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Photo: Christophe Chammartin / Rezo N O 32 6 AOÛT 2012 www.migrosmagazine.ch L’homme fort de Tourbillon Sébastien Fournier, le nouvel entraîneur du FC Sion, a la lourde tâche de maintenir l’équipe dans l’élite du foot suisse. Premières impressions autour de son plat préféré. | 36 GÉNÉRATION M I 8 Les nouvelles promesses de Migros pour un monde meilleur. NATURE I 20 Le patrimoine fruitier romand répertorié grâce à un Neuchâtelois. SANTÉ I 65 Comment s’alimenter lorsque l’on attend un bébé? Veuillez annoncer le changement d’adresse à la poste s.v.p. ou au registre des coopérateurs, tél. 058 575 55 44, [email protected] Edition Bâle, JAA 4002 Bâle

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NO 32 6 AOÛT 2012www.migrosmagazine.ch

L’hommefort de

TourbillonSébastien Fournier, le nouvel

entraîneur du FC Sion, a la lourde tâchedemaintenir l’équipe dans l’élite du footsuisse. Premières impressions autour

de son plat préféré. | 36

GÉNÉRATIONM I 8

Les nouvellespromesses deMigros pour unmondemeilleur.

NATURE I 20

Le patrimoinefruitier romandrépertorié grâce àunNeuchâtelois.

SANTÉ I 65

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| 5| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | SOMMAIRE

ÉDITORIAL

Alain Kouo, rédacteur en chef adjoint

Donner la fessée àunenfant, est-ce un crime?Toujours pratiquéemais de plus en plus contestée,la fessée sera-t-elle bientôt reléguée au rang de vestigede l’éducation? En 1979, la Suède a ouvert les feux en vo-tant une loi bannissant ce châtiment corporel. A ce jour,31 pays – dont 21 Etats européens – ont suivi l’exempledonné par Stockholm.Derniers en date: le Sud-Soudan(2011), l’Albanie (2010) et la République démocratique duCongo (2010).Curieusement, le Sud-Soudan et la RDCprévoient la peine demort dans leur législation alors queles claques y sont interdites.

LaSuisse, elle,n’est pas près de figurer formelle-ment sur la liste des pays antifessées.En 2008, uneinitiative parlementaire visant à interdire les châtimentscorporels a été balayée par les deuxChambres, les élusjugeant que la loi actuelle suffisait à protéger les enfantscontre lesmauvais traitements.

Et l’herbe est-elle plus verte chez nos voisins? LeLiechtenstein punit tout châtiment corporel depuis 2008,demême que l’Allemagne (2000) et l’Autriche (1989).En Italie, la Cour suprême a déclaré les fessées illégales en1996mais l’arrêt ne s’est toujours pas traduit par une loispécifique. En France, le débat fait rage depuis que la dé-putée et pédiatre Edwige Antier a déposé un projet de loidemandant l’interdiction de la fessée.L’élue s’est attiré les foudres des spécialistes de l’enfance,dont le pédiatre AldoNaouri, partisan d’un retour à l’auto-rité dans l’éducation,mais opposé à toute forme de châti-ment corporel. Pour lui, battre un enfant est attentatoire àsa dignité et au respect qui lui est dû. Il se bat en revanchecontre l’intervention de l’Etat dans la sphère familiale:«On serine aux parents quantité de choses sur leur enfanten faisant de lui un être fragile qu’un rien peut détruire,a-t-il déclaré dans un quotidien français. Et voilà qu’onvoudrait quemême l’Etat s’enmêle?On est là dans ledomaine privatif, dans lequel l’Etat n’a pas à intervenir.»

Et vous? que pensez-vous de la fessée? Est-ce gravede donner une claque sur les fesses à un enfant? La Suissedevrait-elle légiférer en lamatière? Pour en savoir davan-tage, je vous invite à lire l’entretien deChristine Barras enpage 26, spécialiste de la famille et auteure d’une étude surle thème.

[email protected]:Em

anuelAmmon

Carp

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14 | DOSSIERQue ce soitpour emmener lesrandonneursdans des valléesreculées oupour assurerle ramassagescolaire, les carspostaux sillonnentla Suisse depuisplus d’un siècle.Zoom sur uneinstitutionhelvétique.

ENBREF7 | Les dernières informations

dumonde Migros.

INFOSMIGROS8 | GénérationM: les nouvelles

promesses deMigrospour unmondemeilleur.

SOCIÉTÉ14 | Transports: les cars postaux,

une vénérable institution suisse.20 | Nature: Bernard Vauthier a passé

vingt-cinq ans à recenser les anciennesvariétés de fruits de Suisse romande.

26 | Entretien: la fessée selon ChristineBarras, spécialiste de la famille.

ENMAGASIN30 | Gastronomie: exquises délices

venues d’Italie.35 | De la région: une recette de filets

de perche à la valaisanne.

CUISINEDESAISON36 | Sébastien Fournier: le nouvel

entraîneur du FC Sion aime le risotto.

VOTRERÉGION51 | Les informations de votre

coopérative régionale.

AUQUOTIDIEN57 | Escapade: sur le Chemin

des planètes de Saint-Luc (VS).62 | Psychologie: être à l’écoute

de soi grâce à l’émotiologie.65 | Santé: comment s’alimenter

lorsque l’on attend un bébé?68 | Voiture: la nouvelle Ford Focus,

une championne enmatièrede sécurité.

LEMONDEDE…78 | Marianne Dubuis: la passion

du découpage dans le Pays-d’Enhaut.

RUBRIQUES12 | Cette semaine71 | Jeux: participez et gagnez

des cadeaux!74 | Animanca: une page

pour les enfants.76 | Cumulus: les offres dumoment

du programme de fidélité Migros.

Page 6: migros-magazin-32-2012-f-bl

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| 7| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | EN BREF

E n Suisse alémanique, Activ Fitnessest un nom bien connu de tous lesamateurs de sport et de bien-être.

En effet, la société compte dix-huitcentres et près de 40 000membres.Désormais, les Romands pourront

aussi jouir de l’excellent rapport qua-lité-prix proposé par cette filiale deMigros Zurich. Le 24 août, à côté de lagaredeFribourg, lepremier studioActivFitness sera en effet ouvert en terre ro-mande. Sur plus de 1500 m2, l’enseigneproposera tout ce qu’il faut pour déve-lopper sa musculature et améliorer sonendurance.Le centre proposera aussi denombreuxcours etdisposerad’unsauna,de bains de vapeur et d’une garderie.Dès aujourd’hui et jusqu’au 9 sep-

tembre, lesFribourgeoispeuventbénéfi-cier d’un tarif préférentiel sur les abon-nements à l’année (Fr. 590.– au lieu deFr. 740.– pour un adulte).A moyen terme, Activ Fitness en-

visage d’ouvrir vingt-cinq studios enSuisse romande.

Sport pour tousLe 24 août, Activ Fitness inaugurera à Fribourg son premier studioen Suisse romande. Plus de vingt autres ouvertures sont prévues.

AU RAYON FRAIS

Fruits d’étéFramboises, myrtilles, mûres:la saison bat son plein dansles magasins Migros. Et sices baies se dégustent sanstarder, il est possible deprolonger le plaisir de ladégustation en préparant desavoureuses confitures. Voustrouverez les bonnes recettessur www.saison.ch.

Vente d’abonnements du 6 au 25 août devant le bureaude poste, avenue de Tivoli 3, Fribourg. Puis, du 26 aoûtau 9 septembre, au studio Activ Fitness, rue Louis-d’Affry 6à Fribourg. Infos: www.activfitness.ch.

Herbert Bolliger, président de la direction généraleMigros,et Ueli Maurer, conseiller fédéral, lors du brunch du 1erAoût.

Cette année encore, aux quatre coins dupays,prèsde200 000Suissesontparti-cipé au traditionnel brunch du 1er Août.Parmi eux, deux personnalités – leconseiller fédéral Ueli Maurer et le pré-sident de la direction générale MigrosHerbert Bolliger – ont fait honneur auxspécialités servies par Urs Tanner, unagriculteur d’Uetikon am See (ZH). «Jen’avais encore jamais reçu des visiteursaussi célèbres»,s’est réjoui lepaysanquiavait notamment préparé des röstis etdes œufs au plat pour les cinq centsconvives présents.

Tous ensemble pour célébrerla fête nationale suisseLancé en 1993 par l’Union suisse despaysans, le brunch à la ferme vise no-tamment à rapprocher les Suisses desvilles et les Suisses des champs.Migrosen est le sponsor principal.

Unbrunchbien fréquenté

Activ Fitnesspropose denombreux coursà petits prix.

Photos:Fotolia,DR,Tina

Steinauer

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8 |

GÉNÉRATIONM |No 32, 6 AOÛT 2012 | MIGROSMAGAZINE |

E n février, Migros lançaitGénération M, un pro-gramme d’engagements

en faveur du développementdurable. L’opération a débutéavec trente promesses adres-sées directement à un enfantou un adolescent.

«Génération M nous in-cite, dans toutes nos activités,à constamment nous deman-der ce que nous pourrionsfaire d’encore mieux pour leshommes, les animaux et l’en-vironnement. C’est pourquoinous formulons aujourd’huidix nouvelles promesses»,explique Herbert Bolliger,président de la direction gé-nérale Migros.

Ces nouveaux sermentsrecouvrent un large spectrede sujets. Parmi eux: la pro-tection de l’environnement.Par exemple, d’ici 2013, Mi-gros ne veut pas seulement

E n février, Migros lançaitGénération M, un pro-gramme d’engagements

en faveur du développementdurable. L’opération a débutéavec trente promesses adres-sées directement à un enfantou un adolescent.

«Génération M nous in-cite, dans toutes nos activités,à constamment nous deman-der ce que nous pourrionsfaire d’encore mieux pour leshommes, les animaux et l’en-vironnement. C’est pourquoinous formulons aujourd’huidix nouvelles promesses»,explique Herbert Bolliger,président de la direction gé-nérale Migros.

Ces nouveaux sermentsrecouvrent un large spectrede sujets. Parmi eux: la pro-tection de l’environnement.Par exemple, d’ici 2013, Mi-gros ne veut pas seulement

tection de l’environnement. tection de l’environnement. tection de l’environnement. Par exemple, d’ici 2013, Mi-Par exemple, d’ici 2013, Mi-Par exemple, d’ici 2013, Mi-gros ne veut pas seulement gros ne veut pas seulement gros ne veut pas seulement

Migross’engageGénérationM, le programmeMigrosdédié au développement durable, s’étoffede dix nouvelles promesses faites àla génération future. «MigrosMagazine»détaille ci-après trois d’entre elles.

collecter et recycler les bou-teilles en PET, mais tous lesflacons en plastique.

Le distributeur entendaussi assumer ses responsa-bilités vis-à-vis de la vie encommunauté. Avec ses coursde langue, l’Ecole-club ap-porte ainsi une contributionnon négligeable à l’intégra-tion des étrangers. HerbertBolliger poursuit: «Nouspermettons aux immigrésd’acquérir des connaissanceslinguistiques et les aidons à sesentir mieux dans leur vie detous les jours ou dans l’exer-cice de leur métier.» A ce su-jet, une promesse a été faite àHanan, 16 ans (lire-contre).Textes: Christoph Petermann,

Andreas DürrenbergerPhoto: Nathalie Bissig

Toutes les promesses et infos:www.generation-m.ch

Herbert Bolliger,président de ladirection générale.

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| 9| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | GÉNÉRATIONM

D epuis une année, la SomalienneAmina Mohamed Ali, 38 ans, fré-quente l’Ecole-club Migros. «Le

plus important pour moi est d’amélio-rer mes connaissances linguistiques,explique-t-elle. Mais j’aime aussi ap-prendre l’histoire et la géographie de laSuisse.»Sa fille,Hanan,16ans,poursuit:«On leur donne également des conseilssur la manière d’établir le budget duménage ou sur les caisses maladie.»Comme sa mère est encore à un niveaudébutant, c’est elle ainsi que sa sœuraînée, 17 ans, qui jouent le rôle de tra-ductrices dans maintes situations de lavie courante.«Nousapprécionsbeaucoupquenotre

mère effectue des progrès», assure Ha-nan, qui incarne un des visages du pro-gramme Génération M. La promesse quilui est faite est ainsi libellée: «Nous pro-mettons àHanande familiariser 130000immigrés ànotre langueet ànotre cultured’ici 2015.»En 2011, près de 41 400personnes ont

suivi un cours de l’Ecole-club pour ap-prendre une de nos langues nationales.A chaque occasion, les enseignants pro-fitentd’expliquer à leurs élèves la culturedupays, tout en leur fournissantdes ren-seignements utiles au quotidien.Les offices cantonaux du travail, pour

qui Migros représente le principal par-

tenaire en matière de formation, appré-cient beaucoup ce type de prestations enfaveur de la société.Fuyant la guerre en Somalie, Hanan

est arrivée en Suisse en 2002 en compa-gniede samèreetde sa sœur.«Dansmonpays, unmorceau de pain a davantage devaleurqu’uneviehumaine»,témoigne lamaman, qui a grandi àMogadiscio.C’estson père qui lui a parlé de la Suisse alorsqu’elle était enfant:«Il a évoqué les deuxguerres mondiales qui ont frappé l’Eu-rope et le fait que la Suisse a été épar-gnée.» D’où son idée de se rendre, loindes hostilités, dans un pays où règne lapaix.Lesdébutsont étédifficiles.«Nousne

maîtrisionspasdu tout la langue,se sou-vientHanan. Je suisbeaucouprestée chezmoi et je ne voulais pas jouer avec mesvoisins.» Ce n’est qu’au jardin d’enfantsque la situation s’est améliorée.La jeune fille a récemment terminé

son école secondaire et s’apprête à com-mencer un stage dansune crèche, avec ledésir de devenir éducatrice de la petiteenfance.Hanan pratique de plus le basket et

adore la natation. Se sent-elle désavan-tagée ou rejetée du fait de ses origines?«Quandonnecréepasdeproblèmesauxautres, les autres ne nous en créent pasnon plus», assure-t-elle.

Quand les langues ouvrentdesportes

Les cours del’Ecole-clubMigros ont permisàAminaMohamedAli (ici avecsa fille Hanan)de s’intégrer enSuisse.

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10 |GÉNÉRATIONM |No 32, 6 AOÛT 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Entantquepremierdétaillantde Suisse, Migros s’engage àreprendre et à recycler toutesles bouteilles en plastiquedans ses magasins. Ainsi, lesflacons de shampooing, degel-douche, de produits denettoyage vont connaître unenouvelle vie et deviendront,par exemple, des gaines decâbles.Ce faisant,Migros apporte

une contribution importanteà la préservation des res-sources naturelles et à la ré-duction deCO2.En 2013, Migros équipe-

ra par étapes ses points deramassage afin de faire faceà cet afflux supplémentairede déchets. Elle entend éga-lement informer clairementses clients–quiont àmaintesreprises appeléde leurs vœuxune telle mesure – sur ce quipeut être recyclé. De nom-breux citoyens tiennent en

effet à éliminer de manièreresponsable leurs emballageset leurs produits.Depuis 2009 déjà, la so-

ciété coopérativeMigros Lu-cerne propose à ses clientsde rapporter, en plus desbouteilles blanches de lait,les flacons en plastique – cequ’ils nemanquent d’ailleurspas de faire.Forte du succès de ce pro-

jet-pilote, Migros va équipertous ses magasins de centresde collecte améliorés.Aujourd’hui, Migros ré-

cupère 1000 tonnes de bou-teilles de lait chaque année.En élargissant la mesure àtoutes les bouteilles en plas-tique, on augmentera consi-dérablement levolumededé-chets collectés.A long terme,sur la base d’un taux de recy-clage estimé à 75%, on pour-rait en récolter 2000 tonnessupplémentaires par an.

