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CINQ G EN TO iES Le Tfamîêro j£uM ^M_ Avril 1904-, ,'v^»pt'1V'W'i^^nVr'«?; '.nain .5r£ J :»'^ » pa -'•iè i.ni teM IKi.rïfO irîn9-:t aï...'S pj.'i <>b :s ilm'x iUii't'ïiï bis» ii-'i ,‘ '' b- & .:-.'.R J.-;ji,: Inj ____ àulcl. ■l'o S'ntiair- .'i; & ‘-.-7r,o~': ss '■■it: » r'fîiiî'- - LOÜP BERTROZ, Rédacteur ea chef. JIÏIIRflM tlS •V Î - Y Y; J - . . . . . .iH ' S , .isrsan t * ïa. e t D îm anA lîe Henri GAUCHIS, Administrât^. JL-B o x r XT a 2 £ a x r T s u m » U liibdcmÊitln, i "* BMk«rBlik AUmUp. ) ..••.«•••••■ 0 fr. ^ , tau» tiOjMi lî: AsMUfi «fr. >fr. A<l’uemm »a* tet««i*.ii» tt du» tou 1 m btimm Se p o ^ . —t*«beaneHi«at « t ÿtpiU* d*aTaBce et dè pleia-dr^t |ni<pi*fcidceÿhoa coBtrâtr*. L E D R I I I E ‘. i a t i 4 § d b u a . t J S 6 1 'f f î v * ^ " . •■ S-‘" '■ Fm xx s a s ±XTeax&q:zoxrô ; Annonces Itealea.*..»»»»...* d,20 é. la Hj^e. | RéelamM ».^>...«•••••• 030é.la&g^ AnaoBces ToTentali^...v..... ^;26 | Faite diT«i,...ï ...... ........... itif, i- " . ON N'aocxpTB pas s*oim noa AU*9BS8(^8,. M 1 niASO^ . 1 Lm aaaMiees, réclamef, •te.^oo&oeinaat Paria «k lei Dfeaiètqmeate sont MfwSïdiïeetemeùfc -r. y ' . . . . AcoiirsJe^M. ittdilier J ||[og l e c te u r s liront avee |j.:.ii. le discours éloquent et lljjêanienté que notre dévoué 11. Andi^pier, a pro- litec^. dhnauebe dernier, à Lconférenee de IVoyon, or- I par le Comité libéral j cette ville. 1:^68 exig^enees lie MB Informations locales ont obligés de le reu- „jer, à notre grand regret, L deuxième page. 1- -------------- J l’abondance des matières ne nous Ipief pas dinsérer l’article de fond |ji notre rédacteur en chef, M. Loup lîfrtroï.___________________________ _ Senlis, It S i Avril i9Ù4, IÉCHOS & NOUVELLES J élection lésislative. — Corse. liTiradisement ai Calvi. — L’élection Itplatire qui a en lien dimanche a donné |hiSaltatsniTant : I iMcrits : 8.578. — Votant! : i 877. lu . Chaleil, ancien soiu* préfet, miniitériel.. 8.529 Elu. Fahiani, magistrat, pro gressiste................... S.3i8 J II t’agissait de remplacer H. Malaipina, linittiriel, décédé. Loterie de la Lieue du Nord leanire la tu o e r c n m s e . — Le nn- I Ste 2 2ii.631 gagne 859.000 fr. Lanoméro 4.991.759 gagne 80.000 fr. Lanaméro 932.748 gagne 40.000 fr. Lesnuméros 4.895.716 et 8.079.931 ga- I |Hit cbacoa 5.000 fr. I Le numéros snirants gagnent cbacan llWlr. : U0.20i — 23.605 — 4.078.410 -i.M9 571 — 507.100. Les numéros snirants gagnent chacun ISlOfr.; 4.745 516 - 906 468 — 848 228 l-t.901.622 — 4.397.478. La lutte contre l’alcoolisme. I-Un grand Congrès régional antlalcoo- lipie, sons la présidence d'honnenr de I LZiTort, rectsnr'de l'Université de Caen, I un lieu an Havre, an mois de mai pro- litais. Organisé sons les anspices de la. Uwe Solidariti (U. F. A.), il semble Ont et déjà devoir remporter le snccës O’il mérite. Flnsienrs grands oratenrs ent pmis le conconrs de lenr talent. (atnii les qnestionsr mises A l’étnde, on imarque les denz snivantes, dont l’im- letance n’échappera à personne ; 1*L’enfant devant l’alcoolisme. Des I kjens préventifs les plus salutaires em- tlojés et i employer i son égard ; ' . l'Enquête snr la non application de •ut. 9de la loi dn 47 jnilliet 4880, afin BlaeUiter la réalisation dn vœn émis par é prsmier Congrès national contre l'ai- I tM iisme. Henreux lH ortel. — C'est décidé- I Inii 8. Uaitrehnt, employé anz aciéries I h Loagv;, qn’est éehn le gros lot de 850.000 francs de laloterie de la Ligne dn Nord. H. Maitrehnt ava^t acheté son billet chez H. Baconrt, coiflênc A Lohgwy-Bas, et c’était précisMent le dernier ÿ i lest&t é ce commercent. Des ordres ont été donnés jionr qne la somme dont vient de bénéficier si henren- sement M. Maitrehnt Ini soit payée le 89 avril, à Lille. ^ -------- — .. . » . .■ .......... J ..' i - ---— La fiDerre rasso-japenaise. L«u Survivants du « Pétpo- p a v lo s lc » — On télégraphie de Londres ' an Daily Mail: Un train ambulance, portant des officiers et des hommes blessés dans le grand désastre àa Pétropavlosk et dans les bom bardements subséquents, a passé Itmdi A Tachi- Tsao, venant de PortrArthnr. D'aprésnn officier accompagnant le train, il se produisit deax explosions distinctes avant ladestrncliondn PitropatUisk, l’âne causée par la mine et l’antre par nne des sentes a munitions qui prit fen et santa. L’amiral Hakharcff était snr le pont avec le capitaine commandant dn navire. Les embarcations mises é la mer recneillirent, axec le grau-doc Cyrille, le commandant dn Pétropavlosk, 4 officier et 38 hommes. Le grand-dne Boris, an moment de la catestrephe, était snr le Peresviet. Le Pobieda a nn trou & >on avant, é la bantenr de il sttaison ; lorsan'il fat atteint trois compartiments se remplirent d’eaiu Pendant le combat qn| ent lien e n ^ les contre-torpilleurs, nn contre-torpilleur rosse et nn conire-torpillenr japonais ont été conlés. ______ D é m e n tis . — On mande de Samt- Pétersbcnrg é l’Ecfair : < On s’est ému à Saint-Pétersbpnrv des brnits tendancienz mis en circnlatipn & l'O—aogvr. A,i lAMt»«Sioé:A'P*rt-;, Arthur et snr le Talon. Ces .brnits ont été, transmis &l’amiral Alexieff, avec prière de donner nne répimse préôse. L amiral a chargé son aide de camp, le général PQneg, de faire cette réponse. Elle est parvenue ce soir. Le général Pflaeg annonce que tontes les dépêches et informations relatives à un siège de Port-Arthnr et à la prise de cette ville sont contronvées. De même, l’infor mation d’après laquelle des Cosaqnes auraient été faits prisonniers én Corée, est dénuée de fondement. L E S G R Ë y E S Lm troubles de Rouen. Après les troubles de samedi soir, le préfet de la Selne-lnférienre a interdit les attroupe ments; de son cété, le maire de KOneii avait adressé une proclamation à la population ou vrière, à qui il recommandait le calme. Dans la crainte de nonveanz troubles, M. Lailler, dlrèctenr des éfébllssementS 'Bi- viére, avait décidé de fermer sou nsine. Le directenr de l’usine Fabr et fieglatigny, me pe la Hare-dn-Farc, qui avait été menacé par les grévistes, prenait la même mesure. La rentrée put ainsi s’effectuer dans qnel- f ies usines de Roaen,travaiilant encore, mais nenf heures, les onvriers de l’usine Habire, me Méridienne, an nombre dAnviron 150, se sont mis en grève. Dans la journée, plusieurs réunions de gré vistes ont eu lieu a la Bourse du Travail. A la snite d’une de ces réunions, tenue verÉ'six heures, on a dU avoir recours é la cavalerie ponr disperser les manifestants. i'or.-o .boo': ncd uor j. i [ ...1) siU ■■;-il A ToHPBOln^ Jtsprüe du travail. KnvîWn 164 ouytieré ont repris le travail. P rcsl» encore 52 éta-"; blisséments touchés i .i.r la" grève : M totri, 4.879 grévistes et 2.95b chômeurs. ' A la snite d à négociations qui Ont en lien eiitte patrdns ét ouvrlérs','.on péiiiîe ' que les rebrises dè'trà'^i' seront 'imporUntes i bref, dtffef ' * Un'bataillon du 154» i téronyllle et M , escadron du 9* cuirassiers à Noyoh sont partis.' A Remiremont Oh annonce qne^ 150 onvriers dn tlsm e Laederich, ASaint-Hanriee-sur-llpscffie, n’ont : pas repris le travail. A la suite de loi de . dix heures,' ils réclament nne augmentation ^ d o s i^ rte ’-'^ '■ A LeWent. La grève des mennisiérs et chaïpqntién de^ la rî^ôn de LOtiént s’est augmentée dé Owé des'masons et terrassiers, au nonib^ de* 6Q0 environ. Toq^ sont calmes, ipupB ^FB P^ L a <»tastvo|^ , i du Petropasvlqafc- Dn Bajÿet, an sujet de l’tU r^. Ha&a- roff: -' v , - LÂmiral Makharo^ qui a n W , t t o la eatastrophe du PfiropowiMA, éiaitle.ch«le plus en vue de la marine msea moderne. 1 ^ spécialistes de toutes les marines .du. nobe saccordaient Aie considérer Gommenu mgé- . nieur naval de tout premier ordre ; M .cons- tmctiondeuavires brise-glace, dont lÆ n^ était le typelè plus connu, soningénieqxdis- f iositif d’étraves. eu bois cassants ponieniprtir gdioc des abordages, son système, .i^ p ta partout auiourd’huL consistantA garair.iol)us dAne enveloppe d’uu métal spécial ponr arri ver au percement des ffiiniwgesj beaucoup d’autres inventions relatlvea soit i.larm e- ment soit A ht construction dea vaisseaux avaient rendn son nom populaire daaai to monde militaire, d’npa popaunté.i ,et,af eotreteiiOi: celle.mii, il y a qnèlquèa.-. n^l5^àpart.pam.iles Lan annéea attruuait ss m a ^ i notre Le Gsmdidat'fantailsiete. Dn Gasslois i Un type qiil tend i disparaître, eAst le can didat lantaisists que l’on voit surgir durant lés périodes «lemorales, et dc"» i——>>c>«ion. dé foi, comiques on Spiritue I des bohs badaUdé t dttTàht ' irofessions ,'s’^ é h f aux res»uâs des noos naaauos uansienB. Bons avons parcoiirn divers quarfiers de Paris dans l’espoir de rencontrèr une dé ces joyensetés Mectoréles dans la cohiecl|an dèqr quelles se sont illustrés jadis leS Rodolphe les Sareck, tes Maxime Usbonhe ét autres pince-sans-rira. Las I trois fois hétes ! partout de la prose sérieuse ou des philippiqoes débutant ÿ ü ces mots : t Bas les m asses I > MOntmahtré Iffi- méme, le pays islasslque'de l a l d a ^ dujrtte et de l’esprit Montmartre, où ^ ï i ^ t mtv guère eè ésm tintaisietei ne se rèTèle, en Mttepènooe électerelé^ pair aucim projpem amusainte Tout an plus y avons-nous noté la profes sion de'fol d'un < câidldat dn bien-éné > et: celle d’un candidat Antialcoolique; lequel, ü est'i présumer, n’obtiendra pas l'es simcagés dés marchands de'vins et des « poivrots Dans nn arroncUssémant popuuire Sé numi- feste le < candidat lacté >, dSis nn antré lé : «'candidat des Apaches >, qui, déclare-t-U, est : assuré de l’appui du' gouvernement. £la ne serait pas si étonnant ! L e Dictçitiipe M. Combe*.« Dn Petit lowmal : M. Pelleten esté Oran et M. Combes, prfii- dent du conseil, à Inauguréi' hier apr^mtdi, ses nonvéUes fenétiOns de ministre'intéri maire de la ntarlhe.' • - '"il s’est rehdn rue Royale i 3 h. i/2, s’est hTm éUA Nou¥èaiiA Im pôts. Oa PâfIetââionrs‘fié dégrévemmits. Ben- dànt'iwAM^, tes iiimôte Sngmintént. ^ W 'teïFraiir .d9sj4i0i(|ip««uânâwi : 56i<wtiWBulM, qp, nfattuent qn’nae cote D«B«Miells toatfc.'Afi:<»t i pâyer ex plarwe^mebiliéwTuitDt de« fP^95 à 47 1*; ^ ' W iiÉrAn<m,]m!:c^i komuiMs. . 85 cetis de Bfr.Sfiiseiit ffievéesA^ Sfr.W g -S.-' ■ 85'’ « •’ ' ■ -8t ■ 9( _ 6 ’ A » 44 89 34 6 *t - 47 84 46 , 46 44 89 44 - 46 87 - 47 ,84 53, d4 89 . 47 84 34. — J 17ô 84 23 79 87 .-i- 49 86 - 88 79 48 ^ ’49 86 89 78 6 i- 83 79 - 89 73 -TeilA ocMinignt ,1e ministère protège le petit ceatribnuMef W B SSiW " i èiMiegée mllMsjlfée. -r-De l’Eche dtvAmun < Le brnit court dans les smUenx bien informés que lors de la disenssiOn delà loi dé depkans Ala Chambré des déjantés, le ministre dé la guerre proposera la création :d’nnè catégikle'd’engagés vqlqnm ^ de trois ans, réservée anz ]énnes gens ayant le certificat militaire,'avee famfité de rtea- voi an bontde diz-hnit mois on deux ans après obtentiiHi ' dn certificat de chef de section. Cé sera une véritable pépinière de sons-offlders et d’offlcters de- réserve. » m LS M E liT S'EWLIS L’is s a M M ial û.- . If . .Usa dlvanae dame^la elicsniïir^* ^ o v r sanvw lè-1brsgadier. pLAehé 'vengeaiaee^ Un forcené. La paisible ville de SttiMs était misé en jémei,'lundi matin, en apprenant ÿiTm 'taiTiblo drame s’était déronw danl la nuit - ptéBédaateA lacaiœne^ Otdeaer. Les ta- ceatacs aUaimU bCB, tzun jet comme tan- ionrs,: A déteât de renmfgnemMts i^éâs, l’imaginâtion tofijonrs fertile de certains iesjmts suppléait anz détails qdi misaient " d ^ n f. Heiaé I la nenpelle qni circulait dte te prennèrahetud'était nûalhenreiise- ment eiwte, et le récit qni va snivrei^e fdtbmtii'dans tonte son norrenr, n’evait pas besoin (Fétee amplifié. Dimanche, vers minuit, le brigadier Taffôiiénl.diLæ’ié^iineiit de ImWûdi. rentrait de permission. I l fnt tout d'abord assez snrpnd^dfàperemfote d e ^ lumière dans sa chambrée A cette benre indne, les lampw dm nt, anz tsrmw dn r^IemMts, étiè éieiii(és.à l’extinction des mOl; II ne le fnt paé insfins. en se fiteigèant vers son lit, deee.troBver en prém ce de, denz car vatiwa, legnean et SiffleL installés, le :premier .mm-nx lit, le second snr nne valise appartenant « I soldat Lenfioïé, et msdn de manger des sKFdinét. -Pen soa0.enz dei rëi^immts et ne'-s’inmuéiant paA’ù lenr conti^tion emj^éifi^ de donnir. lenri canumadei, les et sonpcw. > né jrétérent pas b ean m ^ tL’attentien: A l’enlfée : du toga^Saa<»eaii.,Celai-d,eommeo'était son dev^-lenr'sidressa dejnstes •rtsem- farmtmid accneillies, smtont par inontrait snreieitè. .Tons son d ev^ i tietrafmfnr Siffict, qni’ tnÀvefi'--' • te mil dierl Adônkkrîdis’é ^ t vitis'n’Stos pAs mon brigà- Leaul. Nom rappelons anz cnltivatenrs on anx particaliers qni ne l’ont pat encore: teit> d’avoir Ase mettre en-régie avec l’arrêté préfeciorat dn 45 décembre 4891, prescri vant l’enléveinent dh gU.desArbres àvpnt teA5 màrs.'an 01m'tard. ' La gendarmée fiait de verbaliser contre dés p re ^ ta ire s qui n’avaient pas observé les presoiptlens de cet arrêté. Contpibuttenevlndlpeotos. On annonce que te sons-direction des. Contributions indireelea de Sénfis’ sera prochainement snm^^ife.^" •• 'Son titnlaife,':l|..^jiiai9i i ^ A Com- piégne ente mên^'i V iolente cUaoaneion. A qe moment Lenfioïc, sur U valteé dn- qnel se tronvalt8ifflst,comine nous l’avons , dlL lui stemBrât de tet rendre sen bien et : de rester tranqnilie. Sifitet prit mai l’cffi- j servation de-son eamuade et, en rinjtt- riant gioisiémBent, lui fit tomber son paquetage snr te tête et Ini administra : quelques coups de poing. On intervint ponr séparer les combattantt, et devant le va- , carme qni allait m croissant, te brigadier, - S ' sur mettre fin an déserdre, informa Sif- et, s’il ne cessait iBunédiatemént son ta-« page, qn’il iffitdt sévir, n’est-A-din le teire-, conmiire dans les -salles de discipline. CowheS-vousl M disait-il, et qu’on : dtctene te lampel Lein de caloier le sol dat, cet avertissement reùqpéra. Frofê- ' rantdesmoMCM et dM jnrons A l’adresse ! de son snpérienr, Ssfa8t,,,saisistant son • contean, s'élanqa sur tei te màin levée. DAvantie dstegm qne courait te’bfigafier, un des t é m ^ de te scène, nn brave, dn nom ‘ dé Buif, éafalim .en dit escadron, proinpt eipme rééteir,"tebit. le bras dn PrOOwe wWplHO 1 OwUUAp; MMAe. AV . AlAiW ,2A IA lorcénè et, sé pU^M4»Sià.lkiAtJlé JkiD- dier, charel» A s’enmàrep dn couteau. Sa conragoua interventiim^tte.fat pas con- rennée desnecésmaBtedrwateenti et Roy mit tes denk doigts dé te mate droite for tement ehdiaBmagte'.La^7né.dn.sang*'*" ràit pn'; fl~ tiçrtt (établé^ p i a é m nn dé rahiMÂbirêét hoinine « fijrlaT T tS îé moins dn mimdé, et.A te. ^ p e te tte » deé: assistants, malgré teera«yieitatins^- santes, Sfffiatrtettjonrs anné de son eon- tean. tonjénrs,la ia 0 an ëœnr, sains anisqn^i motif, l’injnre snr lés lèvrés, les.fUg^; ronges de colère, s’élance en se travant s a . ^w a|eierâ te «hamtira dn mutefliuf H entre phez son chef comme an crap de vent « Semain, dit-il en brandissant soi cen- tean et d'un ton imjpérieta, si me fastii «is autre brigadier I _ ^ le^sora-ofil^?*nei apostrophe, qpi mo ponndt ém ànn.aù, fonond’tm homméivre. Ense if^aaV, les yeux comme pour s’assurer qnTllté rêvait pas. Il w •fionâ, icnanmt faascène qni venait de se mneer,. A donner i an cavalier do le laissér tran'qn|Uè et a’éuér se coucher. C’est fort henrekz penr^le maréchal des logis qn’il n’iûl pas e n l’^ ^ " comblé c’était son droit, de iM ' ment de te salle de police te ] Æ S u’sf’s g t ’ï r s a g r s ' Pétrin aiissi vite.qnll y était e ^ . Tén- ll retonma auprès dé ses c r a n m ^ a ^ n’étaient pas éncbre remis dé lm r» ,U ^ times émotions, comme on le panse fim- lement. Le vacarne recemmença, tediscns- lion s’envenima car l’irasdble sudat avait jmé te mort dn brigadier Taffoonean. . Jnsipi’alora, il est bon de le noter, son camarade Lagneau s’était toDjenrs ef^cé de le calmer. A plnsiean reprises nSAne, il loi reprodia de jouer dn ceateaà anèame d’une disenision des ^nsifatites-Letandt . augmentant A vue d’œil, le maréchal ms logis se leva A te bête et jugea qaeèen. iiûervention était nécessaire. Terrible ecèsae. A l’arrivée dn sons-offider fians ;]a chambrée, les choses pranident nne trar- nnre d.’nne.fravlté ezcvtiéniti]ia.'On'aI- : laât en vwir aax nuins; une bagiàr»;^ imminente. ITécontmt que son devofr. Fente conrnt immédiatement reqnâir te garde. Pendant son absence, nne scène a&nsM devait sa dérouler, pins vite qu’on iae te raconte. Siflet, Avant qn’on entie.taBVX renx avait en lè conrage de sfinterposer de nouveau ponr sauver te vié dn brigadier Taflonnean. Sifflât fit retombér sur tel, tout le poids de sa larear. Ruversant A terra le brave Lantoan, et tonjoars atmè de son contean. Sifflet lui dit : « Té m’as dénoncé; si tu bongas,je te fais bm af faire»; puis, joignante geste Ate menace, il lui râionça son contean dans te coenr 1 La malhenrense victime eût ancMe la force de diré an brigadier Gonrtob : « J’ai: reca nn coup de eenteaa... mon sang cootel » Déposé snr nn lit, Lagneau rendait aniqi- têt le dernier sônpiri Snr ces entretéites, la garde arrivait et, s’mnparait de l’assassin, qni était aniéUMi conMitenceilnle. Prévenu immédiatamut, K. Bliaalard, aide-méjor au 8* régiment do hnssiids, arritmit ponr constater le. décAs do La- ^ ^ .d c a t le corps fnt tranvorié A111» A.iuriîêt avisé par les soins de l’a i d ^ è mUitaire, H. Saint^teynuted. .c c m Mn de Mtiice, se rm dit an q u a rite T S e B ^ ofi 11 se l i m anx constatations d’a a v b nniLLETON DU COUlRaili DM l ’OUX 1 (43) L’iibiO T iî: i ' PAH ÉMILE RICHEBOURG PREMIEUE PARTIE LA. C H U T E XXVIll CB QUE GASTON APPREND A APRIEN (Su/7e) ' ^Oui, j’accepte. Je pourrai ainsi em- Nter diverses choses qui me seront né- ^“Sîaires, si mon séjour a Cliampignculc ^";;*-l>rolon;;cr. Yiace à la voiture de Gaston, le marquis de reloup à Champigneule â une dx minutes. Les deux amis s’ôtaient ^l^'ndant arrêtés pendant trois quarts .jfleureau pelit villa^-'cde Marchiennc, où *avaient déjeuné dans une auberge. ^ j» deux heures, ainsi qu’il l’avait promis l‘hiiore, Adrien entrait lians le jardin de , r ■! ai été trisLé toute la inatméo, lui dit l^une liiie^ en l’enveloppant de son re- velouté ;j ai-pleuré. je m’ennuyais, yh ! ma chere Aurore I ^o^drais vous avoir toujours près ‘làgi possible, je le voudrais Mais c’est possiUe, Adfien, c’est pos- , Vous ne pensez pas k votre père, Au-! rore. — Mon père 7 11 no le voudrait pas, lui. — Mon père ne sait rien me refuser. — Quand revient-il? — Je ne sais pas. Pendant un instant, ils marchèrent silen cieux. Soudain elle s’arrêta brusquement. Regardez, Adrien, regardez, dit-elle. Elle lui montrait, pendantes sur leurs tiges, des iieurs que la gelée blanche du matin avait fanées. Oui. dit Adrien rêveur, les fleura n’ont qu’une saison ; comme elles, tout passe dans la vie 1 L'hiver va venir bientôt ; il n’y aura plus de fleurs, elles seront toutes comme celles-là ; mes papillons seront morU ', mes chers oiseaux chassés par le froid, s’ei iront au pays du soleil ; nous ne pourroni plus nous promener dans les allées. Adrien, je n'aime pas l’hiver. Prés de vous( Aurore, toutes les sai-^ sons sont belles, et toujours on réspire les pariums du printemps. Ces paroles durent causer à la jeune fille une émotion nouvelle, car, pour la pre mière fois, Adrien vit ses joues et spn front rougir. . . Elle resta un moment réfléchie, comme si elle eût écouté quelque voix mystérieuse, j)uis elle regarda le marquis avec une ex pression indéfinissable, pendant qu un déli cieux sourire fleurissait sur ses lè i^ s. Après une petite -pluie ■ fine, qÎH avait tombé le matin, entre onze heure» et midi, le ciel s’était débairessé de.- ' l’air s’ctait radouci ; la sqirèl comme aux jour» d’été. 41 pas le jardin. Le» b é v ^ ^lus de rapidité qoctes joun et ils parmrent surpris de Voir arriver la nuit. — Déjà ! fit Aurore. Ah 1 les jours sont tropco'urts. — C’est vrai, répondit Adrien. Et il faut .que je vous quitte. — Pas encore. — Le moment de me retirer est venu. — Non, non, restez encore. — Vous le voulez ? — Oui. , Ils allèrent s’asseoir sous le chèvre-, feuille, près du noisetier. C’était l’endroit du jardin que la'jeunè fille préférait. Ils c’oniïnnèrent à rauser. Autour d’eux Vdm- bre s’épaississait. Ils n'entendirent pas non E lus les pas d’un cheval dans la landé'et le ruit des roues d’une voiture. I Au bout aun instant. Aurore s’aperçut que la servante n’était plus près d’eux; — Où donc est Frànbesca ? fit-elle. , ^ — En effet, elle nous a quittés, fit - Adrien. La nuit est tout à teit venue, il faut que je parte. Elle soupira. — Chère Aurore 1 murmura-t-il. 11 l’entoura de ses bras et la serra contre lui. La tête de la jeune fille tomba sur son épaule. Elle avait la poitrine oppressée, ’elie'tremblait ; il sentait les battements de Ison cœui'. 11 inclina la tête pour lui mettre' !un baiser sur le front. A'Urore fit un mou vement et leurs lèvres se rencontrèrent. 1 — Aurore, je vous aijmé, je yquè'àimel murmura le jeune hom'me.' — Je vous aime, jeivous aime 1 répéta Aurore comme.unéoho.. : 1 A ce moment te miJ^tte,fefiarV>t-,Ses yeux lu ire n t cbmmpndes ttei^S; 'et .pn soprire ; chiitractaît'ses lèvres. ‘ . _: ,i l' Le marquis se levé..Lq müétte. èteAdil les bras/lul ordonnant de-paitm. Il jeta:nn: long regard stStAtiriOrs m tie assiSé'et ee: — Vous vous en allez? dit la jeune fille. — Oui, répondit-il ; à demain. . Elle voulait Uaccompapier'eomme d’ha bitude ; mais te muette 1 arrêta, en lui sai sissant violemment le bras. . - '. — Qu’as-tu donc, Franéesca? dit Au rore étonnée; pourquoi me retiens-tu ? La muette fit entendre 'un grogn’ement et chercha à entraîner te jeuine fille 'yèr s là maison. ' , , i ;V j ,— Laisse^moi, laisse-mol ! . s’épria Aur ,rore. . . -i . I Et par un mouvement brusque elle se dépigea de. l’étreinte de 1a muette, o- Le marquis était arrivé à la porte-, qui jse trouvait ouverte. A peine en‘eut-il frâii-^ (Ai le seuil, qu’iine inaln pUîssaUtè tOmba sur son épSulè et fi sé sentit êetré cômine idans un'élau. ' XXIX LA POETE DU JABDIN Le-marquis laissa échapper un cri ■ de surprise et de teSreur. ’ ‘ e:- Silence I- dit une voiy sourde à son oreille. . i De grosses çouttés de sueur perlèrent sur lé front du jeune hommé. ! ' — Je te défett(is de pousser un second crij.reprit la vœx, ou sinon.-.. -. • Le marquis sentit-le'caUon d’-un revolver sUr sa poitrine;' Mtûs-itejàâl •était revenu die sa surprise et Bod émiii'avait disparà, ' eâé'daüs rhommè (ju! IV mensiçait il venàit .; dd rééonumtre le.péi^ d’Aurpro,. ........ ' ' I j i yousme ypulpz;^ je,; r-ù! Ôq n’àssàssine pas un lâehe, dii.-lei,:; , .vieillard, on lui écntse-la téte comme 'àmn , -L--y<un me ]>iB4ez>durementi monsieur, ''' ^ ^ q n a le jeune ^ m »«48èlk^<akn dignité ; mais ce que je rie pardonnerais jiasàunautre,je l’accepte'dû pèrë demade- , môiselle Aurore. — Ah! vous me connaissez? —^Je ne vous eonpais pas, monsieur, jè sais seulement que vous êtes ici le maître.| Mais vous n'avez pas besoin de me tenir ainsi ; je ne songe pas à prendre la fuite.' Jetiensàvous prouver qUè je suis'paS un lâche ; si vous -voulez rii’interrô^é; je'êriis^ prêt à vous répondre. Le bras du vieillard ;tombà à son côté,, et il reprit: avec moins d’emportement: .• J I — Imurquoi vous êtesrvous inmoduit. da'ns cette'propriété? ! , ^ -j ' — La curiosité mja conduit içi te pre,-, mière fois, un autre sentiment: m’y, a •ramené, ; . | ■ .1 Un homme; Un inconnu qui sort fur- ' tivement d’une maison,' la nuit, peut . être considéré cÔmmeUn-yoléur; 1 On un amoureui, répliqua le jeune homirie. , [, —; 'Àh.l le. misérable, ii ravpue! .exclama ' le 'père d'-Aurore, pfis dî-un nouvel accès de ; fureur.-. , - n :,‘i . -- - ' _ . . . Je ne crois pas avoir commis un crime, dit Adrien. ! ' -•- •S’introduire dans une maison près - d'une jeune fille innocen te, sans défense,! 011 l’absence de son p'ère, avec rinléntion . dë.la,‘séduire, èst unaçte'.infâme. C’èst'un, ,criniel èhtendez^'vous.,ùn(;rinre,l . . ; :i VjMiSt ’me - prêtez des intenticms- q u i:. ',ne sont pas lejs: nuénnesvrépimdifcvisemmit ;le-jeime'nomme.’Séduite votrefille,moif.'..| : ;lAhl vous :ne te pensez pas; moUSieurf : L _ - a y iite àvS& eotointe-’cettef iritàriûo,!:- :V(ru'ste'‘pàÿô'«èriJé^’^zé=*mf, •vêrBé:;.!'- ie»s#Bie:lin‘fc:8Sîrt'aàl4i; -ifi-ial iSÉmWèteJflfÿ'isdç oid£-qso<;V^.iu — De toute mon âme. . — Eh bien, je ne te veux pas, ]• tBM défends de J’aimer. Le jeune homme secoua la tête. > — On ne défend pas à un fieuye de.pprâ duire ses eaux à: la mèn, lépoimtesl-IW lement.. Mais quel démon yousa. dçmc g dans ma demeure jusqu’à ce jonr-st traa-j quille? reprit le -vieillard d’one.’Vmxj&é-j QBssante.- Voyons, quel intérêt g4iea-v»ù à troubler 1a paix-de cet asile, . défa mon bonheur et celm dojmpii enfailtJ , Je n’ai touché ni; .à vptee. hosteenr i k .celttidamadem.oteriÿé.Azûere. -TT Adi.I vous croyea. cete,T ÿ-j—je,ne vois paSi-djaillears 'aurais pu détruire lelmnheur c s pu . fille pour-laquellej e dônnerais..inà i ,:-T, Vijus ne cmnpreùrer pas,; vons n pouvez.pàs comprendre, ditle vieiDud. Après un court silence, il yepitt r-— '* ment':-.’.;i . -7 E(soutez-moi, j’ignore, q m tous '/ je ne.„ ; v t I — Je ne cache pas irion nqi^ inteiTràte pit viveriient le'jeune hbinme.' - " j Je ne vous le dem^de point, je oq veux pas vous connàitfe.'Mais sotCvene v.pus dàmes paroles ; je -irbue ' dtféDde c revoir ma fille. Je ne sais'pas âi'c^d'qiiell impression vous avez produite sur ~ cœur; mais il faut, vouem’entepèfi il. faut, je veux qu’elle vous oublie ; doit pins jamais entendit p t ^ r ; dé - C'toÿez-mpi, éloigne>-vqu8 yité.cte feej car si jamais je, vdus TOnboil|ziB r aii^Hr dè :^ 'm u v<iii»tùf»r‘ S !Uf . ; ; îs L «tSîîSBil i

bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_04_21_M… ·  · 2014-02-17,'v^»pt'1V'W'i^^nVr'«?; ... I un lieu an Havre, an mois de mai pro- litais. Organisé sons les

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C I N Q G E N T O i E S L e T f a m î ê r o j £ u M ^ M _ A v r i l 1 9 0 4 - ,

,'v »pt'1V'W'i nVr'«?; '.nain .5r£ J :»'^ »

pa -'•iè i.ni teM IKi.rïfO

irîn9-:t aï...'S pj.'i <>b :s ilm'x iUii't'ïiï bis» ii-'i ,‘'' b- &.:-.'.R J.-;ji,: Inj ____

àulcl.■l'o S'ntiair- .'i; &‘-.-7r,o~': ss '■■it: »

r ' f î i i î ' - -

LOÜP BERTROZ, Rédacteur ea chef. J I Ï I I R f l M t l S• V Î - Y Y; J -. . . . . .iH ' S ,

. i s r s a n t * ï a . e t l ô D î m a n A l î e

Henri GAUCHIS, Administrât^.

JL -B o x r XT a 2 £ a x r T s um » U liibdcmÊitln, i " *

BMk«rBlik AUmUp. )..••.«•••••■ 0 fr. ^ ,

tau» tiOjMil î :

AsMUfi«fr.>fr.

A< l’uemm »a* tet««i*.ii» tt du» tou 1m btimm Se po^. — t*«beaneHi«at « t ÿtpiU* d*aTaBce et dè pleia-dr^t |ni<pi*fc idceÿhoa coBtrâtr*. •

L E D R I I I E

‘. ia t i4 § d b u a .tJ S 6 1 'f f îv * ^ " .•■ S-‘" '■ F m x x s a s ± X T e a x & q : z o x r ô ;Annonces Itealea.*..»»»»...* d,20 é. la Hj^e. | RéelamM ».^>...«•••••• 0 3 0 é . la & g ^AnaoBces ToTentali^...v..... ^;26 — | Faite d iT « i,...ï ................. itif, —i- " .

ON N'aocxpTB pas s*oimnoa AU*9BS8( 8,. M 1 niASO .1 Lm aaaMiees, réclamef, •te.^oo&oeinaat Paria «k lei Dfeaiètqmeate sont MfwSïdiïeetemeùfc-r. y ' . . . .

AcoiirsJe^M. ittdilierJ ||[og lec teu rs l iro n t avee | j .:.ii. le d isco u rs é loquen t et lljjêanienté que n o tre dévoué

11. Andi^pier, a p ro - litec^. d hnauebe d e rn ie r , à Lconférenee de IVoyon, o r -

I p a r le C om ité lib é ra l j cette ville . 1: 68 exig^enees

lie MB In fo rm atio n s lo ca le s ont ob ligés de le r e u -

„jer, à n o tre g ra n d re g re t, L deuxième page .1- •--------------J l’abondance des matières ne nous Ip ie f pas dinsérer l’article de fond |j i notre rédacteur en chef, M . Loup lîfrtroï.___________________________ _

Senlis, I t S i A v r il i9Ù 4,

I ÉCHOS & NOUVELLESJ élec tion l é s i s l a t i v e . — Corse. liTiradisement a i Calvi. — L’élection Itplatire qui a en lien dimanche a donné |hiSaltatsniTant :I iMcrits : 8.578. — Votant! : i 877. lu . Chaleil, ancien soiu*

préfet, miniitériel. . 8.529 Elu. Fahiani, magistrat, pro­

gressiste................... S.3i8J II t’agissait de remplacer H. Malaipina, linittiriel, décédé.

Loterie d e l a L ie u e d u N o r d leanire l a t u o e r c n m s e . — Le nn-I Ste 2 2ii.631 gagne 859.000 fr.

La noméro 4.991.759 gagne 80.000 fr. Lanaméro 932.748 gagne 40.000 fr.Les numéros 4.895.716 et 8.079.931 ga-

I |Hit cbacoa 5.000 fr.I Le numéros snirants gagnent cbacan llWlr. : U0.20i — 23.605 — 4.078.410 -i.M9 571 — 507.100.Les numéros snirants gagnent chacun

ISlOfr.; 4.745 516 - 906 468 — 848 228 l-t.901.622 — 4.397.478.

La lu t te c o n t r e l ’a lc o o l is m e .I-Un grand Congrès régional antlalcoo- lipie, sons la présidence d'honnenr de I LZiTort, rectsnr'de l'Université de Caen,I un lieu an Havre, an mois de mai pro- litais. Organisé sons les anspices de la. Uwe Solidariti (U. F. A .), il semble

Ont et déjà devoir remporter le snccës O’il mérite. Flnsienrs grands oratenrs ent pmis le conconrs de lenr talent.(atnii les qnestionsr mises A l’étnde, on

imarque les denz snivantes, dont l’im- letance n’échappera à personne ;1* L’enfant devant l’alcoolisme. Des

I kjens préventifs les plus salutaires em- tlojés et i employer i son égard ; '

. l'Enquête snr la non application de •ut. 9 de la loi dn 47 jnilliet 4880, afin BlaeUiter la réalisation dn vœn émis par é prsmier Congrès national contre l'ai-

I tMiisme.

Henreux lH o r te l . — C'est décidé- I Inii 8. Uaitrehnt, employé anz aciéries I h Loagv;, qn’est éehn le gros lot de

850.000 francs de laloterie de la Ligne dn Nord.

H. Maitrehnt ava^t acheté son billet chez H. Baconrt, coiflênc A Lohgwy-Bas, et c’était précisMent le dernier ÿ i lest&t é ce commercent.

Des ordres ont été donnés jionr qne la somme dont vient de bénéficier si henren- sement M. Maitrehnt Ini soit payée le 89 avril, à Lille. -------- — .. . » . .■..........J . .' i - ---—

La fiDerre rasso-japenaise.L « u S u r v i v a n t s d u « P é t p o -

p a v lo s lc » — On télégraphie de Londres ' an Daily Mail:

Un train ambulance, portant des officiers et des hommes blessés dans le grand désastre àa Pétropavlosk et dans les bom­bardements subséquents, a passé Itmdi A Tachi- Tsao, venant de PortrArthnr.

D'aprésnn officier accompagnant le train, il se produisit deax explosions distinctes avant ladestrncliondn PitropatUisk, l’âne causée par la mine et l’antre par nne des sentes a munitions qui prit fen et santa.

L’amiral Hakharcff était snr le pont avec le capitaine commandant dn navire. Les embarcations mises é la mer recneillirent, axec le grau-doc Cyrille, le commandant dn Pétropavlosk, 4 officier et 38 hommes.

Le grand-dne Boris, an moment de la catestrephe, était snr le Peresviet.

Le Pobieda a nn trou & >on avant, é la bantenr de il sttaison ; lorsan'il fat atteint trois compartiments se remplirent d’eaiu

Pendant le combat qn| ent lien e n ^ les contre-torpilleurs, nn contre-torpilleur rosse et nn conire-torpillenr japonais ont été conlés. ______

D é m e n t i s . — On mande de Samt- Pétersbcnrg é l’Ecfair :

< On s’est ému à Saint-Pétersbpnrv des brnits tendancienz mis en circnlatipn &l'O—aogvr. A,i lAMt»«Sioé:A'P*rt-;,Arthur et snr le Talon. Ces . brnits ont été, transmis & l’amiral Alexieff, avec prière de donner nne répimse préôse. L amiral a chargé son aide de camp, le général PQneg, de faire cette réponse. Elle est parvenue ce soir.

Le général Pflaeg annonce que tontes les dépêches et informations relatives à un siège de Port-Arthnr et à la prise de cette ville sont contronvées. De même, l’infor­mation d’après laquelle des Cosaqnes auraient été faits prisonniers én Corée, est dénuée de fondement.

L E S G R Ë y E S

Lm tro u b le s de Rouen.Après les troubles de samedi soir, le préfet

de la Selne-lnférienre a interdit les attroupe­ments; de son cété, le maire de KOneii avait adressé une proclamation à la population ou­vrière, à qui il recommandait le calme.

Dans la crainte de nonveanz troubles, M. Lailler, dlrèctenr des éfébllssementS 'Bi- viére, avait décidé de fermer sou nsine. Le directenr de l’usine Fabr et fieglatigny, me pe la Hare-dn-Farc, qui avait été menacé par les grévistes, prenait la même mesure.

La rentrée put ainsi s’effectuer dans qnel-f ies usines de Roaen,travaiilant encore, mais

nenf heures, les onvriers de l’usine Habire, me Méridienne, an nombre dAnviron 150, se sont mis en grève.

Dans la journée, plusieurs réunions de gré­vistes ont eu lieu a la Bourse du Travail. A la snite d’une de ces réunions, tenue verÉ'six heures, on a dU avoir recours é la cavalerie ponr disperser les manifestants.

i 'o r . - o .b o o ': n c d uor j . i

[ ...1) siU ■■ ;-il

A ToHPBOln^Jtsprüe du travail. KnvîWn 164 ouytieré

ont repris le travail. P rcsl» encore 52 éta-"; blisséments touchés i .i.r la" grève : M totri, 4.879 grévistes et 2.95b chômeurs. '

A la snite d à négociations qui Ont en lien eiitte patrdns ét ouvrlérs','.on péiiiîe ' que les rebrises dè 'trà '^ i' seront 'imporUntes i bref, dtffef ' * ”

Un'bataillon du 154» i téronyllle et M , escadron du 9* cuirassiers à Noyoh sont partis.'

