112OCTOBRE 2013

à MARS 2014

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2Selon le proverbe, on récolte toujours ce qu’on sème. Et on ne s’aime pas ! A force de faire la promotion des idéaux les plus réactionnaires, la grande majorité des médias porte une très lourde responsabilité dans l’émergence du vote FN, fait majeur du premier tour des élections municipales. Un vote de haine, de rejet de l’autre, raciste, xénophobe, arc-bouté sur l’idéologie du bouc-émissaire, porteur des pires atrocités de notre histoire.Le traitement de la séquence électorale que nous venons de vivre, très loin des valeurs démocratiques que devraient porter une information réellement pluraliste et diversifiée, met en évidence une intolérable collusion d’intérêt entre pouvoir politique, milieux financiers et patronaux.

Que de pages noircies pour marteler la pédagogie d’un déclin présenté comme inéluctable. Quel que soit le canal, télévisuel, radiophonique ou presse écrite, nous avons été abreuvé jusqu’à plus soif d’une information tronquée et indéniablement orientée, qui fait la part belle aux tenants de l’ordre établi, de l’austérité, au détriment de vrais solutions en rupture avec les dogmes rétrogrades de la "bonne gestion des deniers publics". Il ne faut pas chercher ailleurs les raisons d’une abstention qui progresse, scrutin après scrutin. Quand le désenchante-ment et le fatalisme prennent le pas sur l’espoir en un monde meilleur, quelle peut bien être la motivation pour un électeur de se déplacer, quand il sait que rien ne changera sur le fond ? Le syndrome d’une société malade, en crise profonde.

Paris, le 6 mars 2014. Plus de 400 salariés sont réunis devant le ministère de la Culture et de la Communication, à l’appel de la FILPAC-CGT, pour exprimer les exigences du syndicat en matière de politique de l’information. Plusieurs prises de parole (groupe EBRA, Nice-Matin, Groupe Sud Ouest, Libération, AFP, secrétaire de la FILPAC) ont précédé une rencontre avec deux représentants de la ministre de tutelle, Mme Filippetti. Le compte rendu de la réunion avec l’autorité publique est consultable sur le site de la FILPAC-CGT.

Hubert Strauel s’est exprimé au nom du « groupe-du-Crédit-Mutuel-qui-n’existe-pas ». Larges extraits de son discours.

« Nous avons placé la manifestation de ce jour sous le signe de la mobilisation pour un autre avenir pour la presse et nos journaux. Et ça tombe bigre-ment bien. Les camarades du journal L’Alsace viennent d’en faire l’éclatante démonstration, en décrétant la grève et la non-parution du titre daté du 5 mars, ils ont compris qu’il n’y a pas 25 moyens de faire valoir leurs revendications. Une grève qui intervient après des mobilisations similaires aux DNA, dans les journaux de Bourgogne,

au Dauphiné Libéré. Indiscutablement, La lutte a le vent en poupe, et tous ceux qui pensaient que l’action collective était reléguée aux reliques d’un passé lointain en sont pour leurs frais.

Tout cela pour évoquer la situation au sein du plus grand ensemble de presse régionale de France, contrôlé par le Crédit Mutuel, le fameux groupe qui n’existe pas, EBRA. Un actionnaire qui se targue d’une santé financière insolente, comme en atteste l’information publiée simultanément dans tous les titres, avec un bénéfice net record de 2,2 milliards d’euros, et des fonds propres de plus de 35 mil-liards. Pourtant, l’ensemble des titres est aujourd’hui maltraité... Tous les signaux sont au rouge : les choix en œuvre sont mortifères pour l’avenir de nos jour-naux, mettent en très grand péril le pluralisme et la diversité de l’information et tournent le dos aux attentes du lectorat. Ces choix doivent être com-battus. Pour la FILPAC-CGT, l’heure de la mobilisa-tion générale a sonné…

Nous sommes clairement engagés dans une logique d’affaiblissement et de démantèlement de nos capacités productives. Les mesures imposées de la manière la plus brutale et la plus violente à l’

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3Si nous abordons cette question, c’est pour rappeler que le syndicalisme ne saurait rester neutre ou indifférent face au débat politique. Nous ne le répéterons jamais assez : les valeurs universelles du syndicalisme, démocratie, solidarité, justice sociale, fraternité, sont antagoniques avec l’idéologie nationaliste et anti-immigrés véhiculée par l’extrême-droite.Les périodes où certains syndicats se muraient dans un silence coupable, sous prétexte d’indépendance, ont laissé des traces cruelles. Les temps ne sont pas si lointains ou la collaboration de classe parachevait une œuvre destructrice, à travers des relations malsaines avec le pouvoir politique et les milieux financiers et économiques.Alors, que faire ? La capitulation et la trahison du pouvoir socialiste est patente, mais l’exigence de changement n’a en rien

disparue. Les aspirations sont trop fortes pour rester en friche. Prenons conscience que la mobilisation et la lutte sont essentielles pour faire émerger la question sociale.Quelle que soit la couleur du pouvoir en place, il est exclu de res-ter timorés, amorphes et inaudibles.Les attaques incessantes contre les droits des salariés, des chô-meurs, des retraités, se poursuivent sans relâche. Le pacte de responsabilité va encore accroître la fracture sociale, déjà pro-fonde. Les contreparties, jetées en pâture à une opinion publique considérée comme candide, sont d’ores et déjà réglées.Gattaz l’a bien expliqué : "Donnez-nous les milliards et cassez-vous, nous en ferons bon usage". En clair, on va continuer à licen-cier à tour de bras, à engraisser généreusement les actionnaires, à planquer le magot dans les paradis fiscaux.

