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N°199 - Chabbat Parachat Michpatim - Hebdomadaire édité par le Beit Machia’h de Arnona-Talpiot 058-4770055 - [email protected] Bonnes Nouvelles Photo de la semaine Travaux d’impression numérique logos, graphisme Demandez John pour service en français 072-2424245 [email protected] Jérusalem Beit Machia’h Centre Ville 6, rue Yavets Farbrengen le Jeudi soir 22h00 Rav Doron Oren 052-3618770 Beit Machia’h Arnona Cours de Tanya et Dvar Mal’hout le mercredi soir à 20h00 - 19/5 rue Chalom Yehuda 058-4770055 Beit Machia’h Har ‘Homa 34, rue Rav Its’hak Nissim Rav Shlomo Yossef Tsion Vente de Mezouzot, Téfilines, Talith Katan, Kippoth Yé’hi 050-4147725 Minyane ‘Habad à Baka le Chabbat à 10h30 suivi d’un Farbrengen 1, rue Dan à Baka synagogue «Tefila LeDavid» 058-4770055 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad franco- phone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764 Le Chabbat qui bénit le mois d’Adar : Dès maintenant dans la joie de la Guéoula ! Par Divine Providence, les nations du monde dans la semaine de la Paracha Michpatim 5752-1992, ont décidé de créer dans le monde une atmosphère de paix et d’entre-aide en votant de manière uni- latérale pour le désarmement et pour le vote de la redirection du budget prévu à cet effet vers un essor économique qui permettra de venir en aide à tous les habitants du monde. Et tout ceci, nous dit le Dvar Mal’hout de cette semaine, découle du Psak Din, du décret Rabbinique élisant le Rabbi de Loubavitch en tant que Roi Machia’h. Ouvrir les yeux ! Comment un Juif, aujourd’hui peut-il vivre dans son quotidien sans être profondément touché par la réalité qui s’offre à ses yeux. Ce n’est plus un rêve, ni un idéal qui a bercé des générations entières d’un espoir vague et loin- tain… C’est une réalité tangible, car dans une poignée de secondes, notre vie à tous va basculer vers un éveil de tous les instants, vers une vie composée de dévoilements, de joies indicibles, de compréhensions nouvelles. Une vie en couleurs, la récompense de nos efforts incertains de tous les jours pendant ce temps d’exil. Aujourd’hui, il nous faut vivre dans ce futur proche, dans ce monde que D.ieu a construit juste pour nous, et le faire pénétrer dans chacun de nos ins- tants afin d’être délivrés de tous nos soucis et accomplir immédiatement notre service divin dans une joie qui brise toutes les portes, toutes les bar- rières, toute la torpeur de la Galout. Mais de quelle genre de joie s’agit-il ? C’est une joie qui doit pénétrer notre âme et résonner dans nos pieds jusqu’à les faire danser. Si on avait compris encore plus tôt, de quoi il retournait, nous aurions dévoilé la délivrance, déjà à l’époque où le Rabbi, Roi Machia’h Chlita, nous le demandait, insistait sur la force de la joie qui, non seulement brise les bar- rières et les frontières de la Galout, mais surtout de cette joie qui brise et enfonce le portail de la Guéoula... La Sim’ha, la joie du mois d’Adar, doit être à nos yeux comme un exer- cice d’entraînement à la joie de la délivrance véritable et complète. Oui, nous entrons dans le mois d’Adar, le mois de Pourim, oui nous devons rajouter dans la joie, et le faire parce que la Torah nous y enjoint. Mais, aujourd’hui, pour celui qui a compris le message, nous ne sommes plus dans la joie parce que la Torah nous l’ordonne, mais bel et bien parce que le Machia’h est là, la délivrance est devant nous et nous avons été choisis comme étant la septième génération, celle de la délivrance, nous n’avons pas de mérite particulier pour avoir été élus, c’est juste que c’est tombé sur nous, comme un homme qui gagne au Lotto, qui a rempli son bil- let et qui en a même oublié l’exis- tence. Le Dvar Mal’hout de cette semaine, nous parle de cet événement sans pré- cédent, à savoir la décision entérinée par l’ONU d’oeuvrer pour un désar- mement qui libérera les budgets vers des buts économiques pour le bien de tous les peuples de la terre. C’est l’accomplissement du verset d’Isaïe (4.2) : « Ils transformeront leurs épées en socs de charrue… un peu- ple ne lèvera plus le glaive sur un autre peuple et l’on apprendra plus l’art de la guerre ». Le Rabbi, Roi Machia’h Chlita a donné le signal, ce verset qui est le point de départ de la délivrance pour l’humanité. Et ce ne sont pas des faits privés d’une personne ou d’un groupe de gens, c’est un événement mondial retransmit en direct sur tou- tes les chaînes de télévision du monde, dans toutes les langues. C’est le message de cette semaine, c’est le message de cette époque, c’est le message de maintenant, alors… Faites passer le message, dites le à vos amis, vos connaissan- ces, votre famille. C’est maintenant que la Guéoula se dévoile, ne perdez pas votre temps, utilisez-le avec intelligence car il est très précieux… Alors, qu’on le vive maintenant, cette joie brise les limites, celles de l’exil intérieur, et surtout celles de l’exil de l’humanité, dans l’amour du pro- chain, dans la joie, la Torah et les Mitsvot, faites passer le message : « Vive le Roi Machia’h Maintenant, Mamach !!! »… Le Rav Israël Shneïbelg raconte lors du grand rassemblement de Youd Chevat ses premiers pas vers la 'Hassidout 'Habad et vers le Rabbi en tant que Roi Machia'h et nous décrit son influence au sein de la communauté 'Harédite. Voir la vidéo du discours sur le site www.viveleroi770.com

