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110 NOVEMBRE 2012 à FÉVRIER 2013 d’Union Trait

Trait d'Union n°110

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Magazine du Comité d'Entreprise du journal "L'Alsace-Le Pays"

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Ainsi donc, ce n’était pas suffisant !!! 172 milliards d’euros (oui, vous avez bien lu) de cadeaux fiscaux et sociaux aux entreprises par an. Pourtant, le pro-blème voyez-vous, la France n’est pas compétitive ! Il faut réduire le coût du travail, et, en bonus, tirer 20 milliards supplémentaires dans les caisses de l’Etat qui, parait-il, sont vides, en crédit impôts aux entreprises.Au passage, on pourrait suivre le sage conseil de Huw Pill, économiste en chef de Goldman Sachs en Europe, qui préconise de laminer de 30 % les salaires des Français. Pour ceux qui auraient la mémoire courte, Goldman Sachs est la banque par qui la plus grave crise du capitalisme est arrivée, en 2008.

Comme l’appétit de ces gens est sans limite, on en remet une couche lors de négociations qui, à défaut de sécuri-ser le contrat de travail, sécurise la liberté absolue des patrons de licencier comme bon leur semble, avec la lamentable complicité de trois syndicats dociles, flexibles et malléables à souhait. Comme la dynamique est favo-rable telle les vents du Vendée Globe dans les voiles des grands aventuriers, autant profiter des grandes vagues porteuses et en remettre une louche de circonstance. Ne voilà-t-il pas que le dossier des retraite refait opportu-nément surface. Sans surprise, toute honte bue (la réforme/coup d’état de Sarkozy semble si loin), voilà les retraités et leurs privilèges responsables de la dégrada-tion des caisses de retraites.

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Le 25 janvier 2013, au siège des DNA à Strasbourg, la FILPAC-CGT a lancé la compagne pour la défense et le développement de la presse en Alsace. Une initiative qui fera date, fruit de la coopération entre les sections syndicales de nos deux entreprises.

Loin d’être un coup médiatique ponctuel, ce meeting marque le point de départ d’une mobilisation appelée à durer. Près de 250 manifestants se sont rassemblés, dans un froid intense. Les prises de paroles de Hubert Strauel (Filpac Alsace), Nadia Slimani (DNA), Sandrine Debenath (L’Alsace-Le Pays), Jacky Wagner (UD-67) et Marc Peyrade (secrétaire général de la FILPAC-CGT) ont été très appréciées, par leur complémentarité et leur tonalité offensive. Nous avons pu mesurer le niveau de solidarité au sein de toute la CGT par les nombreuses délégations

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3Alors que dans le même temps, mais cela, la volaille qui fait l’opinion ne fait pas le lien, plus de 1000 emplois sont suppri-més chaque jour en France.Seule question : quand est-ce que ça va péter ? A force de vouloir nous inoculer les bonnes valeurs du fatalisme, du renoncement et de la résignation, la cohorte hurlante des nouveaux chiens de garde* politico-médiatico-financiers va bien finir par réveiller ce qu’elle craint le plus : l’esprit de révolte, la soif de justice, de solidarité, qui sommeillent en chacun d’entre nous.La violente charge contre les syndicats qui osent contester l’ordre établit, l’assimilation ministérielle militant syndical = terroriste en puissance, les bataillons de CRS envoyés sur chaque manifestation, le scandaleux retournement de res-

ponsabilité visant à faire de la CGT le principal responsable des plans sociaux, la volonté permanente de diviser les sala-riés, pour écœurantes et démagogiques qu’elles soient, est révélatrice d’une certaine nervosité face à la montée des mobilisations.Une fois n’est pas coutume, le 5 mars prochain, FO et la CGT unissent leurs efforts et appellent à la mobilisation contre le funeste accord dit de "sécurisation de l’emploi" qui, bizarre-ment, par un tour de passe-passe dialectique, est devenu l’accord "pour un nouveau modèle économique et social". En refusant de signer ce qui entérine une très grave régres-sion des droits sociaux des salariés, ces deux syndicats ont pris une décision lucide et indispensable.Dans l’affaire, seul le patronat y trouve son compte.

Ne nous y trompons pas : les dés ne sont pas jetés. Ledit accord est censé être transcrit dans la loi, d’ici le mois de mai. Ce n’est pas pour rien que Madame Parisot et le Medef mettent tout leur poids dans la balance pour que le texte ne change pas d’un iota. Certains élus se sont engagés à faire barrage pour empêcher l’adoption de la loi.Mais ce n’est pas à ce niveau que nous gagnerons cette impor-tante bataille : le niveau de mobilisation des salariés sera déterminant pour empêcher ce mauvais coup. A chacune, à chacun, de prendre la mesure de l’enjeu en participant aux manifestations qui seront organisées le 5 mars.