Au bilan 2013, les sociétés du CAC 40 cotées à la Bourse de Paris ont réalisé 43 milliards d’euros de profit… et redistribué 29 milliards de rente aux actionnaires ! Et pourtant, jour après jour, la crise nous est servie à toutes les sauces.Le temps est venu de l’émergence d’un mouvement social de grande ampleur, de faire entendre les voix multiples de la revendication, de la hausse des salaires, de la création d’emplois.A ce moment-là, nous prendrons conscience que tout ce fatras d’informations sans consistance se consumera de lui-même.Et que le FN, même repeint bleu-marine, n’aura été qu’un misérable leurre pour défendre la caste des privilégiés, et retournera dans les ornières de l’Histoire qu’il n’aurait jamais dû quitter.

avec comme seul objectif : faire baisser fortement les coûts de productions en les ajustant à la baisse tendancielle de la diffusion des journaux. La gestion du personnel se réduit au diktat de l’actionnaire : pas question de remplacer les partants. Seul problème, le remède nous enfonce chaque année un peu plus dans une crise durable et profonde. Ce n’est pas en mutilant le malade qu’on le sauve !

Pour la FILPAC-CGT, quand une recette ne marche pas, il est urgent d’envisager les choses autrement, pour bâtir une réelle alternative à cette fuite en avant. Notre conviction, c’est que l’avenir s’écrira à partir de nou-velles ambitions, basées sur une vraie stratégie de déve-loppement, intégrant les mutations en œuvre dans les pratiques de lecture et d’information.

Après la création d’une structure de coordination FILPAC-CGT L’Alsace/DNA, nous avons élargi le champ de l’activité syndicale par le rassemblement de l’en-semble des titres du Crédit Mutuel, avec l’ambition de construire la stratégie syndicale la plus adaptée à nos ambitions. Une première réunion s’est traduite par l’adoption d’une motion. Notre but est d’imposer des négociations relevant du périmètre du groupe. Nous exprimons une attente forte et urgente : « Messieurs

du Crédit Mutuel, il est indispensable et urgent de nous recevoir et de débattre des alternatives dont nous sommes porteurs pour assurer le développement de la presse. Nous savons que vous avez les moyens néces-saires pour financer le développement de nos journaux. » Parce que nous refusons la concentration de la presse, la pensée unique au service des idées ultra-libérales, l’uniformisation de l’information. Une information plura-liste constitue un élément essentiel du débat citoyen et démocratique ! De nouvelles initiatives sont à l’ordre du jour. Ce qui semblait impossible il y a peu devient réalité. L’élargissement du front syndical prend son envol, comme en atteste la déclaration commune de tous les syndicats de L’Alsace et des DNA.

Tous ensemble, faisons de l’année 2014 une étape mar-quante dans les évolutions futures. Ce qui est certain, c’est que le statu quo ne peut être de mise. Nos ambi-tions sont fortes et légitimes. Dès aujourd’hui, avec toute la FILPAC-CGT, nous appelons tous les salariés à s’unir et à agir dans la solidarité pour écrire un nouveau cha-pitre de la longue histoire de nos journaux.

Pour ceux qui auraient encore des doutes sur nos capaci-tés de peser, une citation d’Arthur Rimbaud : « Seules sont perdues d’avance les batailles qu’on ne livre pas ! ».

depuis le rachat du groupe Est-Républicain/DNA en témoignent. En l’espace de quelques mois, les réorgani-sations à la hussarde nous ont été infligées, sans qu’à aucun moment un quelconque débat ne soit engagé. Et le rythme s’accélère : création du BIG, fournisseur officiel d’informations générales publiées simultanément dans tous les titres, mutualisations sur tous les grands événements sportifs et autres, mise en réseau informa-tique, création d’une association de droit local regrou-pant tous les journaux, la liste est longue des opérations réduisant la diversité éditoriale à la portion congrue.

Après la disparition du Pays, journal édité en Franche-Comté par L’Alsace, transféré avec armes et bagages à L’Est-Républicain, son concurrent historique, c’est la fusion de L’Alsace et des DNA qui est placée sur orbite, à travers le regroupement des deux journaux dans les mêmes locaux à Colmar. Nous retrouvons les mêmes velléités en Lorraine, avec L’Est-Républicain et le Républicain Lorrain. Le dialogue social est laminé, et les syndicats, les élus du personnel sont méprisés, dénigrés ou ignorés, placés en permanence devant le fait accompli.