Newsletter n°199

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Spécial Chabbat Mevare'him Adar

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Page 1: Newsletter n°199

N°199 - Chabbat Parachat Michpat im - Hebdomadaire édi té par le Bei t Machia’h de Arnona-Talpiot 058-4770055 - v iveleroi770@gmai l .com

Bonnes Nouvelles

Photo de la semaine

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JérusalemBeit Machia’h Centre Ville6, rue Yavets Farbrengen leJeudi soir 22h00 Rav DoronOren 052-3618770

Beit Machia’h ArnonaCours de Tanya et DvarMal’hout le mercredi soirà 20h00 - 19/5 rue ChalomYehuda 058-4770055

Beit Machia’h Har ‘Homa34, rue Rav Its’hak NissimRav Shlomo Yossef TsionVente de Mezouzot, Téfilines,Talith Katan, Kippoth Yé’hi050-4147725

Minyane ‘Habad à Bakale Chabbat à 10h30 suivi d’unFarbrengen 1, rue Dan àBaka synagogue «TefilaLeDavid» 058-4770055

Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072

Guilo : Beit ‘Habad franco-phone de Guilo Rav Its’hak‘Haviv 054-4833764

Le Chabbat qui bénit le mois d’Adar : Dès maintenant dans la joie de la Guéoula!

Par Divine Providence, les nations du monde dans la semaine de la Paracha Michpatim 5752-1992,ont décidé de créerdans le monde une atmosphère de paix et d’entre-aide en votant de manière uni-latérale pour le désarmement et pourle vote de la redirection du budget prévu à cet effet vers unessoréconomique qui permettra de veniren aide à tous les habitants du monde. Et tout ceci, nous ditle Dvar Mal’hout de cette semaine, découle du Psak Din, du décret Rabbinique élisant le Rabbi deLoubavitch en tant que Roi Machia’h.

