà présente sur quatre campus universitairesbelges, le permis d’urbanisme.Mais ces projets, s’ils séduisent les
autorités communales et semblentcorrespondre à une demande des étudiants, ne font pas plaisir à tout lemonde. A SaintLéonard, le projet deLaurent Minguet se heurte à l’hostilitédes riverains. Ils craignent de voir leurquartier défiguré par cet immeuble,dont l’architecture détonne avec celledes maisons voisines, et leur tranquillité menacée par l’arrivée de centainesd’étudiants. Prudente, la Ville a d’oreset déjà annoncé que le projet seraitprobablement revu à la baisse. En 2008,le groupe anglais City Living et ses kotsde luxe avaient également suscité descrispations. La société avait reconvertiun home universitaire en logementshaut de gamme pour étudiants. Deskots aux loyers “impayables” pour lamajorité des étudiants, s’était exclaméela Fédération des étudiants de l’ULg, quidénonçait la privatisation du logementuniversitaire au centreville. Quatre ansplus tard, la résidence affiche complet…I.L.
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Revalorisation du quartier Saint Léonard à Liège -Brasserie Haecht.
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3Le dossierSEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
l Conjoncture
Liège: le retour en ville se confirmegements destinés aux familles des classesmoyennes devraient être créés et ainsi partiellement combler un manque criant en Cité ardente. Les autorités communales cherchent,avec ce type de projets, à amplifier le retour enville. Liège avait en effet perdu des milliersd’habitants en quelques décennies, partis versla périphérie. Les notaires liégeois constatentde grandes disparités entre les différents quartiers de la ville, en matière de prix notamment. Ce sont les quartiers du ThieràLiège,du Laveu et de SaintGilles qui occupent lestrois premières marches du podium. L’acheteur devra débourser en moyenne respectivement 167000, 156000 et 151000 euros pouracquérir une maison. En bas de classement, ontrouve SainteMarguerite, le Sart Tilman etAmercoeur avec des prix moyens de 113000,110000 et 80000 euros. Pour Sébastien Maertens, le cas de SainteMarguerite reste un mystère. “Le quartier occupe une position centrale etles maisons sont belles mais les prix restent trèsbas et la population précarisée. Quant à Amercoeur, il y manque de l’activité économique pour
attirer les acheteurs. Il faudrait que la Ville octroie des incitants pour rénover ce type de quartiers dans leur ensemble (par exemple des primesmassives à la rénovation des façades) afin d’yfaire revenir une population plus favorisée.” Lequartier des Guillemins, en pleine refonte depuis la construction de la gare Calatrava, nesemble pas encore susciter d’engouement particulier. “Ilmanque d’espaces verts et sera enmutation pendant des années encore. A l’entame destravaux de la gare, on avait assisté à une augmentation sensible des prix de l’immobilier quis’est tassée depuis. Mais on peut envisager unedemande accrue dans quelque temps”, précisemaître Maertens. En conclusion, les notairesindiquent que le marché liégeois reste sousévalué par rapport à son potentiel. “Il va encorebien progresser car les biens restent très accessibles, comparés à d’autres villes. Le potentiel del’immobilier va dépendre de l’activité économique et du développement de la ville.”Un appel dupied au monde politique et aux entrepreneurs ?Isabelle Lemaire
Épinglé
Les étages des commerces sont vides A Liège, beaucoup d’étagesau-dessus de rez-de-chaussée commerciaux sont inoccupés. Cesappartements vides constituent un gros potentiel de logements, milleau minimum dans l’hyper-centre, selon une étude menée par la Ville.Comment expliquer cette désaffection ? “Bon nombre de ces immeu-bles étaient auparavant des maisons unifamiliales avec magasin,habitées par le commerçant lui-même et sa famille. Donc, la plupartdu temps, il n’y a pas d’entrée séparée pour les étages et des aména-gements pour en créer une sont inenvisageables”, explique maîtreGrégoire. “On peut également souligner le fait que peu de genssouhaitent vivre dans une rue commerçante, souvent bruyante etque, si la maison est classée par les services de l’Urbanisme commeétant unifamiliale (au contraire d’une maison de rapport), le proprié-taire ne doit pas s’acquitter d’une taxe sur les logements inoccupés.”Face à un manque de logements de qualité dans le centre pour lesclasses moyennes, la Ville de Liège souhaite revaloriser ces étagesdésertés. Elle a lancé en 2009 un projet pilote de rénovation de deuximmeubles, abritant un rez-de-chaussée commercial, situés place dela République française. Les travaux, achevés en mars 2011, ontpermis l’aménagement de cinq appartements. Un exemple qui tendraà se développer dans les années à venir, puisqu’il est une des priori-tés du Projet de Ville.