Partout, la même logique s’applique, quel que soit le titre. Partout, la potion amère nous est servie,

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C’était dit. Désormais c’est écrit. Depuis le 31 décembre dernier, la rédaction colmarienne de L’Alsace n’a d’autre choix que de se passer de Pierre Maenner.Nous avons bien, les unes et les autres égoïstement tenté de le retenir. Nous savions bien que le garçon, plume d’élite, dépositaire d’un grand pan de la mémoire du journal, précieux connaisseur de Colmar et de ses très larges alentours, allait forcément nous manquer au quotidien. Depuis, nous avons eu l’occasion de le vérifier.Il nous manque. C’est que ce Pierre-là a tricoté toute sa pelote professionnelle sous la même bannière. Très précisément du 1er décembre 1971 au 31 décembre 2013. L’Alsace un jour, L’Alsace toujours. Un bail sans faille de quarante-deux hivers, une balade à la frappe qui l’a mené de la Remington au PC.Ce joli morceau de vie peut se résumer de façon laconiquement administrative : Pierre Maenner, né le 26 janvier 1949 à Munster. Bac philo. Examen pre-mière année du Centre de journalisme de Strasbourg. 1971, rédacteur stagiaire à L’Alsace Colmar. 1973 : rédacteur à Colmar. 1977, chef du service magazine au siège à Mulhouse. 2003, adjoint au chef d’agence à Colmar. 2013, retraite.Voilà qui l’arrangerait bien le Pierre (je le sais, pour le côtoyer depuis l’éclosion des « Fab Four ») qu’on s’en tienne là. Et bien non. Il y a des choses à consigner. Il ne s’en tirera pas comme ça. On va déballer.

Et puisqu’on leur offre une tribune, ses petits camarades colmariens vont le croquer en quelques signes, façon tweet-tweet.

Pierre en quelques signes# Pierre, pour moi en quelques mots : malicieux,

bougon, inspiré. Un éternel gamin… Estelle Bloch# Grognon, Hans em Schnokaloch, mais qu’est-ce

qu’on a apprécié de bosser avec notre « Gran-pa savant ! » Pascale Braxmaeir

# Joue pas avec mes nerfs ! Isabelle Glorifet# Pierre, l’homme qui ne corrigeait mes fautes

d’orthographe qu’après publication ! Jean Daniel Kientz

# Il est le plus colmarien des Munstériens et l’une des mémoires de notre journal. Hubert Himburg

# Pierre Maenner à la locale Colmar, c’était aussi une sorte « d’emmerdeur de penser en rond », au mauvais esprit parfois salutaire. Thibaut Lemoine

# On s’habitue vite au (gentil) râleur, on s’habitue moins à l’absence du (gentil) râleur. Thierry Martel

# Un grand lettré, un journaliste à respecter comme un maître et à apprécier comme un ami. Le style : une qualité naturelle comme le son d’une belle voix. Il sait jouer avec les mots comme personne. Un style qui ne s’apprend pas, un don du ciel, un talent. Vanessa Meyer Wirckel

# Contente d’avoir croisé ta route et d’avoir pu profiter de tes grandes connaissances. Le Pierre « râleur » va me manquer ! Muriel Meyer

# Pierre ? Vous le trouverez toujours là où on ne l’attend pas et inversement. Claude Mislin

# À mes yeux, Pierre était un excellent professeur. Parfois grognon (même souvent) mais toujours à l’écoute et de bon conseil. Il m’a toujours soutenue et m’a beaucoup appris. Jennifer Poldenik

# Résumer Pierre Maenner en une phrase, c’est comme tenter de faire rentrer dans un cadre des mots qui se croisent, un homme pluriel mais si singulier, un poète du coup de gueule, un esthète du verbe qui fait mouche… Jean-Frédéric Surdey

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Entrée au journal le 2 août 1971 comme employée de bureau au service comptabilité, Renée Schlund a effectué une partie de sa carrière en gravissant différents échelons au service mécanographie.Elle a terminé comme responsable de cette section en 1982. Puis en 1988, après la fermeture de ce service, elle est mutée au service abonnements puis est détachée à l’agence de Mulhouse en 2005.Toujours serviable, Renée Schlund n’a jamais ménagé sa peine quand il s’est agi de s’investir pour le journal avec toujours une conscience aigüe du travail bien fait et la préoccupation de relations de travail cordiales.Après 42 ans passées au journal L’Alsace, Renée Schlund a pris sa retraite le 1er novembre 2013 et manque déjà à nos fidèles clients publicité ou abonnements.