Ouvrir les yeux ! Comment un Juif,aujourd’hui peut-il vivre dans sonquotidien sans être profondémenttouché par la réalité qui s’offre à sesyeux. Ce n’est plus un rêve, ni unidéal qui a bercé des générationsentières d’un espoir vague et loin-tain…C’est une réalité tangible, car dansune poignée de secondes, notre vie àtous va basculer vers un éveil de tousles instants, vers une vie composéede dévoilements, de joies indicibles,de compréhensions nouvelles. Unevie en couleurs, la récompense de nosefforts incertains de tous les jourspendant ce temps d’exil. Aujourd’hui, il nous faut vivre dansce futur proche, dans ce monde queD.ieu a construit juste pour nous, et lefaire pénétrer dans chacun de nos ins-tants afin d’être délivrés de tous nossoucis et accomplir immédiatementnotre service divin dans une joie quibrise toutes les portes, toutes les bar-rières, toute la torpeur de la Galout.Mais de quelle genre de joie s’agit-il? C’est une joie qui doit pénétrernotre âme et résonner dans nos piedsjusqu’à les faire danser. Si on avaitcompris encore plus tôt, de quoi ilretournait, nous aurions dévoilé ladélivrance, déjà à l’époque où leRabbi, Roi Machia’h Chlita, nous ledemandait, insistait sur la force de lajoie qui, non seulement brise les bar-rières et les frontières de la Galout,mais surtout de cette joie qui brise etenfonce le portail de la Guéoula...La Sim’ha, la joie du mois d’Adar,doit être à nos yeux comme un exer-cice d’entraînement à la joie de ladélivrance véritable et complète. Oui,nous entrons dans le mois d’Adar, lemois de Pourim, oui nous devonsrajouter dans la joie, et le faire parceque la Torah nous y enjoint. Mais,aujourd’hui, pour celui qui a compris

le message, nous ne sommes plusdans la joie parce que la Torah nousl’ordonne, mais bel et bien parce quele Machia’h est là, la délivrance estdevant nous et nous avons été choisiscomme étant la septième génération,celle de la délivrance, nous n’avonspas de mérite particulier pour avoirété élus, c’est juste que c’est tombésur nous, comme un homme quigagne au Lotto, qui a rempli son bil-let et qui en a même oublié l’exis-tence.Le Dvar Mal’hout de cette semaine,nous parle de cet événement sans pré-cédent, à savoir la décision entérinéepar l’ONU d’œuvrer pour un désar-mement qui libérera les budgets versdes buts économiques pour le bien detous les peuples de la terre. C’estl’accomplissement du verset d’Isaïe(4.2) : « Ils transformeront leursépées en socs de charrue… un peu-ple ne lèvera plus le glaive surunautre peuple et l’on apprendra plusl’ar t de la guerre ». Le Rabbi, Roi Machia’h Chlita a

donné le signal, ce verset qui est lepoint de départ de la délivrance pourl’humanité. Et ce ne sont pas des faitsprivés d’une personne ou d’ungroupe de gens, c’est un événementmondial retransmit en direct sur tou-tes les chaînes de télévision dumonde, dans toutes les langues. C’est le message de cette semaine,c’est le message de cette époque,c’est le message de maintenant,alors… Faites passer le message,dites le à vos amis, vos connaissan-ces, votre famille. C’est maintenantque la Guéoula se dévoile, ne perdezpas votre temps, utilisez-le avecintelligence car il est très précieux…Alors, qu’on le vive maintenant, cettejoie brise les limites, celles de l’exilintérieur, et surtout celles de l’exil del’humanité, dans l’amour du pro-chain, dans la joie, la Torah et lesMitsvot, faites passerle message:« Vive le Roi Machia’hMaintenant, Mamach !!! »…

Le Rav Israël Shneïbelg raconte lors du grand rassemblement de Youd Chevat ses premiers pasvers la 'Hassidout 'Habad et vers le Rabbi en tant que Roi Machia'h et nous décrit son influence au sein de la communauté 'Harédite. Voir la vidéo du discours surle sitewww.viveleroi770.com

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Concernant l’actualité, à la veilledu Chabbat Parachat Michpatim5752 (1992), les dirigeants dessuperpuissances de ce monde ontdécidé de placer leurs relationssous un nouveau jour. Il s’agit desupprimer l’état de belligérance etde réduire l’armement, afin de prô-ner la paix, l’unité et l’entraide.Ce mercredi, trois jours avantChabbat, le Président a déclaréqu’il diminuerait le budget consa-cré à l’armement et utiliserait lescrédits ainsi libérés pour renforcerla prospérité économique. Cettedécision a été ratifiée par l’assem-blée, dont les décisions ont force deloi, même d’après la Torah.