La santé et le bien-être dé-pendentbeaucoupdescondi-tions dans lesquelles on estappelé à travailler. Raisonpour laquelleMigros s’engagepour que ses collaborateurspuissent œuvrer dans un en-vironnement sûr et sain.A cetitre,onzeentreprisesMigrosont déjà reçu le label FriendlyWork Space. Parmi elles:Mi-carna, le centre de distribu-tiondeSuhr (AG) et certainessociétés coopératives régio-nales.Cette distinction est dé-

cernée par Promotion SantéSuisse, une fondation sou-tenue par la Confédération.Cette institution indépen-dante examine notammentsi les entreprises gèrent demanière professionnelle lesquestions de santé. Un ca-talogue exhaustif définit lescritères à remplir pour l’ob-tention du label. Et si la dé-

marche peut pa-raître abstraite,elle comporte tou-tefois des obliga-tions concrètes.Entre autres exi-gences, on insistesur la formationcontinue des diri-geants afin que lesquestions de san-té fassent réguliè-rement l’objet dediscussions sur lelieu de travail. Lescollaborateurs quitransportentdes charges sontpar exemple informés sur lamanièredeménager leur dos.Migros est le premier dis-

tributeur à avoir reçu le labelFriendly Work Space. D’ici à2015, l’ensemble des dix coo-pératives régionales ainsi quela Fédération des coopéra-tivesMigros (FCM)devraientl’arborer.

Le label «FriendlyWorkSpace» vise à améliorerles conditions de travail.

Acte pionnier enmatièrede recyclage

Des places de travailmieux pensées

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12 |cette semaine |No 32, 6 août 2012 | migrosmagazine |

saviez-vousque…?

Jeuxolympiques sur le divan

Carlo Foppa,éthicienclinique,membrede laCommissionnationaled’éthique,

Illustration:Ko

nrad

Beck

Les Jeux olympiques,c’est aussile terrain de jeude nombreuxpsys.

sur le vif

«C’estauxparentsde choisir»L’arrivéesur lemarchécemoisduPraenatest,le test prénatal de la trisomie 21 qui permet-tra son dépistage par une simple prise desang, est très controversée. Etes-vous pourun tel test?Il ne s’agit pas d’être pour ou contrepuisqu’il est déjà possible de dépister latrisomie via l’amniocentèse. Ce quichange avec l’arrivée de ce test, c’est laforme et non le fond. Aujourd’hui, unenouvelle modalité est proposée, moinsrisquée. Dans ce sens, c’est une bonnechose. Si l’on veut remettre en questionun tel test, il faut alors remettre encausetoute forme de dépistage prénatal.

Maisnedoit-onpascraindre,comme ledisentcertains, de tomber dans une forme d’eugé-nisme? Après la trisomie, viendra le tourd’une autre anomalie...Vous savez, ce type de réaction est trèscourant. Il y aura toujours des positionsextrêmes, tout comme il est vrai que lerisque de dérive existe s’il n’y a pas degarde-fous. En Suisse, nous sommessuffisamment raisonnables pour éviterles dérapages. La preuve, nous avonstrois commissions d’éthique pour sur-veiller l’application de la loi.

Notre société est de plus en plus hygiéniste.On n’a donc plus le droit d’être différent?Effectivement, nous vivons dans unesociété qui prône la performance, maisil ne sert à rien de mettre la charrueavant les bœufs en stigmatisant un testprénatal. Je ne me sens pas le droit decondamner les parents qui veulent sa-voir. C’est la société qu’il faut d’abordchanger, en la rendant plus tolérante etplus ouverte.

Le risquen’est-il pasaussi devoir stigmatiserles parents qui choisissent de laisser venir aumonde un enfant trisomique?Onnepeutpasexcluretoute formedebê-tisehumaine,mais j’essaiederesteropti-miste. Je pense que nous aurions déjà vuce phénomène apparaître avec l’amnio-centèse. Encore une fois, je renvoie à laresponsabilité des parents. Ils sont seulsà détenir la réponse face à un tel choix.

Entretien:VivianeMenétrey

A ux Jeuxolympiques, il y ades jeux.Et des sportifs. Bon, jusque-là,tout le monde suit. Mais ce que

savent peu d’entre nous, c’est que lesathlètes ne partent pas tout seuls aufront. Ils sont régulièrement accompa-gnés… d’accompagnants. Certes. Maisdepuispeuaussi depsychologues.Si, si!Les grandes nations sportives commeles Etats-Unis, l’Australie ou laNorvègeont depuis longtemps pris l’habituded’emporter un psy dans leurs bagages.Quant à ladélégation suisse,c’est depuisles Jeuxd’hiver de 2006,àTurin,qu’ellese déplace avec son psy perso.Mais que diable peut bien faire un

spécialiste des souffrances de l’âme

dans un stade ou sur des pistes de ski?Les sportifs ont-ils une franche ten-dance au blues? Presque.Aujourd’hui, ils subissentune si forte

pression: l’exigence du succès, la ges-tion de la défaite. Le psychologue dusport est là en appui pour des questions

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| 13| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | CETTE SEMAINECETTE SEMAINE

Laurent Nicolet,journaliste

DANS L’OBJECTIF«Cadiz», le chevaldu FrançaisAurélienKahn, ne veut-il plusavancer? En fait,l’animal freine justeavant de franchircet obstacle de ceconcours de country-cross des JOde Londres.

MES BONS PLANS

Manœuvresà la turque

En Turquie, il n’y a pas que la récolte des caillouxqui obéisse à des règles subtiles. QuandAyse semarie, au pays, avec Hasan, c’est en réalité lepère de celui-ci, Mustafa, qu’elle épouse, rejoi-gnant ainsi cette famille d’émigrés à Vienne. Oùc’est la première épouse, Fatima,malade, quil’accueille, l’ayant elle-même choisie pour luisuccéder.Mais lamanœuvre aura des consé-quences aussi lourdes qu’inattendues.

«Une seconde femme», d’Umut Dag. En salledès le 8 août.

«Le sablegratte»

La première anthologie littéraire consacrée aubord demer et réunissant une centaine d’écri-vains. Homère, Shakespeare, Flaubert, Rabe-lais, Joyce, Sagan, Duras et on en passe. Laplage, comme le dit Pauline Baer, l’un des deuxmaîtres d’ouvrage, est forcément «un lieu ma-gnifique pour un écrivain, qui peut contempleren toute conscience ce paysage à la fois pro-saïque et céleste: le sable gratte, mais les flotséternels soulèvent».

«A la plage», Balland

Coupde pompes

Tout autre plage: celle des Six Pompes. A LaChaux-de Fonds bien sûr, pour les retrouvaillesannuelles d’un bazar énorme, une semaine du-rant: le Festival international des arts de la rue,avec 37 compagnies, 51 spectacles et 165 re-présentations, rétribuées au chapeau.

La Chaux-de Fonds, jusqu’au 11 août.

Du court, du bon,du Besson

On connaissait le chroniqueur persifleur, leromancier fécond, voici donc le nouvelliste in-time. Un genre, la nouvelle, inexplicablementméprisé dans les pays francophones. Commele dit le narrateur d’un de ces textes, «Ladixième», écrit en 1973 à l’âge de 16 ans: «De lahaine dans le regard, voilà l’essentiel.» Maisnon, c’est pour rire.

«Les jours intimes», de Patrick Besson,Bartillat.

demotivation, de préparationmentale,de concentration. Eradiquer les doutes.Et face à des journalistes toujours plusvoraces, c’est important aussi que lesathlètes soient bien préparés. D’aprèsRomana Feldmann, membre du comitéde l’Association suisse de psychologiedu sport, le psychologueolympique sertbien sûr également en cas de crise. In-dividuelle d’un participant qui n’a plusla force de continuer, qu’il faut aider àretrouver confiance. De crises collec-tives entre tout ce petit monde fait desportifs, d’entraîneurs, de physiothé-rapeutes, etc., qui vivent immanqua-blement quelques soucis de commu-nication. Et la cohabitation de sportifs

de différentes disciplines qui ne va pastoujours de soi. Bénéfice secondairenon négligeable: s’il éclate une situa-tion d’urgence (maladie,mort), un pro-fessionnel peut intervenir immédiate-ment, comme ce fut le cas pour l’acci-dentmortel d’un lugeur lors des Jeux deVancouver en 2010.Et comment faisaient-ils avant l’ère

des psys? Eh bien, ils ne faisaient pas.Ou seulement un peu: c’était le job descoachs. Et il fallait parfois faire appel àdes psys locaux en cas de crises.Donc à Londres, en cemoment, c’est

bourré de sportifs et de psys. Du sportdivan, quoi...

Isabelle Kottelat

PhotoMarco

Ugarte

/AP

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14 |SOCIÉTÉ | TRANSPORTS |No 32, 6 AOÛT 2012 | MIGROSMAGAZINE |

T a-tu-taa», do dièse-mi-la, toutle monde connaît ça, l’andante del’ouverture du Guillaume Tell de

Rossini. D’autant que, depuis 1923, c’estaussi la mélodie klaxonnée dans nos val-lées par les cars postaux à chaque tour-nant un peu vertigineux.

Officiellement, le tout premier carpostal a été mis en circulation en 1906sur la ligne Berne-Dettlingen. Il s’agis-sait en fait d’une diligence où l’on avaitsimplement remplacé les chevaux par unmoteur. Pas pour longtemps: les pannesétaient si fréquentes que les canassonsne tardèrent pas à reprendre du service,pour ne disparaître définitivement qu’en1930.

Le jaune n’a pas toujours été le même.Paille d’abord, celui qu’arboraient lesdiligences et imité de l’aigle impérialeallemande jaune et noir. Puis passantpar des nuances plus chaudes, jusqu’àl’ocre, pour enfin aboutir au jaune d’au-

jourd’hui, RAL 1004, dit aussi jaune d’orou plus communément «jaune poste».

Premier col franchi en 1919, au Sim-plon. Suivi bientôt du Grimsel, de laFurka, du San Bernardino et de l’Obe-ralp. A cette époque, on transforme descamions militaires en autocars.

Des personneset du laitEn 1924, la poste exploite 169 cars. Desvéhicules bientôt affublés de cabinesavancées puis de remorques à passa-gers. Outre le transport de personnes,les cars postaux remplissent des mis-sions un peu particulières, dont cer-taines jusqu’à aujourd’hui, comme letransport du lait ou le dégagement dela neige. Premiers transports scolairesen 1957. Arrivée en 1970 de la premièreconductrice. Elle s’appelait Claire Buneret a officié sur la ligne Jonschwil-Uzwil.Archaïque et poussiéreux le car postal? Il

UneSuissede carpostalLes vénérables autobus jaunes conduisant

au fond des vallées les plus abruptes ou assurantle ramassage scolaire sont sans doute

davantage qu’un simplemoyen de transport:le symbole d’un pays à la fois immuable

et féru demobilité.

Unmatin d’été à la gare routière de SionJennifer Page et Nathalie Sutter«Nous sommes plutôt voiture, maisaujourd’hui, pour la randonnée quenous voulons faire, ce sera le car jaune etnous nous réjouissons beaucoup. Nousallons jusqu’à Derborence pourmarcherensuite jusqu’au Pont-de-Nant, au-dessus

de Bex. Nous sommes donc un peu obli-gées de prendre le car. Avec une voiture,nous aurions dû retourner à notre pointde départ. Et puis le car c’est sympa-thique; ça rappelle l’enfance, quand onprenait le car postal pour aller à l’école.»

par des nuances plus chaudes, jusqu’à l’ocre, pour enfin aboutir au jaune d’au-

et a officié sur la ligne Jonschwil-Uzwil. Archaïque et poussiéreux le car postal? Il

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| 15| MIGROSMAGAZINE | No 32, 6 AOÛT 2012 | SOCIÉTÉ | TRANSPORTS

Jean-Marc Gaspoz«Si j’utilise les cars postaux, c’est qu’en cemoment je ne peux pas conduire. Je me suiscassé quatre côtes en tombant. D’habitude jene me déplace qu’en voiture, professionnelle-ment j’y suis obligé. Franchement, le car, cen’est pas désagréable, même si les lignes ne

sont pas toujours bien desservies. Les véhi-cules sont magnifiques en tout cas, vraimenttop, toujours propres, toujours nickel, du hautde gamme, je leur tire mon chapeau. Leschauffeurs sont plutôt aimables. Bon, on n’estpas dans la période scolaire. Là ils vont

souffrir, ils n’arrivent plus rien àgérer, les enfants cassent tout,j’ai vu des jeunes à un arrêt quien poussaient d’autres hors dubus pour qu’ils ne puissent pasremonter.»

«Lesvéhiculessontvraimenttop,toujourspropres,toujoursnickel»

souffrir, ils n’arrivent plus rien à

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2e jour, lundi, 31 décembre 2012«Cologne est un sentiment», telle est la devisede l’office de tourisme Cologne. On ne peut sansdoute pas mieux décrire la splendide ville situéesur les bords du Rhin. La superbe cathédralede Cologne et la charmante vieille ville ne sontpas les seuls atouts de Cologne. Ce sont plutôtla gaîté, la joie de vivre et la cordialité de ses ha-bitants qui se manifestent au quotidien dans laconvivialité. Après le petit-déjeuner, un guidelocal expérimenté nous présente, lors d’un tourde ville intéressant, les 2000 ans d’histoire et lamagnifique physionomie de Cologne. L’après-midi est à votre disposition. Vous avez le tempsde faire du shopping, d’admirer et de savourer!Une formidable soirée de gala de la Saint-Sylvestre avec un délicieux dîner nous attendle soir à l’hôtel! Jouissez de la belle musique endansant ou admirez le Rhin illuminé et glissezdoucement au Nouvel An 2013.

3e jour, mardi, 1er janvier 2013Nous commençons le jour du Nouvel An en dou-ceur. Faites la grasse matinée, savourez le petit-déjeuner buffet copieux et faites une petite pro-menade dans la vieille ville pittoresque! A 16.00heures arrive enfin le grand moment de notrevoyage à la Lanxess Arena: André Rieu et sonorchestre de 50 musiciens invitent au concertdu Nouvel An à guichet fermé, retransmis endirect à la télévision partout en Europe. Accueil-lez la nouvelle année en musique et laissez-vousenvoûter par le maestro avec des valses roman-tiques, les grands classiques, des titres à succèset les plus célèbres mélodies de films et de co-médies musicales! Nous passons la soirée dansune brasserie typique de Cologne, ce qui vousdonne l’occasion de passer en revue le beauvoyage et de déguster, en plus d’autres délices,aussi la spécialité de la ville, le «Kölsch»!

4e jour, mercredi, le 2 janvier 2013Après le petit-déjeuner, nous repartons pour laSuisse pleins de souvenirs inoubliables!

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| 17| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | société | transports

continuepourtantde fasciner.Créatricedes «journées mondiales absurdes», labloggeuse Aline Isoz a ainsi décrété le22 septembre «journée mondiale ducar postal».Elle voit le fameux véhicule

jaune comme«unovni dansle paysage actuel».Pour elle«le car postal, c’est la nos-talgie, la poésie d’un élé-ment bien de chez nous»,qui «emmène les enfantsdes villages vers leur écolede village, là où les profes-seurs s’appellent encore desinstituteurs, où les enfants

connaissent tous leurs camarades parleur nomde famille…»

Ou qui déroule devant ses passagers«les paysages les plus typiques de nosrégions. On y croise de petites maisonsvillageoises, des vignobles, des forêts,desvaches,des tracteurs,desvieux figésdans leur époque et bien plus encore.»Bref, le carpostal,c’est«l’occasiond’unpèlerinage dans le temps, d’un rappro-chement avec la simplicité des choses,

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Le premier car postal a étémis en service en 1906 en Suisse. Il assurait la ligneBerne-Dettlingen.