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Pouêt ! Pouêt ! Attention, si vous voyez passer une superbe Triumph TR4 des années soixante, décapotable blanche, aux chromes rutilants, faites un petit salut de la main, il s’agit certainement de Maximilien Toribio.Plus connu sous le nom de « Max du garage », le célèbre roi de la soupape, le prince du piston, le baron de l’arbre à cames, le duc de l’échappement ou encore le comte de la direction assistée, vient de partir à la retraite après 30 ans de carrière au sein du journal L’Alsace.Entré en juillet 1983 comme mécanicien automobile, pour entretenir, à l’époque, la flotte des 404 Peugeot bâchées et estampillées L’Alsace, il est sorti en tant que chef du garage. Belle progression, pour un M. Max, qui avoue n’avoir pas vu passer ces 30 ans, au sein d’une « bonne boite », toujours entouré de personnes sympathiques. Pour preuve, il a toujours beaucoup de plaisir à revoir la personne qui l’avait embauché, son tout premier chef, André Hoffarth.Le moins bon moment : « en dehors des quelques accidents, heureusement sans trop de gravité, survenus aux chauffeurs, ça a été sans aucun doute, de voir des bons collègues, partir à la retraite. Je m’explique, j’étais bien sûr content pour eux, mais déçu de perdre leur riche présence au quotidien. Et aussi bien entendu, tout récemment, la fermeture définitive du garage. » Mon meilleur moment : « ben, ça peut paraître curieux et étrange aujourd’hui, mais c’est la totalité de mes 30 ans de travail passé au sein de l’entreprise, au sein d’un vrai garage. Un vrai garage ou l’on faisait avant, en plus de tout les travaux mécaniques, de la carrosserie aussi. Un vrai garage qui était également un lieu de convivialité, on venait pour communiquer, échanger, rendre service, rire et rarement pleurer. Bref en plus du plein d’essence, on venait y faire le plein d’énergie. »

bonne route Max !

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# Une plume redoutable doublée d’une belle mécanique intellectuelle. La malice et un gentil grain de folie font heureusement dérailler ce sérieux attelage à tout bout de champ. Un loufoque qui ne se soigne pas et c’est tant mieux. Clément Tonnot

# Les humeurs de PM : décrochant son téléphone : « Also ya ! ». L’interlocuteur comprend qu’il dérange. Le standard de Pierre Maenner (voix d’hôtesse de l’air de sa voisine décrochant en son absence) : l’interlocuteur est surpris. « Ah, quelle aventure ! Misère, misère ! » Anne Vouaux

# Touchant, charmant, parfois charmeur, parfois diablement irritant, lunatique, assez joyeux, assez désespéré, créatif, littéraire, peut-être coquin… totalement « Beatles » et un peu « So lonely ». Annick Woehl

Exit « les mondanités »« Do you want to know a secret » you are « Free as a bird » and « Eight days the week » you can say « Good morning good morning » and « Good day Sunshine »…Salut Pierre. Si les tiens, grands et petits, ta vallée, tes montagnes, tes dunes de sable t’en laissent le temps, et si l’envie t’en prend, passe donc nous voir bosser.Voilà. C’est fini « les mondanités »… Maintenant tu peux la faire ta moue qui ne dit pas le fond de ta pensée. Tu peux même l’assortir de l’un de tes éclats de rire contagieux !

Et donc, maintenant que Max est à la retraite, en plus de l’entretien de sa belle Anglaise cinquantenaire (pour rappel, une Triumph TR4 décapotable blanche aux chromes rutilants), il s’occupe ardûment d’une maquette de train de la célèbre marque Märklin ; pour les initiés, à l’échelle 1/87 ou H0 si vous préférez.Bricoleur hors pair, mari au foyer et grand-père gâteau sont également des postes qu’il remplit dorénavant à plein temps, avec bien sûr amour et à n’en pas douter un vif entrain qui le caractérise si bien.Un dernier mot Max ? « Oui je tiens à dire que c’est un véritable scandale, la seule chose qu’il me manque à ce jour, et je pars donc sans, ce sont mes cheveux. Mais je n’ai pas perdu de vu mes collègues et amis, et c’est ça l’essentiel ! »Bonne retraite à toi Max. Et vous, pensez au petit salut de la main quand... Pierre a salué ses camarades sur un petit air d’harmonica lors du pot

qu’il leur a offert au cœur de novembre 2013.

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pensez à l’ été...

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TARIFS 2014 Janvier Jusqu’au 1er juin et après le 1er octobre Juin et septembre Juillet et août congés scolaires hors congés scol.

Antibes 150 260 230 260 380Ardèche - 220 200 260 380AvoriAz 240 4401 - 3002 260 150 200bAlAruc 180 180 160 240 320MAlbuisson - 180 160 200 220Port bourgenAy 150 260 220 260 380ViAs - 200 180 250 380

Balaruc. L’appartement, tout équipé avec cinq couchages et deux balcons, offre une vue sur Sète et le Mont Saint-Clair. A deux minutes de l’étang

de Thau, berceau de la conchyliculture, les villages

de pêcheurs typiquement méditerranéens de Bouzigues

et Mèze garantissent un dépaysement total.