Le Machia’h œuvre déjà dans le mondeLes enfants d’Israël, peuvent tirerla conclusion suivante, au vu de cetavancementdans l’histoire: il estnécessaire de révéler la déli-vrance…La Guéoula sera effectivelorsque cesseront les guerres dansle monde et lorsque les nations«transformeront leurs glaives ensocs de charrues… un peuple neportera plus l’épée sur l’autre et ilsn’apprendront plus l’art de laguerre (2)». Le Machia’h lui-même obtiendra cette victoire. Iljugera les peuples et réprimanderacelui qui a commis des injustices(3). Dès lors, la paix règnera, leTemple sera reconstruit et toutesles nations s’y rendront, «car c’estde Tsion que jaillira la Torah et laParole de D.ieu, de Jérusalem», làoù résidera le Machia’h.

De la Russie-Egypte à la Russie-IsraëlUne prophétie claire se réaliseactuellement devant nos yeux. Nonseulement aux USA, mais aussi enRussie, pays qui mena une guerre

dévoilée contre le Rabbi Rayats,prince de notre génération. On yenseignait la Torah en cachette, aupéril de sa vie. Mais dernièrement,toutes ces restrictions ont disparu etle Judaïsme y est enseigné de lamanière la plus libre. Le nouveaugouvernement, adhérant au prin-cipe de la justice, de la droiture etde la paix, croit en D.ieu.

Les Bné Noa’h apprendront aussi la Hassidout!Dans la Paracha Michpatim (aupremier verset), la Torah énoncedes préceptes nouveaux, mais logi-ques, et Rachi dit qu’ils furenttransmis au mont Sinaï, au mêmetitre que ceux qui ont été énoncéslors du don de la Torah. C’est pourcela que le Juif doit les compren-dre, les intérioriser et s’y soumettreavec la même abnégation que tousles autres Commandements divins.De même, les enfants de Noé, lesnon-Juifs, doivent pour pratiquerleurs sept Commandements, pren-dre conscience avant tout, de leurorigine divine.

Un Psak Din (décret rabbinique)qui influence le monde entierPuisque dans la Paracha, nous trou-vons les lois qui concernent princi-palement les tribunaux, il y a un liendirect entre ce que les Rabbanim ont

tranché actuellement (que le tempsde la délivrance est arrivé) et ladécision des nations de tendre versune ère de paix et de bienfaisance.La Parachat Michpatim est particu-lièrement liée à la Guéoula car ellese place entre la Parchat Yitro qui setermine avec les lois relatives àl’Autel et la Parachat Terouma, où ilest dit : «Il me feront un Sanctuaireet Je résiderai parmi eux (4)». Ceci concerne aussi la Tseddaka

car dans notre Paracha, il est dit:«Si tu prêtes de l’argent à Monpeuple, aux pauvres(5)». La bien-faisance dépasse la Tseddaka qui,elle-même rapproche la délivrance.

La joie, le Mazal et la GuéoulaCe Chabbat est celui qui bénit lemois de Adar, dont le Mazal estbon. Il apporte la joie de Pourim etrapproche la délivrance de Pourimde celle de Pessa’h, comme il estdit : « Comme aux jours de ta sor-tie d’Egypte, Je te montrerai desmerveilles (6)», celle de la déli-vrance qui interviendra avantmême la fête de Pourim.