«C’estl’occasiond’un pèleri-nage dansle temps»

Page 18: migros-magazin-32-2012-f-bl

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Nous promettons à Moritz que, d’ici 2020, l’approvision-nement en poisson proviendra de sources durables.

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| 19| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | société | transports

d’une redécouverte de la nature.» Biendavantage en somme qu’un simple«moyen de transport»: «le car postaldevrait être considéré comme faisantpartie de notre patrimoine historique,et chaque habitant de ce pays devraitl’emprunter au moins une fois dans savie. Le car postal ne relie pas une ville àune autre, il relie chacun d’entre nous àce pays...»Historien des transports,GérardDuc

abonde dans le même sens et rappelleque les carspostauxsont«l’undes seulsservicesnationaliséspar laConstitutionde 1848 qui est resté un service natio-nal». Un service qui a joué à ce titre unrôle majeur «dans les liens qui se sontétablis entre les différentes régions dupays». Et qui conserverait donc «toutson sens actuellement. Non seulementpourrelier lespériphériesavec lesgrandscentres,mais égalementpour conserverune cohérence au niveau national.»

Le tout à la voiture, uneparenthèse de l’histoire?L’historien veut croire en tout cas àl’avenir des cars postaux,malgré l’éter-nel débat sur leur rentabilité: «On as-siste aujourd’hui certes à une régres-sion de l’utilisation de ces cars postauxet il est légitime de se poser la questiondu maintien de toutes ces lignes. Maison peut aussi imaginer que le tout à lavoiture est une parenthèse de l’histoireet qu’on va retourner vers un systèmede transports publics un peu plus effi-cients.» Sous l’effet notamment «desproblèmes environnementaux et de lasaturation de la circulation en direc-tion des grands centres urbains. Il y adéjà une unanimité politique à voir surle long terme les transports publicscomme les transports du futur.»Enattendant, le carpostal s’est trans-

formé–déjà–enobjetdenostalgie.Au-tocariste en Valais, Régis Ballestraz, quia fondé une association à la gloire d’unvieux Saurer datant de 1956: «Je suisfier de sa belle technique, raconte-t-ildans leNouvelliste, j’aime le conduire.Asonvolant, jeme sens unpeupatriote.»Mécanicien retraité,RobySuter, lui, quia racheté le Saurer 1962 assurant uneliaison postale à Lignières puis le Berna1970de la ligneSion-Savièse-Sanetsch,ne dit pas autre chose. «Je ne supportepas que ces magnifiques mécaniquesfinissent leur vie comme guérites d’ou-vriers sur les chantiers. Le génie suissene doit pasmourir ainsi.»

Texte: Laurent NicoletPhotos: Isabelle Favre /

Musée de la communication, Berne

Unmatin d’été à la gare routière de Sion

«Il n’y a pastoujoursde bonnescorrespondances»

RolfWägger et Irène Kohler«Nous sommes en vacances etcette semaine nous avons prischaque jour le bus, chaque foispour une destination différente,histoire de connaître la région.Nous avons eu un seul problème,un chauffeur a oublié de nous arrê-ter là ou nous avions demandé, cequi nous a valu une heure demarche supplémentaire. Les carsjaunes font un peu partie de laSuisse, nous y sommes d’autantplus habitués que nous n’avonspas de voiture, par conviction éco-logique et pourmontrer l’exempleaux jeunes.»

Markus Glättli«Je viens deWädenswil dans lecanton de Zurich. Je suis accom-pagnateur de moyennemontagne,et je conduis un groupe qui vientd’un peu toute la Suisse. De parma profession, je prends évidem-ment beaucoup le car postal danstoutes les régions du pays. Detoute façon, je n’ai pas de voitureLe problème principal,notamment ici en Valais, c’est qu’iln’y a pas toujours de bonnescorrespondances.»

Christine et CécileMärchler«Nous venons de Schönbühl prèsde Berne et nous prenons souventle car. Nous ne nous déplaçonsqu’en train ou en bus. Ici à Sionc’est génial, tous les bus partentdumême endroit, c’est bien mar-qué, il n’y a pas besoin de chercher.Les chauffeurs sont très sympa-thiques. Bon, celui que nous avionshier conduisait un peu comme un…Valaisan! Ce qui est bien avec lecar dans la montagne, c’est qu’ona le temps de tranquillement toutregarder. aujourd’hui nous allons àla Grande-Dixence, le parcours esttrès beau.»

Elisabeth et Paul Devaux«Nous allons visiter des amis àNendaz. Et passer la journée aveceux. Nous prenons le bus parceque nous n’aimons plus telle-ment conduire sur de longuesdistances. Nous venons deBienne.»

«Nousn’aimonsplus conduiresur de longuesdistances»

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20 |société | nature |No 32, 6 août 2012 | MigrosMagazine |

S ’entretenir avec Bernard Vauthiera quelque chose de fascinant, tantl’impression de faire face à une

encyclopédie vivante imprègne la ren-contre. Il suffit en effet de lui montrerunarbre fruitierquinous semblait pour-tant quelconque pour qu’il s’enflammeà la vue de sa magnifique charpente encandélabre, narre sans sourciller son

A la recherchedu fruit perduDurant vingt-cinq ans, BernardVauthier a recenséles anciennes variétés de pommes, poireset prunes de Suisse romande. Le résultatest aujourd’hui réuni dans un livre et un vergersur les hauts de Neuchâtel.

origine, décline ses noms en vieux fran-çais ou en patois selon les zones géo-graphiques où il pousse et liste les dif-férentes façons dont l’homme a utiliséson fruit à travers les âges.Pour ce maître d’école de Bôle

(NE), cet impressionnant savoir n’a aucontraire rien d’extraordinaire. «Je n’aipasunebonnemémoire.C’estpourcetteraison que j’ai écrit ce livre», indique-t-il modestement. L’ouvrage auquel ilfait allusion ici estune sommequidressela liste de plus de six cents variétés an-ciennes de pommes, poires, prunes, ce-rises,châtaignes, raisinsou figuesqu’il a–uneàune–décrites,dessinées etpho-tographiées.

Le fruit d’un travailde vingt-cinq ansIntitulé Le patrimoine fruitier de Suisseromande, l’ouvrageademandépasmoinsde vingt-cinq ans de travail et ne trouved’équivalentdansaucuneautrepublica-tion actuelle en Europe.Tout a commencé lorsque Bernard

Vauthier, travaillant sur un précédentlivre ayant pour thème la région de LaBéroche, découvre un document faisantmention d’une poire – la San-Règle –existant déjà en 1345 à Vaumarcus (NE).Il n’en fallait pas plus pour éveiller lacuriosité de l’instituteur.«Je me suis alors mis en chasse, ex-

plique simplementBernardVauthier.Audébut, je me promenais à l’aveuglette,allant de verger en verger.» C’est fina-lement à Vallon (FR), de l’autre côté dulac deNeuchâtel, quenotre enquêteur–il sedéfinit commetel– retrouvechezunagriculteur cette ancienne variété.Durant ses pérégrinations, notre

homme discute avec une foule de pro-priétaires d’arbres. Au fil des conversa- L’ouvrage de BernardVauthier ne trouve d’

BernardVauthier a commencé ses recherches il y a vingt-cinqans avec la poire San-Règle.

La prune étrangle-clou, variété de Grimisuat (VS), doit sonnomà son noyau extrêmement pointu.

PhotoMathieu

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| 21| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | société | nature

tions surgissent alors, souvent par ha-sard d’ailleurs, de précieux renseigne-ments faisant état d’autres sortes defruits, elles aussi tombées dans l’oubli.Et les pistes de recherche de se multi-plier, telles des ramificationsde racines.

sur le terrain ou le nez plongédans les archivesDiminuant alors son temps detravail, l’instituteur sillonne lesquatre coins de la Suisse ro-mande,nenégligeant aucunehypothèse. Et lorsqu’il n’estpas sur le terrain, il se plongedans les archives cantonales àla découverte des registres no-tariés,épluche les comptes com-munaux pour passer au crible lesmises auxenchères et consulte lesglossaires des patois.Dans le cabinet des estampes

de l’Ecolepolytechnique fédé-rale de Zurich, sur les encou-ragements d’un enseignant enarboriculture, Bernard Vau-thier trouve un recueil daté de1748qui recenseplusieurs va-riétés de fruits d’été et d’au-tomne dans la principauté deNeuchâtel. «J’ai eu beaucoup dechance de pouvoir consulter cettepomologie ancienne. Grâce à ses nom-breuses aquarelles, j’ai enfin pu visuali-ser lespoires,pommes,cerises etprunesdont jeneconnaissais jusqu’alorsque lesnoms.»Bien évidemment, durant ce quart

de siècle de recherche, Bernard Vau-thier connaît des phases de décourage-ment. «J’avais par moments l’impres-sion dem’enfoncer dans un tunnel sansfin.Heureusement,chaquenouvelledé-couverteme stimulait etmeredonnait du courage.»Par ailleurs, les subsides

accordés par deux fois parlaConfédérationconfortentle Neuchâtelois dans sa dé-marche. Surtout, l’indé-fectible volonté de dres-ser l’inventaire d’un patri-moineenvoiededisparitionincite Bernard Vauthier àpoursuivre sonœuvre.«L’après-guerremarque un basculement dans la ma-nière de considérer les vergers, analyse-t-il.Dans les exploitations agricoles, lesarbres sont vus commedes entraves à lamécanisation. Quant à l’urbanisationdes campagnes et à la baisse d’intérêtdes particuliers pour le greffage, ellesparticipent égalementà ladiminutiondeladiversitévariétale.Enfin, la sociétéde

consommation qui s’éloigne d’unmoded’approvisionnement régional nivelle laproduction.»Toutefois, l’instituteur n’est pas du

genre à vivre dans la nostalgie. Il saitbien que la réintroduction de ces an-ciennes variétés n’est pas envisageable.Son travail qui s’est également mué enquête de sens – «J’avais besoin de par-

tir à la recherche de nosracines, de savoir d’où l’onvient– l’amême rasséréné.«Je suis heureux d’avoir pudécouvrir des fossiles vi-vants. Pour moi, certainsfruits sont d’authentiquespièces demusée.»Publié cet hiver, l’impo-

sant inventaire, qui mé-lange aussi bien l’ethno-

botanique que la philologie, s’est déjàécoulé à trois mille exemplaires. Unetrès belle vente pour ce genre d’ouvragespécialisé. Du coup, son éditeur a déci-déd’imprimerdeuxmille copies supplé-mentaires. «C’est une grande surprise.Durantmes recherches, jenepensaispasque mon travail de bénédictin allait in-téresser autant de gens.» L’histoire nes’arrête toutefois pas ici. Désireux de nee d’équivalent dans aucune autre bibliothèque en Europe.

«Chaquenouvelledécouvertemedonnaitdu courage»

La pommeétoile puise sesorigines dansle cantonde Genève et enHaute-Savoie

Page 22: migros-magazin-32-2012-f-bl

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| 23| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | SOCIÉTÉ | NATURE

pas seulement conserver ses trouvaillessurpapier,BernardVauthier a fondéRé-tropomme, l’association pour la sauve-garde du patrimoine fruitier de Suisseromande (lire encadré).Dans ce cadre-là, au fur et à mesure

de sesdécouvertes, lepomologueplantedeuxexemplairesdechaquearbre sur leshauts de la ville de Neuchâtel. Se com-posantd’arbreshaute tigeet basse tige, le verger de8000m2, ferméaupublic,est chouchouté par troisjardiniers et gardé parun troupeau de moutonsqui viennent y paître. Lepédagogue s’y promènevolontiers pour cueillirquelques fruits qu’il nemanque pas de présen-ter à ses élèves. «Je leurdemande de les dessiner,mesurer,peser,commen-ter et seulement ensuitede les goûter et demedireprécisément ce qu’ils

ressentent en bouche. Les écoliers semontrent toujours très curieux.»Insufflant son enthousiasme à la

jeune génération, Bernard Vauthier es-pèrebienqueses leçons seront autantdepetites graines qui, en se développant,sauront participer à la transmission dusavoir et à la sauvegarde du patrimoinefruitier. Texte: PierreWuthrich

Un réseau de vergersromands poursauvegarder les fruitsL’association Rétropomme (de pomum, fruit)ne s’engage pas seulement pour la sauvegardedes anciennes variétés de pommes. Elle en-tend conserver tous les fruits des vergers tra-ditionnels et, de ce fait, renforcer indirecte-ment la biodiversité animale et végétale propreà ces espaces. Soutenue par l’Office fédéral del’agriculture, Rétropomme gère cinq vergersconservatoires dans le cadre du Plan d’actionnational pour la conservation et l’utilisationdurable des ressources phytogénétiques pourl’agriculture et l’alimentation. «Ce réseau per-met d’avoir, sur plusieurs sites, des collectionsde sauvegarde et donc d’avoir toujours desarbres fruitiers à l’abri du feu bactérien», ex-plique Bernard Vauthier. Par ailleurs, Rétro-pomme donne régulièrement des cours degreffage et de taille et organise desmanifesta-tions permettant de goûter des fruits anciens.

www.retropomme.chLa poire Culotte suisse doit son nomà sa ressemblanceavec l’uniforme des gardes duVatican.

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| 25| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | CHRONIQUE

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Marie-ThérèsePorchet,née Bertholet

IMPULSION

L’été sera show!Cette année, avec mes amies de la Gymdu Vieux Gland, on s’est offert une soi-rée àPaléo.D’habitude,on reste àGlandetonsecontentedesdommagescollaté-raux: les bouchons, les odeurs de kebabet les décibels à faire péter les varices.Mais quand on a vu qu’ils avaient pro-grammé David Guetta, on a décidé d’yaller. En plus on n’est pas loin deNyon.EnpartantdeGlandvers 15h,ona toutesles chancesd’être à20hdevant la grandescène! Le problème, c’est que DavidGuetta,on l’a attendu, il n’est jamaisve-nu.A sa place, ils nous ontmis un blon-dinet avec les cheveux gras qui passaitdesCD en agitant les bras! J’ai pas com-pris pourquoi le public avait l’air sicontent.

Autre grand moment de spectacle,que nous avons suivi avec toutes lesdames de l’immeuble: l’ouverture desJeux olympiques de Londres. Une céré-monie joyeuse, pas prétentieuse, pleinede sourires, de bonheur et d’émotions,bref, exactement le contraire de celle dePékin il y a quatre ans. Avec en vedetteElisabeth II en James Bond girl! Et lesdeux fameux comiques anglais: MisterBean et le Prince Charles.

Dans les tribunes, la reine n’a passouri une seule fois de la soirée, on au-rait ditManuelle Perrenoud pendant untest sur la viande hachée! Autour d’elle,il y avait tout le gothadugratin, la crème

des têtes couronnées et leurs conjoints,dont Philip, le prince consort, et Char-lène, la princesse qu’on ne devrait passortir! Etdans le stade,desmilliersd’ac-teurs, chanteurs, danseurs, acrobates,musiciens, et un final époustouflantavec Paul McCartney qui nous a fait

dresser les poils. D’ailleurs, à ce mo-ment-là, j’ai regardé la Lopez, on auraitdit un hérisson. Je lui ai dit: «Attentionde pas vous faire écraser en sortant!»

Autre spectacle extraordinaire: laFête de la mi-été à La Brévine. Forcé-ment, j’étais dedans! La mi-été est unesaisonquin’existequ’àLaBrévine,etquidure du 3 au 5 août! Le vendredi soir, çacommençait par une soirée «Hot Sibe-ria» sponsorisée par les bâtons à sucer.C’est d’ailleurs pour ça que je n’ai pasemmenémon fils.