Port Bourgenay. L’appartement situé dans un village Pierre et Vacances, tout équipé, offre cinq couchages et une terrasse avec vue sur le green. Le village dispose d’une piscine chauffée de 220 m² avec plage aménagée et pataugeoire, une piscine de 180 m² et un bassin de nage avec plage aménagée de 114 m². Possibilité de faire du tennis, croquet, terrain multisports, beach-volley, tennis de table, tir à l’arc, golf 18 trous, etc. Ardèche. Notre mobil-home (entièrement équipé, cinq couchages) est situé à Saint-Alban-Auriolles, dans le camping Sunélia Le Ranc Davaine**** sur 43 hectares (www.camping-ranc-davaine.fr). Animations permanentes de juin à fin août, à votre disposition un espace aquatique avec piscine

La commission Vacances du CE rappelle à tous les salariés et retraités du journal, la possibilité de passer leurs congés dans un des sites gérés par celle-ci. Les destinations suivantes sont proposées :

Antibes. Situé dans un parc privé, équipé de deux piscines, l’appartement tout confort, avec terrasse et vue sur le parc, comprend six couchages. A visiter à proximité Marineland, le cap d’Antibes, la vieille ville, Saint-Paul-de-Vence, Biot, les parfumeries de Grasse, etc.

Avoriaz. Appartement de deux pièces, pour 4-5 personnes, au cœur de la station, comprend un séjour avec une banquette-lit deux personnes, une chambre avec un lit double et un lit d’appoint. Le coin cuisine est entièrement équipé et la salle de bains a été rénovée en 2008. Les activités ne manquent pas : rafting, kayak, équitation, tennis, piscine chauffée, quad, etc.

deux bassins et un spa, pataugeoires, toboggans, solarium, mini-club à partir de cinq ans, etc. Les loisirs à proximité : canoë dans les gorges de l’Ardèche, équitation, quad, rando 4x4, canyoning, etc. A voir dans la région : le pont d’Arc, le Mont Gerbier-de-Jonc, le lac d’Issarles, l’aven d’Orgnac, Largentière, etc.Malbuisson. Notre mobil-home est installé au bord du lac de Saint-Point, lac naturel de 400 hectares, dans le camping Les Fuvettes (www.camping-fuvettes.com). Quatre couchages possibles, dans un mobil-home entièrement équipé, avec grande terrasse, salon de jardin et barbecue. Loisirs au camping : complexe aquatique avec toboggans, espace balnéo, salle de télévision, salle de jeux, tennis de table, aires de jeux pour enfants, terrain de pétanque, miniclub (6-12 ans) en juillet et août, tir à l’arc, terrain de football et de volley, mini-golf (accès payant). Les loisirs à proximité : location de barques et de pédalos, centre équestre, terrain de tennis, pêche sur le lac (barque privée, carte de pêche obligatoire), randonnée pédestre, VTT, piste de luge d’été et de descente, école de voile, cinéma, etc.Pour toute réservation, n’hésitez pas, envoyez un mail au CE (alsce@lalsace.fr) ou appelez Gisèle aux heures d’ouverture.

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Les Dolomites

Les membres de l’ARA ont passé, en septembre, une semaine enchanteresse dans les Dolomites et ce, grâce au soleil qui était de la partie (super), à l’hébergement et une restauration de qualité, des excursions bien étudiées, des panoramas grandioses, etc. Bref un cocktail qui laissera aux participants un excellent souvenir !

En octobre, pour nos traditionnelles cochonnailles, nous nous sommes retrouvés à la ferme-auberge du Grieb pour des agapes toujours appréciées et ce dans un cadre rustique et chaleureux !

Pour bien finir l’année, le comité de l’ARA a innové en remplaçant le repas de Nouvel An de janvier par un déjeuner-spectacle (de qualité) au Paradis des Sources à Soultzmatt en décembre à la grande satisfaction des membres accourus !

Le comité profite encore de cette parution pour souhaiter encore à tous une excellente année 2014 ! be

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Dolomites !

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Un visage connu !

Le Paradis des Sources

La salle se remplit !

L’heure appréciée de l’apéro !

Le bar au Grieb, un coin convivial !

Un groupe souriant et satisfait !

En attendant l’apéro, André tu pourrais sourire,

Dany a raconté une blague !

Une choucroute, des mines

réjouies, pas belle la vie ?

Les cochonnailles

Paulette radieuse, Marlyse appliquée, Bernard déguste !

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20 anset le diaporama-rétrospective concocté en ce mois d’octobre 2013 par l’ami Hervé Stenger a déclenché des éclats de rires mêlés d’émotion. Mais sans doute aussi un peu de fierté, bien légitime, d’avoir réussi à se surpasser sur des routes aussi rudes.Cette année, la belle équipe, présidée actuellement par Philippe Sengelin, retournera escalader les cols des Alpes autrichiennes, de vieilles connaissances, les 4, 5 et 6 juin. Chaque jeudi après-midi, les retraités de la section se retrouvent à Lutterbach pour une balade de trois heures environ.Vous voulez rejoindre la section ? Si vous êtes capable de rouler 80 bornes sur un vélo, vous devriez arriver à suivre. Contact : philippe.sengelin@lalsace.fr

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Le président Philippe Sengelin et son prédéces-seur Pierre Thirion, fidèle capitaine de route, sont déjà dans les cartes pour mitonner des itinéraires.