Machia’h NowEt que soit Sa volonté, et c’est leprincipal, que la délivrance sedévoile de la manière la plus immé-diate «Te’hef OuMiyad Mamach».Il est clair que l’on aura pas besoind’attendre jusqu’en Nissan, nimême jusqu’en Adar, puisque leMachia’h arrivera pendant leChabbat qui bénit le mois d’Adar, le27 Chevat, Za’h (Pur) Chevat, aumoment de la Séouda Chlichite, letroisième repas du Chabbat qui estrelié avec la troisième délivrancedans le troisième Temple.Et que ceci nous arrive de lamanière la plus concrète, Te’hefOuMiyad Mamach, selon les initia-les que comporte le mot Miyad (7). Ainsi que dans toutes les allusionscontenues dans le mot «Mamach*»,mais tout d’abord au sens le plus lit-téral, de la manière la plus concrète,Mamach, Mamach, Mamach…

Notes1/ voir Keter Chem Tov - 2/ Isaie 2-4, Mi’ha 4-3 - 3/ Radak - 4/ 25-8 -5/ 22-24 - 6/ Mi’ha 7-157/ Moshé, Israël (Baal Chem Tov)et David le roi Machia’h – et dansla note de bas de page n°148:Miyad = Mena’hem, Yossef etYits’hak et aussi Dovber

* Mena’hem Mendel Shneerson

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Le Carnet : Pour la réussite de ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Mena’hemMendel Israël Ben Gabriel, Noa Bat Menou’ha Ra’hel et Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel pour la famille Liraz Touval, pour Gary ChlomoBen Tserouya et David Ben Tserouya Pour la bonne santé de Mercedès Sarah Bat Fifine Réfoua immédiate Leilouï Nichmat de ‘HaïmYeochoua Ben Choulamite, Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia etRachel Pessa'h, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham, Yossef Abitbol Ben Clara, ‘Hanna Bat Ra’hel et Ruth Sarah Isska Bat Gabi.

L’Edit Royal - Dvar Mal’houtRésumé du discours de

Chabbat Parachat Michpatim qui bénit le mois de Adar Richone27 Chevat 5752-1992

du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita

Les nouvelles parlent le langage du Prophète Isaïe

Il est reconnu que chaque événement qui se passe dans le monde survient parl’intervention de la Achaga’haPratite (la Divine Providence - 1). Tout cela comporte un enseignement pourle service de l’homme envers SonMaîtr e, et plus encore, en ce qui concerne des événements fondamentaux de portée internationale dont les pro-tagonistes sont des Etats importants

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Ne plus connaître le calmeLa proclamation selon laquelle: «cela suffit de l’exil, AdMataï » et « nous voulons le Machia’h maintenant» n’estpas une pratique nouvelle, introduite ces dernières annéesaux Etats-Unis. De nombreux versets de la Torah exprimentl’affirmation des enfantsd’Israël, selon laquelle ils ne peu-vent pas supporter la difficulté de l’exil.Ainsi, le prophète Ze’harya dit: «Jusqu’à quand n’auras-Tupas pitié deJérusalemet des villes de Judée contre lesquel-les Tu t’es emporté ?». Et, la requête implorante:«Jusqu’à quand durera cet exil?» fait bien la preuve qu’onne peut le supporter. Lorsque l’on crie ces mots, on ne peutplus connaître le calme. Tout au long, on ressent la douleurde l’exil et l’on attend la venue de notre juste Machia’h,ainsi qu’il est dit: «En Ton salut, nous plaçons notre espoirtout au long du jour».(Chabbat Michpatim 5744-1984)

Histoir e

Etr e un Graff : Gout, Rei’h, Froum !

Il y a quinze jours de cela, le quartier de Tel Kabir à Tel Aviv a vu l’ou-vertur e du nouveau Beit ‘Habad parle Rav Chmouel Ma’hpoutz. Celui-ci, profitant de cette occasion nous a relaté son expérience au sujet del’écritur e au Rabbi Roi Machia’h Chlita par l’intermédiair e desIgueroth Kodech.