Et le sommet du bouquet du pom-pon: dans trois semaines, avec Jacque-line, on va voirMadonna à Zurich. Voussavez,Madonna,une sortedeLadyGagapour les vieux.

«Onaurait ditManuellePerrenoudpendant un testsur la viandehachée!»

Nos chroniqueurs sontnos hôtes. Leursopinions ne reflètentpar forcément cellesde la rédaction.

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26 |entretien | christine barras |No 32, 6 août 2012 | MigrosMagazine |

I l n’y a encore pas si longtemps, lesrègles servaient à frapper les doigtsdes élèves indisciplinés et les tape-ta-

pis les fesses des enfants désobéissants.Aujourd’hui, depuis que Françoise Dol-to est passée par là, qui a relevé la valeuret le respect de l’enfant en tant que per-sonne ainsi que l’importance de la pa-role, les parents privilégient le dialogueet la négociation. Cela n’empêche pasquelques paires de claques et fessées dese perdre en chemin. Dans son ouvrageSociologie de la fessée*, Christine Bar-ras,spécialistede la familled’origine fri-bourgeoise et installée à Bruxelles, livreunétatdes lieuxqui s’appuie suruneen-quête auprès de 237 étudiants.

Pourquoi avoir choisi ce thème?C’est une vieille histoire. Il y a sept ans,je devais faire une recherche à l’Univer-sité de Mons, en Belgique, sur les fa-milles maltraitantes. Je n’aimais pas cetintitulé qui sous-entendait des famillespauvres avec des problèmes d’alcoo-lisme,dechômageet autres calamités,etdonc forcément aussi avec de la mal-traitance. Pour moi, elle existait danstous les milieux, plus ou moins cachée,parfois pas seulement des coups, maisaussi des mots, des humiliations. Et lafessée illustrait bien cela.

Comment cela?Onnepeutpasdirequ’une fessée soit dela maltraitance, mais c’est un coup quipeut fairemal physiquement et/ou psy-chologiquement.

La fesséen’estdoncpas liéeà l’appartenancesociale?

I l n’y a encore pas si longtemps, lesrègles servaient à frapper les doigtsdes élèves indisciplinés et les tape-ta-

pis les fesses des enfants désobéissants.Aujourd’hui, depuis que Françoise Dol-to est passée par là, qui a relevé la valeuret le respect de l’enfant en tant que per-sonne ainsi que l’importance de la pa-role, les parents privilégient le dialogueet la négociation. Cela n’empêche pasquelques paires de claques et fessées dese perdre en chemin. Dans son ouvrageSociologie de la fessée*, Christine Bar-ras,spécialistede la familled’origine fri-bourgeoise et installée à Bruxelles, livreunétatdes lieuxqui s’appuie suruneen-quête auprès de 237 étudiants.

Pourquoi avoir choisi ce thème?C’est une vieille histoire. Il y a sept ans,je devais faire une recherche à l’Univer-sité de Mons, en Belgique, sur les fa-milles maltraitantes. Je n’aimais pas cetintitulé qui sous-entendait des famillespauvres avec des problèmes d’alcoo-lisme,dechômageet autres calamités,etdonc forcément aussi avec de la mal-traitance. Pour moi, elle existait danstous les milieux, plus ou moins cachée,parfois pas seulement des coups, maisaussi des mots, des humiliations. Et lafessée illustrait bien cela.

Comment cela?Onnepeutpasdirequ’une fessée soit dela maltraitance, mais c’est un coup quipeut fairemal physiquement et/ou psy-chologiquement.

La fesséen’estdoncpas liéeà l’appartenancesociale?

«La fessée est un fossilecomportemental!»

Les ouvrages sur la fessée sont à lamode. Spécialiste de la famille,Christine Barras livre une réflexion sur lemélange grinçantentre l’éducation actuelle faite de dialogues et les restes

d’un dressage à la dure. Qui perdurent.

Non,onne peut pas le dire. La fessée estune pratique présente partout. Je tra-vailledans ledomainedusoutienà lapa-rentalité et onvoit souvent cetteproblé-matiquechezdes famillespauvres.Maisc’est justement parce qu’on travailleavec des familles défavorisées, qu’ellessont sous la loupe,qu’on le constate.Lesfamilles aisées, on les connaît moins.Mais c’est vrai que des conditions so-ciales difficiles amènent davantage destress: c’est un facteur qui favorise lamaltraitance.

Vous avez interrogé des étudiants sur lethème de la fessée, que leur avez-vous de-mandé?Je les ai interpellés avec des phrases dumême style que les proverbes, sur les-quels j’avais déjà travaillé: «Qui aimebien châtie bien» ou «La meilleure au-torité est celle qui s’impose d’un simpleregard». Les étudiants devaient ré-pondre par oui ou par non. Parmi lesquarante-cinq questions, l’une leur de-mandait s’ils avaient déjà reçu des fes-sées,pourvoir si çapouvait avoirune in-fluence sur leurs opinions.

Et ça en a?L’expériencepersonnelled’une fesséedetempsen tempsamènedavantagede to-lérance à l’égardde ce geste qui,dans lessouvenirs, est rationalisé, justifié («Jel’avais bien mérité»). Lorsqu’il s’agitd’une pratique éducative courante (lesparents étaient très sévères, voire mal-traitants), il arriveque les enfants,deve-nus grands, se rallient à cette façon defaire, comme s’ils préféraient justifierleurs parents plutôt que les accuser.

Que ressort-il de l’enquête?Les étudiants privilégient la parole, çacorrespond à l’éducation actuelle: il y aeu Françoise Dolto et maintenant, entant que parent, on parle. Même aprèsavoir donné une fessée, d’ailleurs. Dansle temps,onse taisait.Ungrandchange-ment est acquis, mais la fessée est tou-jours là: c’est un fossile comportemen-tal! La trace, le rested’uneéducationquiétait extrêmement sévère.

Les étudiants de votre enquête, c’est-à-direles jeunes parents d’aujourd’hui, ne lacondamnent-ils pas?Poureux, laquestionde la loi est impor-tante.Pas forcémentdans l’idéed’inter-dire la fesséecommec’est le cas enSuèdequi condamne tout châtiment corporelau sein de la famille. Mais que la fesséene soit pas quelque chose qui puisses’appliquer n’importe comment.Seule-ment un quart des étudiants était abso-lument contre la fessée; les trois quartsfavorables à un usage léger de ce geste.Ça rejoint d’ailleurs les recherches ac-tuelles qui disent que les parents ont re-cours à la fessée quand bien même ilsn’aiment pas ça.

Comment expliquez-vous cette ambiguïté?Les modèles éducatifs, comme les mo-dèlesde société,ne se remplacentpasdujour au lendemain. Il reste toujours deszonesde résistance.Lesparentsdoiventapprendre à interroger leur pratique, cequi ne va pas de soi. En outre, il y a desargumentsvalablesdans lesdeuxcamps.Pour les défenseurs de la fessée, les pa-rents doivent avoir leur place de parent,et c’est unemanièred’y arriver.Pour ses

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| 27| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | entretien | christine barras

Certainement la plus suisse desBelges,Christine Barras estnée en 1955 à Estavayer-le-Lac (FR): elle y suit la classe pri-maire de son père instituteur àCheiry, puis l’école secondaire àEstavayer. après une licence en

philologie romane latin-grec àFribourg en parallèle à de l’ensei-gnement à l’école secondaire,Christine Barras rédige unmé-moire sur le patois d’Ecuvillens.Puis une thèse en dialectique àl’Université de Neuchâtel sur les

proverbes dans les patois deSuisse romande.Mariée,mèred’un enfant, elle vit depuis 1986à Bruxelles. après de nouvellesétudes en sciences psychopé-dagogiques, elle travaille durantdix ans comme chercheuse à

l’Université de Mons. aujourd’huiformatrice et consultantedans le domaine du soutienà la parentalité, elle collaboreaussi à Infor-Drogues, uneassociation qui œuvre dans ledomaine de la santé publique.

Bio express

«L’éducationest une suited’erreurs

à rattraper»

Page 28: migros-magazin-32-2012-f-bl

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| 29| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | entretien | christine barras

détracteurs, la fessée estmême interditeentre adultes, donc on ne va pas frapperdes enfants: unchefnepeutpas taper sesemployés par exemple. Il y a un siècle etdemi, c’était courant qu’un patronfrappe son apprenti. A l’école aussi, lechâtiment corporel était normal. Il neresteque ledomainede la famille et c’esten voie de législation.

Certains disent que l’Etat ne doit pasmettrele nez dans les histoires de famille…Autrefois, il y avait l’Eglise et l’école quiymettaient leur nez. Plus aujourd’hui…

Vous êtes donc pour une loi sur la fessée?Oui,unpeusur lemodèledecequi se faiten Allemagne: c’est inscrit dans le codecivil, mais pas dans le code pénal. Cheznous, la loi n’est pas claire. Interdirenommément les coups dans la familleserait un symbole qui me paraîtrait im-portant.Mais les arguments contre cettelégislation sont aussi intéressants: le faitde dire qu’on devient trop procédurierou que ça favoriserait la délation. Pour-tant, ce n’est pas parce qu’il y a des er-reurs judiciairesqu’il ne fautpasde loi…

Et où en est-on côté juridique?C’est encours.Laquestion revient régu-lièrement sur le tapis, en Suisse, enFrance ou en Belgique. Dans les paysanglo-saxons en revanche, ils n’y sontpas très favorables. En Angleterre, ondonne encore des coups dans les écoles.

Votre livre veut-il délivrer unmessage?Non, jevoulais faireunétatdes lieux, mais sans mes-sagemoralisateur.Ce n’estpas en culpabilisant ou eninfantilisant les parentsqu’on fera bouger leschoses. Je voulais montrercomment cet héritage an-cien qu’est la fessée etl’éducation actuelle coha-bitent aujourd’hui dans unmélange un peu grinçant.

Peut-on aider les parents?Il y a énormément d’an-goisse chez les parentsd’aujourd’hui, tant pour la question dela fessée que s’ils trouvent un sachet decannabis dans le cartable de leur enfant.Les parents ont peur. Les jeunes sontsollicités par la société de consomma-tion, dans tous les sens du termeconsommation, des achats effrénésjusqu’à la drogue.On ne peut pas chan-ger la société comme ça, mais on peut

donner un message aux politiques: jesouhaiterais que mon livre serve d’outilpour la réflexion.Les parents savent deschoses: ils doivent se faire confiance.

Quel est votre avis personnel sur la fessée?Je ne pense pas qu’une fessée soit unecatastrophe. Mais c’est vrai que ça nesert à rien d’un point de vue éducatif.Elle peut toutefois empêcher l’enfant deculpabiliser s’il a fait une grosse bêtise.

C’est plutôt les parents qui culpabilisent s’ilslèvent lamain sur leur enfant, non?Lesenfants aussi s’ils fontquelquechosede mal et qu’ils n’ont pas été punis. Ilsontbesoinde limites.Sinon ils vont allerencore plus loin…pour voir jusqu’où ilspeuvent aller.

La fessée fait partie de l’autorité alors?Aujourd’hui, on voit souvent de faussesassociations dans les émissions parexemple: par rapport à la Suède, onmontre des conséquences épouvan-tables de la loi avec des parents équipésde bracelets électroniques, voulant direqu’on va trop loin avec des lois. Et enmêmetempsonvoitdes enfantsqui fontn’importequoi.Commesi la fessée étaitle symbole d’une autorité réussie. C’estun raccourci de penser que là où il n’y apas de fessée il n’y a pas d’autorité.Quand on crie sur des enfants, ça nemarche pas. Ça peut juste faire du bienaux parents, mais c’est un signe de dé-

bordement.

Comment assied-on son au-torité sans tout ça?C’est quelque chose detrèsdifficile. Il n’y apasderecettes miracles. L’édu-cation est une suite d’er-reurs à rattraper.L’autori-té se construit. Quand onse trompe, il faut faire lepoint,nepas trop s’aplatirou s’excuser devant l’en-fant. Mais prendre durecul et réfléchir un peupour faire mieux la pro-chaine fois, en essayantd’être cohérent.Quandondonne un ordre et qu’on

punit, il faut tenir le cap.L’autorité,c’estessayer de tenir le cap et de se calmer.

Les parents ne sont donc pas calmes?Aujourd’hui, ils sont stressés. A l’Uni-versité de Fribourg, l’Institut de la fa-mille a fait en 2004 une recherche sur lafessée: elle relevait qu’une majoritéd’enfants recevaient des coups. Si on

peut travailler pour que ça baisse unpeuc’est bien.Mais ça ne veut pas dire lais-ser les enfants faire n’importe quoi.

Vousdisiez toutà l’heureque la fesséeest in-terdite entre adultes, mais dans votre livrevous parlez aussi de la fessée érotique…A chaque fois que j’ai disais préparer unlivre sur la fessée, je remarquaisdes sou-rires encoin.Etd’ailleurs,quandon tape«fessée» sur internet, c’est surtout dessites sur la fessée érotique qui sortent.Alors j’ai ajoutéunchapitrequiparleno-tamment d’un passage des Confessionsde Rousseau dans lequel il raconte avoirgardé le goût de la fessée après en avoirreçu de sa gouvernante.Mais il n’y a pastellement de liens: ce n’est pas parcequ’on a été fessé enfant qu’on va aimerçaadulte.SelonFreud, il peutyavoirunesorte de plaisir (et de la honte) au spec-tacle de la fessée. C’est un peu ambigu.Je n’ai pas vraiment creusé le sujet. Jereste très soft… Texte: Isabelle Kottelat

Photos: Brigitte Grignet-VU /Masterfile

* «Sociologie de la fessée. Réflexion sur laviolence ordinaire dans la famille», aux EditionsEclectica. Parution prévue en septembre 2012.Christine Barras sera présenteau salon littéraire Le Livre sur les quais,du 7 au 9 septembre à Morges.

Donner une fessée à un enfant, est-ce un actedemaltraitance? Les avis divergent.

«L’autorité,c’est essayer

de tenirle cap et de se

calmer»

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30 |ENMAGASIN | BELLA ITALIA | No 32, 6 AOÛT 2012 | MIGROSMAGAZINE |

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C ela n’a rien d’un cliché: nosvoisins du sud sont les grandschampions de la dégustation de

pâtes. Chaque année, ils en consom-ment en effet près de 30 kilos par per-sonne, essentiellement en entrée –avant le plat de viande ou de poisson–, pour agrémenter la salade ou les lé-gumes. Avec 3 millions de tonnes paran, l’Italie est également le premierproducteur mondial de pâtes. On ycompterait pasmoins de 600 variétés.Les plus savoureuses sont les pâtes

fraîches: faitesmaison,elles seprêtentidéalement aux préparations farcies.Fabriquer des pâtes à la main est enoutre rapide et simple. Tout le mondea en effet de la farine, des œufs et del’huile d’olive dans ses placards. Etpour ceuxquinepossèdentpasdema-chineàpâtes, lebonvieux rouleauàpâ-tisserie fera l’affaire! Les «cappellettiin brodo»–cappelletti aubouillon, enfrançais–sontune spécialitéde l’Emi-lie-Romagne (voir recette, page 32). La

région est le haut lieu de la fabricationdepâtes: c’est ici que sontproduites lesvariétésBarilla.Lamortadelle,que l’onutilise commefarce,est égalementunespécialité locale.Et que serait la gastronomie ita-

lienne sans les pizzas? Si la plus popu-laire est celle à base de sauce tomate,la«pizza blanche», simplement agré-mentée d’huile d’olive et de romarin,est égalementdélicieuse.Garnissez-lade ricotta etdemozzarella et ajoutezdujambon cru, des épinards ou des cre-vettes…Tout simplement divin!