La section cyclo rassemblée à l’occasion de ses 20 ans.

Un gâteau d’anniversaire dont les calories seront vite dépensées !passionnément

Les membres de la section ont pris l’habitude de se retrouver chaque année au mois de janvier autour d’un bon gueuleton, histoire de préparer la saison estivale. Ceci a été fait, en beauté, le 31 janvier, à l’hôtel Mercure gare de Mulhouse, une maison où nos cyclos ont pris leurs habitudes ces dernières années, puisque Gilles, le patron de la maison, partage régulièrement les sorties de L’Alsace.

Cette année, nos amis de la petite reine avaient une autre bonne occasion de partager un bon repas, histoire de changer des habituelles barres de céréales et autres pates d’amande ! Le 18 octobre, ils étaient ainsi plus d’une vingtaine, au Mercure également, pour fêter dignement les 20 ans de la section.

C’est en effet en octobre 1993 qu’une poignée de fondus, regroupés autour de Pierre Thirion et du regretté Roland Esslinger, se sont lancés sur la route des vins pour un aller-retour Mulhouse-Blienschwiller qui leur a donné l’idée et l’envie d’aller plus loin.

C’est ainsi que, depuis lors, année après année, le groupe s’est étoffé, et s’est lancé tous les ans un nouveau défi, qui l’a mené sur les routes aux noms les plus prestigieux. Alpe d’Huez, Galibier, mont Ventoux, Mortirolo, Milan-San Remo, etc. La liste est trop longue. Avec, à chaque fois, une rando sur deux ou trois jours. On se souvient aussi d’un Paris-Mulhouse qui a laissé de beaux souvenirs. Tout cela a été relaté régulièrement dans les colonnes du TU,

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Des nouveaux coureurs, un nouveau responsable de section, une présence forte sur toutes les courses de cross corpos… les runneurs de L’Alsace terminent une saison remarquable.

Paradoxalement, alors que les effectifs du journal fondent comme neige au Markstein, de plus en plus de coureurs portent les couleurs rouge et blanche de notre quotidien. Sur les cinq courses de cross du championnat corpos du Haut-Rhin, l’équipe de L’Alsace a parfois aligné une équipe de plus de dix unités… ce qui n’était plus arrivé depuis le début des années 90. Bravo à Martine, Vanessa, Stéphanie, Thierry et Jérôme venus rejoindre, cette année, Mathieu, Laurent, Richard, Denis, Karine et Marina.

Côté responsable de section, la tradition est respectée. Quand Richard Schneider était le meilleur coureur du groupe, il présidait la section. Logique. Puis, dépassé par Denis Sollier, il lui céda le brassard… qui passa ensuite dans les mains de Laurent Gentilhomme quand il devint le coureur leader du groupe. Aujourd’hui, « l’avion » de la

bande se nomme Mathieu Lerch et il a donc hérité de la présidence de la section en février, autour d’un bon repas et d’un vote unanime. Mais, anecdote qui montre bien la bonne ambiance dans la section, tous les responsables depuis sa création en sont toujours des membres actifs !

Dans le détail, voici les classements de l’année : Mathieu Lerch termine 36e au scratch (11e vétéran 1) ; Laurent Gentilhomme 63e (25e V1) ; Richard Schneider 140e (6e V3) ; Jérôme Gil 158e

Karine, toujours dans la course chez les féminines.

Mathieu, le nouveau président qui galope.

Vanessa et Thierry, deux petits nouveaux qui ont la pêche.

Stéphanie, cheveux au vent et sourire aux lèvres.

Denis, à l’aise quand ça grimpe.

Martine, une néophyte dans le bon rythme.

Laurent, le président sortant qui a le style.

Jérôme, le petit jeune qui s’accroche.

Marina, toujours fidèle au poste.

la saison du renouveau LAureNt GEntILHommE

(58e senior) ; Denis Sollier 195e (44e V2) ; Thierry Martel 380e (142e S). 401 coureurs ont été classés. Le classement prend en compte les 4 meilleurs résultats sur 5 courses possibles, mais tout le monde n’a pas pu totaliser 4 courses.

Chez les filles, Karine Rietsch reste leader de l’équipe avec une 24e place au scratch (12e V1F) ; Stéphanie Mathis 47e (12e SEF) ; Martine Jeangeorge 54e (11e V2) ; Vanessa Meyer Wirckel 55e (16e SEF) ; Marina Della Rocca 62e (12e V2F). 105 filles ont été classées.

Dites 17Côté équipe, L’Alsace termine deux fois 17e, aux classements de la qualité (ceux qui ont les coureurs les plus rapides) et du nombre (les équipes les mieux représentées) sur 28 équipes inscrites. Pas question évidemment d’aller concurrencer Liebherr, Clemessy ou Peugeot mais, avec quelques renforts, la 15e place est envisageable… en 2014-2015. Les personnes qui souhaitent rejoindre le groupe peuvent contacter Mathieu Lerch au service Icono ou par mail à mathieu.lerch@lalsace.fr.