« Dans la plupart des cas où les gensécrivent chez nous au Rabbi RoiMachia’h Chlita, je ne connais pas laconclusion des événements, commentles choses se sont finalement arrangées,bien que nous soyons certains que tel estbien le cas. Mais récemment, il m’a étédonné d’être témoin proche de ce qu’ils’est passé par la suite.L’une des participantes au cours hebdo-madaire que donne mon épouse MmeNoa, a demandé de l’assistance afind’écrire au Rabbi Roi Machia’h Chita,au vu des difficultés financières qu’ellerencontre actuellement.Ainsi, après le cours, cette dame, quiavait reçu quelques explications sur laprocédure à suivre, décrivit sa situationtout en écrivant sa demande: « cela faitdéjà un certain temps que je ne trouvepas d’emploi digne de ce nom et les dixderniers mois, je ne trouve pas de travaildu tout, ce qui est au désavantage detoute la famille ». Et donc, elledemanda à trouver au plus vite unesource de revenu comme il se doit.Celle-ci se choisit le volume 3 desIgueroth Kodech, puis déclama: «Ye’hiAdoneinou Morénou Vérabbénou,Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !» etensuite introduisit la lettre au hasarddans le livre.Lorsque l’on ouvrit le recueil, la réponsese trouvait à la page 80 et était rédigéeen Yiddish. Mon épouse me demandaalors de voir cette réponse et de la luitraduire.L’une des lettres était envoyée à l’un desdonateurs du «Merkaz Leinyanei‘Hinou’h », et à laquelle était jointe unephotographie du Rabbi précédent,l’Admour Rabbi Yossef Its’hak, enremerciement pour son aide précieuse.Et il était expliqué que le portrait d’unhomme saint, donne des forces pours’engager dans la voie de la Torah et desMitsvot. A ce moment-là, je sortis unephoto du Rabbi Roi Machia’h Chlita etla donnais à cette dame lui disant: «Gardez cette photo avec vous, et detemps à autres regardez-là, ceci vousdonnera beaucoup de force afin de pour-suivre vos efforts dans la joie et l’en-thousiasme».Dans la seconde lettre, le Rabbi RoiMachia’h Chlita annonce au destinatairede la lettre qu’il lui envoie la somme de

5000 Dollars! En tant qu’acte de bien-faisance. Par la suite, il bénit cette per-sonne de devenir un «Graff » (termede noblesse), puis il lui explique le sensdes initiales de ce terme: Gout, Rei’h,Froum. Gout veut dire «bon » ce quiporte sur le travail de la Tseddaka, lacharité. Rei’h veut dire «riche », ce quifait allusion au don du Maaser, de ladîme, comme le disent nos Sages:«Aasser Kedei CheTitacher, donne leMaasser afin de t’enrichir», et «iln’existe de riche que par la connais-sance». Et Froum signfie «qui craintD.ieu», grâce à la richesse en connais-sances, on obtient l’amour et la craintede D.ieu jusqu’à la richesse au sens litté-ral. En présence d’une telle somme inhabi-tuelle de bénédictions, je lui dit:«Apparemment, vous n’allez pas justetrouver un travail qui vous convient,mais vous allez aussi recevoir une aidefinancière inattendue».Depuis la rédaction de cette lettre, sesont passées quelques semaines, puiscette femme revint nous annoncer qu’eneffet, elle avait trouvé un emploi surmesure. Mais pendant cette période, ellereçu une lettre des impôts. Elle sedemanda qu’est-ce qu’ils pouvait bienvouloir maintenant?! A son grand éton-nement, cette fois-ci, elle n’aurait pas àpayer. En effet, ils lui annonçaient qued’après leurs calculs et vérificationsexactes, il lui revenait un rembourse-ment de 5000 Shekels!!!Nous lui avons souhaité, après la réalisa-tion de la première partie de la bénédic-tion du Rabbi Roi Machia’h Chlita, quese réalise la suite, devenir un «Graff »:Gout, Rei’h, Froum.