*Film documentaire (2011) de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat, démon-trant les liens cosanguins entre la politique, les médias et les milieux industriels et financiers, que je vous recommande chaudement.

qui ont fait le déplacement, parfois de très loin (Nice, Bordeaux, Rennes, Rouen, Lille, Paris, etc.).

Des enjeux majeurs pour l’avenir de nos journaux sont à l’ordre du jour. Point de ralliement : la volonté exprimée par notre actionnaire, le Crédit Mutuel, que ne subsisterait qu’un seul journal en Alsace d’ici dix ans. Au rythme effréné des restructurations qui touchent tous les secteurs d’activité de nos entreprises, il est certain que ce délai risque bien d’être abrégé. Ce qui donne de très grande responsabilité aux organisations syndicales.

Deux postures sont possibles : soit on accompagne le mouvement, soit on prend les devants en envisageant le scénario d’une toute autre manière. Pour la FILPAC-CGT, c’est clair, la deuxième version s’impose. C’est un choix difficile, mais un choix de courage, de volonté, de ténacité et d’opiniâtreté. Car il s’agit d’écrire une nouvelle page de la riche histoire de nos deux journaux, au service de nos lecteurs, garant de nos emplois. La multiplicité des initiatives que nous avons mises en œuvre sont conformes à cette ambition : mise en ligne d’une pétition de soutien, courrier aux élus (députés, sénateurs, maires, conseillers régionaux et généraux) et partis politiques. La prochaine étape : construction

d’un projet d’entreprise, publication d’un tract en direction de nos lecteurs, insertion d’un communiqué de presse, demande d’entrevue avec Michel Lucas, adresse aux directeurs de caisses de Crédit Mutuel.

Cette campagne, la FILPAC-CGT entend bien lui donner un écho retentissant. Nos ambitions sont fortes, mais n’auront des chances d’aboutir que dans l’unité et avec le soutien de tous les salariés. Il sera également nécessaire d’ouvrir le débat à tous les syndicats de L’Alsace-Le Pays et des DNA. Notre campagne et nos initiatives auront d’autant plus de poids, en construisant une stratégie unitaire dans laquelle chacun trouvera sa place et son expression. Tout ce qui sera défini et entrepris dans l’unité sera un atout pour tous les salariés. La FILPAC-CGT est ouverte à toute proposition qui va dans le sens d’une construction commune.

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la culture binationale de la région Alsace, à raviver ou à développer ses connaissances linguistiques. D’où le choix délibéré d’introduire des séquences à visée plus pédagogique pour les scolaires et les enseignants (vulgarisation scientifique et étymologie avec la rubrique Wissen, nouvelle pour les jeunes lecteurs, lexique alsacien, critiques de livres et de films). L’équipe de la Bilingue œuvre au quotidien pour offrir un éclairage sur les sujets d’actualité et diversifier les thèmes, le tout dans un souci de qualité et toujours dans la bonne humeur. Soulignons par ailleurs que la Bilingue a été une pionnière au niveau de la mutualisation des journaux, puisqu’elle fournit chaque jour depuis janvier 2012 le supplément allemand aux Dernières Nouvelles d’Alsace. Présentation des troupes.

Michel Schwindenhammer. À la tête de la rédaction allemande depuis de nombreuses années, ce germaniste de formation, natif de Cernay (avec une grand-mère allemande), ex-professeur d’allemand à l’IUT de Mulhouse, cheminant souvent d’un pas alerte sur les tracés des marches populaires en Alsace et en pays badois, fan de fantasy, de science-fiction et notamment de Stars Wars, et boute-en-train incorrigible à ses heures, a effectué l’essentiel de sa carrière professionnelle au sein de la Bilingue, d’abord comme traducteur à la Locale de Wittelsheim, puis aux Informations Régionales avant d’intégrer les Informations Générales. Ses compétences linguistiques, son sens de l ‘organisation et son « feeling » légendaire dans le recrutement de stagiaires germanophones, en font le « cerveau » de l’équipe.

Petra Wisson. Venue du fin fond de son Tyrol du Sud natal, où elle a également occupé

Sprechen Sie Deutsch ? En arrivant à partir de 11 heures du matin au centre du plateau rédactionnel au siège du journal, juste à côté de l’équipe du service multimédia, vous entendrez peut-être des personnes communiquer dans la langue de Goethe. Surprenant dans un journal français. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute, vous êtes bel et bien au sein de la petite « Mannschaft » de la Bilingue et c’est l’ami Michel qui est en train d’initier sa « nouvelle stagiaire allemande » aux subtilités de Methode. Un renfort toujours bienvenu, les effectifs n’étant pas vraiment pléthoriques. L’équipe de la Bilingue se résume à trois journalistes, Michel pouvant compter sur l’appui de Petra à mi-temps et de Theo de manière plus sporadique.