A R em irem o n tOh annonce qne 150 onvriers dn tlsm e

Laederich, A Saint-Hanriee-sur-llpscffie, n’ont : pas repris le travail. A la suite de loi de . dix heures,' ils réclament nne augmentation dosi^ rte’-' '■ ’

A LeWent.La grève des mennisiérs et chaïpqntién de

la rî^ôn de LOtiént s’est augmentée dé Owé des'masons et terrassiers, au nonib^ de* 6Q0 environ. Toq sont calmes,

i p u p B ^ F B P ^La < » t a s t v o | ^ , i

d u P e tr o p a s v lq a f c -Dn Bajÿet, an sujet de l’tU r^ . Ha& a-

roff: - ' v , -LÂmiral Makharo^ qui a n W , t t o la

eatastrophe du PfiropowiMA, éiaitle.ch«le plus en vue de la marine msea moderne. 1 ^ spécialistes de toutes les marines .du. nobe saccordaient Aie considérer Gommenu mgé- . nieur naval de tout premier ordre ; M .cons- tmctiondeuavires brise-glace, dont lÆ n ^ était le typelè plus connu, soningénieqxdis-fiositif d’étraves. eu bois cassants ponieniprtir gdioc des abordages, son système, .i^ p ta

partout auiourd’huL consistantA garair.iol)us dAne enveloppe d’uu métal spécial ponr arri­ver au percement des ffiiniwgesj beaucoup d’autres inventions relatlvea soit i.larm e- ment soit A ht construction dea vaisseaux avaient rendn son nom populaire daaai to monde militaire, d’npa popaunté.i

,et,af

eotreteiiOi:

celle.mii, il y a qnèlquèa.-. n ^ l5 ^ à p a r t .p a m . i l e s

Lanannéea attruuait ss m a ^ i notre

L e G s m d id a t 'f a n tail s i e te .Dn Gasslois i Un type qiil tend i disparaître, eAst le can­

didat lantaisists que l’on voit surgir durant lés périodes «lemorales, et dc"» i——>>c>«ion. dé foi, comiques on Spiritue

I des bohs badaUdé t

dttTàht ' irofessions

,'s’ é h f aux res»uâs des noos naaauos uansienB.

Bons avons parcoiirn divers quarfiers de Paris dans l’espoir de rencontrèr une dé ces joyensetés Mectoréles dans la cohiecl|an dèqr quelles se sont illustrés jadis leS Rodolphe

les Sareck, tes Maxime Usbonhe ét autres pince-sans-rira.

Las I trois fois hétes ! partout de la prose sérieuse ou des philippiqoes débutant ÿ ü ces mots : t Bas les m asses I > MOntmahtré Iffi- méme, le pays islasslque'de l a l d a ^ dujrtte e t de l’esprit Montmartre, où ^ ï i ^ t mtv guère eè é s m tintaisietei ne se rèTèle, en Mttepènooe électerelé^ pair aucim projpem amusainte

Tout an plus y avons-nous noté la profes­sion de'fol d'un < câidldat dn bien-éné > et: celle d’un candidat Antialcoolique; lequel, ü est'i présumer, n’obtiendra pas l'es simcagés dés marchands de'vins et des « poivrots

Dans nn arroncUssémant popuuire Sé numi- feste le < candidat lacté >, dSis nn antré lé

: «'candidat des Apaches >, qui, déclare-t-U, est : assuré de l’appui du' gouvernement. £la ne

serait pas si étonnant !

L e D ic tç itiip e M . Com be*.«Dn Petit lowmal :M. Pelleten esté Oran et M. Combes, prfii-

dent du conseil, à Inauguréi' hier apr^mtdi, ses nonvéUes fenétiOns de ministre'intéri­maire de la ntarlhe.' • -'"il s’est rehdn rue Royale i 3 h. i/2, s’est

hTméUA

N o u ¥ è a i i A I m p ô t s .

Oa PâfIetââionrs‘fié dégrévemmits. Ben- dànt'iwAM^, tes iiimôte Sngmintént. ^

W 'te ïF r a i i r

.d9sj4 i0 i(|ip««uânâw i :56i<wtiWBulM, q p , nfattuent qn’nae

cote D«B«Miells toatfc.'Afi:<»t i pâyer ex p la rw e ^ m e b il ié w T u itD t de« fP^95à 47 1*; '

W iiÉ rA n < m ,]m !:c ^ i komuiM s. . 85 cetis de Bfr.Sfiiseiit ffievéesA^ Sfr.W g ■ -S.-' ■ 85'’ « •’ ' ■ -8t ■

9( _ 6 ’ A» — 44 8934 6 * t - 47 8446 , 46 2Î — 44 8944 - 46 87 - 47 ,8453, d4 89 — . 47 8434. — J 17ô 84 — 23 7987 .- i- 49 86 - 88 7948 ^ ’49 86 — 89 786 i - 83 79 - 89 73-TeilA ocMinignt ,1e ministère protège le

petit ceatribnuMef

W B S S i W "i èiMieg ée mllMsjlfée. -r-De l’Eche

d tv A m u n < Le brnit court dans les smUenx bien

informés que lors de la disenssiOn delà loi dé depkans A la Chambré des déjantés, le ministre dé la guerre proposera la création

:d ’nnè catégikle'd’engagés v q lq n m ^ de trois ans, réservée anz ]énnes gens ayant le certificat militaire,'avee famfité de rtea- voi an bontde diz-hnit mois on deux ans après obtentiiHi ' dn certificat de chef de section. Cé sera une véritable pépinière de sons-offlders et d’offlcters de- réserve. »

m LS M E l i T

S'EWLIS

L’i s s a M M i a lû.- . If .

.Usa dlvanae dame^la elicsniïir^*^ o v r sa n v w lè-1brsgadier.

pLAehé 'vengeaiaee^U n forcené.

La paisible ville de SttiMs était misé en jémei,'lundi matin, en apprenant ÿiTm 'taiTiblo drame s’était déronw danl la nuit - ptéBédaateA lacaiœne^ Otdeaer. Les ta- ceatacs aUaimU bCB, tzun jet comme tan- ionrs,: A déteât de renmfgnemMts i^éâs, l’imaginâtion tofijonrs fertile de certains iesjmts suppléait anz détails qdi misaient " d ^ n f . Heiaé I la nenpelle qni circulait d te te prennèrahetud'était nûalhenreiise- ment eiw te, et le récit qni va snivrei^e fd tbm tii'dans tonte son norrenr, n’evait pas besoin (Fétee amplifié.

Dimanche, vers minuit, le brigadier Taffôiiénl.diLæ ’ié^iineiit de ImWûdi. rentrait de permission. I l fnt tout d'abord assez snrpnd^dfàperemfote d e ^ lumière dans sa chambrée A cette benre indne, les lampw d m n t, anz tsrmw d n r^IemMts, étiè éieiii(és.à l’extinction des mOl; II ne le fnt paé insfins. en se fiteigèant vers son lit, deee.troBver en prém ce de, denz car vatiwa, legnean et SiffleL installés, le

: premier .mm-nx lit, le second snr nne valise appartenant « I soldat Lenfioïé, e t msdnde manger des sKFdinét. -Pen soa0.enz dei rëi^immts et ne'-s’inmuéiant paA’ù lenr c o n ti^ tio n emj^éifi^ de donnir. lenri canumadei, les et sonpcw. > né jrétérent pas b e a n m ^ tL’attentien: A l’en lfé e : du toga^Saa<»eaii.,Celai-d,eommeo'était son dev^-lenr'sidressa dejnstes •rtsem -

farmtm id accneillies, smtont par inontrait snreieitè. .Tons

son d e v ^ i tietrafmfnr Siffict, qni’

tnÀvefi'--' • te mil dierl

A d ô n k k rîd is’é ^ t v itis 'n ’Stos pAs mon brigà-

L e a u l .Nom rappelons anz cnltivatenrs on anx

particaliers qni ne l’ont pat encore: teit> d’avoir A se mettre en-régie avec l’arrêté préfeciorat dn 45 décembre 4891, prescri­vant l’enléveinent dh gU.desArbres àvpnt teA5 màrs.'an 01m'tard.' La gendarm ée f ia i t de verbaliser

contre dés p re ^ ta ir e s qui n’avaient pas observé les presoiptlens de cet arrêté.

C ontpibuttenevlndlpeotos.On annonce que te sons-direction des.

Contributions indireelea de Sénfis’ sera prochainement snm^^ife.^" ••

'Son titnlaife,':l|..^jiiai9i i ^ A Com- piégne en te mên^'i

V io le n t e cU ao an e io n .A qe moment Lenfioïc, sur U valteé dn-

qnel se tronvalt8ifflst,comine nous l’avons , dlL lui stemBrât de te t rendre sen bien et : de rester tranqnilie. Sifitet prit mai l’cffi- j servation de-son eamuade et, en rinjtt- riant gioisiémBent, lui fit tomber son paquetage snr te tête et Ini administra

: quelques coups de poing. On intervint ponr séparer les combattantt, et devant le va-

, carme qni allait m croissant, te brigadier, -S' sur mettre fin an déserdre, informa Sif-

et, s’il ne cessait iBunédiatemént son ta-« page, qn’il iffitdt sévir, n’est-A-din le teire-, conmiire dans les -salles d e discipline. CowheS-vousl M disait-il, e t qu’on

: dtctene te lampel Lein de caloier le sol­dat, cet avertissement reùqpéra. Frofê-

' rantdesmoMCM et dM jnrons A l’adresse ! de son snpérienr, Ssfa8t,,,saisistant son • contean, s'élanqa sur tei te màin levée.

DAvantie dstegm qne courait te’bfigafier, un des t é m ^ de te scène, nn brave, dn nom ‘ dé Buif, éafalim .en dit escadron, proinpt eipm e rééteir,"tebit. le bras dnPrOOwe wWplHO 1 OwUUAp; MMAe. AV. AlAiW ,2AIAlorcénè et, sé pU^M4»Sià.lkiAtJlé JkiD- dier, charel» A s’enmàrep dn couteau. Sa conragoua interventiim^tte.fat pas con- rennée desnecésmaBtedrwateenti et Roy mit tes denk doigts dé te mate droite for­tement ehdiaBmagte'.La^7né.dn.sang*'*" ràit pn'; fl~ tiçrtt (établé^ p i a é m nndé rahiMÂbirêét hoinine « fijrlaT T tS îé moins dn mimdé, et.A te. ^ p e te t te » deé:

assistants, malgré t e e r a « y ie i ta t in s ^ - santes, Sfffiatrtettjonrs anné de son eon- tean. tonjénrs,la i a 0 an ëœnr, sains anisqn i motif, l’injnre snr lés lèvrés, les.fUg^; ronges de colère, s’élance en se travant s a .

^ w a |e i e r â te «hamtira dn m utefliuf ■

H entre phez son chef comme an crap de vent

« Semain, dit-il en brandissant so i cen- tean et d'un ton imjpérieta, si me fastii «is autre brigadier I _ ^

le^sora-ofil^?*neiapostrophe, qpi mo ponndt é m à n n .a ù ,

fonond’tm homméivre. Ense if^aaV , les yeux comme pour s’assurer qnTllté rêvait pas. Il w •fionâ, icnanmt faascène qni venait de se mneer,. A donner

i an cavalier do le laissér tran'qn|Uè et a’éuér se coucher. C’est fort henrekz penr^le maréchal des logis qn’il n’iûl pas e n l ’ ^ " comblé c’était son droit, de iM 'ment de te salle de police te ]

Æ S u ’s f ’s g t ’ï r s a g r s 'Pétrin aiissi vite.qnll y était e ^ . Tén-

ll retonma auprès dé ses c r a n m ^ a ^ n’étaient pas éncbre remis dé lm r» ,U ^ times émotions, comme on le panse fim- lement. Le vacarne recemmença, tediscns- lion s’envenima car l’irasdble sudat avait jm é te mort dn brigadier Taffoonean. . Jnsipi’alora, il est bon de le noter, son camarade Lagneau s’était toDjenrs ef^cé de le calmer. A plnsiean reprises nSAne, il loi reprodia de jouer dn ceateaà anèame d’une disenision des ^nsifatites-Letandt

. augmentant A vue d’œil, le maréchal m s logis se leva A te bête et jugea qaeèen. iiûervention était nécessaire.

T e r r i b l e ecèsae .A l’arrivée dn sons-offider fians ;]a

chambrée, les choses pranident nne trar- nnre d.’nne.fravlté ezcvtiéniti]ia.'On'aI-

: laât en vw ir aax nuins; une b a g ià r » ;^ imminente. ITécontmt que son devofr. F en te conrnt immédiatement reqnâir te garde.

Pendant son absence, nne scène a&nsM devait sa dérouler, pins vite qu’on iae te raconte. Siflet, Avant qn’on entie.taBVX

renx avait en lè conrage de sfinterposer de nouveau ponr sauver te vié dn brigadier Taflonnean. Sifflât fit retombér sur tel, tout le poids de sa larear. Ruversant A terra le brave Lantoan, et tonjoars atmè de son contean. Sifflet lui dit : « Té m’as dénoncé; si tu bongas,je te fais bm af­faire»; puis, joignante geste A te menace, il lui râionça son contean dans te coenr 1

La malhenrense victime eût ancMe la force de diré an brigadier Gonrtob : « J’ai: reca nn coup de eenteaa... mon sang cootel » ■

Déposé snr nn lit, Lagneau rendait aniqi- têt le dernier sônpiri

Snr ces entretéites, la garde arrivait et, s’mnparait de l’assassin, qni était aniéUMi conMitenceilnle.

Prévenu immédiatamut, K. Bliaalard, aide-méjor au 8* régiment do hnssiids, arritmit ponr constater le. décAs do La- ^ ^ . d c a t le corps fnt tranvorié A111»

A.iuriîêt avisé par les soins de l’a i d ^ èmUitaire, H. Saint^teynuted. . c c m M n de Mtiice, se rm dit an q u a r i te T S e B ^ ofi 11 se l i m anx constatations d’a a v b

nniLLETON DU COUlRaili DM l ’OUX

1 (43)

L ’ i i b i O T i î :i ' PAH

ÉMILE R I C H E B O U R G

PREMIEUE PARTIE

L A . C H U T E

XXVIllCB QUE GASTON APPREND A APRIEN

(Su/7e)

' ^O ui, j ’accepte. Je p o u rra i ainsi em - Nter diverses choses qui m e sero n t né- “Sîaires, si mon séjou r a C liam pignculc ";;*-l>rolon;;cr.Yiace à la voiture de G aston, le m arqu is

de reloup à C ham pigneule â une dx minutes. Les deux am is s’ôtaient

^l^'ndant arrêtés p endan t tro is qu a rts .jfleureau p e li t villa^-'cde M archiennc, où * avaient déjeuné dans une auberge. j» deux heures, ainsi qu’il l’avait prom is

l ‘hiiore, Adrien e n tra it lians le ja rd in de

, r ■! ai é té t r isL é t o u t e la inatm éo, lu i dit l^une liiie en l’enveloppan t de son re -

v e lo u té ; j ai-pleuré. je m ’ennuyais, yh ! ma chere A urore I

^o^drais vous avoir toujours près

‘làgi possible, je le voudrais

Mais c’est possiUe, Adfien, c’est pos-

, Vous ne pensez pas k votre père, Au-!rore.

— Mon père 7 11 no le voudrait pas, lui.— Mon père ne sait rien me refuser.— Q uand rev ien t-il?— Je ne sais pas.Pendant un instant, ils m archèrent silen­

cieux.Soudain elle s’arrêta brusquement. Regardez, Adrien, regardez, dit-elle.Elle lui m ontrait, pendantes sur leurs

tiges, des iieurs que la gelée blanche du matin avait fanées.

Oui. d it Adrien rêveur, les fleuran’ont qu’une saison ; comme elles, tout passe dans la vie 1

L'hiver va venir bientôt ; il n ’y auraplus de fleurs, elles seront toutes comme celles-là ; mes papillons seront morU ', mes chers oiseaux chassés par le froid, s’e i iront au pays du soleil ; nous ne pourroni plus nous promener dans les allées. Adrien, je n'aime pas l’hiver.

Prés de vous( Aurore, toutes les sai-^sons sont belles, e t toujours on réspire les pariums du printemps.

Ces paroles durent causer à la jeune fille une émotion nouvelle, car, pour la pre­mière fois, Adrien vit ses joues e t spn front rougir. . .

Elle resta un moment réfléchie, comme si elle eût écouté quelque voix mystérieuse, j)uis elle regarda le marquis avec une ex­pression indéfinissable, pendant qu un déli­cieux sourire fleurissait su r ses l è i ^ s .■ Après une petite - pluie ■ fine, qÎH avait tombé le matin, entre onze heure» et midi, le ciel s’était débairessé de.- ’ 'l’air s’ctait radouci ; la sqirèl comme aux jour» d’été. 41 pas le jardin. Le» b é v ^^lus de rapidité qoctes joun

et ils parmrent surpris de Voir arriver la nuit.

— Déjà ! fit Aurore. Ah 1 les jours sont tropco'urts.

— C’est vrai, répondit Adrien. E t il faut .que je vous quitte.

— Pas encore.— Le moment de me retirer est venu.— Non, non, restez encore.— Vous le voulez ?— Oui.

, Ils allèrent s’asseoir sous le chèvre-, feuille, près du noisetier. C’était l’endroit du jardin que la 'je u n è fille préférait. Ils c’oniïnnèrent à rauser. A utour d’eux Vdm- bre s’épaississait. Ils n 'entendirent pas non

Elus les pas d’un cheval dans la landé'et le ru it des roues d’une voiture.

I Au bout a u n instant. Aurore s’aperçut que la servante n ’était plus près d’eux;

— Où donc est Frànbesca ? fit-elle. , — En effet, elle nous a q u itté s , fit - Adrien. La nuit est to u t à teit venue, il faut que je parte.

Elle soupira.— Chère Aurore 1 murmura-t-il.11 l’entoura de ses bras et la serra contre

lui. La tête de la jeune fille tomba sur son épaule. Elle avait la poitrine oppressée, ’elie 'trem blait ; il sentait les battem ents de Ison cœui'. 11 inclina la tête pour lui m ettre ' !un baiser sur le front. A'Urore f it un mou­vem ent et leurs lèvres se rencontrèrent.1 — Aurore, je vous aijmé, je yquè'àim el murmura le jeune hom'me.' ‘

— Je vous aime, je iv o u s aime 1 répéta Aurore com m e.unéoho.. : 1

A ce moment te miJ^tte,fefiarV>t-,Ses yeux l u i r e n t cbmmpndes ttei^S; 'e t .pn soprire ; chiitractaît'ses lèvres. ‘ . _: ,i

l' Le marquis se lev é ..L q m üétte. èteAdil les b ra s /lu l ordonnant de-paitm . Il jeta:nn: long regard stStAtiriOrs m t i e assiSé'et ee:

— Vous vous en allez? d it la jeune fille.

— Oui, répondit-il ; à demain. .Elle voulait Uaccompapier'eomme d’ha­

bitude ; mais te m uette 1 arrêta , en lui sai­sissant violemment le bras. . - '.

— Qu’as-tu donc, Franéesca? dit Au­rore étonnée; pourquoi me retiens-tu ?

La muette fit entendre 'un grogn’ement e t chercha à entraîner te jeuine fille 'yèr s là maison. ' , , i ;Vj , — Laisse^moi, laisse-mol ! . s’épria Aur ,rore. ■ . ■ . -i .I E t par un mouvement brusque elle se dépigea de. l’étreinte de 1a m uette, o-

Le marquis était arrivé à la porte-, qui jse trouvait ouverte. A peine en‘eut-il frâii- (Ai le seuil, qu’iine inaln pUîssaUtè tOmba sur son épSulè e t fi sé sentit êetré cômine idans un 'élau. '

X X IXLA POETE DU JABDIN

Le-marquis laissa échapper un cri ■ de surprise e t de teSreur. ’ ‘

■ e:- Silence I- d it une voiy sourde à son oreille. .i De grosses çouttés de sueur perlèrent su r lé front du jeune hommé.! ' — Je te défett(is de pousser un second crij.reprit la vœx, ou sinon.-.. - .

• Le marquis sentit-le'caUon d ’-un revolver sUr sa poitrine;' Mtûs-itejàâl •était revenu die sa surprise e t Bod ém iii'avait disparà, ' eâé'daüs rhom m è (ju! IV mensiçait il venàit .;dd rééonumtre le.péi^ d ’A u rp ro ,. ........ ' 'I j —i y o u sm e y p u l p z ; ^ je,;

■ r-ù! Ôq n’àssàssine pas un lâehe, dii.-lei,:; , .vieillard, on lui écntse-la téte comme 'àmn

, -L--y<un me ]>iB4ez>durementi monsieur, '''^ ^ q n a le jeune ^ m » « 4 8 è l k ^ < a k n

dignité ; mais ce que je rie pardonnerais jiasàunau tre ,je l’accepte'dû pèrë dem ade- , môiselle Aurore.