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4 Vie de château SEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO 5En pratiqueSEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
l Vie de château 623
La Roche, fierté ardennaise
h Les ruines, superbes,perpétuent une seigneurie depremier ordre. Stratégiquemilitairement, lechâteau l’est devenutouristiquement.
LA ROCHEENARDENNE EST une villeprivilégiée. Comme Bouillon sans doute,elle porte son château comme un princeporte sa couronne, avec dignité, grandeur et fierté. Le châteaufort en ruinen’est pas une ruine, c’est un esprit, uneforce, une part d’éternité face aux méandres sournois des pratiques humaines.Ceci dit c’est grâce à ces pratiques que cesuperbe amas de pierre existe. Mais LaRoche n’était pas un château pour attaquer les voisins, mais un lieu de défenseet de protection. De nos jours, le châteauprotège le peuple qu’il a toujours sommé,des aléas des crises et le tourisme local leregarde comme un joyau. A raison carune fois gravies les marches qui mènentau portail, on entre dans un autremonde. On s’absente du XXIe siècle et audétour d’un mur de la ville, au quartierdu Faubourg, on pourrait la nuit croiserle fantôme de la noble Berthe de la Roche, poignardée et jetée du haut des murailles. Le château sera ce 11 mai une desvedettes de l’émission “Ma Terre” sur lapremière chaîne de la RTBF. Cette émission est soutenue par l’Institut du Patrimoine artistique, dirigée par Freddy Joris. Sans l’IPW, ce type d’émission, passionnante, n’existerait pas.Mais venonsen à l’histoire, écrite pour
une large part sous la plume du docteurThiry en 1941 quand cet auteur traitad’Aywaille et des territoires entre Ourtheet Amblève. Tandel et De Leuze écrivi
rent eux aussi sur cette seigneurie importante dont les immenses forêtsétaient rentables. La Roche était uncomté indépendant puis il devint partiedu comté puis duché de Luxembourg. LaRoche avait comme frontières l’abbayede StavelotMalmédy, le comté de Montaigu dont il ne reste que des débris demurs au sommet d’une haute colline, etle comté de Durbuy. Par ailleurs, versl’est on trouvait les deux seigneuries deWampach jusqu’à l’Alzette et vers le sudc’était Bastogne. Le comté possédait desterres jusqu’aux environs de Beauraing.Il dominait Houffalize, HansurLesse,Humain. Mais aussi Beausaint, Daverdisse, Grunne, Jemeppe, Montjardin,Rolley, Sohier, Vervoz, entre autres. Laterre de La Roche appartint à l’empereurHenri III qui l’échangea en 1046 avecFrédéric de Limbourg, duc de BasseLotharingie. Le château passa aux Namurpuis après des conflits arrivèrent lescomtes de Bar, aux XIIIe et XIVe siècles.Mais des soucis financiers obligèrentWenceslas Ier, fils de Jean l’Aveugle (roide Bohême, mort à la bataille de Crécy enaoût 1346), à faire comme son père : vendre les bijoux de famille. Jean avait déjàcédé en 1343 Mirwart, Orchimont, Lomprez, Villance, Nassogne et d’autres auprinceévêque de Liège Adolphe de LaMarck. Ici, celui qui était comte deLuxembourg et marquis d’Arlon, engagea La Roche et Durbuy à Regnier deSchonau contre 20000 réaux d’or. Il n’enprit le contrôle qu’en 1354. Il avaitépousé Jeanne de Brabant. Leur filsWenceslas II hérita mais son règne futpénible pour les populations. Lui aussiressentit des problèmes d’argent. Il avaitengagé le château de La Roche en 1400 àJean et Huart d’Autel qui le gardèrentjusqu’en 1431 quand le frère de Wenceslas II, Sigismond, le céda en totalité auxdits frères d’Autel.La Roche revint partiellement aux Do