Le maître-mot du service est la rigueur, une rigueur bien entendu toute germanique, de manière à pouvoir proposer au lectorat des articles intéressants et de bonne qualité linguistique. Le journal bilingue de jadis, presque entièrement traduit il y a une vingtaine d’années encore, a vu ses effectifs, la proportion de pages allemandes et le nombre de ses abonnés (souvent âgés) fondre peu à peu. Il a finalement laissé la place en 2002 à une nouvelle formule, plus innovante et plus dynamique, un supplément de 8 pages entièrement en allemand, qui mélange de façon subtile l’actualité, les thématiques de type magazine et les pages loisirs (jeux, roman, rétrospective, combinaison de photos). Le groupe cible n’est cependant pas, comme beaucoup le pensent souvent, les seniors. À la faveur d’une opération marketing menée en 2008, force est de constater que le produit pouvait aussi susciter de l’engouement auprès d’un public moins âgé, prompt à défendre

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Theo, une figure emblématique du journal

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Petra, toujours aux petits soins pour la Bilingue

Stephanie, la nouvelle stagiaire venue tout droit de Bavière

des fonctions dans l’enseignement, avant de débuter à « L’Alsace » comme traductrice à la Locale Mulhouse, le fidèle bras droit et pendant féminin de Michel est, bien qu’un tantinet plus discrète, un modèle d’abnégation et d’efficacité dans les tâches rédactionnelles, toujours prête à rendre service, et un rouage essentiel du dispositif.L’adage « bon pied, bon oeil » est également de circonstance pour cette randonneuse aguerrie qui ne recule jamais devant l’effort. Son côté nature se retrouve aussi dans sa passion de la vigne, dans les coteaux de Rouffach, et son traditionnel pot d’automne « Vin nouveau, Spàck un Nussa » est unanimement apprécié par tous les collègues au siège.

Stephanie Braun. La (toute) nouvelle stagiaire de la Bilingue. En provenance de Munich, cette étudiante polyglotte (allemand, français, anglais, espagnol, italien et chinois), qui se destine à l’enseignement, espère apporter un vent de fraîcheur dans la rédaction, tout en faisant profiter la Bilingue de son savoir-faire et de ses idées, avec l’objectif de découvrir le monde de la Presse et de perfectionner son niveau de français.

Theo Rittelmeyer. Une figure emblématique du journal avec un sens prononcé de l’engagement. Originaire du Pays de Bade,il a longtemps fait partie des piliers de la Bilingue avant de se consacrer à d’autres tâches au sein du journal (Informations Générales, rédaction de nuit, Sports, L’Alsace du Lundi, sans oublier qu’il est également un pronostiqueur hors pair pour les courses hippiques). Actuellement en poste au Plan de pagination, il intervient en fin de carrière, comme par un juste retour des choses, à nouveau sporadiquement dans

l’organisation de la Bilingue, remplaçant régulièrement Michel pour confectionner le supplément ou se chargeant du découpage et de la mise en page du roman allemand. Excellent pongiste, il sait reprendre la balle au bond et placer un smash dévastateur pour venir à bout des adversaires les plus coriaces.

Dans le bastion de la Bilingue, ces irréductibles germanophones ne sont pas de mauvaises langues et n’ont pas davantage un cheveu sur la langue, point de langue qui fourche, de langue de bois ou de langue donnée au chat, toute la « Mannschaft » a par contre la langue bien pendue et, pour le plus grand bonheur des insatiables lecteurs, n’a pas la langue dans sa poche.

Et pour bien conclure : Ende (Ente ?) gut, alles gut !

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Denis Ritzenthaler, notre journaliste spécialiste de l’agriculture en général et de la viticulture en particulier, cultive depuis la mi-novembre ses nombreux talents à la retraite.

Né en 1948, Denis a effectué des études de théologie puis travaillé d’abord dans la fonction publique avant de faire carrière dans le journalisme. Il a attrapé le virus à Libreville, au Gabon , où il a animé des émissions de radio et TV durant son service au titre de la coopération. Le changement d’orientation professionnelle a été marqué par une formation au CUEJ, l’école de journalisme de Strasbourg, avant d’être embauché à L’Alsace en 1988 à la rédaction de Colmar.

Après un passage au service de nuit du siège, il a été durant 15 ans le responsable et l’animateur de l’agence de Sainte-Marie-aux-Mines où il a fait de L’Alsace le journal dominant dans le Val d’Argent. La fermeture de cette agence en 2010, alors qu’il avait été muté entre temps à Sélestat, l’a profondément touché, sans pour autant briser son enthousiasme professionnel. Il a suivi une formation

de sommelier et bien vieilli en prenant de la bouteille.