Traduit de la Si’hat HaGuéoula

Guéoula

La déclaration «Vive le roi»Et l’essentiel est que, à travers tout cela, se dévoile laDélivrance par l’action du Machia’h. Il est fait allusion àcela dans la conclusion de la Haftara de la semaine dernièreet le début de la Paracha de cette semaine : la Haftara s’estterminée la semaine dernière par la proclamation « Yé’hiAdoni Hamele’h David Léolam, vive mon seigneur, le roiDavid, pour toujours ! (Rois I. 1.31) ». Celle-ci exprimele dévoilement de l’existence même du Machia’h.Etgrâce à cela et à la suite de cela, vient son dévoilement auxyeux de tous par ses actions pour délivrer le Peuple Juif…(Dvar Mal’hout Toledot 5752-1992)

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Mme Daniella est une ‘hassida de‘Habad, mère de quatre enfants,habitant le village de «Tenouvoth»près de Kfar Yona dans la région deSharon. Il y a de cela cinq ans,celle-ci était bien éloignée de toutce qui concerne le Judaïsme et latradition. Cependant, son mari quiavait déjà fait ses premiers pas versle Judaïsme dans différents envi-ronnements, tenta à plusieurs repri-ses de faire participer son épouse àun séminaire d’étude, mais cela nelui disait décidément rien du tout.La véritable révolution dans sa vien’intervint que lorsqu’elle rencon-tra le Rav Tsema’h Avraham, Ravdu village Yanov, non loin de leurendroit d’habitation. Sa rencontreavec le Rav et son épouse, laRabbanite, et une participationintensive aux cours de ‘Hassidout,la passionnèrent véritablement, ilsfurent pour elle comme une sourced’eau fraîche pour une âme assoif-fée. Très rapidement, elle découvritla lumière du Judaïsme reflétée parla ‘Hassidout ‘Habad. Et commedans un parcours dessiné àl’avance, elle, son mari et sesenfants se connectèrent de manièretoute naturelle avec le grand lumi-naire, le Rabbi Roi Machia’hChlita.Au fil du temps, ils reçurent desdirectives claires par l’intermé-diaire des Igueroth Kodech, directi-ves qui encadraient leur vie de tousles jours. L’une des réponses qu’ilsreçurent entraîna leurs deux fils àfaire un long trajet, deux fois parjour pour étudier au Talmud Torah‘Habad de Nathanya.Dès le matin, les enfants prenaientleur chemin en bus vers l’école.Mais, un jour, ceux-ci se mirent enretard et restèrent par conséquent àla maison. Leur mère décida de nerenoncer à aucun prix à cette jour-née d’étude et commanda un taxipour accompagner ses enfants auTalmud Torah.Après que les garçons grimpèrentdans le taxi, ils purent distinguer denombreuses photos du Rabbi cou-

ronnant l’intérieur du véhicule. Ilsattirèrent l’attention de leur mèreavec animation sur ces photos,s’identifiant clairement comme‘hassidim de ‘Habad et entonnèrentjoyeusement les 12 Psoukim.Le chauffeur du taxi, M. ChalomAvi-Kissar, un Juif pratiquantdemeurant à Nathanya, avait l’airtout à fait satisfait de la scène affi -chant un grand sourire. Puis, aprèsque les enfants eurent fini de scanderles 12 verset de Torah, Chalom setourna vers la mère pour lui deman-der la destination de la course. Enentendant que la petite famille serendait au Talmud Torah ‘Habad deNathanya, il dit avec enthousiasme:« S’il en est ainsi, laissez-moi vousconter une extraordinaire histoire de« coïncidence divine», ou plutôt deAchga’ha Pratite…Voilà comment toute l’histoiredébuta: Il y a de cela trois ans,mon frère vint chez moi pour unevisite. Il tenait à la main un fasci-cule du mouvement ‘Habad et dèsqu’il fut installé, commença à melire une histoire à faire frissonner,du Rabbi de Loubavitch. Il s’agis-sait d’un ‘hassid de Gour dont lejeune fils était subitement tombémalade et, D.ieu préserve, futatteint de paralysie. Après que lesmédecins eurent perdu tout espoir,le ‘hassid entama une tournée com-plète de tous les grands rabbanim,tous les Admourim afin de deman-der leur bénédiction. Un certaintemps se passa et il vit que rien neprogressait et que la maladie de sonfils perdurait. Il était arrivé au seuildu désespoir, voulant baisser com-plètement les bras…Et c’est juste à ce moment-là quecertains de ses amis lui conseillè-rent de se tourner vers le Rabbi de