maines et en 1465, Philippe le Bon, ducde Bourgogne confia la charge de La Roche à son fils Antoine qui décéda en1504. En 1511, les derniers droits détenus par les d’Autel furent repris par lacouronne. Albert de Ligne engagea lebien en 1618 mais cela ne dura pas. Lesarmées de Louis XIV passèrent par ici etcontrôlèrent le duché de Luxembourg.La Roche fut renforcé. Mais au XVIIIe ilpériclita, à cause d’un incendie causé parla foudre en 1721. A la fin du siècle, lefort fut démantelé. Au XIXe siècle il futabîmé par des vandales divers. Puis il yeut 1944 et l’offensive von Runsdtedt luicausa de graves dommages.Philippe Farcy
La Roche n’était pas un château pour attaquer les voisins,mais un lieu de défense et de protection.
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Question time
Un dossierd’interventionultérieur en béton
De nombreuses obligations incombentau propriétaire d’un immeuble. Ces obligations ressurgissent à l’occasion de lavente de son bien. Lorsqu’elles sont ignorées – la situation est fréquente – le tirpeut parfois être facilement rectifié (détecteurs de fumés,…). Il peut cependantarriver que ce soit plus compliqué, notamment quand l’obligation s’inscritdans la durée comme c’est le cas pour ledossier d’intervention ultérieure.Préparer l’ensemble de ces formalitésavant même de songer à vendre se révélera une décision payante. C’est pourquoi les notaires recommandent notamment de composer un dossier d’intervention ultérieur en béton. Depuis 2001,presque tous les travaux effectués dansun immeuble doivent faire l’objet d’undossier reprenant notamment le descriptif des travaux effectués (plan, matériaux,…). Ce dossier porte le nom de dossier d’intervention ultérieure (DIU). Ildoit être établi soit par un coordinateurde sécurité (si plusieurs entrepreneursprofessionnels interviennent sur lechantier) soit par le maître de l’ouvrage,s’il effectue ses travaux luimême ou parle biais d’un seul entrepreneur.En cas d’installation de votre nouvellecuisine, suite à votre visite de Batibouw,par exemple, le DIU pourra reprendre uncroquis de l’installation (câblage électrique, tuyauterie,…) et le détail des matériaux utilisés par le cuisiniste. Il s’agit làd’un exemple parmi bien d’autres et lepropriétaire d’un immeuble veilleradonc pour tous les travaux, effectués depuis 2001, à tenir un descriptif des travaux effectués. Ce dossier doit être conservé par le propriétaire pour que lors dela signature de l’acte authentique devente, il soit remis à l’acquéreur. e
U Consultez votre notairepour des conseils sur
mesure ou rendez vous sur www.notaire.be.