Chevalier de l’ordre national du Mérite agricole et co-auteur, avec Serbe Dubs, d’un ouvrage de référence sur les Grands Crus d’Alsace, Denis est tombé tout petit dans le grand bain du syndicalisme CFDT. Son papa a été secrétaire général d’une union locale en Lorraine, son frère est secrétaire national du SGEN CFDT et son épouse est également une fervente militante syndicale.

Délégué du personnel à L’Alsace-Le Pays, il continue de siéger au bureau régional du syndicat S3C (communication, conseil, culture) de la CFDT ainsi qu’au conseil national de l’union syndicale des journalistes CFDT. Denis est, par ailleurs, toujours adjoint au maire d’Ostwald, chargé

de la concertation et du dialogueavec la population, un vaste programme qui va bien l’occuper

Salut l’ami Denis, mach’s güat camarade !

C’est accompagné de son épouse Brigitte que Denis a reçu ses amis et collègues

Les camaradesde la CFDT trinquant !

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7Soir de fête au prépresse publicité ce 23 janvier : Philippe Rohr a fait valoir son droit à une retraite bien méritée. C’est dans l’allégresse générale, avec les collègues de l’entreprise, que fut organisé un buffet comme les ouvriers du Livre savent si bien le faire...Philippe était le plus ancien salarié en activité à L’Alsace-Le Pays. Entré en apprentissage en sep-tembre 1968, année prémonitoire s’il en est, ce natif de 1953 est le fils d’un personnage illustre qui a formé des bataillons de typographes, René Rohr.Après quatre années d’apprentissage, il accède au service prépresse du journal, encore implanté dans ses locaux historiques de l’avenue Aristide-Briand, en tant que linotypiste. Si sa vitesse d’exécution sur un clavier est légendaire, son engagement syndical et politique ne l’est pas moins. Fidèle parmi les fidèles à la CGT, d’abord à la FFTL, puis à la FILPAC, il sera de tous les combats pour améliorer les conditions sociales des travailleurs. Il n’hésite pas à franchir le Rubicon politique en adhérant au Parti communiste, enthousiasmé par les discours enflammés d’une autre pointure de l’époque, notre regretté camarade Robert Umecker. Durant cette période, nombreuses furent les soirées passées à confectionner des affiches pour la fête de l’Huma à grands coups de Markers indélébiles

avec la complicité de certains comparses…Homme épris de culture et de littérature, Philippe épouse Jacqueline, une consœur journaliste de la rédaction bilingue, en 1984. Hiver comme été, le vélo était privilégié pour effectuer le trajet domicile / travail. Toujours équipé comme il se doit, ses fameuses pinces à pantalon, son casque ou son gilet fluo resteront dans les annales.Comme nombre d’anciens typos, il a connu les multiples évolutions du métier et les mutations techniques liées à la modernisation des outils de production. Après une longue période à « maltraiter » les claviers, Philippe a tout naturellement opté pour le métier de correcteur quand l’opportunité s’est présentée, au grand dam de ses collègues du prépresse publicité, tant sa nature sourcilleuse et pointilleuse avait trouvé là un terrain d’expression fertile. Nous ne compterons pas le nombre de stylos rouges usés, pas plus que les pages des dictionnaires abîmées à force de les feuilleter. « Tuyau » « Rehrala » « Maître Capello » comme on aimait l’appeler, Philippe était un collègue discret, et en même temps généreux qui n’hésitait pas à prêter main forte à ses pairs pour un souci de cellules ou de formules de calcul sur Excel.Après 45 années de bons et loyaux services à son journal, Philippe a décidé de raccrocher les gants, non sans avoir assuré la relève en dévoilant ses meilleurs tuyaux à ses camarades du service correction ;-)Nous te souhaitons une longue retraite, fructueuse, sportive et culturelle auprès des tiens et excuse-nous d’avance pour les coquilles qu’on laissera passer ! Bon vent Philippe.

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Avant de concrétiser ce rêve il est de notre devoir de rappeler que les esturgeons pêchés (surtout ceux de moins de 2 m) sont à remettre à l’eau…

Plus terre à terre ou restons les pieds dans l’eau, pour 2013, le trésorier et le président tablent sur un budget aux alentours de 6700 euros.

Ces sommes serviront pour l’alevinage (3800 euros), les impôts (500 euros), les journées de travail (250 euros), divers travaux (bancs, toilettes, barbecue, boucher les trous à la clôture) ainsi que pour l’achat de matériel servant à l’installation de 2 guérites, la première permettra de couvrir 1 barbecue, la 2e de protéger la dernière table côté droit de l’étang et servira également d’abri pour les pêcheurs.

Quant au bassin de rétention : point mort.

Le président propose également quelques modifications du règlement intérieur : « seules les bourriches anglaises sont autorisées » et « ….esturgeons doivent être remis à l’eau ». Dans le paragraphe pêche au brochet supprimer « …et montage fil d’acier ».