— Ah! vous me connaissez?— Je ne vous eonpais pas, monsieur, jè

sais seulement que vous êtes ici le maître.| Mais vous n'avez pas besoin de me tenir ainsi ; je ne songe pas à prendre la fuite.' J e tie n sà v o u s prouver qUè j e suis'paS un lâche ; si vous -voulez rii’in te rrô ^ é ; je'êriis^ prêt à vous répondre.

Le bras du vieillard ;tombà à son côté,, et il reprit: avec moins d’em portem ent: .• J

I — Imurquoi vous êtesrvous in m odu it. da'ns cette 'propriété? ! , :» -j' — La curiosité mja conduit içi te pre,-, mière fois, un autre sentiment: m’y, a •ramené, ; . | ■.1 — Un homme; U n inconnu qui sort fur- ' tivem ent d’une m aison,' la nu it, p eu t . être considéré cÔmmeUn-yoléur; 1

On un am oureui, répliqua le jeune homirie. , ■ [,

—; 'Àh.l le. misérable, ii ravpue! .exclama ' le 'père d'-Aurore, pfis dî-un nouvel accès de ; fureur.-. , - n :,‘i . -- - ' _ .

. . Je ne crois pas avoir commis uncrime, d it Adrien. ! '

-•- •S’introduire dans une maison près - d 'une jeune fille innocen te, sans défense,!011 l’absence de son p'ère, avec rin léntion . dë.la,‘séduire, èst unaçte'.infâme. C’èst'un ,

,criniel èhtendez^'vous.,ùn(;rinre,l . . ;:i VjMiSt ’me - prêtez des intenticms- q u i: . ',ne sont p as lejs: nuénnesvrépimdifcvisemmit ;le-jeime'nomme.’Séduite votrefille,m oif.'..| :;lAhl vous :ne te pensez pas; moUSieurf ■: L _ -a yiite àvS& eotointe-’cettef iritàriûo,!:- :V(ru'ste'‘pàÿô'«èriJé^’ zé=*mf,

•vêrBé:;.!'- ie»s#Bie:lin‘fc:8Sîrt'aàl4i; -ifi-ial iSÉmWèteJflfÿ'isdç oid£-qso<;V^.iu

— De toute mon âme. .— Eh bien, je ne te veux pas, ] • tBM

défends de J’aimer.Le jeune homme secoua la tête. >— On ne défend pas à un fieuye de.pprâ

duire ses eaux à: la mèn, lépoimtesl-IW lement..

Mais quel démon yousa. dçmc gdans ma demeure jusqu’à ce jonr-st traa-j quille? reprit le -vieillard d’one.’Vmxj&é-j QBssante.- Voyons, quel intérêt g4iea-v»ù à troubler 1a paix-de cet asile, . défa mon bonheur et celm dojmpii enfailtJ ,

Je n’ai touché ni; .à vptee. hosteenr i k .celttidamadem.oteriÿé.Azûere.

- TT Adi.I vous croyea. cete,Tÿ-j—je,ne vois paSi-djaillears 'aurais pu détruire lelmnheur cs pu .

fille pour-laquelle j e dônnerais..inà i ,:-T, Vijus ne cmnpreùrer pas,; vons n

pouvez.pàs comprendre, ditle vieiDud.Après un court silence, il yepitt r -—'*

ment':-.’.;i . - 7 E(soutez-moi, j’ignore, qm t o u s ' /

je ne.„ ; v tI — Je ne cache pas irion nqi^ inteiTràte pit viveriient le'jeune hbinme.' - " j

Je ne vous le dem^de point, je oq veux pas vous connàitfe.'Mais sotCvene v.pus dàmes paroles ; je -irbue ' dtféDde c revoir ma fille. Je ne sais'pas âi'c^d'qiiell impression vous avez produite sur ~ cœur; mais il faut, vouem’entepèfi il. faut, je veux qu’elle vous oublie ; doit pins jamais entendit p t ^ r ; dé - C'toÿez-mpi, éloigne>-vqu8 yité.cte feej car si jamais je , vdus TOnboil|ziB r aii^Hr dè :^ 'm u v<iii»tùf»r‘

S !Uf . ;

; î s L«tSîîSBil

■ i

Page 2: bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_04_21_M… ·  · 2014-02-17,'v^»pt'1V'W'i^^nVr'«?; ... I un lieu an Havre, an mois de mai pro- litais. Organisé sons les

s-r-

■5*3Étim*iiî*5si2i^^£SS*

k m v a tT M

f e '

I 'I-.:*

L*-ii S(mie I

n M tab lte a réâ ' a r t e l t r ' onia n a l

___________Is g a n a . Areé toa»las n iM gaaanti paniU ts, la gjairt’môra tat a iitéade eatla fatals n o s T ^ . KUa na ra t «M rs tas y a u g a ra i r t l f l r t la M t u : san p ^ f l J était taira dim udia aoctrai an paraUtion da tiaat-gaatra Aanrst, passer la jaarnéa aopiés d’alla. La r t n Bj a g t o a t J é w ^ la d e n t o j r ^ {ràdadaeatta prarra fsama gui adorait san |w6t-fl,ls, an exeilant snjat t ’ih e n fdt nn. ^ ^ n m s , an passant, gas eatta Tietia» dn déTonsmaat n'en étaitpas é san prenier aM de bràtonre. b ^ a a v , iaana raedra; ptrisgoU n’ata it gna f f ans, V harft» M« «n neni da sa lie , I s a jé:er a i’J * y « r iia w ’geaii:- é a te ts IniOT* dents gui saaajaiant.

L’aideirae, aida-msjw, g u la pans anitasdneoi denxeantiinèi La eetv a été

nar te^raédacin rgna l’an serait ié jé ,

' ' . s n e â i lA r a x

erté arec nna TwlaiteaM perte arec nna txuaBca iaasia et a occasrainé une plaie da trois esntimétras entiron de largeur.

L’atùaéUn', SHSet (Frraçois-Joseph- F ^ i est né à. Attlt (Somine}, lé * a ^ tafl^a t,^ sanfurîar de son état; fl a été a â w m B l é t dtapaanx atee ta datsa la4 e S « iia i i» « 0 I . ■ . ,

Lm nasaig&monts fom us lOr im kont d rtM târt* : H' àtilV déjà, i«rs!t2ü, a ^ eaam arant éon jneoiporation an S* bns- saiS^ é ^ S é s ëaidiUnhàtiaas. Hast méma sifrtMiimt ét' re p é ti^ lé goH n’ait pas, dans ces conditions, été dirigé th r nh' da n ® P » M w d'AMgua, o4 sMt w S lés l a ^ ^ ^ a f s ‘ garnm ènu et les « fartes tét8l^^,'’<fiâ ont an 'd^a des déraélés ataê

;G av ie tix d é ta U s in é d i t s ,T.'imtreetfnn da celte afléiia eriminellé

apâm iant teetasirantet A l’aatorité mili- lure';^ ié èniiéoars toàjonrs dérané ' dn eoranàidra-depolica n est-demandé goa s’tPndhft'iîééMsaira 'd'éffaetnâr ans en-aoilBifÉne nd mUiaii éehapra^^ & B fla ^ ‘&ardlé d o i t . Samt-Ktymond a d o tt M dèeonstàter timplément la «im e g i ^ etéèratliïi 'dtais la nuit de dimaneha a i ^ ébhlte-etttesda. d'édairar i e ea-

ÏtM t^ ^ f rn e tm r , si éaliiKei an manifeste

^ ê i a d i t ÿ é la procédiira militaire n’arieft décdrààtin aiac celle de nos t i - hum hs ciéils.’ ActnéOmnent, lliistrnetion ; d’ana -iK ire criœ ndle n’a de secret para p s^ln irat les Janmanx doaaent an pn- bHé iei'dSdils les plas dreonstaneiés ton- chdltrPaiéBêie elta même et les inierro- gi^diéK L’d^w ité railitatra agit d'ane f a r t a n t antréi^Le motisine le pins com- pret^ad- de iignear, c’est l’nsaga. Ifons nS6erl6iiîniMié>U lés d e r t ; ils obéiuent à la consigne. casM'tté, tont sapasse & buis elo$; il en sera ainsi aussi longtemps qoe le cons«l>de^gnmrB,en temps de paix, n’ania pas été oa supprimé on modifié.

Nons arons dû à la dernière heure, dans ces condfiisns, pour satisfaire la légithne cnriosi^da nos' lectenrS, nous iivrér Anna enguéâ ^ ^ n n e l lé spii a été longue ét labériènse, m au gniitons permet de don- nér deS détails aussi compIeU; aussi exat^ gnç si nens les tenions de l’autorité mili­taire elle mémé.L ie m o n t e u r d e « b s d a n ç o i r e e »,

Sifflet sé dit sehmrier; en réalité, il est manténr de balraçoires dans tes fêtes fo­raines. Il a subi à Abberilie deux eondam- natisns pour coups et riolences. Il a été incorporé au 2* régiment de hussards en vertu d'une tolérance accordée par le chef de corps à tout homme susceptible de s’urander. C’est le cas de l’assassin gui, malgré ton caractère violent, n’avait p u encouru de punitions grasei. Toutefois, il y a n n mois, il avait été pani pour injures aunadjhdant.

Le dimanche soii^ gielgnes heures avant lé eritaê, il n’était pas ivre, mais il avait bu fflusgue de eontpme^Bans un café où il fit une partie dé billard. Sifflet s’em­porta contre le patron qui refusait de lui servir un champoreau. On sait également gu’avant de pâiétrer dans cet établissè- mént il avait fait aiguiser le couteau dont il devait se servir pour tuer le malheureux Lagneau. Y en cDx heures il était déjà dans un état de snrexitation extrême. Eu guit- tant la salle de billard, il annonça raec un grand sang-lfroidgne le lendemain il se ré­veillerait en prison, ton intentioa étant, dé fàii» € tr a affaire 4 guelgn’un >.

Etcôiame,en passant devant le e o ^ de g à ^ , Fasséssin se fit attker des observa- tions au sujet de sa tenue par le brigadier de service, il lui répondit : < Vous êtes bri- « gadiar n t je vous dois ie respect, mais si< cè n’était pas vos gfflons, vous ne sorti-< riez pas vivant d’ici 1 >

Sifflet. n’a manifesté au u u repratir apié's te crime m a si profendément indi­gné tout le régiment, gu’il a plongé dans une émotion indicible. Dans un cynisme révoltafiL H est allé jnsgu’é déclarer gu’il Inrréstàit'ëncoré trois personnes à c sup­primer >, & savoir : un adjudant, un bri- gadièr é t'ttn cavalier. < Us ne perdront rien pbmr attendre, s'est-U écrié a diffé­rentes repiises; quand je sortirai du bagne, ne éerait-ce que dans Vingt-cing ans, fi n 'y c conporont pas >.

Chose enrieme, l’arme avec laguelle il T lé crime est un vulgaire couteau

de' 0,iS centratés, et, de favis dn médetin, le coup a été porté avec une adresse ex­trême. La péfite tatme gui a perforé le cœur a j ^ é i r é dé haut en bas, en biais, avec une telle violence gne le dolman de la victime a été transpercé comme nue simple flanellm

m er, en trévosant le gnartier pour aller subir un interrogatoire. Sifflet, en passant aùihilisu desOs camirades si pro­fondément .et si légitimement indignés, leé-a tmsés d’nh air provocateur, en les narguant.

Far mesure de précaution, et selon l’usage, ou lui a retiré sa cravate, mais seu i^ tu d e n e fait pas craindre un sui­cide.

C knafro iB tatio it é m o n o a i i t e .Iié'grahd!mére de la victime est arrivée

é Sédiu avant-bier, accompagné du tuteur a u T re femme a tenu, snr-

', é voir une dernière______ __ i cher enfant La con-

frântation a été très émouvante. 's Cggaglaxrmus, pauvre femme 1 lui a

« dfi un capïtàine, votre fils s’est sacrifié < pour la d^fsBse d’un de ses cbeb ; U est f nertniéntrel >

ans sous mmso, usnceilaeiM ipourconi ilavietiBW. Ifiersetféli

dispofflbles drs deux escadrons sont l i , autour de ce cetcaeil gui disparaît sons de siuMCbes couronnes.

IL rabbéJbârd; auménier de rtOpital, fait la levée du corps, au milieu d’un recueillement général, d’un silenea glacial seulement entrecoupé par les sanglots de enz-guLne anntm aitriserleurdoaleur.. On ;dit ensaita-les vêpres des morts, puis enînife h’aléouU est donnée, et Isntement.... au momt-nt ofi ces lignes panitront, le cortège funèbre sa dirvera vêts la gare où le corps prend, par le. train fié gaatte heures, ht dirsctioh do Béaiuvais Tu de U à Notr*:l>raae-du-Thil.' Lés fénnàlités du airaientnécessité un temps relativement long, un ctpitaine, dont cens taisons le nom pour

Amisser 's r meimtie, a pris » se. ■ ‘ ^ ‘ ■ gue l’sÉto-

sn raison des le ce dbamé

gne noUS"ventrds de conter en détail, a ' vi­vement impressionné la garnison et la po­pulation. Que les nombreux témoignsgas de sympathie gne la famille de la victime

•repoit de tons.cétèt, lo i apportent dans la mesure du piMiUle, la coùojbitioB, dent elle a na al gratdfiesoih-en nette terrlb’fi épreuve,^ . L. B. .

La Fédération Républicahe*■' , A IVOTOilî

Dans une magntfguoaallé» éonétruite pour la circgostaâpe. pra-^ÿ. Naneel- Lemaire, M. lé CodraieTBougon, ancien député de l’Oise, a présidé, diiuanehe, à deux heures, la douhle «iuiféraneé. d<». M. A udi|ter et de Id. Piuehe, député de Pari*, organisée sona lea au ^ iseude la Fédtottion R^ublioaine. fin présen­tant'les orateurs H . Bougon a été lon- guément applaudi.

Ÿoiei le discours prononcé pmr le député, de lé première circonscription de Senlis, te l gu’il a été sténographié par notre sympathigue confrère du Progrès do rO iso,M . M erm et..

Discours de Hi Georges Audigier, députe de roise.

Messieurs, 'Si je suis venu aujourd’hui prendre place

ici aux éétés de mon ancien collègue, le colonel BougcAi, et de mon cher coilè^e, M. Preche, c’est que j’esUme, -plus eue jamais, nécessaire.l’union étroite des., coeurs, des esprits et des courages ; il est grand temps, pour les progressistes libé­raux, d’étre aussi hardis que leurs adver­saires et d’ètre plus'résolus qa’eüx encore è remplir leut s devoirs et à défendre leurs dro.-ts (applaudisseménii).

je n’ai pas le mérite, 1 éloquence etTau • torité de mes deux amis, mais j’ai, comme eux et la grande majorité de mies atudi- teurs, j’e n . suisnùr, m vMonié bien arrè- tée de ne pas confondre et de ne.pas laisser confondre autour de moi, tant que.j’àurai le. grand honneur d’étre représsntant du peuple, la doctnne républicaine avec le d o ^ e jacobin (applaaâisseménUj, la dé­mocratie qm travaille pour posséder avec la démagtwe qui pérore pour ne pas tra­vailler, la loi civilisatrice qui aspire à tou­jours être un instrument de concorde entre les citoyens avec la loi barbare qui tend sans ceise à exciter les uns contre les autres les enfants d’uu même pays et Aies diviser (vifs applaudissemenisj.

léCm P a c i f ie t e te s . ht le s Pacifistes c a r les Pacificistes

m odernes louent beaucoup, vantent énor­m ém ent la fratern ité um verseile : leu rs coeurs e t leu rs b ras sont si larges qu’ils em brassent tous le s peuples à la fois, m êm e le peuple A llem and I (applaudisse­ments). H ier, ils se déclaraient p rê ts à signer la paix du monde, au m om ent m êm e où le . T ransvaal m ourait glorieusem ent pour son indépendance, e t c’est à p -iue aujourd’hui si les événem ents formidables d’Ë xtrém e O rient les font réfléchir,’ les font r e n o n c e ra leu rs propositions in se n - eéss de désarm em ent a lo rs que tan t de dépenses d’a g e n t e t de sang m enacent la nation alliée e t l’a rm ée eoéur (longs ap­plaudissements). ‘

Et ces Pacitlcistes in transigeants, pour m ieux déclarer la g u e rre à la g iierre , pour détourner de nos Irontières si surveillées p a r 1 é tranger, en dépit de toutes l'es e o -

'te n te s e t de tous le s accords, l’attention des citoyens e t la vigilance de leu rs élus, commencent, p a r détslarer la g u erre à la paix in térienre du pays : a v e u ^ e s , so u r is , ils y fom entént la g u e rre relig ieuse, la plus honteosé de toutes le sg u e rre s (applau • dàssements). Ifs n e veulent pas voir, tan t leu r horizon est ridiculem ent borné, que tandis qUon s e bat contre les cornettes des soeurs de c tu r ité e t qu’on ne veut adm ettre com m e républicains orthodoxes, e t non hérétiques que {és ainticàtholiques les plus moinophages, passez-m oi l’expres­sion, ils ne veulent pas voir qua derrière le voile de plus en plus g rossie r, de plus en plus troué du spectre ciérical, que der-' r iè re la m isère de la p lus m échante e t de la plus enfantine des politiques, le parti révolutionnaire atteutir, habile, guettant l’h eu re , — tout p rê t A s e ^ r t e r créancierà la faillite imminente arti radical.depuis si longtemps escomptée par lui, prépare tranquillement la lutte omeuse des classes, c’est-à-dire la guerre civile (ap- plaudiSsemenis).

M . C o ra b e * c o n t r e l ’o p in io n p n b l i q n e .

La grande presse républicaine honnête, inteUigente, voit admirablement le dan­ger : elle fait entendre les avertissements les. plus sévères à l’orateur belliqueux qu’est M. la Président du Conseil, parlant toajours fort heureusement au nom de la majorité et jamais au nom de la France et de la République (applaudissements).1/1. le Président du Conseil n’en a cuTe, et l’opi­nion publique, pour lui, semble né comp­ter que lorsqu e! e trouve son écho dans la Lanterne, l'Aurore ou l’Acfton. M. Combes a oublié le Conseil de Gambette : < On gouverne avec son parti, mais baf ottverne pour tous le* citoyens. » (Applau-

issemenis). M. Combes ne gouverne que pour ses amis qu'il croit seuls contri­buables : ce n’est pas un mystère, il laisse le plus souvent gouverner a va place leurs rancunes, leurs petitesses et leurs colères.

Ce sont précisément les éloges du jour- .nal VAction qui doivent nous inquiétw ter­riblement et nous prouver jusqu’à la der­nière évidence que le ministère ne défendSas et qu’il compromet chaque jour davan-

ige la République (applattaissemenis). Ecoutez ces éloges: iis sont udrinsés à M. jCombes .au sajet de. son dernier .dis­cours à Laoh, 'Cu, hârghèux, é it i^ ë a n t ' sans.donte con te ses propres ISittés, dé- inottiçtpt|n«giFA seéania. A i.lé PiréSident d u Gedu^'àlafo • vraiment à nu sa inédio- .erilé sulnsante d’insuffinait’hoihiM d’Stat ot d’jnefÿaMo A e f ^ f l o n e n im n t i

violence

« C’est an chant de VInt«nm$iiMale, c’est ' ’ ‘ " "i e a l o ^ l ^ e '

oemoméiit [erre et dsi

lunfhui lé, gui e paru nul

chant ni pa lé avec

. ___. _______ Jrede luL ______a tué ses déclarations antérieures en ce c gui ra f te rn e ;Triljtanra»raB le soeigi « lisme:'» ’ jis^:

Le lûeeil S^tsMtiiiiYéSU&tè aussi>4f. Combes et M. Vallé d’avoir entendu sans aonreiller riniem atiom le, * hymra fie demSin.v.

Je crois agir en bon républicain et en bon Français en n’admettant pas pour le gouvernement de la Républiÿie etde.la France ces éloges étranges (appiaOÜ^- ments). J’enière même que dans le fmtd de son cœur IL Çpmhçs les regBatie-smotoS- ment: m sir jionr^oi ' alb'rs' ë s ^ 'A là dévotion des tyrans du Bloc, mend-fl à son compte, av«K-eetie-< b r ^ -

socialiste-radicMe, évidemment simple comme un coup de grosse pierre, mais ansM,pauvre d’ei^piments

saÉfàge: « Jeltépi, snssèe p Iu A ^ , penaaé coi vrasiassjHUfiSI » (apfdèitdf

' - tâi'.G oiaéiiés eA:l<Bsnxnn lc^ iâdein

Ayant le souci du bon fonctionnement dù » « ^ to e réfnaBarattpuymt'lé ’pespeet^ sincère des foanchiaes départementales et communales, je n’oqblie pas que j’ai der msûidé, èà vain d’MlISifrSl a inteimller, le 29 àvîfi 1903: M. le PfiéSfdènt du Conselii ministre de llnlérîeur, snr'Iés v o sà poli­tiques émis par lés Conseils généraux, -cohteirementà la loi. ’ .