Texte: DoraHorvath,Heidi Bacchilega

DélicestransalpinesLes grandes tablées réunissant famille et amis font partieintégrante de la culture culinaire italienne, aumême titreque la pizza, les pâtes et un bon verre de vin.

Pendant les semainesBella Italia, du 7 au20 août, participez ànotre grand concours.Vous trouverez lescoupons de participationdans votre magasinMigros ou sur migros.ch/bella-italia/fr.

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Dolce AgroCondimentobianco Ponti,250 ml, Fr. 2.55au lieu de Fr. 3.20Prix d’action valabledu 7 au 13.08

Page 32: migros-magazin-32-2012-f-bl

32 |ENMAGASIN | BELLA ITALIA | No 32, 6 AOÛT 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Ravioli «ricottae spinaci»Anna’s Best,3 x 200 g,Fr. 9.40 au lieude Fr. 13.50Prix d’action valabledu 7 au 13.08

Garnir une pizza amuse toujours beaucoup le

Ingrédients: 25 g de viande hachéemélangée,½ cc d’huile d’olive,25 g demortadelle, 25 de ricotta,25 g de parmesan râpé,½ jaune d’œuf,¼ de citron bio, sel, poivre,1,2 l de bouillon de bœuf. Pâte:100 g de farine, 1 œuf, 1 cc d’huile d’olive,env. 1 cs d’eau, farine pour abaisser

1. Faire revenir la viande hachée dans l’huile.Couper la mortadelle en morceaux. Hachertrès fin au robot. Ajouter la ricottale parmesan et le jaune d’œuf et bienmélanger. Râper fin le zeste de citronet incorporer à la préparation. Saler et poivrer.Placer la farce au moins 1 h au réfrigérateur.2. Pâte: pétrir tous les ingrédients en une pâtesouple. Envelopper dans du film alimentaireet placer au réfrigérateur au moins 30 min.3. Abaisser la pâte à env. 2 mm sur un peude farine. Couper en carrés de 4 cm de côté.Répartir un peu de farce sur un coin de chaquecarré en laissant une bordure. Badigeonnerles bordures d’un peu d’eau. Rabattreles extrémités de pâte l’une sur l’autrede manière à former un triangle. Bien presserles bords. Superposer les extrémitésdu triangle pour fermer la boucle et bienpresser. Porter le bouillon à ébullition,y plonger les cappelletti et laisser cuire env.4 min. Servir les cappelletti dans le bouillon.

Cappelletti au bouillonEntrée pour 4 personnes

Préparation: env.20 min. + 2 x 12–15 min.de cuisson Par personne: env.46 g de protéines,41 g de lipides,80 g de glucides,3800 kJ/910 kcal

Préparation:env. 1 h 30 + au moins1 h de réfrigération Par personne:env. 11 g de protéines,12 g de lipides,19 g de glucides,950 kJ/230 kcal

Le suffixe diminutif«-etti» donneun indice sur le typedu plat: servis dansle bouillon,«les cappelletti inbrodo» constituentune entrée typiquepour un repas dominical.Les cappellacci,variante deux foisplus grosse, sontconsommés commedes raviolis.Les «cappellaccidi zucca» sontune spécialité régionaleparticulièrementsavoureuse.

| No 32, 6 AOÛT 2012 |

Page 33: migros-magazin-32-2012-f-bl

| 33| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | ENMAGASIN | BELLA ITALIA

Sauce bolognaise Agnesi,400ml, Fr. 2.70au lieu de Fr. 3.40Prix d’action valable du 7 au 13.08

Mozzarella Galbani,3 x 150 g, Fr. 4.55au lieu de Fr. 5.40Prix d’action valable du 7 au 13.08

Pizza «prosciutto» Finizza,3 x 330 g, Fr. 7.20 au lieu de Fr. 14.40Prix d’action valable du 7 au 13.08

Pour réussirune pizza, il estimportant d’avoirlamain légère surla sauce tomateafin d’obtenirune pâtecroustillante.Et pour une cuissonoptimale, il existedes plaques à pizzaou à tartespéciales,dont les trouspermettentà la vapeurde s’échapper.

Ingrédients:3 boules demozzarella de 150 g chacune,160 g de jambon,800 g de pâte à pizza,farine pour abaisser,2 dl de sauce tomate,1 brin de basilic, huile d’olive pour arroser,selon les goûts

1. Couper la mozzarella en rondelleset le jambon enmorceaux. Préchauffer le four

à 230 °C (chaleur tournante). Découperla pâte en 4 et l’abaisser en disques fins,par portions, sur un peu de farine. En foncerles plaques chemisées de papier sulfurisé.Répartir la sauce tomate uniformément surla pâte à l’aide d’une cuillère. Garnirde mozzarella et de jambon.

2. Cuire les pizzas 2 par 2 pendant 12–15 min.Décorer de feuilles de basilic et arroserd’un filet d’huile.

oup les enfants.

Pizza au«prosciutto»Pour 4 pizzas

TaglioliniArmandodeAngelis,250 g, Fr. 3.50Du 7 au 20.08,multipliez vos pointsCumulus par vingt

Page 34: migros-magazin-32-2012-f-bl

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Prestations comprises !Vols de Genève avec SKY AIRLINES ou SUN EXPRESS Taxes d‘aéroport

Circuit selon notre programme, à bord d’un car moderne Toutes les entrées des visites décrites dans leprogramme 7 nuitées en hôtels exclusivement 4 étoiles (locales) 7 petits-déjeuners (buffet) 7dîners variés (grand choix) Accompagnement de A à Z durant tout le voyage par notre agent uniquement fran-cophone et exclusif pour les clients de Net-tours ...Et pendant la semaine de prolongation: 7 nu-itées en hôtel 1ère classe Hôtel Alva Donna Formule „All Inclusive“ avec 3 repas principaux (buffets), boissonslocales alcoolisées, snacks, café/thé Transferts en bus moderne

1er jour / Genève – Antalya: Vol vers Antalya etaccueil de notre guide à l’aéroport puis trans-fert à votre hôtel à Antalya.2è jour / Myre: Votre circuit commence enlongeant la côte de la Riviera Turque. Le longd’un littoral sauvage avec, en arrière-plan lapuissante chaîne des monts Taurus, enchâs-sés dans un écrin de petits villages lovés dansdes pinèdes, des criques idylliques, voici unaperçu de votre circuit. Myre existe depuis leIVè siècle et est connue pour sa nécropole, sestombeaux rupestres, son théâtre romain. Visi-te à l’église St Nicolas, surnommée „l’église dupère Noël“ où St Nicolas y est enterré.3è jour / Lycie – Kusadasi: Nous vous invi-tons en matinée à embarquer vers une criqueidyllique et vers la célèbre plage d’Iztuzu quin’est atteignable que par voie maritime. Pro-fitez d’une bienfaisante baignade avant dereprendre la route en bus l’après-midi. Vouslongerez le littoral en direction de Kusadasi oùvous passerez les deux prochaines nuits dansun hôtel 1ère classe.4è jour / Ephèse: Ephèse, l’un des plus grandscentres mondiaux de fouilles archéologiquesgréco-romaines.Peu d’endroits offrent unaperçu aussi vivant de ce que fut jadis le modede vie dans l’antique Ephèse. Théâtre, bainsthermaux luxueux et une bibliothèque témoi-gnent du bien-être dont a joui cette cité durant

plus de 1000 ans. Particulièrement impressi-onnant, le grand théâtre qui pouvait contenirjusqu’à 25‘000 spectateurs.5è jour / Ephèse – Pamukkale: Vous quittez lacôte vers la splendide vallée des méandres endirection de Pamukkale, sur les hauts plateauxd’Anatolie. Au loin, vous apercevez les terras-ses calcaires de Pamukkale d’une blancheuréblouissante provenant des sources chaudesthermales. C’est l’un des plus surprenantsspectacles naturels de Turquie, inscrit au pa-trimoine mondial de l’UNESCO. Nuitée dans unhôtel thermal.6è jour / Pamukkale – Hiérapolis – Antalya:Visite l’après-midi de Hiérapolis. Cette ville an-tique romaine datant de plus de 2000 ans si-tuée aux côtés des sources thermales attiraitdéjà en son temps beaucoup de visiteurs.7è jour / Antalya – les chutes de Karpuzkald-ran: Visite d’Antalya, une des plus belles villesde la Riviera Turque,de son port pittoresque,son imposante porte d’Hadrien ainsi que sonbazar animé où vous pourrez encore flâner eteffectuer quelques achats. Pour couronner cet-te journée, départ pour les superbes cascadesde Karpuzkaldran.8è jour / Antalya – Genève: Transfert àl’aéroport pour votre voyage de retour versGenève ou transfert à votre hôtel pour une se-maine de prolongation à Belek.

Circuit 8 jours avec demi-pension incluse

Prestations non comprises: Frais de réser-vation CHF 15.– par personne. Supplémentchambre individuelle: circuit CHF 199. –(sep+oct) / CHF 149.– (nov), semaineprolongation: 249.– (sep+oct) / CHF199.– ( nov). L’assurance combinée fraisd’annulation et aide SOS CHF 35.–.

Tout est compris!

Vols de Genève hôtels toutes les visites

la demi-pension le guide toutes les taxesTout est compris!LA CÔTE LYCIENNE Prix d ‘act ion

1er jour / Genève – Antalya:accueil de notre guide à l’aéroport puis trans-fert à votre hôtel à Antalya. 2è jour / Myre:longeant la côte de la Riviera Turque. Le long

Circuit 8 jours avec demi-pension incluse Circuit 8 jours avec demi-pension incluseRéduction de CHF 300.-

incluse dans le prix d’action! Valable pour

les réservations jusqu’au 2 septembre!

CHF549.–8 jours de voyage

demi-pension incluse dès

Toutes les entrées des visites décrites dans le

Climat idéal durant le circuit: La période au-tomnale est certainement la meilleure pourun voyage en Lycie. Il ne fait plus si chaudpour les visites bien que les températuressur la Riviera turque avoisinent les 20-25degrés durant la journée.

Voyage 5312

La côte lycienne reste l’une des plus attrayantes régions de Turquie. Ce circuit sera une décou-verte des trésors archéologiques datant de 5000 ans. La vieille histoire de cette région et de sonprestigieux héritage de trois grandes civilisations est un véritable trésor. Durant tout le voyagenotre guide francophone vous parlera de son pays, de son histoire et de son peuple.

Kusadasi

TurquieEphèse

PamukkaleAntalya

MyreDalyan

Dates & Prix p.pers. en chambre double

circuit8 jours / 7 nuits

Prixd‘actioncircuit

Sem. pro-long. All

Inclusive

23.09.–30.09.12 699.– 549.–30.09.–07.10.12 699.– 549.–07.10.–14.10.12 699.– 549.–14.10.–21.10.12 699.– 549.–21.10.–28.10.12 699.– 549.–28.10.–04.11.12 699.– 549.–04.11.–11.11.12 549.– 349.–11.11.–18.11.12 549.– 349.–18.11.–25.11.12 549.– 349.–25.11.–02.12.12 549.– 349.–

Hôtel Alva Donna ★★★★★www.alvadonna.comElégant et de 1ère classe, cet hôtel estsitué directement en bordure de mer eBogazkent. 7 restaurants et un grandcomplexe extérieur aquatique avec 6 pis-cines. Le complexe intérieur est équipéd’une piscine, centre de wellness, café,magasins, coiffeur, divers bars, discothè-que, cinéma et plus encore... 445 cham-bres avec bain//WC, climatisation, coffre-fort louable ainsi que balcon ou terrasse.

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Page 35: migros-magazin-32-2012-f-bl

| 35| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | ENMAGASIN | DE LA RÉGION.

B attue au jeu DieMillionenfalle dif-fusé sur la télévi-

sionalémanique, la sym-pathique Sabine Grubera malgré tout quitté leplateau de l’émissionavec un large sourire.Cette Soleuroise, qui

vit àZermatt depuis plusde vingt ans, sait cuisi-ner, et même très bien.Elle vient d’ailleurs deremporter le concoursde cuisine Migros, qui

constitue plus qu’un lotde consolation! Tous lesingrédientsde sa recette,les filetsdeperche, le sa-fran et les abricots, sontbien entendu originairesduValais.Tombésous lecharme,

le chef Klaus Leuenber-ger l’a aussitôt déclaréegagnante. A défaut dumillion, Sabine Gruberpourra savourer un dé-licieux souper dans lerestaurant St. Georg, à

Ernen, un établissementrenommé.«C’est encoreplus beau!» confie toutsourire Sabine Gruber.

Texte:Martin Jenni

Retrouvez la recette gagnante,les photos ainsi que des infossur les produits sur le sitewww.migrosmagazine.ch/delaregion.Dans quinze jours:découvrez la recette à basede rhubarbe, de pommeset de spéculoos de YannickRossy de Troinex (GE)

Pouroublierlemillionperdu…A défaut d’avoir pu déjouer les pièges d’un jeu télévisé auquel elleavait participé, Sabine Gruber a tout de même gagné un prix avecsa recette.

Sabine Gruber a créé un délicieux plat avec les filets de perche deMarkusVainer deValperca SA.

| 35

MigrosValais:FiletsdepercheduValais

La sociétéValperca SA,à Rarogne,s’est lancéedans l’élevagede ce poisson,en récupérantl’eau coulantde lamontagne.Et le biologisteMarkusVainerveilleau bien-êtrede sesprotégées,ce qui est trèsappréciédes clientsMigros.

Filets de percheà la valaisannePlat principal, 4 personnes

16 abricots séchés,1 dl de porto, 2 échalotes,1 cs d’huile d’olive,1,5 dl de jus d’orange,3 cs de vinaigre (de vinaigred’abricot, p. ex.),2 cs de cassonade, 1 feuillede laurier, sel, poivrede Cayenne, 1 bouquetd’herbes (mélisse et aneth,p. ex.), 600 g de filetsde perche sans la peau(env. 24 filets), poivre.

1. Couper les abricots en petitsdés et les laisser macérerenv. 30min dans le porto.2. Hacher les échaloteset les faire suer dans l’huile.Ajouter les abricots et le porto.Laisser mijoter à feu moyenavec le jus d’orange, le vinaigre,le sucre et le laurier jusqu’àce que le liquide soitcomplètement réduit et queles abricots soient fondants.Ajouter encore un peu d’eausi nécessaire. Enlever le laurier.Assaisonner le chutneyd’abricots avec du selet du poivre de Cayenne.Effeuiller les herbes. Saleret poivrer les filets de perche.Garnir avec les herbes, enrouleret fixer à l’aide de cure-dents.Cuire les filets de percheà la vapeur env. 10 min. dansun panier perforé et servir avecle chutney d’abricots.Accompagner ce plat d’un rizau safran.Préparation:env. 50min + env. 30min(marinade).Par personne:env. 28 g de protéines,4 g de lipides, 26 g de glucides,1400 kJ/340 kcal.Ph

oto:MarkusM

allaun

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36 |cuisine de saison | sébastien fournier |No 32, 6 août 2012 | MigrosMagazine |

Un Fournier aux fourneauxLe nouvel entraîneur du FC Sion, Sébastien de son prénom, est un Valaisan purdes qualités qui n’ont pas souvent voix au chapitre: l’intelligence et l’humilité. En

En pleindéménagement,SébastienFournier a choiside préparerson plat dans lescuisines de LaPorte d’OctodureàMartigny.

Page 37: migros-magazin-32-2012-f-bl

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ENT FRAISENT FRAISMMMENT FRAISENT FRAISMMMMMMMMMINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLEINCROYABLE ENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT FRAISENT 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sébastien fournier | 45| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | cuisine de saison

en toute simplicitésucre, comme son nom l’indique. en football, il prônecuisine, ce serait plutôt risotto et champignons.