Tous ces points seront débattus lors de la prochaine AG dont l’ordre du jour sera communiqué à chaque membre.

à Ballersdorf ?

Le comité de la section de pêche du CE s’est réuni le 10 décembre 2012 sous la houlette du président Philippe Matter.

Le bilan de la saison 2012 est qualifié de « bon cru » et il propose de tenir notre assemblée générale le 11 février 2013.

La section compte 65 membres à jour de leur cotisation dont 20 ayants-droits et 7 extérieurs.

Les deux journées de travail ont été très bien suivies (une vingtaine de présents) et ont permis élagage des arbres et autres divers travaux.

Les finances sont saines avec un excédent de 800 euros. Le détail sera présenté lors de l’AG de février.

Les propositions d’alevinage qui ont été soumises

Dates de fermetures et ouvertures 2013Fermeture carnassier : 1er/03Ouverture truite : 9/03Ouverture générale : 16/03Fermeture carpe : 20/10Ouverture carnassiers : 27/10Fermetures de l’étang : du 1er au 8/03 et du 21 au 26/10Journées de travail : 2/03 et 19/10Journée apéro : 8/06 Une pêche de nuit est prévue.

à la dernière AG ont été concrétisées soit : 550 kg de carpes ainsi que 150 kg de « grosses », 50 kg de brochets, 60 kg de tanches, 50 kg de gardons, 50 kg de grosses truites, 50 kg de truites portions ainsi que 10 kg d’esturgeons, le tout pour un montant de 3600 euros.

Oui, vous avez bien lu : 10 kg d’esturgeons.

Pour les puristes : poisson chondrostéen il est de la famille des acipenser baeri, il peut atteindre un poids de 200 kilos et mesurer jusqu’à 2 mètres, son espérance de vie est de 60 ans.

Eh oui, il risque de nous enterrer. Il vit dans les fleuves sibériens et dans l’océan atlantique (et maintenant à Ballersdorf). Il ne peut être aleviné que dans les eaux closes. Les 10 kilos représentent la mise à l’eau de 3 spécimens.

Du point de vue culinaire les œufs d’esturgeon, trois à quatre millions par femelle (quand même) conservés dans la saumure constituent le caviar.

Nous y voilà. Le comité proposera lors de la prochaine AG du 11 février 2013 le droit d’exploiter, dans un futur proche, cette richesse. Nous pensons que le CE n’y sera pas opposé vu que cela permettra à la section une autonomie financière voire à devoir verser des dividendes au CE qui reste propriétaire du site.

Eh oui... Il y aura bientôt du caviar vu ce bel esturgeon qui a été lâché dans les eaux de l’étang du CE

du

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9sur l’entretien, la location et les achats à « La clinique du Ski »34 rue de Guebwiller - 68260 KINGERSHEIMsur présentation de la carte du CE

10%de remise

La section ski du comité d’entreprise vous propose des « Dimanches de neige en Suisse ». Ski de piste, surf, ski de fond, marche, selon vos envies.

Dimanche 17 mars 2013 :Châtel. Départ en bus depuis le centre d’impression, dimanche matin à 5 h, retour vers 21 h.

Tarifs pour les salariés de L’Alsace-Le Pays : adultes : 50 euros ; adolescents (de 16 à 19 ans) : 48 euros ; enfants (de 6 à 15 ans) : 44 euros ; marcheurs (sans le forfait remontées mécaniques) 26 euros.

Tarifs pour les externes : adultes : 70 euros ; adolescents (de 16 à 19 ans) : 68 euros ; enfants (de 6 à 15 ans) : 62 euros ; marcheurs (sans le forfait remontées mécaniques) 36 euros.

Les tarifs comprennent le voyage aller-retour en bus ainsi que le forfait ski.

Dimanches de

Suisse

Dimanche 10 mars 2013 : Saanenmoser. Dimanche 24 mars 2013 : Grindelwald ou Engelberg. Départ en bus depuis le centre d’impression, dimanche matin à 6 h, retour vers 20 h.

Tarifs pour les salariés de L’Alsace-Le Pays : adultes : 53 euros ; adolescents (de 16 à 19 ans) : 45 euros ; enfants (de 6 à 15 ans) : 30 euros ; marcheurs (sans le forfait remontées mécaniques) 21 euros.

Tarifs pour les externes : adultes : 75 euros ; adolescents (de 16 à 19 ans) : 64 euros ; enfants (de 6 à 15 ans) : 43 euros ; marcheurs (sans le forfait remontées mécaniques) 29 euros.

Les tarifs comprennent le voyage aller-retour en bus ainsi que le forfait ski.

Inscriptions au plus tard avant 16 h les mardis précédant la sortie, accompagnées du règlement. N’oubliez pas de préciser la date et le forfait de la sortie à : Gisèle Fawer, CE poste 7034, Sandra Schmocker 03.89.31.66.65, Jean-Claude Schmocker 06.63.81.77.89 ou Christophe Weiss, rotative jour.