Libre Immo. Supplément hebdomadaire à La Libre Belgique. Coordination rédactionnelle: Vincent Slits. (02 211 29 13 - vincent.slits@lalibre.be) Illustrations: EtienneScholasse. Réalisation: Sodimco. Administrateur délégué - éditeur responsable: François le Hodey. Directeur général: Denis Pierrard. Rédacteur en chef: VincentSlits. Rédacteur en chef adjoint: Pierre-François Lovens. Conception graphique: Jean-Pierre Lambert (responsable graphique), Bruno Bausier. Publicité: Véronique Le
Clercq (00322 21127 64 - vero.leclercq@saipm.com)
En bref
l Projets immobiliers l Région de Bruxelles-Capitale
Ecoquartiersur les rives du canal
h Divers projets fleurissent le long du canal àAnderlecht. Dont un mené par l’acteur ChristopheLambert : des lofts dans l’ancienne Brasserie Atlas.
LES PROMOTEURS IMMOBILIERSs’activent pour redonner vie à quelque 4 hectares de terrain au cœurd’Anderlecht, le long du canal et àproximité immédiate de la chaussée de Mons, estil ressorti d’un étatdes lieux de différents dossiers depromotion immobilière, en présence des autorités anderlechtoises.
Plusieurs centaines de logementsdevraient y être construits au coursdes prochaines années. Les différents promoteurs ne se risquentpas encore à en avancer le nombreprécis, la Région devant avant toutadopter le Plan régional d’affectation du sol (PPAS) dans le cadre de
son futur PRAS démographiquepour autoriser une mixité entre activité économique et logement.
A l’horizon 2015, trois nouveauxprojets d’envergure verront le jour.En harmonie avec le site en présence, ils s’intégreront dans unconcept actuel d’écoquartier (mobilité douce, voitures électriques,développement durable, énergierenouvelable…).
L’îlot Shell : la construction d’unensemble de quelque 200 logements de qualité à prix moyen degamme qui mettra fin à des annéesd’abandon sans espoir de réaffectation.
Sur le site dit de “La Pointe”, la
zone sera également restructuréeen logements et équipements.
La Brasserie Atlas, site industrielqui fera l’objet d’une transformation en lofts de qualité à prixmoyen. Projet dans lequel ontrouve… Christophe Lambert, davantage connu par ses prestationsdans le cinéma français que par sonattirance pour des projets immobiliers. Celuici a acquis le bâtimentde l’ancienne brasserie Atlas pourla transformer en un ensemble delogements, mais aussi de créationet de travail, selon ses propos. LaBrasserie Atlas est une architecturede fonte, fer, briques et voussettes.L’ensemble des bâtiments en ciment armé et béton est dominé parune tour qui adopte le style ArtDéco avec une composition monumentale de 3 travées couronnéespar le logo de l’entreprise. Le futurprojet consistera à préserver l’esthétique des bâtiments existanttout en permettant à ses futurs habitants et à leurs enfants de s’approprier un lieu de vie mais ausside travail.
Le bourgmestre de la communeGaëtan Van Goidsenhoven voitdans l’intérêt du secteur immobilier privé pour ce coin laissé longtemps en déshérence, le fruit d’unemobilisation des autorités localespour pousser la Région à enfin permettre une réaffectation propice àrecréer du lien entre des quartiersde sa commune. Cette zone du canal était jusqu’ici trop axée sur laseule fonction économique industrielle, atil fait valoir. (avec Belga)
BERN
ARDDE
MOU
LIN
Chantiers ouvertsLa sixième édition de la Journée Chantiers Ouverts, organisée par la Confédération Construction, se tiendra le dimanche 13 mai. L’occasion pour le secteur de mettre tout particulièrement enévidence son rôle de catalyseur pour lacroissance économique, l’innovation, lacréativité, le développement durable.l’emploi. Il faut dire que le secteur est,chaque année, à la recherche de 20000nouveaux collaborateurs.Plus de 150 chantiers seront accessiblesau grand public.