Loubavitch dont les prodiges et lesmerveilles sont un pain quotidien,afin de demander sa bénédiction.Au départ, le père étant un ‘hassidGour, refusa d’écouter leur conseil,mais, comme ceux-ci répétaientleur discours sans discontinuer, etau vu de sa douleur accablante, pritquelques effets et se rendit avecson fils à New-York, direction, lamaison du Rabbi Roi Machia’hChlita. C’était là une opérationdont la logistique ne fut pas évi-dente, un voyage aux Etats-Unisavec un fils paralysé, mais il sur-monta tous les soucis matériels etfit le voyage.Après quelque temps, il fut reçutpour une audience privée, maispassées quelques minutes, il lui futdemandé de quitter la pièce. Puis,lorsqu’il entra de nouveau dans lebureau, la vision qui s’offrait à luile sidéra totalement, il était sous lechoc : Son fils était debout sur sesjambes et conversait avec le Rabbicomme si de rien n’était…Je demandais à mon frère de medire ce qu’il pensait de ce récit.Nous étions sûr que les faitsavaient été grossis de manière dis-

proportionnée, ou alors qu’ils’agissait tout simplement d’unefiction et que rien de tout cela nes’était réellement passé…Quelques jours plus tard, alors queje roulais dans le centre deNathanya pour mon travail, unhomme d’apparence JuifOrthodoxe arborant une bellebarbe, arrêta mon taxi et medemanda de l’accompagner versune maison de retraite se trouvant àl’autre extrémité de la ville, puis devenir l’y chercher pour ensuitel’emmener à Achdod. J’acceptais etnous voilà partis à travers les ruesde Nathanya.Lorsqu’il termina sa visite à la mai-son de retraite, je vins le chercherpour l’accompagner à Achdod. Maisle temps d’un tel trajet étant particu-lièrement long, nous entamions unediscussion sur des sujets divers. Aucours de la conversation, il merévéla qu’il dirigeait une institutionpour les jeunes dans la ville de Tsfat.Il se présenta comme étant un ‘has-sid ‘Habad, mais son père à qui ilvenait de rendre visite, appartenait àun autre mouvement ‘hassidique.Au cours du trajet, je me rappelaisde cette histoire que mon frèrem’avait lu récemment. Je luidemandais alors son avis à ce sujetet surtout si toute cette histoiremanquait-elle de crédibilité à sonsens. Pendant quelques minutes, jene bénéficiais absolument d’au-cune réaction de sa part, mais lors-que je me tournais vers lui je visqu’il était devenu blanc comme unlinge. Et ce n’est qu’alors qu’il réa-git pour me dire: « Ce garçon…c’était moi… ».

Traduit de la Si’ha «Vivre l’époque de la Guéoula»

w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mRécit

Allumage desBougies

Chabbat Parachat Michpatim

Jérusalem Entrée : 16h44Sortie : 17h58

Le taxi du miracle…Une émotion toute particulièr e se fit sentirdès que Madame Daniella Hellerraconta l’effet de la Divine Providence qu’elle enten-dit, il y a de cela quelques jours.

Vivr e la délivranceChaqueJuif à la force, quand il marche dansla rue, deressentird’ores et déjà la déli-vrance, de s’élever au-dessus des barrières etdes obstacles de l’exil, de mettre en pratiquela Torah et les Mitsvot d’unemanièresanscesse accrue, sans la moindre difficulté. Car,il est un roi, maître du pays dans lequel il se trouve, dominant tout cequi l’entoure. Il peut servir D.ieu sans obstacle et il le fait effective-ment. Il met en évidence, dans le monde entier, la Royauté de D.ieu, lefait que : « l’Éternel règne pour l’éternité». C’est en vivant la déli-vrance de cette façon que l’on établit son appartenance à ladernièregénération de l’exil, qui deviendra immédiatement lapremièrede ladélivrance. (Chabbat Paracha Balak 5750-1990)