O ccuper l’emploi réputé le plusprécaire du pays ne semble pasl’angoisser outre mesure. Sébas-

tien Fournier avoue n’avoir pas pris enconsidération l’aspect«siègeéjectable»du job quand le président Constantin lelui a proposé: «Entraîneur du FC Sion,pour unValaisan, ça ne se refuse pas.Tune te préoccupes pas de savoir combientu vas gagner, ni ce que tu as à perdre.Tu y vas.»Lui de toute façon ne fait pas par-

tie des entraîneurs qui «réclament dutemps. On sait comment le footballfonctionne aujourd’hui: du temps onen a de moins en moins, il faut tout desuite être compétitif, c’est clair. C’estune pression avec laquelle il faut arri-ver à vivre.Une pression d’ailleurs rela-tive: pour moi, ce qui compte, c’est leterrain, la gestiondes joueurs.»Lenou-vel homme fort de Tourbillon ne se voitd’ailleurs pas comme un débutant. Unecarrière de défenseur intraitable et pas-sionné, dans le giron sédunois d’abord,des juniors à la première équipe, avecla consécration de l’équipe nationale etuneannéeà l’étranger,àStuttgart.Suiviede quinze autres années à Servette, à lit-téralement tout faire – joueur, directeursportif,préparateurphysique,entraîneuradjoint, responsable de la formation –«un vrai condensé de football».C’est dans les cuisines de La Porte

d’Octodure, à Martigny-Croix, au bordde la routeduSaint-Bernard,queSébas-tienFournier sedébat avecun risottoauxchampignons.En plein déménagement,il n’a rien encore pour cuisiner chez lui.

Du champion dumonde italienau journaliste argovienVa donc pour La Porte d’Octodure, unhôtel plutôt particulier qui abrite l’ad-ministration du FC Sion et les bureauxde l’architecte Constantin tout en of-frant le gîte et le couvert aux derniersjoueurs arrivés. Dans les couloirs ou surla terrassedu restaurant,onpourra croi-ser des personnages aussi composites

«entraîneurdu Fcsion,pourunValaisan, ça nese refusepas»

■ Pour vous cuisiner c’est…Faire plaisir: je cuisine très peu, et si je le fais, c’estque j’ai des invités.

■Qu’avez-vous toujours en réserve?De l’ail. J’adore ça.

■Quel est votre plat préféré?Il y en a beaucoup mais disons celui que je prépareaujourd’hui, le risotto aux champignons.

■Que nemangeriez-vous pour rien aumonde?Rien. Enfin peut-être pas du chien …

■avec qui auriez-vous aimé partagerun repas?Jacques Brel

goûtsetDégoûts

Secrets de cuisine

que le champion dumonde italien Gat-tuso,en short et tongs– ciao!- ciao!–oul’envoyé spécial de l’Aargauer Zeitung.Aux fourneaux, l’entraîneur se fait

un peu chambrer par les cuisiniers etles sommeliers, qu’il menace en retour:«Demain, c’est vous qui venez tirer descoups francs.»Dans un club à l’identité très forte

mais au contingent chaque année unpeu plus cosmopolite, la nominationd’un Valaisan pur sucre comme coachprincipal a déclenché une approbation

Page 46: migros-magazin-32-2012-f-bl

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| 47| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | cuisine de saison | sébastien fournier

certaine d’un bout à l’autre du canton.Le président Constantin avait justifiéson choix en parlant d’un pari sur «unjeunequi apportede la fraîcheur commeGuardiola à Barcelone ou di Matteo àChelsea.Alors pourquoi pas Fournier?»Oui pourquoi dans un Valais des hautessphères où l’onne compteplus lesmou-tons ni les vaches, mais les Fournier –Jean-François à la tête du Nouvelliste,Jean-René, au Conseil des Etats, Jean-Marie en promoteur de tous les promo-teurs.Cedernier d’ailleurs dit deSébas-tien, outre que «c’est un cousin», qu’ilest aussi, par voie de conséquence, «unvrai gars de lamontagne, crocheur...»L’intéressé, lui, avance une autre rai-

son qui a pu compter dans sa nomina-tion surprise:«Unpeudemarketing.UnValaisan à la tête du FCSion, ça fait toutde suite vendre quelques abonnementssupplémentaires.»

«solidarité, travail,complicité»Sébastien Fournier ponctue souvent sesphrases par un «tout simplement» quilui ressemble. Et ressemble à ce qu’il ditaimer voir sur un terrain de la part deson équipe: «Solidarité, travail, com-plicité. Repousser les limites sur le planphysique, résister, tenir.» Des qualitéssouvent décrites dans la presse spor-tive comme «valaisannes». Pas ques-tion pour lui pourtant d’en rajouter surce thème.L’expression«jouer à lavalai-sanne» ne lui semble plus avoir beau-coup de sens. Il trouve le FC Sion actuelplutôt conformeà l’imageducanton:«Ily a beaucoup de Portugais, de Français,d’Italiens qui vivent en Valais, il fauts’ouvrir à cette réalité. Et puis un joueurvalaisan, s’il est bon, aura toujours saplaceauFCSion,mais s’il y ades joueursqui sontmeilleursque lui,ce sont euxquijoueront, tout simplement.»

Fournier dans ce domaine se montrepartisan d’un froid réalisme, lui quivient d’œuvrer six mois au secteur for-mation du club: «Le constat est facile àfaire, nous n’avons pas actuellement lasubstance pourmonter un FC Sion-Va-lais commedans les années80.Si on fai-sait la meilleure équipe valaisanne pos-sible avec les meilleurs joueurs valai-sans, le FC Sion ne serait même pas enChallenge League»

avélo ou à pieddans lamontagneEndehorsdu foot,SébastienFournier seditpassionnédemontagne,s’imposeunmot croiséquotidienetpratique leVTT.Avantde reconnaîtrequecemétierd’en-

traîneur lui prend «beaucoup d’éner-gie», et le poursuit «jour et nuit». Ledémon du foot finit toujours par poin-ter le bout de son nez rond, à tout mo-ment, même lorsque l’entraîneur passedu tempsavec sesdeux filles.«Sans faireexprès, on semet à penser, voilà demainj’ai tel joueurblessé, il fautque jeprévoiequelque chose...»Sinon le coach du FC Sion dit bien

aimer les langues, «un bagage que lesentraîneurs et toute personne d’ailleursdevraient avoir: avec le groupe que j’ai,ça me fait plaisir de me mettre à l’ita-lien, à l’anglais et à un peu de portu-gais». Et c’est donc en allemand qu’ilrépond aux questions de l’AargauerZeitung. Pour expliquer le bon début de

«J’ai la chancedepouvoircompter surdes gensintelligents, travailleurs»

Ajouter leparmesan, la crèmeet les champignons,mélanger et laisserreposer deuxminutes.

Pour SébastienFournier,cuisiner c’estessentiellementfaire plaisir.

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| 49| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | CUISINE DE SAISON | SÉBASTIEN FOURNIER

championnat, il met en avant une qua-lité rarement plébiscitée en football: «Ily a un vrai niveau intellectuel dans cetteéquipe. Avec Dingsdag, Bühler, Vanins,Vanczak,Marguerat,Darragi et évidem-ment Gattuso, un type extraordinaire,j’ai la chancedepouvoir compter surdesgens intelligents, travailleurs etquine seprennent pas pour ce qu’ils ne sont pas.Mais tout est fragile en football. L’intel-ligence d’ailleurs permet aussi de gérerles périodes délicates.»Quant à Christian Constantin, son

imprévisible et fantasque président,Fournier le voit comme quelqu’un «depassionné, exubérant, perfectionniste,ambitieux. Ça me convient très bienparce que je suis moi aussi quelqu’und’ambitieux.»Tout simplement.

Texte: Laurent NicoletPhotos: Christophe Chammartin / Rezo

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Risotto aux champignonsUne recette de Sébastien Fournier

INGRÉDIENTS POUR4 PERSONNES

300 g de champignonsmélangés, p. ex. chanterelles,bolets, champignons deParis3 brins de persil1 oignon1 cs de beurre1,25 dl de vin blancsel, poivre1 cs d’huile d’olive250 g de riz pour risotto,p. ex. arborio1 l de bouillon de légumestrès chaud100 g de parmesan râpé1 dl de crème

PRÉPARATION1. Suivant leur taille, couper leschampignons enmorceaux ou leslaisser entiers. Hacher séparé-ment le persil et l’oignon. Fairefondre le beurre, y faire suer unpeu d’oignon. Ajouter les champi-gnons et les faire revenir env.3 min. Ajouter le persil et 3 cs devin. Laisser réduire le liquide. Saleret poivrer.

2. Chauffer l’huile et y faire suer lereste de l’oignon. Ajouter le riz etle faire revenir jusqu’à ce qu’il soittranslucide. Mouiller avec le restedu vin blanc et laisser réduire. Ver-ser peu à peu le bouillon sur le riz,en laissant réduire entre deux.

Cuire le riz env. 20min jusqu’à cequ’il soit onctueux, mais encoreferme.

3. Finition: ajouter la moitié duparmesan, la crème et les cham-pignons, mélanger et laisser repo-ser 2 min. Rectifier l’assaisonne-ment avec sel et poivre. Serviravec le reste du parmesan.

Préparation:35min

Valeur nutritive:Par personne, env. 15 gde protéines, 22 g de lipides,51 g de glucides, 2050 kJ /490 kcal

«Constantin? C’est quelqu’un depassionné, exubérant, perfectionniste,ambitieux.»

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MIGROS JURA-BÂLE | 51VOTRE RÉGION| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 |

NEWS

Jeudi 6 septembre, «Lucky» Bastian Baker se produira pour la deuxième fois sur la «sainte scène» du festival.

Photos:D

R,Ca

prices

2011by

Seb

Une satire au poilEntre fin août et début septembre, lesamateurs du genre pourront découvrirle dernier spectacle écrit par le jeuneauteur et metteur en scène jurassienJordane Veya. «Postiches» raconte lecombat entre les moustaches et lesbarbes pour imposer leur identité àl’autre groupe, dans une habilemétaphore des conflits humains. Lelauréat 2009 de la bourse Anne et Ro-bert Bloch réalise cette pièce satirique

à la suite de son année de perfection-nement enmise en scène.

Café du Soleil, Saignelégier,les 24 et 25 août 2012 à 20 h 30,le 26 août 2012 à 17 h. ForumSaint-Georges,Delémont,les 31 août et 1erseptembre 2012 à20 h 30, le 2 septembre 2012 à 17 h.

Infos et réservations www.ccrd.ch

L e festival duChantduGros retrouvesa résidence de fin d’été au Noir-montpour trois joursdemusiqueet

de fête. Chic, une année qu’on l’attend!A l’affiche, les régionaux de l’étape ré-pondent,comme les étoilesdumoment,à l’appel de l’organisateur Gilles Pierre.Du côté des représentants de la scène

jurassienne, les deux compères de Car-rousel amèneront une ambiance festivejeudi soir avec leurs chansons enjouéeset leur complicité inimitable. Vendredi,le Delémontain DJ Idem sera aux pla-tines pour faire danser les plus motivésjusqu’à une heure tardive. Notons aussila présence deMacadamDive, sans ou-

blier le projet P’tit du Gros, qui laisse laplace aux jeunes groupes de la région.

Bastian Baker,Bénabar et les autresRévélé en2011, écumant les scènes et lescœursdepuis lors,BastianBakerenchan-tera le public duChant duGros pour sondeuxième passage, jeudi. Avec ses bal-lades captivantes et sa gueule d’ange, letoutaccompagnéd’unnaturel touchant,celuiqui sedit chanceuxdans lachanson«Lucky» a bien raison de le penser… etson public aussi! Et ce n’est pas près dechanger, grâce à un nouvel album qui seprépare pour le printemps 2013.

Fidèle à sa réputation, le Chant du Grosoffred’autresgrandes têtesd’afficheauxinconditionnels du festival: Zebda quifera sûrementencore tomber la chemise,Bénabar et sa chanson française acerbeet inimitable, le jazz manouche du beauThomas Dutronc, les représentantsdu hip-hop français Sinik et Sniper, legroupe mythique des années 80 SimpleMinds, ou encore Orelsan, Selah Sue etCharlie Winston, pour ne citer qu’eux.Un programme de haute tenue dans le-quel chacun trouvera son bonheur.

Texte: Jacqueline Parrat

Infos et billets: www.chantdugros.ch

L e festival duChantduGros retrouvesa résidence de fin d’été au Noir-montpour trois joursdemusiqueet

de fête. Chic, une année qu’on l’attend!A l’affiche, les régionaux de l’étape ré-pondent,comme les étoilesdumoment,à l’appel de l’organisateur Gilles Pierre.Du côté des représentants de la scène

jurassienne, les deux compères de Car-rousel amèneront une ambiance festivejeudi soir avec leurs chansons enjouéeset leur complicité inimitable. Vendredi,le Delémontain DJ Idem sera aux pla-tines pour faire danser les plus motivésjusqu’à une heure tardive. Notons aussila présence deMacadamDive, sans ou-

blier le projet P’tit du Gros, qui laisse laplace aux jeunes groupes de la région.

Bastian Baker,Bénabar et les autresRévélé en2011, écumant les scènes et lescœursdepuis lors,BastianBakerenchan-tera le public duChant duGros pour sondeuxième passage, jeudi. Avec ses bal-lades captivantes et sa gueule d’ange, letoutaccompagnéd’unnaturel touchant,celuiqui sedit chanceuxdans lachanson«Lucky» a bien raison de le penser… etson public aussi! Et ce n’est pas près dechanger, grâce à un nouvel album qui seprépare pour le printemps 2013.

Fidèle à sa réputation, le Chant du Grosoffred’autresgrandes têtesd’afficheauxinconditionnels du festival: Zebda quifera sûrementencore tomber la chemise,Bénabar et sa chanson française acerbeet inimitable, le jazz manouche du beauThomas Dutronc, les représentantsdu hip-hop français Sinik et Sniper, legroupe mythique des années 80 SimpleMinds, ou encore Orelsan, Selah Sue etCharlie Winston, pour ne citer qu’eux.Un programme de haute tenue dans le-quel chacun trouvera son bonheur.

Texte: Jacqueline Parrat

Infos et billets: www.chantdugros.ch

Boufféed’airs sousles sapinsLa 21e édition du Chant du Gros aura lieuau Noirmont du 6 au 8 septembre.

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votre région | migros jura-bâle |No 32, 6 août 2012 | migrosmagazine |

52 |

Changements d’adresse: les changements d’adresse sont à communiquer à la poste. Le journal suivra automatiquement à la nouvelle adresse.Abonnement à «MigrosMagazine»:

L’amourdu fournilet du travailbien faitTatjanaMüller aime son activité à la boulangeriemaison du centre commercial Drachen, à Bâle.