Plus que gamais, je inms nwaonneUe- ment qu'il fàut sé p m r l'aibniifistration de la pChtiqùé piirej que c 'ert’'Ie meilleur moyen de donner à la vie Ibcaléc de l’éclat,. d e là féipottdité etde l’indépeâdanee i, alun quéiéV(MlaitGanffletta(dppb«ifiiiie»teiEii). -

Jejléésiàté' à pénaar que -ÿïi ëiAîlÉige- reux iTaborder au Consett -génâài. ces questidns, même de ië foÇôniaUùsmdi- reéieV ' U est extrémêmèni ÿélifiietâi,j>Iû*SérffléùA ènèCrstdelesi'pôriw’a s i te t ie

onseil municipal, contrairemenf'd'àitleurf à l’article 72 de la loi du S avril 188L ainsi conçu: -* Il est interdit à-tout-Gmiseil municipal, .-soit de- publier des proclania- :tions etfidresseï^ soitd’ém ettedê» voêux politiques. »

Mais qui donc provoque-par avance ces proclamations et ces edrsssesf Qui donc a dit que .les prochaines élections niuiiici- pales auraient avant ' tout, un caractère politique t Qui donc est-venu afiSimeri que ne seraient considérées cmdmè ndmiici- psUtésrépublicaines que lesmunicipàlités ministérielles, entendez bleeariie*..et cem- bistesf Qui donc a traité'de v5 idéricaux » tous ceux n’ayant pas le mémeidéai degouvernement que M. le Président du

onèeil, si d e irest^iM.'^fo’E^iâHdéaTlUr- méme t Son insolcmA discours de Laon, n’est qufun défi lancé à lamoitté, si ce n’est aux trois quarts des citoyens français (applaudissement^, il se. léaume aiasi : Hors les . quatre groupas de gauelm' qui

Aiidré

Autrefois, on demandait .pour en tenir

tiens monicipalesr c’râtisans doute pour montrer te cas qutil fait daPailemenL des corps municipaux et des élus du suffrage universel que M. le président du Conseil est venu dans un dépahements ôu pas un de sèS quatre sénateurs h’a voululiaeeom- pagner.oùdeuxds ses défnfiés sur huit Ont conaentLà l’escorter,^ et a choisi .dans ce., département, pour y p.arler, pue ville dont vingt-deàx. ieonseillers mnniéipàux répu­blicains su r-v ln g t^ p t et dont té -meire républicain s’abiteuâirât avec. autant..de. céime que de d^uHé'-de-'fo-'reravoirt (applaudissements). Il est vrai quë té prâiident d e ja Fédération des comités radicaux et socialistes remplaçait, sans mandat, àimrès du ministre de riDtériemr le chef de la municipalité laonnoise, mon distingué collègue et ami, M. Ermant. (applaudissements').

l i e s l i b e F t é s c o m m u n a le s »Grisé sm s doute par l’encens de ses

caudataires qui vont jusqu’à prétendre que la République n’existe en France que depuis son avènement au pouvoir (rires), M. Comb.es né se’ rappeue vraisembla­blement plus l’histoire de son pays. -

G* n’est pas à Noyon, r- pas plus qu’à Laon, Cambrai, et Soiasbns, pas plus qu'à Beauvais, Compiègne et-Senlis, — cen’est; pas à Noyon, qui a offert au pays dès le xi* siècle un des plus beaux exemples de constitution communale, qu'il faudrait apprendre aux citayens l’hiatoire I (longs applaudissements).

Souvenons-nous, Messieurs, avec fierté, que la liberté est née en France lorsque suivant les exemples de ces villes ont vit les opprimés lever la tète et pousser ce cri de révolte contre le joiig’ du seigneur:* Faisons commune 1 » (applaudissements).

Certaines villes eurent feliement le senti­ment de leur indépendance qu’elles for­maient, comme votre illustre cité, des répnbUques vèriisblaq.et que la.Révotutien de 1769 n'eut qu’à rhiSpiier delenn chartas pour accorder également à toutes les com­munes de France, A chaque ville, à chaque bourg, à chaque-vfili^, si modeste qu’U fût, une miuniwÿaiBté' ÜMmmée par ses habitants (appléiWèéptt&nti),

Mais le g o u v é tm i^ t jacobin, comme le gonvernemMit -cenaulame et impteial, ne voit dans les communes que des snjets du.ponv<»r central.ét M. Combes s’enor­gueillit sans doùté~d’ab8orber tous leurs ' droits (applaudissements).

'Vous, connaissez les mesures anti-libé­rales qu’il a prisas où fait prendre, mais il est bon d’en rappeler quelques-unes.

La fonction-principale des mandataires du peuple n’est plus de consentir fimpôt au nom du peuple. M. Combes a chtngé cela, et contrairement à la grande loi ré - pubUcaine de 1884, il a fait voter une nou­velle loi. flO juillet 1903) qui permet au gouvernement et aux préfets, en tant qu’agents du gouvernement,'de créer l’im­pôt, d’imposer d’office les ' communes comme si les questions scolaires ne re­gardaient plus les magistrats mnnicipaux, les pères de famille e lles contribuables!

.oraque, donnant un avis qu’on leur avait demandé, en vertu même des pres­criptions de la loi sur les Aissociations, les trois quarts des Conseils municipaux, la quasi unanimité des Conseils ruraux se sont déclarés favorablesnux ààtorisatibns à accorder aux Congrégations de femmes, M. le président du Conseil a dédaréfiue ces avis n’avaient pas d’importance': il n’en a tenu aucun compte (applaudisse­ments).

Jadis, un décret libéral de 1875 permet­tait aux müniélpalités'et aux corps de sa-, peuri^ompiers de s’entendra pour le dioix des i-faciers. M. CombeS n’a plus voulu de cela et im nouveau décret permet aux pré­fets de nommer, au besoin, capitaines, lieutenants et sous-lieutenants de sapeurs- pompiers les blocards les moins qualifiés et les plus déplaisants pour les maires ih ’ dépendants, les plus c apables d’aller, non au feu, mais à la bataille électorals (vifi applaudissemenis)..HL. la Préfet nomme, et la commune paie (rires et applaudièsei' ments). M. le Prefet .espère probabléménl

:qùe le temps reviendra où il nonunerà .aussi les maires,comme souSl’Empire etoù également il (moisira'à sonate Is's cfr- . pitâines d’érdiers, les présidents des So- ciétésde Vétérans; des Sociétés de ssemra'' mutuels et-mettra à la té'e d i toatM-leS'- Sodétés locàlcà fieii^agmto wiuétériéUi

ioi-rÿi-______ pà*’ -e y tiê a t (applaudissements).Jamais ranffi ~i;:la?vaâltant joaenal le

Jrogrisdo i'C w sleiàtatt reutiguerfiar- ^AiièrenMt -janud* a i / j à eu «utantfie

sunensions et de révocations de magis- te w mmiicipaux que depuis-trois ans . {apjdaudüsementd).

En comprenant ainsi l’indépendance des xminiciÿabtéa_à'i’égard..des rauvoirs pu-r. blicSiJesiisinistres et les préfets tournent le sens etdàusssnt l’esprit des belles et si libéèaleslifisdé 1871, de 1 ^ et de 1890 (applaudis^nents)..C’e tilseo quifamuiète fort iA 'iéjaM nttarts du pays que nravëu-

’SIént pas-les passions politiques et qui .vsftleifi^déèsndrâàvanttout la souveraineté du p e u p lé ^ leBgouveriiBnts,.queis gulis - ééjera'dwItémM

Mais ne nous laissons pas décourager, Messiaursl II n’est au pouvoir dé per- spiyM de chang.er tout v im e race, la tradition et;Fàme d’une pa- Irié:,' Fesprit général d’une nation e t la cléné d’une langue française (applaudisse­ments) J'ose espterquelstempsestprache où n ’auront pma àncune espèce d’impor- tàidce toutes ses phrases créuses, tous ces lieux communs qui naviguent si mal dans

:Js»<faa»ang«esiderM,.Belietan>-qjti-chsw-! - rent si bleu dans les palabres de M. André et qui menacent le ciel dans les diatribes deM.jCombesiepèra -<iii^iidrâ8einenf8 et rires), H ne suffit pas de jurer, de pester, de tempester, de blasphémer et d’exccSn- mnnier pour gouverner et pour empêcher le s citoyens de ae gouverner eux-mémest... (applaudissemenü)., Ayez la prétention de foire Vos affairés vlbus-mémes, ainsi que vônsls'disait mieux que moi tout à l’beure le colonel Bougon et défendez le princgie de la souveraineté populaire contre lès abus du gouvernement.

L a D é c e n tira d iM itto n .Comprenantqueles libertés communales

sont le» Sources de toutes les autres liber­tés, les modérés se sont toujours honorès de les défendre, et ils s’honorent encore : en les défoudant au moment où les partis ; > extrêmes veulent sans cesse établir-le tout.à i'fffaf,.souhaitent de tout réglemen­ter, de tout enrégimenter, si fàrouches antimilitarisies qulls se prétendent (ap-

11 serait injuste de ne pas rappeler que c’est -à 'M:-Ribot (applaudissements), eu chef.éminent-de l’opposition républicaine, que : ravient le mente d'avoir.: npinmé, quand iT ètàit au gouvernement, 'là’'pre- rnière commission extra parlemantaire de décentralisation, en vue non pas de res- treindrejminsique lé fâitM. Combes, mais d’élargir de plus en plus, au profil des ci­toyens, des assemblées communales et municipales, les lois dont je parlais toiit'à l’héime. (apptaiidigaemenls).

il y aurait beaucoup à dire là-dessus, mais je ne veux pas abuser de vos instants. Vous savez aussi bien que moi que si nous voulons, selon le nïbt de M. Psul Des- chanel, fSire de la France « une démocratie et non-une bureaucratie > (applaudisse­ments), nous ferions mieux de donner la personnalité ci-vile au canton, de déman­der, sous certaines>condltions, le référen­dum communal, de développer, dans chaque commune les institutions locales, d’y orga- niam* la mutualité, d’y encourager Tesprit d’imtiative et- d’entrepiise,. d'y stimuler l’activité civique que d ^ laisser croire qu’il ■ suffit de faire partie d’un comité politique, même radicMaociabste, et d’ètre apte à signer, sans les lire, des paperasseries sans cesse muttipliévs, pour être un bon.admisiairniour \^applaiuiïééejnent8)e' Mon I cela ne suffit pomt' (appUMdissements),

C o n c lu s io n ,Quelques mots encore. Messieurs, et j’ai

fini;.Non seidement la République est indis-

cutéèj mais elle est indiscutable encore en France, tant qiFelle.refusera de se con­fondre avec les personnes, tant qu’elle proclamera avec fermeté, avec loyauté, avec générèsité, qu’elle n’est pas autre chose que la liberté également,, fraternel­lement organisée pour tous et . non contra quelques uns,- quels qu’ils soient (longs applaudissements). La bberté né veut êtré aimée contre personne, on l’a dit bien sou­vent (applaudissements).

C’est vrmment’ comprendre d’étrange fSçon la paix sociale que de vouloir sans cesse traiteh de « faux frères » les Français qui sè rallient sincèrement et honnête­ment a^m stitutions libres du pays et qui, c’est bien leur droit, les demandent fé­condes pour eux-mêmes autant que pour les autres (applaudissements).

Si, chez ceriains, l’àdhésion à la Répu­blique n’est qu'un simple calcul électoral,

r fléiriSSez celte adhésion qui n’en est pas une, mais ne doutez pas dé'lout le monde, ne soupçonnez pas tout le monde, comme M. le Président du Conseil dans le dis- couradont je parlais en commençant. Les hommes pervers existent dans tous tes partis, et ce « brave homme » dont un journal radical socialiste du département faisait le dithyrambiqus éloge cette se­maine, M. Combes, n’est-il pas quelque peu pervers quanil il appelle seS 'amis, suspects de tiédeur envers sa folie antire­ligieuse, dés « trattres », des < perfides », des « transfuges » et des intrigants > f Les Allusions sont si transparentra que beau­coup d’entre eux peuvent en prendre pour leur grade, comme on dit vulgairament (rires), depuis M. Doumer, M. Lockroy, M. Leygues, M.,Caillaux et M. Baudin, juaquà.— qui l’aùt cruf — M. Millerand, devenu le plus « perfide » de tous (applau­dissements).

M. le Président du Conseil ne s’aperçoit pas qu’il outrage singulièrement l’indépen­dance des députés. Ceux-ci, en sômms, sont ses juges et non ses courtisans (applaùdissements répétés). Nommés pour contrôler les actes du gouvernement, ils ont, pour lapluparti laprétention d’é t e les serviteurs du pays et non las vMéts d’un parti (applaudissements), ce parti fût-il— radical- socialiste autant que socialisde- radical-T .celui qui renie l’oeuvre de la Révolution en chargeant de chaînes la liberté dé conscience et.'an cendAnmaut à mort la liberté d’enseignément (applaudis, sements), celui qui raproche aux progrès - sisteS de s’allier Avec tous les braves gens: aA rvnî Aanansleanf «k*raranMVAvaA Ira'virvnvAii» raf

____________ Igarleurs de l’idée de patrie, franchement enné- -mis de la propriété individuelle, base de la fsmilleet du foyer (applaudissements), m. le Président du Conseil, à M veilie des élections municipales, est venu affirmer à Laon que les Français se divisaient en deux clans bien distincts : les ministériels et les autiministériels. Soit, que le suffrage universel juge e n te eux I (longs applau­dissements).

Bn-ce qui me concerne, plus antiminis- tériel. que jamais, je refuse avec la der­nière énergie de m’incliner devant un ministère qui change le régime républi­cain en régime impérial oAtard (salve d'applaudissements).

 f f p tà . - - a n x E l e c t e u n : m a iü c ^ p a iijc .

'f iy aérais éhbses intangiblés :1a Patrie, la:LibmrtéAt la ' R^nbHqué féepidùdcBSè- mmtts). - ' : -.< ImvêriffiUvrêaolefinjgoavanimnent du

payspàrilepiraB-efiiéiraiaùtJer’physi-tfest

fB «ttaféM éi

votez en bons patrioles, en fidèles et géné- Bsù étroiinV »i'. 4',.straÿ.mn^ tentai va-

'es. Qu'ils le jfiëéûssion -et la

_jti<® (ôfÿJraKiîsSBtefeL, qu’a* lient ponvent. les habitantard» leurs

nirgann villages, é t afenmiièreat,.- >es, ^ leârs voeux’e t fie leurs

besoius (applaudissements). Qu’ils émet­tent la prétention de causer avec chacun sans avoir sur eux l’œil de la police cen­trale, préfectorale ou maçonnique I (apT plaudiesements):

Etsbiisssz. vos listes le plus largement possible : eh République, u n ^ a pas de daines, il n’y a ni prolétaires ni bourgeois,

. fimly. a que des citoyens (applaudiese- ments). Ouvrez les portes de la mairie à tons les travailleurs (applaudissements), aux. petits coaùne aux grands, .et qu'ils Apprennent à s’occuper des affàirea lo­cales pour mieux s’occuper des affairas doT^eye (applaudissements). .

Défendez vous-mémeS vos propres fran­chises communales contre la centralisation jacobine et contre les maires occultes qui tentent de supplanter vos élus non agrées par le Bloc (applaudissements).

Soyez reconnaissants envers la Répu blique : elle a donné aux magistrats muni­cipaux, choisis par vous, le droit de nommer les che& de chaque commune. Demandez à ces chefs d’être impartiaux, intègres, bienveillants, et s’ils sont tels, s’ils sont juates, rendez-les forts I (vifs applaudissements).- Souhaitez comme moi, que chacun d’eux s’inspire du serment que prêtait encore en 1789 du haut de la tribune publique le maira de Beauvais nouvellement élu et haranguant la commune assemblée:

Je jure.... en ma charge aucun pour intimitlé ne blesserai ni pour amitié ne supporterai

et je me comporterai . comme un bon maire

- et homme de bien est tenu de faire.L e m anifeste du Comité exécutif du parti

radical e t radical-socialiste se term m e ainsi : 'Vive la République sociale I Répon­dons-lui : Vive la Sépublique F nm çaise 1

La salle entière applaudit M. Georges Audigier et lui lait une iongue ovation.

M. Prache prend la parole après M.: Audigier et obtlmitun gnmd succèi en eombàttant avec force la poCtigue géné-

' raie du ministère Combes. Pendant plus d’une heure il tient les électeurs de Noyon sous le charme da.sa parole alerte et franche.

M. le Colonel Bougon remercie les orateurs ; avec un tact auquel ses ad­versaires eùz-mêmes seront obligés de rendre hommage et avec une bonne humeur parfute,' il précise la portée des prochaines élections. Il est acclamé avec enthouiasme.

R e m e r ^ e m e n t s d u c o lo n e l B o u g o n .

Messieurs, dit le colonel Bougon, js manquerais à tous mes devoirs si je n’adressais mes remerciements aux deux orateurs qui vous ont exposé avec tant de cœur la situation politique (applaudisse-

Je dois aussi des remerciements à ceux qui ont écouté avec tant d’attention et de sympathie (applaudissements).

Je remercie surtout ceux qui, tout en ne partageant pas nos opinious, ont écouté avec calme et ont ainsi contribué à main­tenir à notre réumoh le caractère qu’elle devait avoir (vifs applaudissements).

Vous nous engagez ainsi à recommen­cer (applaudissements). Nous pourrons- doiAO Tvrao rémùr-viv nozara’crao ot~WU9 ISItOdes conférences sur des sujets divers. Et soyez tranquilles, nous n’oublierons pas les questions ouvrières (Applaudissements prolongés).

L’ordre du jour suivant a été voté à l’unanimité moins cinq voix :

* Les électeurs noyonnais, réunis au nombre de mille, réprouvent la poli­tique du ministère Combes, inspirée par la firanc-maçonnerie, qui provoque la guerre religieuse, divise les Français, attente à la liberté des pères de frmlile, ruine les finances, discrédite la Répu­blique, compromet la défense nationale ; ils s’engagefiAA frire triompher dans les prechaines élections, avec la cause des libertés communales, celle de l’ordre, de la tolérance et de la liberté dans la RépubUque. >

è'

Au Consèil municipal(Suite)

(L'abondance det matièree, dans noire der­nier numéro, ne nous a pas permit de publier quelques communications et notamment la séance complète du Conseil municipal.)

Àuûtanes. — Une question d’assistance soulevée par M. Fautrat enTaveur d'une fAmille nécessiteuse de la ville est renvoyée au Bureau de bienfaisance.

Avant que la séance soit levée, notre sympathigue-député, H. Audigier, s’est fait l’inte^réle de ses collègues en adres- .sant à hrniim icip^té dent le mandat va expirer des félicitations, bien méritées, peor la bonne gestion des affaires publiques pendant la durée de son mandat ; il remer­cie également le* Secrétaires que le Conseil a désigne aux cours de ses travaux. L’ho­norable député s’est acguitté de cette mis­sion en ces termes.

« La séiBM d’aujourd’hui, dit-U, u t U dar- nièr* rsnaiaa des ssuMil ars monidpanx noinmfs »n 1900, dont las pouvoirs axplreBtla 1” mil. J* sms ce.lsin d’étre imttrpièts de là pfrparidemue.liègaw aalsnrproposantd’ex-Sninsr,'à la muaielpa.it4jartant*, 1 auuraaoe

e njtrei commuas grat tuds poar lu servlsu rsadus à là ville de Swiis par le main et su Sâolnli.

* If. de 'Warn, M. Diiard et ff. Odént me peniMitient -dè' rtmireier E. Torqmt de ta Boisserie ' et H. Brease, qui (Ot si aoaveat acupté lu foset'ou de searétaiie, etd'asSMitf à t’hommaga qii* je Isnrrudsi* dévoué s«eré- tain fil ia milrie M. Cilale, su employés et loiis IsS -toiiBloànalres mauiclpaax >

H. le Maire, èh i melgnes mots, exprime Sà profonde ôAtitnde à tous leS membres dh COhscdl gm l’ont aidé dans l’aecomptis- sement de son mandat; la coUabontion de t u ^ t t i i i^ e i â t s ME. Driard et Odent a été athur précieaie a ia intérêts de la ville qu’à Ittirmême, il l u en remercie bien sucêtmttent,- et ajoute gù’il conservera le SDutMiir d ù exeelteates relations g u ont toijjothrs existé .a tr e les membres du Conseil ce gui a d'aiUenn facilité la tftidie delirMiaiâqpiUilé.

Là sékKce à été tarée à neuf henres trfis gnaris.

'jfiiiti 8Î|i,Bi%iiaa«iat.de Hamsaurds.

TOnanehe; îlesfieux-esdrtnms gu i 4*» ’ gfitiiien A 'B jn tiiâU 'A k 'i^^

' ’-'-^teèiyiuflibnlis^-'léJcniiii

Béün, sn rn g p fii te A Senu,,

A u x Im daçabdels.Buppe’otts à néà leeSran gnU*

se^^raeurer danS;nas hneanx to S ? î tfflchss concernait IMtfi sur les aeSLS dont les ouvriers sont rictimm dsmiïî travail.