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Repas de nouvel an, assemblée générale, journée à thème, barbecue-loto, séjours de vacances ou croisière, cochonnailles, on peut penser que les années se suivent et se ressemblent, mais force est de constater un réel engouement chez les membres qui se revoient régulièrement avec grand plaisir !

L’Ara rajeunit également, lentement mais sûrement ; continuons, notre amicale a besoin de cet apport pour se projeter dans l’avenir et perpétuer ce que les anciens ont créé !

À toutes et à tous une excellente année 2013 !

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Croisière 2012

ARA : unebonne an

née!

Ravi de te voir André !

Journéeà thème2012

Fait plutôt frisquet…Un petit muséebien sympa…

C’est parti pour un tour du lac !

Chauffeur, on arrive…Il fait meilleur à l’intérieur…

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Assemblée générale2012

Etang 2012

Diefmatten 2012

Malou en forme !On se retrouve avec plaisir ! A la bonne vôtre !

Charmants ces deux-là !

G’sundheit Roby !

Un plat savoureux entre autres bonnes choses servies !

Une salle bien remplie !

Joyeux anniversaires !

On papote, on danse en attendant

la suite du repas !

Couple au sommet de son art!

Discret Raymond, mais super

animation musicale !

Jolis sourires !

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Hubert Strauel, que les petits ont à peine écoutés, les plus grands - qui avaient encore des forces en fin de journée - ont pu se déhan-cher sur la piste de danse en écoutant les bons sons, plus que rythmés, du groupe cernéen Claudio Capeo, qui a même dédicacé quelques albums à leurs fans.

Mais si c’était jour de fête pour les petits, c’était aussi un petit moment d’émotion pour les nostal-giques de notre journal. Car après 20 années pas-sées à s’occuper d’organiser cette fête – et tant d’autres choses pour le Comité d’entreprise – la présidente de la commission sociale du CE Marina Della Roca a décidé de prendre un peu de recul. « Mais rassurez-vous, a-t-elle fait remarquer. Je serai quand même là, avec vous, l’année prochaine… »

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Pour la 3e année consécutive, c’est à l’Espace Dollfus & Noack de Sausheim que le Comité d’entreprise de L’Alsace-Le Pays a convié le personnel à venir fêter Noël en famille. Et en ce 2 décembre 2012, c’était jour de grande fête avec une salle comble et des enfants aux anges. Tellement comble, que les records d’af-fluence ont été battus ! Enfin, depuis que la fête de Noël a migré à Sausheim.

Entre l’accueil, haut en couleurs, des membres de la compagnie Frelot, le stand de maquillage, Mme Micheline proposant un contrat de travail dominical pour fabriquer une marionnette et la compagnie Chat’Pitre, il n’y en avait presque que pour les enfants. Et au milieu de toutes ces activi-tés, il fallait bien retourner de temps en temps à la table des parents pour se rassasier. Heureusement que le Père Noël, avec sa hotte pleine à ras bord, avait pensé à tout.

Après les discours prononcés par notre directeur Jacques Romann et par le président du CE

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« Bonjour les enfants. Gros malheur, le père Noël a perdu les bobines du film « Les 5 légendes » mais réjouissez-vous, il n’est pas venu les mains vides. Il nous a gentiment déposé d’autres bobines, celles du film « Les mondes de Ralph ».

Ce fut le mot d’accueil fait à nos chers bambins, ce matin du 29 décembre au cinéma Gérard-Philipe de Wittenheim. En fait, le père Noël avait bon dos car la vérité était toute autre. D’obscures raisons financières de droits de diffusion ont fait que le film initialement programmé n’a pu être projeté. Mais bon voilà, il fallait bien trouver une excuse pour les enfants et le père Noël a été bien plus facilement pardonné que des histoires de gros sous ! Merci à lui ;-)

Et ce cadeau de substitution ? « Les mondes de Ralph » quèsaco ? Alors là, très agréable surprise : superbe film d’animation estampillé Disney. A regarder sous différents angles, suivant l’âge, avec des clins d’œil aux jeux vidéo d’hier (Clyde, le fantôme orange de Pacman) et d’aujourd’hui : le méchant Bowser de Super Mario Bros, etc. C’est donc la belle histoire d’un personnage de jeu vidéo : Ralph la casse, mal-aimé de tous car il passe son temps à tout casser et qui ne rêve que d’une chose : gagner une médaille pour être enfin un héros. Poussé par son courage et avec l’aide d’une malicieuse petite fille surnommée

«l’anomalie» ils vont braver les règles du jeu pour parvenir à décrocher cette médaille. Y arriveront-ils ?