L’équipe de joyeux runneurs a déjà des projets dans les cartons dont, par exemple, une course réservée aux filles (« La Mulhousienne ») en septembre et le premier « Urban trail » de Mulhouse en octobre.

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Saisonchambre à coucher en glace. Les quatre enfants du groupe ont apprécié cette belle journée et ont bien profité de la glisse.

Pour la prochaine saison, nous prévoyons un week-end prolongé de deux nuits en Autriche, un week-end à Châtel, une semaine en période scolaire et des journées en Suisse. Nous rappelons qu’il est possible aux marcheurs et aux fondeurs de se joindre au groupe.Venez nombreux !

établissements Clemessy et Leclerc. Les pistes bleues étaient bienvenues puisque le brouillard et la neige fraîche étaient là aussi. Grâce à des éclaircissements du temps nous avons bien skié.

Tous ensemble, le déjeuner avait été pris à l’arrivée des œufs, aux pieds des pistes. Après quelques descentes, une partie du groupe avait défié les chronos avec l’enregistrement de vidéos, consultable via le web. Puis un autre groupe a apprécié la boisson servie dans la bulle du bar en bas de la station. Les trajets étaient accompagnés de deux films. Une très bonne journée en montagne est à retenir.

Sortie Suisse à Engelberg le 16 février 2014Huit personnes présentes à la journée de ski à Engelberg avec du soleil et quelques flocons de neige. Le midi, un repas a été pris dans un chalet typique Suisse avec une très bonne ambiance. L’après-midi, une petite pause dans un gigantesque igloo, avec à l’intérieur un bar lumineux, un restaurant et une immense

Sortie Châtel janvier 2014Le samedi 18 et le dimanche 19 janvier, première grande sortie à Abondance (Haute Savoie). 14 personnes étaient présentes à 5 heures rue de Thann pour le trajet avec deux minibus. Le départ de la première journée de ski fut de la station de Prés-la-Joux avec le forfait « Porte du Soleil » donnant accès aux pistes enneigées de Châtel à Avoriaz et la possibilité de skier en Suisse. La neige et le soleil étaient au rendez-vous pour le plaisir de tous. Le soir à l’hôtel « L’Abbaye» le groupe s’est retrouvé pour un apéritif à la salle de billard où chacun avait amené quelques délices. A 20 heures, en salle de restauration, on a pu déguster une incontournable raclette. Le dimanche après une journée de ski intense, ce fût le retour avec hélas quelques bouchons sur l’autoroute.

Sortie Suisse Saanenmoser le 2 février 2014Sept personnes étaient au rendez-vous pour la premier sortie en bus « Cars Est » avec les

Engelberg

Saanenmoser

Le bar lumineux dans l’igloo

A la queue-leu-leu

L’entrée de l’igloo

Le groupe

Après l’effort, être dans une bulle de réconfort

Prêt pour le départ

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S.P.

de balayeur à l’imagination débordante fait d’étonnantes trouvailles dans les ordures, comme par exemple ces chaussettes pas tout à fait comme les autres... Pendant près d’une heure, parents et enfants ont apprécié ce savant mélange de mime clownesque et de marionnettes à fils rythmé par quelques notes de musique.

Dans la foulée, alors que certains auraient peut-être apprécié une petite pause, histoire de se dégourdir les jambes, le duo Peter Panpan a pris le relais pour un changement d’atmosphère radical qui n’a pas remporté tous les suffrages. Car les deux artistes, censés proposer un « hip hop potache et décomplexé », n’ont pas vraiment réussi à tenir les spectateurs en haleine. Ne serait-ce qu’en raison de propos parfois vulgaires ou tout simplement incompréhensibles pour les plus jeunes, qui ont vite décroché et ont eu bien du mal à tenir en place. Dommage pour Peter et Panpan, qui n’ont pourtant pas ménagé leurs efforts pour tenter de réussir le concert de leur vie !

petit

s et gr

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fêten

tLa fête de Noël organisée par le comité d’entreprise a une nouvelle fois fait le plein, début décembre à Sausheim.

Comme chaque année à pareille époque, les salariés de L’Alsace étaient conviés début décembre à l’Espace Dollfus et Noack, à Sausheim, pour la fête de Noël organisée par le comité d’entreprise.Dès la porte franchie, alors que les plus grands prenaient le temps d’enlever leurs manteaux et de discuter entre eux, les plus petits, eux, pouvaient dessiner et colorier mais aussi goûter à l’un ou l’autre sirop concocté par une étrange machine avant de se faire photographier en compagnie de leur famille, puis de prendre place dans les tribunes afin d’assister aux deux spectacles programmés lors de cet après-midi.

Après les discours de Jacques Romann, directeur du journal, et de Hubert Strauel, secrétaire du CE, tous ont plongé dans l’univers poétique de « La poubelle histoire du monde », où un drôle

à Sausheim

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Le rideau à peine tombé, tout le monde s’est installé de l’autre côté de la salle pour un goûter bien mérité. Les enfants ont pu se faire maquiller ou encore, et c’était là l’une des nouveautés de la journée, réaliser un couvre-chef à leur convenance et se faire photographier avec. Les plus chanceux ont été tirés au sort lors d’une tombola comme toujours richement dotée, les autres se sont consolés avec l’arrivée du Père Noël, qui a comme toujours distribué chocolats et friandises avec la générosité qu’on lui connaît. Les plus gourmands, mais pas seulement, y ont trouvé leur compte !