La mobilité est, cette année encore, unthème important. Les grands projetsd’infrastructure qui pourront être visités l’illustrent à perfection. Comme, parexemple, le chantier de la future ligneRER à WatermaelBoitsfort.Les projets relatifs à l’utilisation rationnelle de l’énergie ou au développementdes énergies vertes (stations d’épuration d’eau, installations de biométhanisation et parc d’éoliennes...) ont assurément un effet multiplicateur sur l’emploi. Pourront ainsi être visités deschantiers liés aux éoliennes offshore àOstende et à Zeebruges, la station
d’épuration d’Amay, les infrastructuresde biométhanisation à AiseauPresles etHaut Geer, etc.La rénovation urbaine est aussi devenueun “must”. Les bâtiments doivent êtretoujours plus économes en énergie maisaussi devenir multifonctionnels. Et esthétiques en sus ! On en trouve desexemples à Gand, Bruxelles, Libramont...Par ailleurs, le vieillissement de la population nécessite une toute nouvelle approche de l’habitat. La construction derésidencesservices, de centres de soinset d’appartements adaptés bat son plein
dans tout le pays.Figureront aussi parmi les chantiersouverts le 13 mai prochain, ceux quivont servir à des fins culturelles et sportives ou la restauration du patrimoinepar de vrais artisans: sites historiques,musées, lieux de culte chargés d’histoire, centres sportifs et récréatifs...Epinglons ainsi parmi d’autres chantiers la restauration des murs de la Citadelle de Namur.Sans oublier, bien sûr, le logement : maisons passives, maisons à ossature bois...Rens. : www.journeechantiersouverts.be
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5En pratiqueSEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
Question time
Un dossierd’interventionultérieur en béton
De nombreuses obligations incombentau propriétaire d’un immeuble. Ces obligations ressurgissent à l’occasion de lavente de son bien. Lorsqu’elles sont ignorées – la situation est fréquente – le tirpeut parfois être facilement rectifié (détecteurs de fumés,…). Il peut cependantarriver que ce soit plus compliqué, notamment quand l’obligation s’inscritdans la durée comme c’est le cas pour ledossier d’intervention ultérieure.Préparer l’ensemble de ces formalitésavant même de songer à vendre se révélera une décision payante. C’est pourquoi les notaires recommandent notamment de composer un dossier d’intervention ultérieur en béton. Depuis 2001,presque tous les travaux effectués dansun immeuble doivent faire l’objet d’undossier reprenant notamment le descriptif des travaux effectués (plan, matériaux,…). Ce dossier porte le nom de dossier d’intervention ultérieure (DIU). Ildoit être établi soit par un coordinateurde sécurité (si plusieurs entrepreneursprofessionnels interviennent sur lechantier) soit par le maître de l’ouvrage,s’il effectue ses travaux luimême ou parle biais d’un seul entrepreneur.En cas d’installation de votre nouvellecuisine, suite à votre visite de Batibouw,par exemple, le DIU pourra reprendre uncroquis de l’installation (câblage électrique, tuyauterie,…) et le détail des matériaux utilisés par le cuisiniste. Il s’agit làd’un exemple parmi bien d’autres et lepropriétaire d’un immeuble veilleradonc pour tous les travaux, effectués depuis 2001, à tenir un descriptif des travaux effectués. Ce dossier doit être conservé par le propriétaire pour que lors dela signature de l’acte authentique devente, il soit remis à l’acquéreur. e
U Consultez votre notairepour des conseils sur
mesure ou rendez vous sur www.notaire.be.
Libre Immo. Supplément hebdomadaire à La Libre Belgique. Coordination rédactionnelle: Vincent Slits. (02 211 29 13 - vincent.slits@lalibre.be) Illustrations: EtienneScholasse. Réalisation: Sodimco. Administrateur délégué - éditeur responsable: François le Hodey. Directeur général: Denis Pierrard. Rédacteur en chef: VincentSlits. Rédacteur en chef adjoint: Pierre-François Lovens. Conception graphique: Jean-Pierre Lambert (responsable graphique), Bruno Bausier. Publicité: Véronique Le
Clercq (00322 21127 64 - vero.leclercq@saipm.com)
En bref
l Sicafi
Cofinimmo selance dans le kot
h La société cotée, portée sur la diversification,investit un nouveau segment du marché immobilier :les logements pour étudiants.