Amabilité,gaieté et zèlene sontquetrois des nombreuses qualités deTatjana Müller. La jeune femme

de 23 ans parle avec enthousiasme deson travail, de ses projets, de l’équipe decollaborateurs de la boulangeriemaisonducentre commercialDrachen et de sonemployeur, Migros Bâle. Elle a été pro-mue suppléante du responsable de laboulangeriemaison il y adeuxans,signequ’elle a un vrai potentiel.Migros Bâle est connue pour exiger

beaucoupdes jeunesgenscapables,maisaussi pour lespromouvoir.La responsa-bilité précoce donnée à Tatjana Mülleren apporte une fois encore la preuve.Onze professionnels et une personneen apprentissage travaillent sous la di-rection d’Oliver Schäublin. Et lorsquele chef est en vacances, c’est TatjanaMüller qui le remplace. Mais elle rela-tivise immédiatement: «En été, c’estbeaucoup plus calme qu’avantNoël, parexemple, quand la saison bat son plein.Même si j’endosse beaucoupde respon-sabilités durant trois semaines et doissouvent improviser, je sais que c’estpassager. Dès qu’Oliver Schäublin estde retour, il reprend les rênes.»La jeunefemmeest contente aussi de sonéquipe,qu’elle connaît depuis longtemps. Entre

2005 et 2008, elle a fait son apprentis-sage de boulangère-pâtissière à la bou-langerie maison de l’ancien magasindu Kirschgarten, déjà sous l’œil expertd’Oliver Schäublin.

le rappelde bons souvenirsA la fin de son apprentissage, Tatja-na Müller s’est engagée un été comme«fille à tout faire»dansuneboulangerieconnuedeGstaad.Mais sonenviededé-couvrir la Suisse a bientôt cédé face auxhoraires. Elle travaillait alors presque24 heures sur 24: «Je n’aurais plus tenuunesaisond’hiver à ce rythme intensif etsans congé notable», déclare-t-elle enrepensant àcette expérience instructive.Debons souvenirs etunpeudemaldu

pays ont incité la jeune femme à revenirdans son entreprise formatrice. A cetteépoque, peu avant l’ouverture du centreDrachen, son maître d’apprentissage l’areprise avec plaisir au sein de l’équipe.«Nous connaissions Tatjana et savionsque nous allions retrouver quelqu’unque nous appréciions», explique OliverSchäublin.Outre ses tâches quotidiennes et sai-

sonnières au fournil, Tatjana Müllers’est aussi chargée de travaux adminis-

Amabilité,gaieté et zèlene sontquetrois des nombreuses qualités deTatjana Müller. La jeune femme

de 23 ans parle avec enthousiasme deson travail, de ses projets, de l’équipe decollaborateurs de la boulangeriemaisonducentre commercialDrachen et de sonemployeur, Migros Bâle. Elle a été pro-mue suppléante du responsable de laboulangeriemaison il y adeuxans,signequ’elle a un vrai potentiel.Migros Bâle est connue pour exiger

beaucoupdes jeunesgenscapables,maisaussi pour lespromouvoir.La responsa-bilité précoce donnée à Tatjana Mülleren apporte une fois encore la preuve.Onze professionnels et une personneen apprentissage travaillent sous la di-rection d’Oliver Schäublin. Et lorsquele chef est en vacances, c’est TatjanaMüller qui le remplace. Mais elle rela-tivise immédiatement: «En été, c’estbeaucoup plus calme qu’avantNoël, parexemple, quand la saison bat son plein.Même si j’endosse beaucoupde respon-sabilités durant trois semaines et doissouvent improviser, je sais que c’estpassager. Dès qu’Oliver Schäublin estde retour, il reprend les rênes.»La jeunefemmeest contente aussi de sonéquipe,qu’elle connaît depuis longtemps. Entre

2005 et 2008, elle a fait son apprentis-sage de boulangère-pâtissière à la bou-langerie maison de l’ancien magasindu Kirschgarten, déjà sous l’œil expertd’Oliver Schäublin.

le rappelde bons souvenirsA la fin de son apprentissage, Tatja-na Müller s’est engagée un été comme«fille à tout faire»dansuneboulangerieconnuedeGstaad.Mais sonenviededé-couvrir la Suisse a bientôt cédé face auxhoraires. Elle travaillait alors presque24 heures sur 24: «Je n’aurais plus tenuunesaisond’hiver à ce rythme intensif etsans congé notable», déclare-t-elle enrepensant àcette expérience instructive.Debons souvenirs etunpeudemaldu

pays ont incité la jeune femme à revenirdans son entreprise formatrice. A cetteépoque, peu avant l’ouverture du centreDrachen, son maître d’apprentissage l’areprise avec plaisir au sein de l’équipe.«Nous connaissions Tatjana et savionsque nous allions retrouver quelqu’unque nous appréciions», explique OliverSchäublin.Outre ses tâches quotidiennes et sai-

sonnières au fournil, Tatjana Müllers’est aussi chargée de travaux adminis-

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| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | votre région | Migros jura-bâle| 53

MIGROS BÂLE, 4002 Bâle, tél. 058 575 55 44. E-mail: [email protected]

«Je prendsplaisir àremplacermon chefpendant sesabsenceset à assumertoujoursplus deresponsabilités.»TatjanaMüller

� Ingrédients1 pâte à gâteau ronde,de taille moyenne600 g à 1 kg depruneaux frais1 œuf2 dl de crème entière3 cs de noisettesmouluesun peu de sucreglace

� PréparationFoncer unmoule àtarte avec la pâte.Préchauffer le four à250 °C. Laver, dé-noyauter et couperles pruneaux enquatre. Parsemer lefond de pâte de noi-settes moulues. Ydisposer les quarts

de pruneaux encercle, en les serrantbien. Battre l’œufavec la crème etverser cette liaisonsur les fruits.

�CuissonFaire cuire 30 à40min au fourà 250 °C, avec

chaleur de voûteseule pendant untiers du temps etchaleur de solependant les deuxderniers tiers.

� Présentationavant de servir,saupoudrer la tartede sucre glace.

Lepruneau,undélicemalicieuxHistoires, conseils et astucespour savourer ce succulentfruit de saison.

recette etconseils

Tarte aux pruneaux

Il est important de garnir généreusement la tarte en serrant bien les pruneaux.

tratifs, notamment des commandeset des contrôles: «Dès le début, j’aipris plaisir à remplacer mon chefpendant ses absences et à assumertoujours un peu plus de responsabi-lités», affirme-t-elle, en confirmantune fois encore la satisfaction qu’elletrouve dans sonmétier depuis qu’ellel’a choisi.

une future agentetechnico-commercialeCet amour de sa profession ne l’em-pêche pourtant pas d’esquisser unavenir différent:«Dans quelques an-nées, si le travail physique dans uneboulangerie devait devenir trop pé-nible pour moi, je me dirigerais vo-lontiersvers lebureau»,assure lagra-cile jeune femme.DepréférenceàMi-gros, bien sûr, dévoile-t-elle. Et pouraccroître ses chances, elle a suivi descours de gestion internes à l’entre-prise et prend actuellement, en pa-rallèle à son activité professionnelle,des coursdecommercependantdeuxansetdemiàReinach.Quandelle auraachevé sa formation avec succès, ellepossédera un brevet fédéral d’agentetechnico-commerciale.Texte et photo: PriskaM.Thomas Braun

Les pruneaux se dégustentaussi bien crus que cuits.

Arbeitetgerne imHerzenvon Basel

L e mot pruneau évoque presque in-variablement des histoires drôles.Les jeunes parents ont tous enten-

du leurs rejetons demandermalicieuse-ment pourquoi les éléphants se cachentdans les pruniers. Parce qu’ils ont lesyeux bleus, évidemment!Cette année n’est toutefois pas pro-

pice auxéléphants.Pasplusqu’auxpru-neaux de notre région. Actuellement,ces fruits frais de saison proviennentd’autres contrées du pays et une partiedoitmême être importée du sud de l’Al-

L e mot pruneau évoque presque in-variablement des histoires drôles.Les jeunes parents ont tous enten-

du leurs rejetons demandermalicieuse-ment pourquoi les éléphants se cachentdans les pruniers. Parce qu’ils ont lesyeux bleus, évidemment!Cette année n’est toutefois pas pro-

pice auxéléphants.Pasplusqu’auxpru-neaux de notre région. Actuellement,ces fruits frais de saison proviennentd’autres contrées du pays et une partiedoitmême être importée du sud de l’Al-

lemagne, précise Heinz Jeker, respon-sabledes fruits et légumesàMigrosBâle.Vous pourrez tout de même préparer

une délicieuse tarte si vous le souhai-tez. Il est normal que les pruneaux fraisrendentdu jus et que la pointedesquar-tiers brunisse lors de la cuisson au four.Si vousn’avezpas le courage ou le tempsde vous lancer dans la préparation de cerégal, offrez-vous une succulente tarteconfectionnéepar lesboulangersmaisondesmagasinsMigros.

Texte et photos: PriskaM.Thomas Braun

Page 54: migros-magazin-32-2012-f-bl

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2.40Prunes rouges, bioEspagne/Italiela barquette de 500 g

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| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 |

escapade | 57auquotidien

C ’est un chemin pour prendre de lahauteur. D’abord parce qu’il ser-pente au-dessus de Saint-Luc,

entre l’arrivée du funiculaire de Ti-gnouza et l’hôtel Weisshorn. Mais sur-tout parce qu’il offre un parcours à tra-vers notre système solaire. La baladecommence donc en dessous de l’obser-vatoire François-Xavier-Bagnoud, encompagnie d’Eric Bouchet. Cet astro-nome de 38 ans vient du centre de laFrance, et a rejoint l’observatoire FXBil y a trois ans. «J’aime la montagne etje voulais travailler dans une institutionmoinsgrande,àdimensionhumaine. Ici,c’est parfait.»Nousvoici doncdevantungrand rond

(légèrement ovale, en fait) surmonté

d’une plaque nominative avec des don-nées chiffrées précédées de sigles unpeu abscons pour le parfait profane.«Jeme suis aperçu que lemode d’emploi duchemin n’existait pas vraiment. Pour enprofiter pleinement, il faut se prépa-rer un peu, en prenant une petite bro-chure explicative à l’Office du tourismede Saint-Luc, ou en téléchargeant uneapplication pour smartphone.» Maisquand on a la chance d’avoir avec soi unscientifique passionné, autant en profi-ter.En gros, le sentier planétaire consti-

tueunmodèle réduit dusystèmesolaire,où toutes les planètes – et le soleil lui-même, donc – ont été réduites 100mil-lions de fois. «Cet ovale mesure donc

14mètres dans sa plus grande longueur.Vous pouvez faire le calcul, c’est cor-rect.»

Lorsqu’unmètre correspondà unmillion de kilomètresLa petite subtilité est que l’échelle desdistances s’avère, elle, différente. Aumilliardième. Autrement dit, un mètreparcouru sur les hauteurs magnifiquesdu val d’Anniviers correspond à unmil-lion de kilomètres dans le ciel. «Doncchaque fois que je fais un très grandpas, c’est comme un immense bond defusée?» demande en s’arrêtant à notrehauteur Elie.«Oui, lui répondnotre ac-compagnateur,nous allonsplusvite quela lumière.»Duhaut de ses 5 ans,Elie se

Le systèmesolaireà vospiedsaSaint-Luc, dans le val d’anniviers, le Chemin des planètes offreune superbe et instructive balade la tête dans les étoiles.

Saturne, uneénorme boulede gaz compri-mée par sonpropre poids,est la planètelamoins densedu systèmesolaire.

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| 59| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | AU QUOTIDIEN | ESCAPADE

promène avec ses parents. Et il sembleravi d’apprendre que dans les environsde l’astre solaire, les premières planètesse situent assez proches les unes desautres. A peine cinquante pas et nousvoilàdoncdéjà en facedeMercure, l’unedes huit planètes de notre système. Ahbon, pas neuf? «Officiellement, Plu-ton a été déclassée, explique Eric Bou-chet. Dans les années 90, les progrèstechniques ont permis d’en découvrirde nouvelles. Et il a été décidé de créerune sous-catégorie pour celles qui cor-respondaient aux caractéristiques de lapetite Pluton.»

Une températuremaximalede 430degrés surMercureMais revenonsàMercure.Une foisqu’onen possède les clés, sa plaque d’identiténous apprend plein de choses. Qu’elleest trois foispluspetiteque laTerre.Queson «Prot» est de 58,6, soit le nombrede jours qu’il lui faut pour effectuer untour sur elle-même. Que sa «Tmax»– température maximale – culminequand même à 430 degrés. «Eh oui,elle est plus proche du Soleil que nous.En revanche, comme elle n’a pas d’at-mosphère, il y fait très froid à l’ombre.»Et puis, surtout, qu’un (hypothétique)Mercurien fêterait sonanniversaire tousles troismois environ (88 jours),puisqueMercure est la planètequi tourne leplusrapidement autour du Soleil, à quelque172 400 km/h. Elle porte bien son nom.La seconde planète, Vénus, est à

équidistance: cinquante pas supplé-mentaires, à 100millions de kilomètresdu Soleil. Son rayon est comparable àcelui de la Terre, même si elle évoquel’amour et le paradis, les températures ysont plutôt infernales.Et puis, elle pos-sèdeuneparticularité unique:«C’est laseule à tourner ensens inverse.LeSoleils’y lèvedonc à l’ouest.Bon,pas souventde toutemanière,puisqu’elle tourneex-trêmement lentement sur elle-même. Illui faut 243 jourspourunseul tour»,re-lève Eric Bouchet.Ensuite il y a laTerre,bien sûr, la plus

grandedesplanètesdites«rocheuses»,et sa vitesse de rotation à l’équateur, de1675 km/h. Mais ici, à Saint-Luc, elle

a diminué de moitié.«Et la suivante, tu peuxla deviner, elle porte lenom d’une barre choco-latée que tu aimes bien»,annonce son papa à Elie.Le petit garçon gratte avecson bâton de randonnéedans la terre du chemin.Commeelle, il sèche.«Mars,voyons!»La planète rouge, pas du

tout parce qu’il y fait chaud

Une brochure permet aux visiteurs dedécrypter les plaques d’identité.

Eric Bouchet, astronome à l’observatoire François-Xavier-Bagnoud.

Uranus est la première planète découverte à l’aide d’un télescope en 1781.

«Nousallons plusvite que lalumière»

Photos:Isabelle

Favre

Page 60: migros-magazin-32-2012-f-bl

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| 61| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | AU QUOTIDIEN | ESCAPADE

(-60 degrés, c’est pasterrible),mais parcequece caillou trois fois pluspetit que la Terre, au-trefois peuplé de tousles fantasmes extrater-restres, recèle énormé-ment d’oxyde de fer.Contrairement à ce

que l’on pourrait penser, ce sentier n’apas de lien direct avec l’observatoire.Sa création est d’ailleurs antérieure àl’inaugurationdecedernier (1995): c’esten 1989que lepatronde la courseSierre-Zinal enaeu l’idée,s’associant avec l’ob-servatoire de Genève pour les donnéestechniques.Mais voici la géante Jupiter, dix fois

plus grande que la Terre et dont «lamasse dépasse celle de toutes les autresplanètes réunies»,explique l’animateurscientifiquede l’ObservatoireFXBàElie.«Là, tuvois, tun’aurais tonanniversaireque tous les douze ans», ajoute EricBouchet. Non sans nous glisser que lesavancées scientifiques rendentde temps

en temps une informationcaduque. «Par exemple,à l’époque, on accordaitseize satellites à Jupiter,contre plus de soixante-quatre aujourd’hui.»Nous avançons encore

sur cechemin largeet faciled’accès jusqu’à Saturne, la

dernière à être visible à l’œil nu, maisexercé quand même. Elie et ses parentsnous quittent, redescendant vers Saint-Luc par l’un des sentiers permettant dene pas forcément faire l’aller-retour surcelui des planètes.Le chemin s’allonge jusqu’à la loin-

taine Uranus. Cette planète a été sur-volée par la sonde Voyager 2 en 1989, lamêmeannéeque l’inaugurationdenotreitinéraire. «Elle aura quand même misdouze ans, puisque lancée en 1977.» Ehoui, septième planète depuis le Soleil,Uranus se trouve presque aux confinsdenotre système. Il fautdonc semotiverpour effectuer les 10,88 unités astrono-miques,soit 1,63kilomètredegrimpette

sur le plancher des vaches, et rejoindreNeptune, la dernière planète «offi-cielle» là-haut sur la crête.Besoindemotivation?Leparcours est

encoreplusbeau, l’horizons’ouvrant surla vallée du Rhône. Et puis on ne vousparlemêmepasde lamythique tarte auxmyrtilles de l’hôtelWeisshorn. Sinon, iln’y en aura plus pour tout lemonde...