« Les mondes de Ralph », 1h40 de douceurs, de gourmandises, le tout enrobé de couleurs joliment acidulées, comme cette incontournable mare de boisson chocolatée ou les gardiens biscuités du château. Et que dire de ce lac de boisson cola dont le plafond prêt à s’écrouler est orné de milliers de bonbons à la menthe ? Une rencontre explosive en perspective ! Sans oublier les fameux « cachocolats » : cachot en chocolat dont les gourmands pourront toujours s’évader en croquant les barreaux !

Pour continuer les gourmandises, un lien qui vous mènera à de nombreuses activités sur le thème des mondes de Ralph : www.disney.fr/les-mondes-de-ralph/jeux

Info de dernière minute : L’académie des Annie Awards, qui récompense chaque année les meilleurs films d’animations, a rendu son verdict et c’est « Les Mondes de Ralph » qui domine le palmarès 2013 avec 5 prix ! Un succès qui donne l’eau à la bouche ! lA

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15est de le faire en gardant nos identités respec-tives. Ces trois dernières semaines, nous avons fait le tour de tous les services de nos journaux, en passant par les agences de Montbéliard à Strasbourg pour L’Alsace-Le Pays et jusqu’à Wissembourg pour les DNA, en délégations communes quand c’était possible. J’en profite au passage, pour remercier les salariés de leur accueil vraiment sympathique et du temps qu’ils nous ont accordé. Lors des débats très nourris et des discussions pertinentes échangées avec toutes les catégories de salariés, nous avons pu répondre à un besoin qui était clair : celui de vider enfin son sac !

Ce travail commun et affiché entre L’Alsace- Le Pays et les DNA, était novateur syndicalement et nous a permis de mesurer à quel point, surtout en zone de concurrence franche, les salariés sont en souffrance. Employés, journalistes, cadres et ouvriers, le ressenti est unanime dans les deux entreprises. Au Pays à Belfort et Montbéliard, au sud de la région pour les DNA et au nord pour L’Alsace, les effectifs sont réduits à peau de chagrin et les équipes galèrent. Nous avons entendu des mots très forts décrivant des situations qui ne peuvent plus durer : « burn out, humiliation, opacité », on accuse même les équipes de ne pas savoir s’organiser pour justifier les non-remplacements. « Le flou est total, on nous fait du chantage » ou encore : « On est désolés pour eux mais on n’est pas là pour pallier au manque d’effectif de l’agence d’en face » et c’est bien légitime !

Chaque salarié s’est investi dans son titre, le défendant jalousement durant des années, entretenant une bagarre et une concurrence saine entre les journaux, ce qui a permis d’atteindre un niveau de qualité certain dans nos colonnes. Et aujourd’hui nous devrions sacrifier tout ça parce que les prévisions budgétaires de notre

actionnaire imposeraient un seul titre en Alsace d’ici dix ans ? Renoncer à nos spécificités et nos différences culturelles qui ont fait notre force ?

Encore une fois NON. C’est à nous qui avons écrit et qui écrivons l’histoire de nos journaux de taper du poing sur la table et de dire « stop » ! Retrouvons le cœur de notre métier : l’informa-tion et le service aux lecteurs et usagers. Remet-tons ce lecteur au centre de nos préoccupations et non les chiffres à plusieurs zéros.

Aujourd’hui, nous ne sommes pas là pour brûler des pneus ou bloquer les rotatives.

La Filpac-CGT est porteuse d’un projet, dans lequel chacun de nous a sa place, avec une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, des formations aux nouveaux métiers et un accompagnement pour les se-condes parties de carrière.

Les salariés ont besoin d’être rassurés et de savoir où ils vont.

Ok, c’est un banquier qui a mis la main sur nos entreprises de presse, et cela doit être un atout pour nous. M. Lucas nous dit qu’il a le temps car il a de l’argent. Tant mieux ! Nous allons lui démontrer qu’en utilisant cet argent, non pas pour essuyer des grèves, mais pour former le personnel à de nouvelles perspectives, ça ne peut être que gagnant-gagnant.

Profitons de la structure que ce groupe nous offre pour mutualiser intelligemment ce qui peut l’être, dans le respect de nos métiers, encore une fois pour développer et non pas pour jouer les bouche-trous.

La presse n’est pas morte et nous non plus !

Notre actionnaire et nos directions doivent prendre leurs responsabilités dès à présent et la FILPAC-CGT veillera à ce que ce soit dans l’intérêt de tous les salariés.

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Extrait de l’intervention au meeting devant le siège des DNA le 25 janvier 2013 à Strasbourg

Aujourd’hui la presse est en crise, le papier en perte de vitesse et les salariés sont en souffrance. Pourquoi ? Quel est le fond du problème ? Ce sont les perspectives et le développement qui manquent cruellement.