I l y a quelques années maintenant, la sicafi Cofinimmo s’est
lancée dans la diversification deson portefeuille. Alors qu’avant2005, elle était quasiment investieà 100 % en bureaux, aujourd’hui,ceuxci représentent moins de50 % de ses avoirs. Il y a d’abord eules maisons de repos et de soin, enBelgique et en France. Puis les cafés(avec l’acquisition du portefeuillebelge et néerlandais du géant brassicole ABInBev). Quelques partenariats publics privés aussi, sur desimmeubles à usage spécifique appartenant au public, loués à longterme et dont elle assure l’entretien sans en détenir la propriété
perpétuelle (palais de Justice d’Anvers, caserne de pompiers d’Anvers, commissariats...). Enfin, il y aquelques semaines, elle a acquis lesagences de l’assureur françaisMaaf.Désormais, il y aura aussi les kotsd’étudiants. Un pan d’activitéqu’elle n’a jamais avoué regarder,ouvertement du moins, mais envers lequel elle n’a jamais non plusapposé un “non” catégorique. Début avril, à la question “La diversification pourraitelle passer par deskots d’étudiants ?”, JeanEdouardCarbonnelle tout nouveau CEO deCofinimmo répondait encore “Lesuniversités se font le relais d’un be
soin. Peutêtre les sicafi aurontellesun rôle à jouer.”
C’est donc chose faite. En débutde semaine, Cofinimmo a annoncéavoir remporté un appel d’offres del’Université libre de Bruxelles(ULB) pour un partenariat publicprivé relatif notamment à la rénovation de logements pour étudiants. Le projet concerne deuximmeubles situés à proximité immédiate du Campus du Solbosch àBruxelles, offrant une superficietotale de 11 284 m². Un des bâtiments, situé à Ixelles, comporte242 chambres et est à rénovercomplètement. L’autre, situé àBruxelles, comporte 104 chambreset ne nécessite pas de rénovationimmédiate.Cofinimmo y apportera néanmoins certaines améliorations.L’enveloppe financière qui sera investie dans ce projet par la sicafi estestimée à 14,2 millions, précisetelle, pour un taux de rendementattendu proche de 6,60%.
L’ULB, qui est propriétaire desdeux immeubles, confère à Cofinimmo un droit d’emphytéose de27 ans, qui en assumera la maintenance technique. En contrepartie,les deux immeubles seront pris enlocation par l’ULB dans leur totalitéet pour une période identique àcelle du droit d’emphytéose. Leloyer annuel versé par l’ULB est de1,21 million d’euros, indexé annuellement sur l’indice des prix àla consommation (indice santé).Les étudiants louent donc leurchambres à l’ULB. A l’issue du droitd’emphytéose de 27 ans, la pleinepropriété des immeubles sera reconstituée en faveur de l’ULB.C.M.
CHRISTOP
HEBO
RTELS
l Projets immobiliers l Région de Bruxelles-Capitale
Ecoquartiersur les rives du canal
h Divers projets fleurissent le long du canal àAnderlecht. Dont un mené par l’acteur ChristopheLambert : des lofts dans l’ancienne Brasserie Atlas.
LES PROMOTEURS IMMOBILIERSs’activent pour redonner vie à quelque 4 hectares de terrain au cœurd’Anderlecht, le long du canal et àproximité immédiate de la chaussée de Mons, estil ressorti d’un étatdes lieux de différents dossiers depromotion immobilière, en présence des autorités anderlechtoises.
Plusieurs centaines de logementsdevraient y être construits au coursdes prochaines années. Les différents promoteurs ne se risquentpas encore à en avancer le nombreprécis, la Région devant avant toutadopter le Plan régional d’affectation du sol (PPAS) dans le cadre de
son futur PRAS démographiquepour autoriser une mixité entre activité économique et logement.