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Souvenir personnalisé de cette jolie journée... Une sélection des plus beaux portraits de famille, tirés par notre cher collègue Mathieu Lerch. Encore un grand merci à lui !

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« La Reine des Neiges » était le dessin animé proposé par la commission sociale aux enfants, pour bien finir l’année et goûter aux températures extrêmes.A défaut d’avoir de la neige dans le jardin, les enfants ont été gâtés sur l’écran. La tenue d’hiver et les chaufferettes étaient de rigueur pour suivre les aventures de Anna et ses comparses à travers les sommets escarpés et glacés, partis retrouver la Reine des Neiges, Elsa, qui a plongé le royaume d’Arendelle dans un hiver éternel. Une histoire charmante et rigolote, à l’image du drôle de bonhomme de neige nommé Olaf qui ne rêve que d’une chose : « se la couler douce » au soleil. Pas commun pour un petit être de neige ! Mais divertissant pour nos bambins contents de cette escapade au pays du froid.Heureusement les friandises les attendaient à la sortie pour les réchauffer !

Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction.La billetterie marquée du signe est accessible aux retraités.

Ces tarifs sont donnés à titre indicatif, ils peuvent varier en fonction de l’augmentation des prestataires.

CINÉMAS

MULHOUSE Cinéma Kinépolis ..................................... 6,30

WITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE

MULHOUSE Le Palace ........................................................................................... 5€

EUROPAPARK

Tarif unique à partir de 4 ans : du 5 avril au 2 novembre 2014 ................................................................... 33

PISCINES carte de dix entrées

PISCINES M2AValable dans toutes les piscines de la M2A (y compris Rixheim) ........................................................................................... 21

PIERRE-CURIE MULHOUSECarte bien-être ............................................................................................................. 19

Centre nautique RIXHEIMVente uniquement sur place (présentation carte CE obligatoire) pour les habitants de la M2ACarte bien-être ............................................................................................................ 66

Remise en forme + piscine ............................................................... 86

Pour les piscines hors de MULHOUSE 30% sur présentation de la carte ou abonnement

LAGUNA

3 heuresAdulte ................................................................................................................................... 8,00

Enfant ...................................................................................................................................... 6,00

Adulte journéeDu lundi au vendredi ............................................................................... 8,40

Samedi, dimanche ou férié ......................................................... 9,10

Enfant journée Du lundi au vendredi ............................................................................. 6,30

Samedi, dimanche ou férié ......................................................... 7,00

Bulle

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MULHOUSETarif réduit sur présentation de la carte du CE

BâLEAdulte .................................................................................................................................................10

Enfant (6 à 12 ans) ........................................................................................................4

METRO

FRIBOURG (Allemagne)Achats en gros : se renseigner au CE.

METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.

MUSÉES et TOURISME ANIMALIERPrix de groupe sur présentation de la carte du CE ou 20% sur présentation du billet d’entrée.

PARTENARIATS

Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour : 10 % sur présentation de la carte CE.

Point S : 5 % sur présentation de la carte CE Eden Espace Dollfus & Noack Sausheim :

réductions sur présentation de la carte CE Hippopotamus : réductions sur présentation de

la carte CE (Dornach, Illzach).

SKI LA BRESSE

Possibilité de forfaits, renseignements au CE.

Horaires CERenseignements

complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34

Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h

Le CE est fermé le mercredi18, rue de Thann, TSA 68001

68945 MuLhouSeCedex 9

BILLETTERIE SPECTACLE 20% sur présentation de l’abonnement

ou 2 billets par an (dans la limite de 30 euros)

PATINOIRE carte de dix entrées

Tarif unique sans location de patins .......18

Karting sur glace ...........................................................................................54

MUSCULATION Complexe CMCAS EdF/GdF à Zimmersheim

Individuel « L’Alsace/Le Pays » .........................................................60

Couple « L’Alsace/Le Pays » .............................................................100

(inscription au même moment) Filiale (AP, Médiapost, CIME) .........................................................100

Extérieur ....................................................................................................................................160

BILLETTERIE SPORTIVE FOOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX

2 billets/an, 15 maxi par personne

Autres rencontres sportives2 billets /an ou 20% sur présentation de l’abonnement rencontres sportives

TICKETS RESTAURANTSJusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet/mois : valeur du chèque : 4, avec participation du salarié de 50% par chèque.Conditions : uniquement personnel des agences. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administra-tion et personnel travaillant toute la journée.

BONS DECATHLON

Bons à 18 (valeur 20 ), 27 (valeur 30), 45 (valeur 50)

@ Retrouvez votre Trait d’Union sur le site :http://issuu.com/alsacece/docs/tu112

TU 112 sur la toile

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