Notre actionnaire le Crédit Mutuel détient le plus grand groupe de presse en France avec 11 titres, dont L’Alsace-Le Pays et les DNA. Dans quel but ? Le seul mot qui résonne dans la bouche de nos dirigeants est la rentabilité. A n’importe quel prix ? A la Filpac-CGT, nous disons NON ! Nos directions ne peuvent pas continuer à gérer nos journaux avec la même recette qui a fait les preuves qu’elle ne fonctionne pas durant cette dernière décennie : la baisse des coûts n’est pas la solution à nos problèmes et ne garantit pas le financement nécessaire pour le développement de la presse.

Comment peut-on imaginer gagner des nouveaux lecteurs en vidant les rédactions et en dilapidant ce qui est notre richesse : la proximité avec le lecteur ? Ces lecteurs qui nous font confiance depuis presque 70 ans à L’Alsace-Le Pays et 135 ans pour les DNA ! Ce lectorat justement, qui est en pleine mutation vers d’autres supports d’information, comment l’accompagne-t-on ? Un axe de développement incontournable est le web. Or, à tous les niveaux, que ce soit à la vente de la publicité, à la vente du support numérique, à la fabrication ou même la rédaction spécifique pour le web, les moyens et les ambitions pour la formation professionnelle font cruellement défaut.

Internet ne va pas tuer le papier ! Ce qui tue le papier, c’est la course à la rentabilité immédiate au profit de nos actionnaires. Il faut se donner les moyens et le temps nécessaires car le web est complémentaire du papier.

Nous représentons plus de mille salariés en Alsace et au Pays. Nous avons des métiers, des qualifica-tions et des compétences reconnues qui doivent être développés et pérennisés, et notre volonté

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Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction.La billetterie marquée du signe est accessible aux retraités.

CINÉMAS

MULHOUSE Cinéma Kinépolis ..................................... 6,30

WITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE€

EUROPAPARK

Tarif unique à partir de 4 ans : du 23 mars au 3 novembre 2013 ........................................................... 31

PISCINES carte de dix entrées

PISCINES M2AValable dans toutes les piscines de la M2A (y compris Rixheim) ........................................................................................... 21

PIERRE-CURIE MULHOUSECarte bien-être ............................................................................................................. 19

Centre nautique RIXHEIMVente uniquement sur place (présentation carte CE obligatoire) pour les habitants de la M2ACarte bien-être ............................................................................................................ 66

Remise en forme + piscine ............................................................... 86

Pour les piscines hors de MULHOUSE 30% sur présentation de la carte ou abonnement

LAGUNA

Complexe fermé. pour travaux.

BILLETTERIE SPECTACLE 20% sur présentation de l’abonnement

ou 2 billets par an (dans la limite de 30 euros)

PATINOIRE carte de dix entrées

Tarif unique sans location de patins .......18

Karting sur glace ...........................................................................................54

Bulle

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METRO

FRIBOURG (Allemagne)Achats en gros : se renseigner au CE.

METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.

MUSÉES et TOURISME ANIMALIERPrix de groupe sur présentation de la carte du CE ou 20% sur présentation du billet d’entrée.

PARTENARIATS

Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour : 10 % sur présentation de la carte CE.

Point S : 5 % sur présentation de la carte CE Eden Espace Dollfus & Noack Sausheim :

réductions sur présentation de la carte CE Hippopotamus : réductions sur présentation de

la carte CE (Dornach, Illzach).

SKI LA BRESSE

Possibilité de forfaits, renseignements au CE.

Horaires CERenseignements

complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34

Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h

Le CE est fermé le mercredi18, rue de Thann, TSA 68001

68945 MuLhouSeCedex 9

MUSCULATION Complexe CMCAS EdF/GdF à Zimmersheim

Individuel « L’Alsace/Le Pays » .........................................................60

Couple « L’Alsace/Le Pays » .............................................................100

(inscription au même moment) Filiale (AP, Médiapost, CIME) .........................................................100

Extérieur ....................................................................................................................................160

BILLETTERIE SPORTIVE FOOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX

2 billets/an, 15 maxi par personne Autres rencontres sportives

2 billets /an ou 20% sur présentation de l’abonnement rencontres sportives

TICKETS RESTAURANTSJusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet/mois : valeur du chèque : 4, avec participation du salarié de 50% par chèque.Conditions : uniquement personnel des agences. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administra-tion et personnel travaillant toute la journée.

ZOOS

MULHOUSETarif réduit sur présentation de la carte du CE

BâLEAdulte ..........................................................................................................................................7,50

Enfant (6 à 12 ans) ...........................................................................................2,50

MOBICARTE

Valeur 25 + 5 ............................................................................................................... 24 valable 2 mois

BONS DECATHLON

Bons à 18 (valeur 20 ), 27 (valeur 30), 45 (valeur 50)

@ Retrouvez votre Trait d’Union sur le site :http://issuu.com/alsacece/docs/tu110

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