A l’horizon 2015, trois nouveauxprojets d’envergure verront le jour.En harmonie avec le site en présence, ils s’intégreront dans unconcept actuel d’écoquartier (mobilité douce, voitures électriques,développement durable, énergierenouvelable…).
L’îlot Shell : la construction d’unensemble de quelque 200 logements de qualité à prix moyen degamme qui mettra fin à des annéesd’abandon sans espoir de réaffectation.
Sur le site dit de “La Pointe”, la
zone sera également restructuréeen logements et équipements.
La Brasserie Atlas, site industrielqui fera l’objet d’une transformation en lofts de qualité à prixmoyen. Projet dans lequel ontrouve… Christophe Lambert, davantage connu par ses prestationsdans le cinéma français que par sonattirance pour des projets immobiliers. Celuici a acquis le bâtimentde l’ancienne brasserie Atlas pourla transformer en un ensemble delogements, mais aussi de créationet de travail, selon ses propos. LaBrasserie Atlas est une architecturede fonte, fer, briques et voussettes.L’ensemble des bâtiments en ciment armé et béton est dominé parune tour qui adopte le style ArtDéco avec une composition monumentale de 3 travées couronnéespar le logo de l’entreprise. Le futurprojet consistera à préserver l’esthétique des bâtiments existanttout en permettant à ses futurs habitants et à leurs enfants de s’approprier un lieu de vie mais ausside travail.
Le bourgmestre de la communeGaëtan Van Goidsenhoven voitdans l’intérêt du secteur immobilier privé pour ce coin laissé longtemps en déshérence, le fruit d’unemobilisation des autorités localespour pousser la Région à enfin permettre une réaffectation propice àrecréer du lien entre des quartiersde sa commune. Cette zone du canal était jusqu’ici trop axée sur laseule fonction économique industrielle, atil fait valoir. (avec Belga)
BERN
ARDDE
MOU
LIN
Chantiers ouvertsLa sixième édition de la Journée Chantiers Ouverts, organisée par la Confédération Construction, se tiendra le dimanche 13 mai. L’occasion pour le secteur de mettre tout particulièrement enévidence son rôle de catalyseur pour lacroissance économique, l’innovation, lacréativité, le développement durable.l’emploi. Il faut dire que le secteur est,chaque année, à la recherche de 20000nouveaux collaborateurs.Plus de 150 chantiers seront accessiblesau grand public.
La mobilité est, cette année encore, unthème important. Les grands projetsd’infrastructure qui pourront être visités l’illustrent à perfection. Comme, parexemple, le chantier de la future ligneRER à WatermaelBoitsfort.Les projets relatifs à l’utilisation rationnelle de l’énergie ou au développementdes énergies vertes (stations d’épuration d’eau, installations de biométhanisation et parc d’éoliennes...) ont assurément un effet multiplicateur sur l’emploi. Pourront ainsi être visités deschantiers liés aux éoliennes offshore àOstende et à Zeebruges, la station
d’épuration d’Amay, les infrastructuresde biométhanisation à AiseauPresles etHaut Geer, etc.La rénovation urbaine est aussi devenueun “must”. Les bâtiments doivent êtretoujours plus économes en énergie maisaussi devenir multifonctionnels. Et esthétiques en sus ! On en trouve desexemples à Gand, Bruxelles, Libramont...Par ailleurs, le vieillissement de la population nécessite une toute nouvelle approche de l’habitat. La construction derésidencesservices, de centres de soinset d’appartements adaptés bat son plein
dans tout le pays.Figureront aussi parmi les chantiersouverts le 13 mai prochain, ceux quivont servir à des fins culturelles et sportives ou la restauration du patrimoinepar de vrais artisans: sites historiques,musées, lieux de culte chargés d’histoire, centres sportifs et récréatifs...Epinglons ainsi parmi d’autres chantiers la restauration des murs de la Citadelle de Namur.Sans oublier, bien sûr, le logement : maisons passives, maisons à ossature bois...Rens. : www.journeechantiersouverts.be
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7immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