Ils y ta r e r o n t anwl l u déjreu rri,. tlfj aux Conditions dn travail dset i étublissements industriels et le îtîri,w d’inscription d u enfants an-de$toa. 5«7Î employés dans les atelien. ’*

. .L e s R a f s ,Une de nos aimabies lectrices «»».

adresse-la communication suivante ;C’u t éos triste ingesuce que eut* na, a,

vastitrietl IMvorsr ponuius et p*Btt InÜ" gtigacter léiuiuis et grains, ronger boiiT?" et eirtott, Cfeaser.^ trou ans» bits 4*» £ mars qu* loni lu pavés, tell* u t l’oe«îSi2 nmqn* de i os pitits «naemis à 1* qoni jîS* Urt*, aux dtnts aigi èi, i l’œ 1 minvtii.

0 ■, nous nous f»sou l’écho du 4oléiu„ de ions lubibitants d'un pttit quarUir élu ville : les masons avolsinaot le bonisTiri f I* COEtrucarpa, aussi ben esllts 4* '* «nS dAum’ut que callu du bcàlevard PutL? sont isfestéu d* ces roigenrs; dont !• 4m ^. comman est le dépêt des imemndieu U ii! sont légion s’angatsntanteheqnejoor.

Le Connu maniûpal, toujours » bienviiliiM ponr su administrés, et auqiiel noni enm ^ [es vœox lu plus vifi ponr sa rééleetlen bien aimable d’orgamser dans m lepibeL malfsitenrs en pûA nue bran* battu chiens et fuiUsl .. .

Une leetriee «sitiiui.

U n p o i v r o t ré o sd c itp a n t. .Si Ducley (Achille), ouvrier maréchi

samedi dernier, n’avait fait gne birin u ■ peu trop, ilanrait été excusable, pept-étia. I et n’àorait pas été gratifié d’n n e c d ^ 'l vention. Malhenraussineafponr lui, d e ^ 11 le commiuariat, il eàuia dn scandai* » invectiva M. le ComiBissaire depélim» les agents dans rexercicé de leurs fon& tiens. Puis, aggravant son cas, il Umb ime vive résistoace anx sgants qui la co*. dnisaieut au violon.

A Tbeiire actuelle, il doit r^ratter ce actes qui ne sont p u de nature à le ftin bénéficier de l’indulgeacé du tribunal. £g général on ne doit pas trop boire, et nu. tout gnand on a le < vin mauvais >, lay peine de s’attifer des désagréments.

C h ie n n e .é g a ré e .H. Angnste Dion, demeurant à Tillemi.

trie, a trouvé, vèndreli dernier, un jeuu chien d’une taille moyenne, tacheté é blanc et mtrron, long râilet grossupitta (type griffin), sans coUier.

M. Dion conserve cet animal à la dln». sition de son propriétaire.

M i

P-oIica e o r r e c tio a n e lle de Sealis, Audimet du 48 avril tiOi.

Présidence de M. F aisant, préâdeit. Ministère publie -: M. Hxurnnsa, snbstitDt.

BouUarre. — Le S mirs derniir, te girli No- g us rarpht ia nommé* Dihm, fsniiBi Bi sa fitlt, B» Eugéaie, et 1* noiami Gniy Ani. Vd», qm cocpiient i l’aide d* ifcimn bi sxtréiaiiéi d u brenihu d’on grand soialmù jennu sapins._ P.mnn:ràiifiiirgiBffl|tioafi’arhrts.Uùnii>> BiT et sa file sont eonaàmseu enacnne iiii jonri d’impriioaaemeBt, quant i Guy D last quitte avec 25 franes'd’amend*.

Cramoitg. — Le lundi S 9 fivtier, le ûm Schiettecatte (R.charé). eontremtlTe de l’tdn ParviUée, sortait vers 9 heures du soir da Uk Ldèvre, IcKqa’en arrivint sur la pleoi il s vit asiailli par. le zoxml Dapont (ggtite),!» de :3 ans, mtçin i Cires-lesrMello, qdli frappa d’aberd à coups depeing, pois le i» versa d terre. Dupoat prétend qu'il a sgijw plaisanterie vt qu’il n’avait ancoae raiiufe vouloir à SchieiMcitt*.

Il est oondanme à 16 frases d’amende iw application d* la loi de sursis.

Creil.'— Dspu's quelqu temps lu ^ Tenssens, demeurant à Creil, nie des Usis, o-instataient qie le nombre de leurs volails diminnait. lis ne savaient qd sonpçoais, lor que le 24 Avrier, dans l’apiès mi», il 1) Yonssens ape'çit iasr voisin», la bam Etienne, né* Tovet, igé* de 45 ans, s’iaqi- rant d’un canard que son ehien venait d’un-p0Te

Malgré ses protestatieni, la fimsH Kum est cendaouié* 1 huit jours d’emprisouiMl et obtient le bénéle* de la loi Birengff.

— Le 14 mars, le* tienrs Mathen et Fdd avtient im* diieussioa assu animée, haïqe vint i passer 1* nommé OucHsdl (Qutlejr âgé de 19 ans. Ma'hsn Ayant reprassénra violemment I ld tt sans tontfiiitis le fnff*r Dieenseil s’avaiçi ver* Hathon et lai potum violent eonpdspoiEg'enpMnefignr*.

Daconsail s’entend eondamrar à qauafi. htdt heure* d’empriioanemtnt..

— Poursuivi ponr I vrene en récidivi eo^ tioinaile, le nomné Hyckaict Jsan-Rmmt âgé de 28 ans, e t condamné par demi - qeioie jours d’empritoanement et â a* d’ammide.

— Geffoy Joies-Joseph, âgé delSanà Morti>r Alphons* C.ajtgw, â** de 37 api, ^ vainMs d'êira léssntenrs d’id vol é* v<W et de lapins, commis dau la soîésjsj^ février dernl<r au p éjudie* du siaarlniEM sont coidamnés ehioun â cinq mitis s v prisonnenunu

— Four violences exereées snr tes Charles Oeruelle et Léon Horet, m aii»^ pasuge â CreU, le 12 mars, les nonuMi^ : ronbla CharlemrgM, âgé de 87 ans, eiUl®2 À fred, âgé de sO ans, seaiihandriets, diwv rant é Viusnenverla-fierenne, sont eoaésm* ehaeun â S franes d’amende.

FrmsnonoUte. — Le 21 Pévrisr, vil* heure* du soir, les nommés Digneaa 81 ans, et £ je Simon, Bl-ans, ont éié tirant >nr les ffisans dau le pare da c*"* j dE'metonvili*. ■ r ^ '

Chacun d’, ox est eondimné â six Jonii prisonneiaeu et 103 ffrus d’amende.

Jtet-fisûste-Jfozeiie*.— Profils*![*i|t senee d* la dame Amqm chez lsqaslis*fâ tronvaitdaula sobéedu filévrteréini^ nommée Dhniegae Mari*, feouu F io q a A : de s& au , a dénbé dau un poite-s^gflaeédau le tiroir d’n u table, ansF*" :

franes.El* (St condamnée, ponr ce fsit é -

d^ameâde et obtient le bénéfice de ■>** i sursis.

RuUg. — Le 7 fivrier, le sommé W . S l boom Pierre, âgé de 23 ans, ouvrier qui se trouvait i Rully a porté a a ,^ |g | ooulean an sieur CadoiJ<ai,qal fat 0 ^ J

Van IlttelboMa qui avait été a r tw ^ aup;stf, a liu s i à s’enfuir et a paye d’ofigine. Il est oondimaépsrv »x mois d’»mp!itena*t**àt:

Fêtmm lo c id é m d u i '« « m n f i l .

Bàsrgng. -a--Féte eMwule-

Rouvres, ' 'V.Smeétt -j-^êduiti» lluiBiiWwKVUt-SRmi Ç m im.'— W** “

J*>IlE

o n phut prendre conn --L-g, tous le* jom

-"^udidats à l’ad lés pièces

l ? ^ H é é s . U. B^rga

I iMnpiOUA I 2UBX V mw

ItadimMeutioB pubUgn■ipièffiéaÿùés :I loSdamint de i’ésiuIsra^uT et eout neiici

njuB i* â lentrip-iseJ — à valoir..... '

pravb■ cintimmtment |fitif,6 3Mfr-

tut prendre conn „j'jour8 ouvrablA’ dé la Fréfecture .

Ifi*n)hfie n w f heures i dednxhenres à clng 1

2»:De M. R bond, in, itffiiaiusées A Soisssn G ir^fie finit heures i demie et de une heure I

Las candidats à l’ad nééfrifrr les pièces réj W Riais prescrits par 1 tieiu A M. Dusuzmu, dssfmuts et Chanss' dalidîÿa.

IfÎIlITS u' SETHIST-SAII

FOSTXS S I TfiLdGBAPgIStrélb f m t d'être no

«CTHISr-SAlKATtON DU TfiL

f is l'admiuistraü posent

ugne devant r ' rfiérault avec le I

(WiagUB Euiciob lumhrês composant l«j in ià p a l:i.dUL Hwdy, inaire.j|

3.*•'

\i.:»•’ ï. .U . . .

i t yl i ic lis.|U ;S 48,

1»:

CHANTil» ^ tp t t .7 * i ;L a Sodfi Byw^ v fe C h é tA ts ti j

l£5!*fi<«e jm ifrais, deq |«Bua d/4, pinee des'RdrI PKOG

OBTanai«v iiurUJourMULl

Page 3: bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_04_21_M… ·  · 2014-02-17,'v^»pt'1V'W'i^^nVr'«?; ... I un lieu an Havre, an mois de mai pro- litais. Organisé sons les

L E C O U R Ï l ^ I ® L ’GIffll a g i

«djudiostion*.bootk natiohalbs

.TAUX »* 6B0SSIS E<PAKAnOH8I ’î.nedi 7 m û 4901, à d « tt IWMM ftl ‘l . iS » « ■ *®™ procédé, à l8 | r é -

l’Oise, i l’adjodieatioB peiUqae J^rtrtia ci-après désignés :

_ Bon» f ,17 d» Parts é.Iflle • *•" 1«tino 4s U cliinsséi piréa danslilra-

Ssalts; an carrsfcnr d» to P a » ttîas - WenttBt d-s tranox ; à 1 <n»a-

>^fÔ94f.5n; àT .o> .1603f. 60 T - ^'’ifiTOO fr. — c nisjütmeni ; proviaoifs,

■ déftniiîit 850 .r. , » .V h - Ron» f SI de Roasn à Bcnu : |f"L|jt:oB ds la thJSssA» piT<e ea>.r < les

îsoiet66*T85,d*wtl'n indeF ojèro». i- ’iMit d«s traranx : i i «niretirlse, ‘" /A s ; à valsir. 856 Ir. 85. to!*M, s i ^ Csotii-nisinitm : pioTuoira, 1.0S0

t-.-i'idiitif. 1.015 R t ’ _ Bon» n- 31 de Konsn » B.imî : r i i boat de U chaussée pavée antre les K ;i l“l l î et Bl‘â73 du» U trm rje de

_ Montant des t;av4nx : à lenlrs- **4 '081'. O"': é valoir, l.<91 4''. To-

■ i6 WO ir. — C :ationnemeat : previsoae, ^•défliitit, SÏOlf.

- Bjnta n- 3J dt Paris i Stlnl-Qien- l.r«Tirtissemwtdo pava» en «mpierre- “Æ re les P’ia» l*î *t 3‘. teTUOire de

".,1 - Bonuut des travaux ; i ren're- fàatSS If 90; 4 valoir, 1.3611:. 80. lo-

J ’ùsOO fr. — Canlionnement : proMsoire, dldjiiilf 600 fr,

■ m oaut prendre connaissatce des pièces lu projet, tous les jours onvrables, dans

riÎD3*U^PrÛ3Clu:e. de neuf heures du ' , 4 midi et de deux heu.-es é ciuq t,«setdemie; *

^D eM B. les logéaieurs ordinaires, à Iwsont, Compiègue et Sentis, de neuf IS à m id i et de deux heures & cinq

f ^ ’caadidats à l’adjndicatien doivent V^ilof les pièces r^glemenlaires, daM iKais prescriis par i’afflohe d’adjudi- Ldfli 4 M. ringéûienr en chel des Ponte TûuJïssées, M. B.-rget, me de ITnlante- 4,i*39,àB5anvais.

CAHAL LAliHAL A l ’OISB I II samedi 7 mai 4804, à trois heures, il Ljrocédé, é la Prefectore de l’Oise, à ™jaliMtion publique des travaux ci-

■ louiimtnt de l’éslusa et des g a -ag is de ImtsiT si coBSt nciicB des mai.ou d c n - IdiM le S em p 'g iT et da Sdat-Buberî. n Biiens» 4 le n t r e p i s e . 2 0 r .4 S 6 lr ." 0 I S 4 valoir....... sv.seï 30

seo.oooir.io J [tiionniment : provisoire, S .6C 0fr.; d.fl- ■dlSSOOir.

Uipeu. (.1 ouui » - - - r -® lés jours ouvrables, dans les bureaux : I" Do la Préfecture de l’Oise (4"divi-

io), de neuf honres du matin a midi et idéal heures à cinq heures et demie; r Do M. R bond, ingénieur des Ponte

iCluussées à Boissons, S7, avenue de la diiB, do huit heures é onze heures et Èaie ot de nue heure à six heures.Les candidats à l’adjniicaiion devront

ihenlor les pièces réglementaires, dans hdilais prescrits par l’afflche d’adjndiea- M, 4 H. Dusnzran, ingénieur en chef bPonts et Chaussées, a Compiègue, rue itl’iiglo.

F  î r i T ô c  ï ï xBETHISY-SAINT-MARTIN

I Postas et liLéeRAPHES — U. Lesueur- > Tient d’éire nommé facteur.BETHlSr-SAINT-PiERRE

I SSIAIUTIOS DO liLdPHOîtE. — Dos ou- do l'administration des Postes et

posent en ce moment un fil ipioôiqne devant relier les étabiisse-

1 flOranlt avec le bureau de poste.

J Cmomgi'E Elictobale. — liste des ■nbres composant le dernier Conseil ■niùoal :I. Kg. Hardy, maire, t Lolèrre-Leqneux, adjoint.I Dnchacfour, membre, i Cahen, membre.S. Fèrre, membre.1 Haz ird Eugène, membre.I. Caron-Esme^, membre, i Garou Ignace, membre.). Ficart-Bertrand, membre.

Bergeron, membre.II. Loboonf, membre, li Decorbie, membre,

I Dnssourd, membre, j. Bressier, décédé.

Il; Lavoisier, décédé.5. Lemaire, décédé,

mil membres tout décédés et deux iliras, MU. Fèrre et Dnssourd, ne se

^nieraient pas pour raison de santé, w irs noms sont mis eu avant pour les ’ heor. Citons entr’autros :M. Grossier, iugéaieur ; Caron-Le-

aniieu conseiller ; Pécheux, capi- «edes archers ; Picart Oussburd, Dégo­ût; Esmorj-Bsrtrand, président de la wti do Secours mutuels; Lesueur-

ealtivatenr ; Crété, entrepreneur ^nniserie ; Bouteille, négociant ;

marchand de bestiaux ; Leroy Gil- 4ii industriel.

CHANTILLYUosQai. — La Société de la Mutique

'"paie de Chantilly se fera entendre

I bo prochain, de 4 heures 4/4 é S ^ i/i, place des'Réservoirs.

ÎHOGBAMMl .............. Lachïx.

cyfXM, ouTeriure............. A4. Soïxa.»ur 1< Jour «t la Huit,

Jkj , ~ Opéra-Com que de licoco.I i r ï ’*ï.tPinl Leduc), eir. par BoüssAbd.

üân J’’ mesurke.............. A4, sotsb.

ia Chatm impdriaiee. Sigkabd .CIRES-LES-MELLO

îlat.cieil dit 4" trimeslre 4904 i«W«r; Hispeels JiUitle-lagénie. 94,."1: Loht S O I . - . : . . .

t 'tii. n . veo'snt Kose-Fmuinee. W.u . Louise-Luciinne. 99 mars :

4«<î5f.'. ‘snsprofissiou.

Julio-Aegéliqae, 05 au», tans proftssion. 1" févrer;

ans, manouviier.Q ,J .« .E g’èae, 7 0 ------------- ------“;Vi4re Flore, épouse B;û é, 61 eus,

40 , J; ‘ 1 ®ars : Da la Cropte Marie-Joseph- lfe,,'ÿ’5uis de Chautérae, 91 ans. pio- i|iu s mars: Darld Jacquts-Dinis, 78 ans. ! » , ( ,« „ 1 Pou:art Jarques-Louis. 79 * lui, 18 ■ers : Gi-iuitti J iseph-Etienue, Ji'o.'»»; ■ Décamp Emile-Comtant,WJ^Puétaire. 30 mars : lamouehe Jnlie-

g'ÏÏ.";. l*J«nvier; Chevallier fieorgas- 2a Smi '***• •“*> demidUé an

1 *4 detméselle Louis*^ui ‘*-*arta, sans profession, 17 ans,

'-'•d'on PanlGibriel, ueiutre,

*9i{k,. î ’ ** “ * ■ ‘•1® (0>“ )-leuoir AUred-Léon, manouvrisr,

« ans, de Blrtnaourt «Jise); et Serbmm Marie-Bophio, sans prprselen, B ans, e t

’ iwmHx: Lalott Angnitl^toindM ,ritteTf S» ftflSa diBM fïiVAStv e m D .fien, méaegèra, 86 ans. Mus deix de

PiàUeatiim dt mariage. - Matisgt Chéron

S Janvi^7 février : Mirlsge lonrtr-

* W Llw w : MirisM Lelea-PréVML 13 93mars: BlancketAagastn-Albit^Loni^

eirriar. de Sslut Vitst-Us-MiKo. et Di^urget Poilooièu-Albertine, envrière d’usine, de CiresiCS MaiIo.

90-J7 mars : Anhin lalian-Lucien, polisseur, de Cires, e; Gourgueth n Judette-Elise, domes­tique, de Iherdoune (Oisr).

Divorce. — 6 mars : (Trasscripton de Juge- men ) Eu rc Nicolas Eimoud-Célrstin, erémtar, 33 ans, et T a q n tMaria-Prudinee, sans pro­fession, 31 ans, demiciliés 4 Paris.

c r t E i i - i

“-Co n s e il m u n ic ip a l . — Le Conseil mu­nicipal se réamr» en séance extraordinaire le vendredi 2 ï avril, à huithsures et demie du soir.

OBJET DE LA BllUNlON :1. En t«t m du cbemia de halage.8. £.ep'oi de la subvention dt lEtatpoar

Us pompiers.8. Concis, ijus en ci uetîère.4. Péta de la Cité Saint-Médard. Subvention. 6. Anterisation d e payer le basquet d n

con-til de révision. , , .6. Antorisitiou de payer divers fftis judi-

c aires dns 4 M. Lbomme, huissier.7. Soeiéiés de Secons mntneU.8. Cumpt* di la F.b-iq>e. Budgit de 1903.9. Ec j'e supérieur. App obaüoa dn dé-

e.'inpU ginirtl dts tftytoze 10. Hubert. . . »u Barport de la C mmissloa des ehomius. 19. Demande de bourse Csmbon.13. Soslisus de femide.14. Assistance médicale grstnite.On dit qu'un de nos ccmeillers munici­

paux des plus en vue, a i’intentiou, au sujet de l’ait cleS, de faire un dtsçours démonstratif sur V « art de bien manger aux frais des contribuables ». Que ne le tourne-t-il en vers ï On pourrait, eu ce cas, chanter cela sur l air bien connu et tout 4 fjit de circonstance de la chaneeu : Avec l’argent det outres. Ced sous toutes réserves. ______

Co u ra g eu x S a u v e t e u r . — Plusiem en­fants joua eut ensemble dimanche so r vew 6 h. 4 / î , quai d'A val, quand une petite flUe nommée Krtmer Alice, égée de 5 ans, tomba é l’eau. Un jeune homme nommé Gallois Léon, qui se trouvait chez son beau père, n° 4 6 , quai d’Aval, se jeta aui- sitét tout babillé dans l’Oise et fut assez heureux pour ramen=r la fillette latue et sauve sur la berge.

Nos félicitations au courageux sauveteur. Une s œar de cette petite fille a été sauvée

dans les mêmes conditions en 4899 par un de nos concitoyens.

I ■■ *•C o n c e r t NOCTURNE. — Samedi soir, à

44 h. 4/2, Leuiller Alfred, maçon, et Da’aforge A’bert, charpentier, qui siffl ûent & tue-téte, place Carnot, malgré les obser­vations' qui leur avaient été fûtes, ont récolté une contravention.

Un P o i v r o t . — Samedi, à 6 h. 4/2 du soir, place de la Gare. Clément Fernand- Julien, de Venelle ; Kuockaert Edouard, domestique de ferme à Boran, et Gallois p i« ra . n’ayant DU coDserver l’équilibre sur la voie publiqus ont été nanUs du precés- verbtil traditionueL

CRËPY-EN-VALOISCoNSEtt Municipal. — Le Conseil mn-

nicipû est convoqué pour vendredi, 4 huit heures dn soir, en session extraordinaire pour délibérer sur ies affaires suivantes :

4 ° Fixation de la durée des taxes d’oc­troi;

2° Imposition des tourteaux ; â° Cession de terrain Cloux.