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8 Annonces immobilières SEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
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9immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
MAISONS À VENDREde 250.000 à 375.000 €
21-98185401-01
21-98186004-04
MAISONS À VENDREde 375.000 à 500.000 €
21-98197501-01
21-98203105-05
21-98202205-05
21-98200418-18
21-98186006-06
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21-98200416-16
21-98200408-08
MAISONS À VENDREplus de 500.000 €
21-98203102-02
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21-98185801-01
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21-98200415-15
21-98202203-03
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21-98011705-05
21-98189108-08
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21-98189106-06
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21-98202207-07
21-98186003-03
21-98189105-05
21-98200417-17
21-98197406-06
21-98197505-05
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10 Annonces immobilières SEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
21-98200414-14
21-98202201-01
21-98202209-09
21-98189103-03
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MAISONS À VENDREprix non précisé
21-98197408-08
21-98197407-07
APPARTEMENTSÀ VENDRE
de 125.000 à 250.000 €
21-98011708-08
APPARTEMENTSÀ VENDRE
de 250.000 à 375.000 €
21-98200413-13
21-98011702-02
21-98011710-10
21-98197506-06
21-98011706-06
APPARTEMENTSÀ VENDRE
de 375.000 à 500.000 €
21-98189107-07
21-98200403-03
21-98202208-08
21-98200405-05
21-98200410-10
21-98011707-07
21-98011704-04
21-98200411-11
21-98200401-01
APPARTEMENTSÀ VENDRE
plus de 500.000 €
21-98197402-02
21-98189102-02
21-98202202-02
21-98189101-01
21-98197508-08
21-98197403-03
21-98011701-01
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11immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
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21-98200407-07
21-98200406-06
21-98200412-12
21-98197401-01
APPARTEMENTSÀ VENDREprix non précisé
21-98197404-04
21-98197301-01
LOFTSvente & location
21-98011709-09
21-98186005-05
VIAGER
21-86748901-01
21-83200403-03
21-97910001-01
21-67470110-10
MAISONSà louer
21-98203702-02
APPARTEMENTSà louer
21-98203101-01
21-98203701-01
IMMEUBLESDE RAPPORT
21-98202204-04
21-98200409-09
SALON “REALTY”Le jeudi 17 mai 2012, La Libre Belgiqueréalisera un dossier “REALTY”, sous formed’interview, de portraits, de vos projets...
Ce dossier sera publié le jeudi 17 maidans La Libre Immo et sera distribué au salon.
N’hésitez pas à nous contacter pour de plus amples informations.Véronique Le Clercq Daphné Mertens Didier Winnepenninckx02/ 211 27 64 02/ 211 29 85 02/ 211 27 46
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12 Annonces immobilières SEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
SALLE DE VENTE PAR NOTAIRES34, rue de la Montagne 1000 Bruxelles
21-97850801-01
21-97999301-01
21-97999601-01
21-97962801-01
VENTES PAR NOTAIRESBrabant
21-98043701-01
VENTES PAR NOTAIRESdes autres provinces
21-97965801-01
21-98188601-01
VENTES DE GRÉ À GRÉ
21-96971901-01
RÉSULTATS DES VENTES PUBLIQUESBruxelles
21-98039206-06
21-98039209-09
21-98039211-11
21-98039212-12
21-98039213-13
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13immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 10 AU 16 MAI 2012 LIBRE IMMO
21-98039214-14
21-98039215-15
21-98039216-16
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21-98039218-18
21-98039219-19
21-98204701-01
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21-98204702-02
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21-98204707-07
21-98204709-09
21-98204708-08
RÉSULTATS DES VENTES PUBLIQUESBrabant
21-98039220-20
21-98039221-21
21-98039222-22
21-98039223-23
21-98039224-24
21-98039225-25
21-98204710-10
21-98204711-11
21-98204712-12
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