A c c id e n t d u t r a v a i l . — Le 49 avril, é dix heures du matin, aux Coquetiers, dans le chantier de It. Launé, entrepreneur, Taqnoy (Victor), manœuvre, demeurant à Bouillant, en entevantnn échafaudage, s’est foulé le poignet et le pouce de la main gauche. ______

A LA s u it e d 'u n e d is c u s s io n . — Luudl, 4 six heures du soir, SL'” veuve Potonnier, née Sophie Salmon, figée de 5 9 ans, jour­nal ère au hameau de Bouillant, se trou­vait chez son fils. Afrés nue courte discus­sion avec celui-ci elle s’est précipitée par la fenêtre de l’habitation située au premier étage, est s’et fortement blessée i jla tête et aux jambas. Son état est très grave ; on craint tme fracture du crfine.

Etat civil du 44 au 49 avril, Haiuaneei. — 15 : Le Fin Chirlei, avinne

Piitenr.Dids — 14 iDeléeheiaslt Louise, 94 jours,

PUee d’A’sgon.Pullicatiom et mariagee. — (IKant).

ERMENONVILLEL e s L ig n e s d e T ram w ays a L 'dTUDi. —

On nous coEomunique la lettre suivante adressée fi U. le Préfet de l'Oise par H. Léon Martin, maire d'Ermenonville :

Hensieur le Préfet,Le Ceuwil général vient de vote" une somme

de douze emts fracci pour faire l’élude d’un ré- seindetramwtys se raitichint à ce qui e été dé­cidé par le Conseil généril de S’.iae-e'-Varue. it a nommé une CommUticn composée de MM. Hilinbonrg, de Eerseint et Cbopmet, coueil- ler< généraux, pour s’entendre avec lenrs coUignes dn département voisin.

La ligne votée par ce département part de Miatix it passe 5 Saint-Sou plets prur ibontir à Dammartin ; d’on antre côte, M. Haliohonrg, conseiller général dn canton de Beiz. téc'ame une ligne parta-.t de Miraiil passant par Brégr.

Comme 1* d t fort hlm M. Manier, conseiler général de Dimmartln, ces d ux lignes doivent léressairement ahontir dats l’Oise i Ia ligne de Soissons, gara du Plesr-is BiIlivUle et il propose d’étudier dans cette diresllon sur son canton le tioiçon Saint-Soappkts, Oitery, Saint-Pathna.

Comme complémeit de ce résean, le prolon- genceit de ia ligne josqn’4 Seuils s'impose néHssiirement. elle puserait par le Plissis- Billeville 4 Mmtagny, Ermenonville, Montlo- gnon. Font in’-, Borert, Montlévéqne pour arirer ea g:re de SenL's.

0 1 aurait ainsi u 'e ligne direo» da SanFs 4 M anx. Ce projet a. du ras», é é déjfi étudié, l'administralion des Ponts et Chaussées ea a

Csnseii général. . . .Vens savez, Monsienr le Préfet, combien les-

chimins da fer sont nttles en particoUer 4 nos populations rnrales, ils donnent 4 nos petits comme'çtnts les moyens de s’apiuovisionnar 4 ben marché et 4 nos onvriers la fsci'ité de sortir de lenr village.

Ja von- prie donc de vonlojr b en saisir la commission déjl nommée de ce sa; plémeat A’étBdH qni aura Favasteie de former tut tou

complet danslee'relations det arrondlsaemeate de w iia e t dé Meanx.

Js joins 4 eeita lettre «ne. caite.qnl vons démontrera Fota té d t la dànanlé'^qM -j ai l’honueiirde vaos.idrniar; .

VendbXfg'éer,lientwarleP'éiBt,Pasnii!aiM de ma conAdérauon très diihngiiée

UoM MABnN, Maire.Irmaïonvine, 17 avril 1904.

LAMORLAYEUn Vol. — Un vol de 600 fitmca a éte

commis au préjudice de M " véiive Tardif par un LOiuué G... R..., fi Larmo aye.

[AToua regrettant, au moment de mettre iota presse, de n’avoir pas reçu les détails cancer- nant cette affaire,]

N. D. L. S .MONTATARE

Un MARcad d ’a f p r o v is io n n e iie n i . — Far arrête en date du 26 m an 4994, vu pour yécé|issé et exécution immédiate par le Préfet da l’Oise, le 8 coirant, un mar­ché d’approvisionnement sera établi le dimanche fi parûr du 4 " mai' prochain.

Ce marché aura lieu sur la plaça de la Mairie, de 8 heures du matin fi 1 heure du soir. Il sera n^lementé par l’airétésur la police des marchés, apiirottvé par -le Préfet de 1 Oise le 48. Janvier 4901.

Les agents de l’autorité seront chargés de l'exécution dn présent arrêté, qui a été publié et affiché.

Un Co n c er t . — La Compagnie des Sapeurs-Pompiers a offert fi ses membres honoraires un concert le 46 avril. Au cours de ce concert, une quête; faite au profit dp bureau de bienfaisance et de la caisite dé secours immédiat a produit une somme de 66 francs.

An nom des pauvres, merci.

Eldt civil du 34 mort au 44 avrilKaiitaneei.- — 31 mtrs: Ton Diltssehe

Anéré-Lém. —• 1" avril : De Jonckhiere Aéol, h<-Léon. — 1 ” : Biver Hélène. — s ; Bo- btrt Théoioie. — 4. Ceci Paol-EmUe. — 6: liisenvills Bogsr-André. — 6 : Chsartn GMrges- Gas'OB. — 6: D.bois HirsUlerAndrée. — 11: Guwys Chirles-Josiph-Ecgène. — 11: Des- hay>s Bobert-A fred. — 11 : Ihibaux Fernind- Emlle.

Dicie. — 1": Wi’lame Hsori Joseph Bsné, 89an:. — 3: Mcô. Piérre-Aiixindre, 69 ans. — 6 : PtanceUie'’ Joseph $9 ans.—8 : Vinandy Bogènc-Lonis, 37 ans. — 8 : Follet Vieter- Aithoas', 60 ans. — 9 : Mtnehiron MarietM- Hilèae, 19 mois.

Publications de tntriaget. — 3 : M. Levant Jules, lamineur, et M* Coulemblers Angèle, épousodtvorcéi de Bonlitz François, sans pro- fesslen, demearant tons deux 4 Monsatafre.

3: H. GosietGutoa, forain, et M“'Damiens CsmPe Joséphine, foraine, demeurant tous denxfiMontataire.

10: M. Héronart Aogust', employé de eom- merct, et M"' Hironart Berthe-Marie, coutu­rière, domid iés tous deex 4 Montataire,

Mariagee. — S: M. Eieffer Nicolas, cbau- dronnler, demtnrant fi Nogent-les-Vieiies, et M”' Sndre Ssmne, sans profaisloa, demeu­rant 4.lentateire.

9: M. Jul ien Pierre-Adolphs, éjnstiur, et M" Boichu Caihirine-Céoshée, sans profss- sion, dsmeurant tons deux 4 Montataire.

9 : M. MuUer Srnest, opdeiea, et M"' Loury Alice LeniM-Marie, optieisnne, demearant tons deux 4 Montaaire.

9; M. Méganck Osuve-Angustin,maneuvr^ et M'" D oeispalaere Emèieno), sansprefassion, demeurant tous deux à Montataire.

9 : M. D gaenrcs Jean-Baptist», ouvrier d’usine, et M"* Antoise Palmyn, sans profes­sion, demeurant tous deux 4 Montataire.

18 : H. Ge>set Gaston, forain, et H”* Dimiens Camille Joséihine, -feraine, - domidiiés tons deux 4 Montataire.

MOUYUn nouveau Médecin. — On nous écrit

de cette commune :« Nous sommes heureux d'annoncer

l’installation da M. le docteur Orange, médecin-chirurgien, qni s’occitpera s p é ^ lement du traitement des maladies des enfants et des accouchements. Le meilleur accueil a été fait fi cet excellent praticien par une population fi laquelle son talent et'' son expérience permettrent de rendre des services aussi a^idciés que dévouéi.

NEUILLY-EN-THELLEMabuge — Nous sommes henrenx d’ap-

Srendre le prochain mariage de Mb* Béra, lie dn sympathique et regretté M. Léon

Béra, huissier fi NeuUly-en-Thelle, et de Madame, née Bricogne, avec M. Hédiard (Albert). ______

Vol. — Serrain (^ th n r), cultivateur fi La Ciumelle-Saint-Pierre, a porté plainte fi la gendarmerie de Neniliy-en-Thella con­tre un sieur X..., qui lui anrût iioutrait, paralt-il, un fresne se trouvant dans ùn lot de taillis qu’U lui avait vendu.

Un i bonni captdu. -e- Depuis plu­sieurs jours le garde o h a m ^ ^ deMeuilly s’apercevait que des collets étqient tendus au Bois des Gauches. Il sO rendit fi cet endroit en cempagaie de H. Dobeuiyet, agent de police, et s’y posta avec lui dans l’espoir de surprendre le braconnier. Vers 44 heures 4/2, alors que le garde était

ployé actuellement fi l’usiBe fi gaz k Neuiüy. A peine avait-il visité quelques-

uns da ses engins qu’il vint se jeter dans le filet. Procès-verbal a été dressé contre loi. Il était porteur d’une cinquantaine de collets. C’est, paralt-ii, la troisième fois que la police correctionnelle le verra pour le môme fait. Il est probable qu’il ne sera pas épargné.

NOGENT-LES-VIEROESCo n cert d e < L a F r à t e r n il l i » . —

Ainsi qae noos l’avons annoncé, la fanfare La Fraternelle a offert samedi soir un concert fi ses membres honoraires.

Nos excellente artistes ont parffiitemest exécuté, sous la direction de leur habile chef M. Foy, que'ques morceaux bleu choi­sis de leur répertoire; l’ouverture de La Châtelaine et .la ffintaisie L u Mautque- tairu de la Reine ont été particulièrement applaudis. M. Dtitilleal nous a charmé avec ses romances : Mignonne,, teici leprintemps; .SubHme Caresse, etc. Quant fi l’inimitable Deigorgne, ron éloge n’est pins fi faire : il a déchainé les riretf et les bra­vos enthousiastes avec sa chansonnette Partie carrée et ses monologues L u Pa-

Îliera, Défetae de cracher, etc. M. Antogue ut très amusant avec ses monologues Non-

velUt du Pays, Lettre au Ministre, etc. L’hilarant Eriamsl a obtenu son SBcrés habituel avec ses chansonnettes La Polka du Buveur et La Bonne et la Maitresse, son monologue T a le feu en ville, été. M. Lamécourt nous a dit L'Huissier pois (T), chansonnette-monologue, et Le Plongeur marseillais, aventlras extraordinaires do deux plongeurs marseillais et bordelais. M. Dseretts, toiijours très fi ton aise, nous a dit Le Veston de Gaston d’une façon très naturelle.

Le concert s’est termmé par tmo cmnédio en nn acte de Max ManMy,-La-Beees»man- dation, interprétée par MM. Decreus, Del- gorgue et Lamécourt; Delgo'’guenous a roprèsenté un garçon de bureau t mod«m Style », qui finit cependant par en avelr

< uu coin de boudié > par Mine (Deereus).Q lant au directeur (làmeiHfri). Il finit ÿaréuré très satisfait fi la jén iéé qu’il va être décoré de l’ordre sshuieu de là c Breteilo d Or > (hum I) instilutien de Jacques l*', l’empereiirdu suên, lui qui a valtic^ent dierehe fi être déreré do Iterdro du Tonkin belge (I). ,

Le pianiste, M. Rodde, mérite tous les

^ b a l plein d’entndn (en pouvait-il étreantremohtT) a suivi le concert, et il n’y a qu’une chose fi regretter, c’ert que les dimensions de la salle des Trois Rois ne permettent pat do faire les choses plus grandement.

ORROUYNoMiNAiiOH. — M. Lesneur, de Béthisy-

Saiut-Hartia, est nommé facteur en rem­placement de M. Collât.

PONT-SAINTE-MAXENCELa P u M iiu : Communion. — La céré­

monie de la ’Pretniérè Communion aura lieu le dimanche 24 courant.

A v is au x VfiifiRANS. — Les membres dé la 861* section des Vétérans sont priés, d'assister fi l’assemblée générale statutaire qui aura lieu lé dlmanbhe47 avril courant, fi 4 h. 4/2 précise.

Etat civil du mois de marsSaistaneei. — 6: Ihérèss-Yvonns-Margns-

rita. — 8 : Canis lianse-Eogén». — 8: Letel- li<rPierre-Eagèac. — 16: Butrand B u é .— 17: Bou'gaois JjMph-Maarioe. — 17: Têtu Henri-AlpBoasa-AUfus». — 19: D.hinBacé- Micbal-Araund-Ardiar.

Did*. 3: ViIfflWt Antoiaa, 69 ans. — 30: B;chard Beié; 3 aus.

ROCQUEMONTObsèouzs d 'u n so ld a t . — Samedi der­

nier ont été célébrées les obsèques de M. Bâton (Louis), décédé au 6* régiment de Hussards^ fi Commercy. L’inhumation a eu lieu é Rocqnéihont,' éh présence d’uné nombreuse assistance de parents et d’amis.

Au cimetière, sur le bord de la tombé, M. Caron ^m ile), ami intime du défunt, a pronencé le discenrs suivant :

Char Ami.Avant hier, là'iouvalla da te mort édate

parmi tons ér-mm* na coup^de fendre qui nous qui nous terrifia. Nous na vealioBS pas y ersira. U y a dix jours 4 peine tu étais «n millm do nens, et, bien qi» tu fosses un pan indisposé, rien no faisait prévoir la catastropha qni sons Tiiai^t deteoowir et da rsgrUé, anni dast un basom ponrnotra «œ » d’»xprtmar p;b!iqua- mont combien grand est notre deuil, oonmltn Tifs sont nos regrets. Car nous pardons éa toi. Char am , un eaniiraia aimable et bienveillant, tovjonrs prêt 4 rendre sarvico.

IA France snssi perd an ta personna ua sar- vitenr dsvoné, un soldat piét 4 tout saorifltr penfrila. lu aurais pu. » sentant iBdi:poié, rester dans ta famille: La csas’gns t'ordonnait de rentrer 4 ton rég msnt, ni n’econtes que ton devoir, ta part s aiüès avoir dtt 4 ta fam lie nn an levoir qui,' hélas, était nn >dten I Ta neda-vais plus ravoir tes parante b:an aimés qni matteisnt an toi tentas Isnrs espérances, lis eomctaiantsartelponrlas aidera la moisson ^ dia «mSnétmlAanO awaa d<proehaiha, ils attendaient avec impaUenca le moment où Ds pourraient, gifise 4 toi,, wendre nn reposbian aéeéssaire 4 leur santé ébranlée.

Hélas 1 tentas leurs espérancis et les nôiras sont 4 j>miisbrisées,«une plaie restara tôn- jonrs saignante dans lenr «Bir «t dans le nôtre, une seule Chose'nons console, char ami, dans notre vive doidanr,s’ast l’espoir de ts revett nnjonravtc'Diau an milieu dé ceox qui sont motte an serrica da la Patrie, de la donee France. ' . , ,Nous planions avec vons, parents éplorés, aveu vous nous conserverons le souvenir da notre dter Lonis. sa tomba sera toejonrs ras- psotéa et honoma, ear an alla reposeront les re.tas d’on bon fils, d’an amidtvaué, d’on bon soldat da la F/anca mort vistime da son devoir.

An ravoir. Cher Louis, daht nn monde mail- lanr.

Après ces paroles sentimentales qui ont ému l’assistance, celle-ci s’est retirée len­tement sons la pénible impression du der­n ie r hommage rendu fi ce brave soldat.

SAIRT-MAXIMINDiïAUT DE PLAQUE. — Procés-verbal

pour contravention fi la police du roulage a été dressé contre : Leprétre (JuleO, courtier, et Fournival (Jules), charretier, tous deux de Chantilly, pour défhut de . plaque fi leurs voitures.

VERRERIEUne Affaire a dciAiciR (suite). — Nous

nous sommes fait l echo, dans notre der­nier numéro, de la rameur publique, au sujet d’une affaire assez équivoque et dont l’importance eût été autrement grave si le penionnage, auteur du méfoit, avait pu metfre fi exécution son projet.

Comme nous le disions, il s’agit d'un enm er agricole de naUenalilé belge et travtffilant dans une ferme de la région.

Cet individu aurait, paratt-il, donné de l ’a i g ^ fi deux fillettes habitant dans un bois àvoisinant le cimetière afin qu’elles aillent chercher des provisions, entr’autre de là boisson. Le triste personnage devait bien eonnûtre la siiiutioa et savait pro­bablement que les parente des entente en question se rendaient fi leurs travaux cha­que jour, laissant la petite famille seule.

Après avoir cherché fi les enivrer, l’in­dividu aurait voulu s’offrir- une fuitaisie sur la nature de laquelle nous n’insistens pas, ce fi quoi les entente opposérentun refus et s’enfuirent. L’afnée ayant raconté cette scène fi sa mère, celle-ci déposa une plataite et l’enquéie re poursuit actneile? ment.

Cette affaire assez grave en eile-méme, on le voit, a peut-être été grossie par les racontars, la voici réduite fi ses'justes pro­portions.

VERNEUILChronique DU FEU. — Dans la nuit du

40 au 44 avril, nu incendie dû fi nnécausa toute accidûitelle, par suite de fiuurês dans une cheminée, a éclaté dans le grenier de l’habitation de M. Pincemaille, maraî­cher fi Veraenil, bfi'iment d’une longueur de 82 mètres et large de 7 mètres.

Les pertes sont d’environ 2.360 francs tout en fourrages, objets divers, bois, etc. qu’en ihstrnmente aratoires.

Le propriétaire de l’immeuble, M. Le- queux, de Ion cOté éprouve un préjudice de 3.000 francs.

Tous deux sont assurés.

VINEUILU n e Ad ju d ic a t io n . — Samedi prochain,

23 avril 4904, il sera procédé fi Paris, au Palais du Tribunal de Commerce, par M. le Préfet de la Seine, fi l’abjudicateon au rabais et sur soumissions cachetées, en neufs lots, des travaux de diverses natures fi nécuter fi Vinenil, pour la construction dlun hospice de veillards.'----------------------------- ■■ ■ T. I

Nous recommandons instaameni aux persomu qui noUs adreuent d u eorresH pondaneu à insérer dt bien vouloir n’écrire que sur tin seul côté de la feuille.

Lm S Ioo e t Ion RoM*oltoo o iiv i^ iT * *On nous adresse .l’article suivant que lagiqqedesfai............................................

coUaboratrics Dans son ffiscoiiradeLaèn,4f. ttembas.paP'

lent des retraites ouvrières a dit qee la srintioB du problème n'aveit'pas encore été.trouvée parce qn’on n’avait jamais envisagé qu’une des fiees da j^blèau; celle de le-dépeaie, sans se. yréccmper en même t«mi>s de l’antre faoe: celle de ia roisonrce eorr(8;oBd>n:e e(<il a ajenié : « Noos n’avons pas voalu commetire la méiD» ftale ».

M. Combes a tean 14 nn langiga qu'il attrait dû tenir lors de ladisenstiondelaloiitirles eoDgrégiliônt, caria an-si ily Avaitlieud’envi- iager ae*xtec>8, l’oae oomprenant loi dapeiuttntTeesfmfrt icTlt * • - »

n’o&vls'geantqne .m hrint centre les eoDg é- gâtions, Il a -eoRsidéré les déreases de la loi qu’il demandait comme, issigiiiflinttr.

Aidoi rPhai qu’on loi rappelle qie le bloc à promis de donner une tolnticm anx retraites, euvrièras il (nvisege les dépensu. Son langage Benoasétennepas; les gens du blee abnsent de la coosciince de l’oBViier, ils loi fjnt de belles promesses mais le jonr cû en leur demande de réaliser ces promesses, ah, c’est antre chose et on trome on biiis.

L’ottvi 1er fieira bien p u vo‘r qu’on le ooiisiij dère ticp comme nn jouet et qne les gsns du bloo- a’amoHnt et font lenrs affaires 4, son détriment.

Il pourrait répondre 4 M. Combes : Nons n’avons pas demandé l’expulsion des con- irégatious, elles ne nous gênaient pas le moins dn monde ; veur, vous e a aviez pmr parce que vons avlsz pent être 4 craindre qn’èlies ne nons divottent que des gens de votre parti n’éiaPnt que des trompenrs dans le genre des maquignons. Aussi puisque les retraites ouvrières doivent entrilitr dts dépenses eonstdérablM, il ne fallait pas renvoyer lés oorgréganistes vons anriez évité d’énormes dépittses dont vons anritz pa disposer en ftveur dH retraites ouvrières; vons vous vanti-z d’être ferme, vons-dt vies t.ouver le moyen d’étre mitre des congrégatieBS sans les dlssondfo tt de vous en faire oMir, ce qui n’était BoUement impossib'.e. En résnmé, vous nons bernez avec la qutstion cléricale. Eh bien en V0Ü4 assez, il faut qn’on songe 4 la classe onvrière qui ne vent plus des piomeues mais des aces.

Si les gens du Bloo font leiUFS petites affaires, les onvriers veulent -teire les lenrs autsi.

Et si les heihffles cantbment 4 se laisier tromper, nous antres femmes, nons nons idtaf- gtrons de les rappeler 4 leur devoir, car .nocs «ommesçons 4 en avoir assez de cette poliQque démoralisante, parce que nons nons n’oibhons pas qie nons sommes mères.

Inéain.M. Combes, ne ronblions pas, est

le prisonnier des radioanx-socialistes. E ntre l’exécution des ordres de ceux-ci et l’abandon de son portefeuille, il n’hésite pas. ' " .

On nous écrit de Cteil:Il n’est pas qae las rélaetanrs en ehtf de

journaux qliaient la main ieste; nne hono- nble demoiselle de not.e quartier l’a prouvé deinièrement. Cette prinonne passait n e Gam- bstta quand elle vit son chemh obriiné par nn brave solipède qni était tranqnillsmeBt monté snt nn trottoir ; comme ia demoiselle accompa­gnait de jeunes anfante et qu’il Inl paraissait ÿ avoir péril en la demeure, elle dtmanda 4 nn personnage habitant près de iè 4 qui apparte-

. . — 1 ----------------------------savoirinestion si simple

________ iLestwai qn’ilne,sanrait sortir de farine d’un sac dé charbon ; puis, eraigoant sans dente de ne pas avoir complètement fixé sur son compte son inttflo- cuüice ocoasionnelle, il itona un propos Igooble; cette deniire, outrée, le gifla alm comme un simple vénttable de loge maçon­nique. Le eh&timent était mérité.

un d t que lestnpiteindividB rendit la g'fla... nn pan pins fort qu’il ne l’avait n çue, ee qû n’est, après tout, pu étonnant de sa part

Un habitant du quartier Gaaibetta.

LES CONSEILS GËNËRADXL’anlèvum ant daa orualfix .

Plusieurs conseils généraux Se sont oc­cupés de l’enlèvement des crucifix dans ies prétoires.

Dans la Sarthe, M. Sénart dépose un vœu dezrandant ^ e les pncifix et em- biéiires reUi?*<>9 T é in ^ é s au pins têt aux placés qu’ils occupaient jusqu’ici daru les prétoires. Après discussion, ht qoestien préalable est repoussée par 44 voix contre 44. Le vœu est adopté ensuite par 45 veix contre 4,0 e t 4 abstentions.

— Le conseil général de la Manehé a roté la question préalable par 83 voix contre 43, an sujet d’un voeu demandant le rétablissement des christs.

— Dans l’IUe-et-Tilaine, M. du Hal- gonet, député, ntppottenr du vœu protes­tant contre l'énlèvement des crucifix, donne lecture de ses conclusions favo­rables au vœu et décidant, en outre, que ces crucifix, appartenant au département, soient placés dans la salle du conseil gé­néral. Ces conclusioru ont été mises aux voix en deux parties : les deux premiers paragraphes, consistant en une simple pro­testation contre l’enlèvement des crucifix, ont été adoptées fi l’unanimité; lé para­graphe reUtif fi i’iiutallation d’un crucifix dans la salle des séances du conseil a été adopté par 23 voix contre 44.

— Le conseil général de la Mayenne, s’occupant de l’enlévement des croix dans les prétoires, a voté fi l’unanimité da 84 votants une protestation et émis le vœu que cas croix fassent rétablies prochaine­ment.

Au'conseil général de la Charante-laférienra, dans-la séance de mercredi soir, les conseillers généraux coDserva- tenrs du département ont déposé le vœu suivant :

personnage namwH près ae u nait l’animal. Ce posonnage, si poufqvoi, répenmt fi cette que d’une foçon grossière, tant iLeAn farinn Awém »•

t Estimant que les bfi'dnrento daits les­quels se rend la justice appartient aux dé­

leurs reliégaes fi s’uiür fi eux pour t e s ­ter contre l’ordre donné par les ptmtoin

-publics. » “ ' _ ■Le préfet ayant posé la qitestion préa­

lable, le conseil l ’a votée par 26 voix contre 4 et a passé fi l’ordre dif joftr.

— D.ns la Meur:h»tet-MeKltei M. Mé- zières a proposé d’émetfre le 7œu ôdé tes emblèmes religieux enlevés dfiiis les.édi- fl'es d^partementant soient r^ feé s .' Oa ne ferait pas ainsi de politique et le conseil général resterait dans son rôle.

Bieii qite le préfet ait teit remarqiMr’ qu’il considérait ce vœu ainsi formulé ■' comme un vote de b'fime au gonvMie- raent, le conseil général a voté ce vœu.

L« loi eup les oongpégatien.o.Le conseil général de l’Ardèehe.a rqjelé

par 43 voix contre 44 le vœu de.M. Jules Roche demandant que les dépenses riéces- siiées par ies cohztrûcti’ons scolaireh' fi 1x suite de la suppression de l’enseignement congréganiste soient intégralemesitmites fi la charge de l'Etat. * ’

— Le conseil général de la Manche a voté par 23 voix contre 43 la question préalable au sujet d’un vœu demandant que le projet de loi retirant aux congréga­tions enseignantes autorisées le djoit d’en­seigner sans sanction législative, ne soit pas mainteniL

— Le conseil général des Yosges a émis un vœu demandant que le délai pour l’ap­plication de la loi snpprinràit lunseigne- ment donné par les coogrégatioos autm'i- sées soit ansn prolongé que possible.

M a rc h é d « S e n l i s dn 19 avril.

d é s i g n a t io nDES GRAINS.

Priides

lOOkiL

Foidede

Thect.

Prixde

l'hect.Observât.

(V'qusl. FromenHt' —

3' -Siigle...............Avoine.

11 i 20 9512 96 14 60 6 . . 3 ..

78767î706047

6 55 16 40 I l 85 10 167 80 6 10

Sans var.IL ' M. '

H. 0 50 fans var. H. 1 ..

Prix d e bain da l 6 an 30 avri

B lu te . . . 0.35 I t k B :s -b 'te c 0.32 —

|8ans Var.

Farina : les 100 ktlog. 39 . . . —: Sans.vWi .

oser O n d esnande niM fesnm a d e o h e m b re , sachant eord'c, da 24 4 10 are, ay n de bonnes référanc'is.

S’tdr. an bnreau dn jeninal. 619

B v r l t d r l é *

C H O C O L A TM B N I B R

B « j f > t o M êrtiR M fo l i i M

ie e e e e e e e e e e e e e e e e e e e e e e e re

; HORS CONCOURS 1(HEUBRE DU JURT, PARI.S 1800 •

A l c o o l de M e n ^ e ^ a

:t ««u2 Jklcùol vériimbU» 5CALME la SOIF et ASSAINIT l'EAO

’ DUllp* lêl «aux da CŒUR, da TÊTS, d’ESTOWO . lMlNOiaESTMNS,l* DYSENTERIE, teCHMiSIW

b>zoaLLBii)Ti«insa]fiTSi(hnaann 1 tPR ÉSERV A TIFM inlniPiPtM W SjL Exlaar le Nom : ONI 3EUXCSQXaj9fil3

LES HémorroïdesPeu de persermes ignorent quelle triste

infirmité constituent les hémornffdes, ear c’est une des affections les pins répaumms, mais comme on n’aime pas fi paner deee genre de souffrances, même fi son méde­cin, on sait beaucoup moins qu’il exisie, depuis quelques années, un médieammit, l’E l ix ip d e 'qflrgisale, qui les guérit radicalement et sans aucun dareer- On n’a qu’fi écrire, 2, rue de la n d ie r ie , Paris, pour recevoir franco la brochure explicatlTe. On verra combien il est fadle de se débarrasser de la zaaladie la plus

{ténibie, quand elle n’est pas la plus don- oureuse. Le fiacou, 41 f n f iO i fraue .

u M o n l f e i i r ’ m s R e n t i e i r s j

UGértud ; H.Cadchis.

Imprimuris AdminktrafiTe «t CemmsrdaludiSsHliS.

llPLSIËLt I W M liN ^«on ms

9 9 tÊmunÈÊÊÊÊÊit

t r m w i gntîM «HiBat d m I r r‘** * \rèt wtesièssmim dèhitrasli èe la heme reè qsiCMS

------ q « jN s e â P i»**** mSmo ei»ilMé*iiR mititfw ««RNltv .at gfasim■remOToeilànrees N ipast te saîoieu# « te «i teiliJffi.)iteTe«BeRré'dhrMhidm,jé» dsame. dteBliMsaid» Mte

Page 4: bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_04_21_M… ·  · 2014-02-17,'v^»pt'1V'W'i^^nVr'«?; ... I un lieu an Havre, an mois de mai pro- litais. Organisé sons les

VENTE HOaiUtREForeeÀÿèrmUqiUitMttÊbl»

X tS tir t » 6 ekewtm t t ktmteur à i e k m tttd m ^n n

*• « u o i n C ic^«a

CAPtUH. k poi(TAniÉ oütiil. Uatt^GQ’ proprWMnv maaen.

le i)maMh4 34 À tril' i 9 0 i i à ,tM« hmre eti demie.

de V i^U -m iii,BpovjnmilM «* lm Jw dnqwfcMfc

P E N I T E N T i N E B A R R E A !■^•ÇSÉ-

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;die P a a t j b ^ cT«a«ii; à VoBiinii tt

4*« tM iU K 'li K>iti< d« eommWat dt ■ u S i^ 'q n iiM m a r «t «atreiiN- M o rit t l te b n it t x p l ^ i PmJ- StMtaupcwH, 1 r*àf’t <*t ra ttd t la ««Irai. “B itzatM » dt» eoadttioaiiadl^M* IBfMÛ.

I ÔQ «B i’Étodt dndit H*

496 (S '^ r im P C B J Ü g S .

Alt.C A B U V Ê T D V C E IV T R E

A. GIHÜAROOTSS, bonlerard de S&baitopol. SS

PA«Is(4-arr.)

«siw it eoBTiatioai :H. Otidt BumcaiBi). Biirthaid

éhirettiar. diminnBt i Pont-Saii^ Maxtnet. ni* d« U ntmiro 63,a TtBdn MB Fend* d t GemiiitrM «t cédé I* dr^t an bail du Dnx où fl t’t^o tt* . à H. eter Ob u i .

Ponr lu «HPtsiiioBa. sH y a U*^ l ’adrtHtr an maBdauir* soaadgné. 498 A. 6AIU1ABD0T.

■ «n»M J>*M ' Iio n ia X iSCATY , atooi

- i Smili ;i r B E A V C H A J te S

Bstain a Po&t-SaiBtt'HixtBM.

VENTE SUR U G IT A TIO N

U N E P R O Ç R I Ê TgiM-i:.PO}ilisAIllIBl(.

TU HtnTaonroot* dt Xandi*«t rnp d* CaaUK,

UNKMAJSOJVSiM A PONTtSAlNIE-MAXENCB,

m* d* CtTilId.

U NE M AISO NSisri PONT-SaiNTE-]UXENCS,

ma Nibti,

.'dtMQjgUt.T c i t  i i e i D ÈPiUiD^çEs:’ La toBt'un«:rariuiTlTeB

4 6 .0 8 0 inètru.L’tdiBdleiÔDBaBra

le J e n d f T « M a i :1 8 0 4 , id e m h m r e t, '

EaJa KaMt dtGUIGNIS,. Par la aUBiit^n da. ll* I ébbt,

BOtain A Bdûilty.SUi«rrt, eominUI k et! tirt.

S*sAwif •Ponr aUltir, tnr Iti litax;Ponr toni naftigttmaBts :1* A i r SAinB-BXIIYK, «TOld

SaBliS. POBBaiTIBt U Ttitt;l: A H* SATAKX, iTond i Stalii,

prism lklauB it;3- AJI* PEtlBT, neialr* i Bitbiiy-

StiBt-Plone, d^ itta lN dn eihitr d u ehargu tt d m plan.

tllw turoin dt PoBT-ff’-liaxiBcx tt Honsaxcoranl

(Oiit).L’tdji>dlM«nn tnra litn It

D ln u iu iiiiîA B M a i 49041> d deiw liturw de reletle.

En PEtndt tt par It nbiiftèrt dt M'SiavraAHPg, BOtairt i P u t-

Eaintt-liaxtiiM. eoBiliis i ett affat.

« ad ru ttr pour lurmeememtnU : A H-* E 8 C 6 V T , CEAIIBABD

et 8ATABT. avonts k Stalli:A ■' BICHAKD, BOUIrt k Pont-

Salnte-Hixtnet; . . .E tk i r BEAUCHAliPS, BOtairt'à

PoBt-Salatt-Maxnet, dépoaitairt dn eabicr du ehaigcs.

in n iH DE M* G a u to n L id R *

lieendé en dnrit, aroné k Sralit, 44, rne Salat-PJ«rre,

ntceenenr de H* Diu p o b ii ;M* BALËZEAUX, no­

taire à ChantiUy; DELÂUNAY, notaire

A Sénlis.

V E N T Esur lidtatiOD

En la Mairie de Oonrieux, par leministère de M* Balùzeaox,

notaire k Chanüily,E N C E N T ’l 'R O I S tiO iT S

«eu faeulU de riunien totale ou fortieUe,DE ! 1* PME

F E B M ESiie à G d U V IE lJ X ,

DITES a in t e - a S .n n e »

UN CLOSEntouré de murs,

k edtd de la Ferme Sainte-Aime 3* ON

Sis à X a C S S lT , commnne de Saint-Uazimin ;

DEUX lilSOHSSisesèSAINT-MiiXIHiN;

98 P IE C E SDE

TERRE! «* Laula KSCAVY,

avont k Stalia, 7, n u dtVUltrtrt;

Et H'LOMBOIS, BOtairt k Prkey-snr-Oist.

V e n t e s u r u o t a t i g n ;.d’obbMAISON

OlPMmtBMM et MBandanata,. Sitnkuk LA PBËE,

eoBuamit dtSaint-Ltn-d’EutrtBtiL’adinâiution anra litn

le D iniaiiiohe 8 4 A v rii 4 8 0 4 ,

d deua heurts de rdevie.En la Vairit dt la consinat dt

SADil-LED'D’ESSEBEMT, tt par la niaistirt dt H‘ Lombois.

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Etude de M- DESABIE, notaireconjugal.

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Etndu dt M’ Paul CHAMBARD, avoné t Stnlis,

et M'BXMOLUÉRE, hnissitr kStnüs.

Etndt dt M- Edkoid FERRT, notaire k Béthisy - Saint - Piim,

M td so n sise k Néry. lien dit h Bontde la Ville, tt Paurcelle de te rtre siu mtM comanit, k r e n d r e par adjudication volea- taira, k Mùj, tn la maitit, la H. manche 94 Avril 19G4, k 8 nioni, par la ministère dt M* Ptny.

Eindei dt M-DEMOLIIÉRR, hniisiit k Seallt lOist),

et CHAMBARD, atoné k Stalis.Bail# #t très ImpaptsnttVealt

d ’O b je ta m o b ilie rs snoItH • t modspnts, B rouu , Obiq, d'ait et d’antiipiité, Püincet eki- noisu, Rouen tt Ntvtn, qu tn irii btilts Taplutriu d’Aibosson, ^ Ptiàtnru signéu « Samson >, nu trks grand* qnaatité de labitsax, Voitnru et Soiierle, anx tndim pabliqau, an COiitun d’Aoy-ea- Mnllitn, canton dt Be x (Oisi), iu Dimanche 8, Lnndi 9. itndi i l Dimaiiehe 15, Lundi 16 Mal 1(04 à nne heort t’a rtitvét très préeist, par le ministère, dt. M- Dtnollite nnissier k Senlis.

Elude dt M« DHERBB, bniisiir k Poùt-Sainit-Maxtnu.

B o iis M en b lè s à vendN anx tncnkrtt psbkqnes, ponr caosa dt donblt emploi, k VtmtnO, n domiân dt M. Chaixe, preptiétainL it Dimancht 8 Mai 19UÂ k dm htnru de ftitvéa. par le minlstirs de M'Dhtibs, hnissitr.

V e n te anx inchèru. , .tn trois lois, la Mardi 96 Avril 1904, quatre hti htiùt dt mldic tn l’tuditnct dts nistèrt d* criéts dn Tribunal eivl dt Stnlis-,.— dt ; 1’ la Ctmécata d ’4 o y -en - M isltien , et Mt dtptndarces, snr ; la mis* k prix d* 50.000 francs ; 9' |

k4m> é t v d x

9 p iè c e s d e te r r e , terroirs' de B tûcourt et Présy-shr-Oist, à r e n d r e par adjndiutioa volon-t«ir«p ie J>mi«RDb« IS Xll 19d«p tquatre htnru dt relevée, par ie mi­nistère d* M* Lombois, notaire, an la maititùt Blaineonrt.

MÊnn ùTVDnM e n b le s e t O b je ts me*

b i l i t r s A v e n d re aux udièru pnbJqu'.s, par suite dt Msiatien la conm nct, k Vilitnenve-anr-Tab berie, au doariciit dt M. Isidon Telle, marchand dt vins, le D jair cht l" Mai 1904, k dtnx htnmdi relevée, par le minisièrt dt IT Dhttbt, hnissitr.

KÙISE ÙTUDBu n e p iè c e d e b o is , prêt le Châ-! V e n te m o b iliè re , anx en- ttan, d’nnt eonttnanea dt 19 hu- chères- pabliqnu, t Saint-Leu d’Es- taru 98 aru 88 ctntiarts, sur la strent. après le décès de Mlle Célts- m ittkp 'ixde 3.000 frauu; 8* nne Unt-Emiât Vallet , maltrust dt n iè c e d e te r re , e t bo !s ,d tla bktMU-lavoir, le Dimanche 1 ’ Mai GOBienanct de 15 htctares 9 aru 1904, par le minUtère de M- Lom-

Grtfft dn tribnaal civil de Stnlis. Ktndt dt M'PETIT,! notaire k Stniis.

A vsndrs par adjudication vo­lontaire, M a iso n sis* k Bray, oemmnnt dt Roi.y, tnr la Piact, et 58 SPSS 25 osiitlsNS d* T erire , anx terroirs dt Bray et Brasunst,

BoitsyrCommnnt dt Saint-Ltn-d'Es- uraet, tn la maison qui appartenait klaftntMUtVaL'tt.

MÉMB ÉTUDl

B e lle m adton , siu i Précy- n r-o«*. avtBBt Henri; TonI, à

BimMiBht 16 Mai 1904, k deux'.vendre par atindiuMon voloi- htnru. kBray,tBlamaisond’écoi*.|tsirt, la Dimanche 15 Mai 1904, kI JssBv WosssReo A* •mlmwAm mn

Blés

Etude d* M'QUSNIIER, notairt k (UMmbly (Dut).

A vsndps par adjudication volon­taire, tn bioc, tn détail on par lots, an gré du amatton, k Btlit-Eglist, tn la stUt dt la mairie, par le mi­nistère dt M‘ Qatntitr, notairt k Chtmbly, le IHmknchtid Mail904, k dtnx htnru : 1' c e ^ s d e fe rm e , bithnints dhibltation et d’exploitation, avec moulin i sau tnr la rivière d’Sschtt, amitié le Moulin dt Saint-Juit, et environ 75 htetaru dt tsprss Isboum- bt#s, prés et bsls ; 9* m adson A ussBS de (tpms, iitn dit Saint- Jacqnu, sis eonunnnt et terroir deBtll*-BgUM(OlM).

dtnx htnru dt rtltvé*, tn l’émdt et par it ministère dt M’ Lombeit, notairt k Précy-snr-Ois ~

u tu n ÙTUSBA vsndrs par adindicition vo-

iontaire, en l’étndt et p u le minis­tère de M'Qatntitr, netklrt k Cham- bly, le D maonht 94 Avril 1934, k UM htnre niae m adson à usags ds ftrm t, avec olos y att*n<nt, et IQ hs8tâPAS :nnvlrsn ds te r r e , sltnés letroin de Roxqitroi u , (ihampsgn* (Ssint-tt-Olu), Oum- bly, Mttnil-tamt-Dmis, Ptesnoy-th- Ihillt et B lltfEgUse (O ta).

■ÉME tVVDUk vsndrs par adindiulion vo

...itairt, tn deiail on par lots, ai gré dès amatton, k BeUt-Bgiis*,.ta M salit’dt là msfriti le Dunkneht 99 mai 1904, k' noi htnr* près pré­cité, par le ministère dt M’ Qntn- tttr, notaire kChàmbty, tn prés.uet dk M- Puvaid, boMirt.k Citrmont, taviion dO hsotnrsads t e r r e si- inés Mrioir» de P<iatnx-lt-Htnt- b'trgtr, Botnd. Dindonne, Htniliy- tn-Ibeiit, Brttnoy-nn-Thtlit ' BtUt-Egiist. :

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ni prêtant nne sing p mjnre .au nnfirage

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»np j* deviens wn eU ' t , tin adtértaxr

I titres soni-délivrés'd

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DO COSR( « )

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