Texte: Pierre LéderreyPhotos: Isabelle Favre

Il existe plusieurssentiers des planètesen Suisse, à arpenterau fil des astres.

«Sur Jupiter,tu n’aurais tonanniversaireque tous lesdouze ans»

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62 |au quotidien | psychologie |No 32, 6 août 2012 | MigrosMagazine |

E nfouir ses émotions au plus pro-fond de soi, mettre un couvercledessus, bien étanche, développer

des stratégies pour vivre avec, plus oumoins bien, ou se blinder, c’est ce qu’onfait tous à peuprès.Résultats: la plupartse retrouvent esclavesde leurs colèresoude leurs peurs, submergés ou démunisface à des sentiments d’impuissance oucarrément dans le déni.Avec à la clé unerépétitionde schémasdeviedouloureux– ruptures,maladies, échecs, conflits –dont on ne sait plus comment ressortir.Christiane Savio a un truc. Plus que

ça, cette grande femme rayonnante, auxpieds bien ancrés à Marly (FR), a déve-loppé une nouvelle approche: l’émo-tiologie. Ce mot qui n’existe pas dans ledictionnaire,elle se l’est appropriéparcequ’il parle si bien de ce qu’elle fait et en-seigne: s’occuper de ses émotions. Enprendre soin, leur laisser une place dansle but d’acquérir une autonomie émo-tionnelle. En bref, ne plus se laisserme-ner par elles ni les subir,mais se donnerles moyens de devenir ce qu’elle appelleson«maître cœur».C’est à partir de son parcours de vie

marquéparunpèrealcooliqueetviolent,la révolte et la colère,queChristianeSa-vioacréé sonapproche.Pour trouverdesréponses à ses questions, elle a tâté detoutes les méthodes de développementpersonnel, avant de se spécialiser en

psycho-kinésiologie (lire l’encadré). «Aforce de chercher, d’étudier, j’ai trouvéet compris surtoutqu’ilme fallait cesserd’accabler les autres et regarder en moicette jeune femme blessée que j’étais.»

prendre soin de ses émotions,ça s’apprendAnouvellediscipline,nouveaumétier: laFribourgeoise, qui se défend d’être unegourou, pratique depuis dix ans, donnedes conférences et forme des émotio-logues. Aujourd’hui, «je suis apte à ré-pondre de mes émotions. Quand j’ai dela peine, j’en prends soin. J’ai appris àdevenirmameilleure amie.»L’émotiologie n’est pas une science,

mais l’étudeet lapratiquedes émotions.«La boîte à outils, on l’a en nous et lesémotions sont autantdematière à créer,à transformeren ressources.Comment?Unmot queChristiane Savio aime bien.C’est avec lui qu’elle répondait à tous lesthérapeutes, à tous les modes d’emploide développement personnel qui la ren-voyaient chercher en elle les réponses.Comment donc? En écoutant son

corps, en partant des ressentis qui sontles clés. La Fribourgeoise propose de lesobserver, les décortiquer, les identifieret les accueillir avec bienveillance.Et des’entraîner comme un pianiste qui faitrégulièrement ses gammes. Affronterses peurs, ses colères, ses sentiments

E nfouir ses émotions au plus pro-fond de soi, mettre un couvercledessus, bien étanche, développer

des stratégies pour vivre avec, plus oumoins bien, ou se blinder, c’est ce qu’onfait tous à peuprès.Résultats: la plupartse retrouvent esclavesde leurs colèresoude leurs peurs, submergés ou démunisface à des sentiments d’impuissance oucarrément dans le déni.Avec à la clé unerépétitionde schémasdeviedouloureux– ruptures,maladies, échecs, conflits –dont on ne sait plus comment ressortir.Christiane Savio a un truc. Plus que

ça, cette grande femme rayonnante, auxpieds bien ancrés à Marly (FR), a déve-loppé une nouvelle approche: l’émo-tiologie. Ce mot qui n’existe pas dans ledictionnaire,elle se l’est appropriéparcequ’il parle si bien de ce qu’elle fait et en-seigne: s’occuper de ses émotions. Enprendre soin, leur laisser une place dansle but d’acquérir une autonomie émo-tionnelle. En bref, ne plus se laisserme-ner par elles ni les subir,mais se donnerles moyens de devenir ce qu’elle appelleson«maître cœur».C’est à partir de son parcours de vie

marquéparunpèrealcooliqueetviolent,la révolte et la colère,queChristianeSa-vioacréé sonapproche.Pour trouverdesréponses à ses questions, elle a tâté detoutes les méthodes de développementpersonnel, avant de se spécialiser en

psycho-kinésiologie (lire l’encadré). «Aforce de chercher, d’étudier, j’ai trouvéet compris surtoutqu’ilme fallait cesserd’accabler les autres et regarder en moicette jeune femme blessée que j’étais.»

prendre soin de ses émotions,ça s’apprendAnouvellediscipline,nouveaumétier: laFribourgeoise, qui se défend d’être unegourou, pratique depuis dix ans, donnedes conférences et forme des émotio-logues. Aujourd’hui, «je suis apte à ré-pondre de mes émotions. Quand j’ai dela peine, j’en prends soin. J’ai appris àdevenirmameilleure amie.»L’émotiologie n’est pas une science,

mais l’étudeet lapratiquedes émotions.«La boîte à outils, on l’a en nous et lesémotions sont autantdematière à créer,à transformeren ressources.Comment?Unmot queChristiane Savio aime bien.C’est avec lui qu’elle répondait à tous lesthérapeutes, à tous les modes d’emploide développement personnel qui la ren-voyaient chercher en elle les réponses.Comment donc? En écoutant son

corps, en partant des ressentis qui sontles clés. La Fribourgeoise propose de lesobserver, les décortiquer, les identifieret les accueillir avec bienveillance.Et des’entraîner comme un pianiste qui faitrégulièrement ses gammes. Affronterses peurs, ses colères, ses sentiments

Se consolersoi-même,ça s’apprendEmotiologie, lemot n’existe pas dans le dictionnaire.Et pourtant, il fait référence à un art du cœurenseigné depuis des années àMarly (FR).

«J’ai apprisà devenirmameilleureamie»Christiane Savio,créatricede l’émotiologie

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| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | au quotidien | psychologie| 63

d’impuissance ou de frustration changela vie, selon elle.

unvoyage au cœur de soi quipasse par… le cœurMais l’émotiologien’apasplusde la thé-rapie que de la science.Christiane Saviola définit comme un voyage au cœur desoi. Elle se voit comme un guide qui ac-compagne les premiers pas dans ce dia-logue à soi.Un dialogue qui ne passe paspar l’intellect, mais par le cœur. Elle ad’ailleurs rédigé deux ouvrages sur cetart d’accéder à sa sensibilité pour quechacunpuisse investiguerpar lui-même.Maman de quatre garçons adultes,

elle va même plus loin: cette «hygiènede l’âme»devrait, selon elle, être ensei-gnée dans les écoles. «Que les enfantsapprennent cette autonomie émotion-nelle, c’est-à-dire à se consoler eux-mêmes, dès le plus jeune âge. Nous lesgrands, quand on est triste, on attendque quelqu’un prenne soin de nous. Siça apportedu réconfort, çane traite pas.Les enfants ont encore cette sensibilité,cette capacité à entendre l’âme.»

Texte: Isabelle KottelatIllustration: Rahel Nicole Eisenring

A lire: «L’émotiologie, un art de Cœur»et «Emotiologie, le Maître Cœur», aux EditionsEclectica. Plus d’infos sur: www.emotiologie.ch

La psycho-kinésiologie,qu’est-ce que c’est?

Pour développer sa techniqued’émotiologie, ChristianeSavio s’est basée sur lesprincipes de la psycho-kinésiologie, dans laquelleelle s’est spécialisée durantdix ans. Cette méthode ap-prend à observer ses pen-sées et les ressentis qui leurfont écho dans le corps. «tousnos maux physiques ou diffi-cultés de comportement sontd’origine émotionnelle.» C’estle credo de son initiateur RéalChoinière, un docteur enchiropraxie québécois forméaussi en acupuncture,ostéopathie, homéopathie et

diverses approches depsychothérapie.Par un testmusculaire, les psycho-kinésiologues identifient lesrelations entre les émotionset le corps. Partant du principeque les difficultés vécuesdans l’enfance se répètent àl’âge adulte, leurs fondements,c’est de découvrir lesblocages émotionnelsde l’enfance, de les nommerpuis de les transformer.Une pratique qui s’entraîne pardes exercices réguliers.

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| 65| MIGROS MAGAZINE | No 32, 6 AOÛT 2012 | AU QUOTIDIEN | SANTÉ

A COMME ALCOOL

Numéro un dans la liste des en-nemis de la grossesse. A bannir.

B COMME BALLONNEMENT

L’un des inconforts possiblesavec les nausées, les vomissements, les brû-

lures d’estomac et les lourdeurs digestives.Pour les éviter: prendre des repas moins co-pieux mais plus fréquents, manger lente-ment, limiter la consommation d’eau gazeuse

et d’aliments qui fermentent (chou, poireau,ail, oignon, légumineuses).

C COMME CALORIES

Inutile de manger pour deux! «Les besoins encalories n’augmentent pas du simple audouble durant la grossesse», met en gardeSandra Badel, diététicienne à Genève. Pen-dant les trois premiers mois, le besoin énergé-tique quotidien n’est qu’à peine augmenté.Dès le 4e mois, il oscille entre 200 et 300 kcal.

D COMME DIABÈTE GESTATIONNEL

Elévation hors des normes de la glycémie. Leshormones de grossesse perturbent l’efficaci-té de l’insuline. Le diabète gestationnel de-vrait faire l’objet d’un dépistage autour de la

vingt-cinquième semaine de grossesse.

E COMME ENVIES

«Elles peuvent être hormonales et nousmettent parfois la puce à l’oreille, relève San-

Amamanbiennourrie,bébébienportant

On ne le répétera jamais assez: durant –et avant – la grossesse, une alimentation saineet équilibrée est primordiale, tout autant pour lamère que pour l’enfant. Abécédaire non exhaustif

des points importants.

et d’aliments qui fermentent (chou, poireau, ail, oignon, légumineuses).

C COMME CALORIES

Inutile de manger pour deux! «Les besoins en calories n’augmentent pas du simple au

dant les trois premiers mois, le besoin énergé-tique quotidien n’est qu’à peine augmenté. Dès le 4

D COMME DIABÈTE G

Elévation hors des normes de la glycémie. Les

vingt-cinquième semaine de grossesse.

Une alimenta-tion variéeet équilibréefavorise la santéde lamèreet de sonenfant.

Page 66: migros-magazin-32-2012-f-bl

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| 67| MIGROSMAGAZINE | No 32, 6 AOÛT 2012 | AU QUOTIDIEN | SANTÉ

dra Badel. Une déficience en ferpeut par exemple se traduire parune attirance pour certains ali-ments.» Attention, ce n’est pasle cas de toutes les envies.

FCOMMEFROMAGE

A supprimer de sa liste decommissions, les fromagesau lait cru non pasteurisé,qui peuvent transmettre lalistériose, une maladie bacté-rienne. Durant la grossesse, on lesremplacera par leurs cousins pas-teurisés, à pâte cuite.

GCOMMEGIBIER

Amatrices de chasse, le civet degibier ne devra pas apparaître aumenu plus de deux fois par semaine(200 g maximum par portion), sateneur en plomb pouvant être tropélevée.

HCOMMEHYGIÈNE

Pour éviter d’exposer le fœtus àune infection, la femme enceintedoit porter une attention touteparticulière à l’hygiène, qui va dulavage fréquent des mains aunettoyage des ustensiles ayanttouché des aliments crus.

I COMME IODE

L’iode joue un rôle essentiel pour lebon fonctionnement de la glandethyroïde et le développement ducerveau de l’enfant. On en trouvedans les crustacés bien cuits, lesmoules, les poissons de mer.

J COMMEJUSDE FRUITS

L’alcool est interdit? Qu’à cela netienne! Les auteurs de l’ouvrage «Lepetit guide de la grossesse sans risque»conseillent de le remplacer par des cock-tails de fruits, sources de vitamines etd’antioxydants.Attention toutefois à ne pas lesadditionner de sucre (lire plus bas).

LCOMMELAITDESOJA

Des études ont montré que la consomma-tion de soja pouvait avoir des répercus-sions sur le système hormonal du bébé de-venu adulte. Par mesure de prudence, il estdonc recommandé de limiter à un par jourles produits à base de soja.

MCOMMEMATIÈRESGRASSES

Le besoin en matières grasses n’augmentepas durant la grossesse. Mais il est impor-tant de couvrir les besoins en acides grasessentiels, indispensables au bon dévelop-pement et au fonctionnement du systèmenerveux du bébé. Il est donc recommandéde préférer les huiles végétales ainsi queles poissons gras aux graisses de viande, decharcuterie et de saucisses.

NCOMMENAUSÉES

Beaucoup de femmes enceintes ensouffrent au début de la grossesse. Ellesdisparaissent en principe au cours des troispremiers mois.

OCOMMEOMÉGA-3

Le cerveau et les yeux se développent demanière optimale lorsque la concentrationen acides gras oméga-3 est suffisante.Ceux-ci sont surtout présents dans lespoissons gras, dont la consommation ré-gulière est, de ce fait, fortement recom-mandée à la femme enceinte. Les oméga-3ont également une influence sur l’immuni-té, le sommeil et la future flore intestinalede l’enfant, précise Sandra Badel.

PCOMMEPOISSONCRU

Interdit sous toutes ses formes: carpaccio,mi-cuit, ceviche, sushis, sashimis, surimiset poissons fumés...

QCOMMEQUININE

Question boissons, celles à base de quinine(Tonic Water, Bitter Lemon) sont égale-ment à éviter, cette substance peut com-promettre le bon développement et la san-té du fœtus.

RCOMMERÉGIME

Si la liste des interdits varie peu, l’adapta-tion du régime quotidien s’avère parfoisplus délicate à gérer. «D’autant que, d’unpoint de vue métabolique, nous sommestous différents, relève Sandra Badel. Nousne tirons pas tous parti de la même façondes aliments que nous ingérons.» La spé-cialiste recommande donc une prise encharge individualisée.

SCOMMESUCRE

Aux biscuits, pâtisseries, barres chocola-tées, préférer les sucres lents contenusdans les céréales et les féculents.

TCOMMETHÉ

A limiter, les boissons contenant de la ca-féine (thé vert et noir, café). Remplacer pardes tisanes. En matière d’hydratation, il estrecommandé pour les femmes enceintesde boire au minimum 1,5 litre d’eau par jour.

VCOMMEVÉGÉTALIEN

Une alimentation végétalienne – ou mêmedans certains cas végétarienne – peut êtrenocive pour l’enfant. Elle doit être compen-sée par des suppléments en vitamine B12,en vitamine D et en calcium.

WCOMMEWASABI

A éviter durant la grossesse. Les femmesenceintes devraient également limiter laconsommation de plats trop épicés.

YCOMMEYOGOURT

Yogourt et fromage, même combat: il s’agitde supprimer ceux à base de lait cru et deles remplacer par les pasteurisés.

ZCOMMEZINC

Avec le calcium, le fer et les vitamines B12 etD, il fait partie des nutriments auxquels lafemme enceinte doit porter une attentiontoute particulière. La prise de supplémentscontenant ces substances nutritives, encomplément de l’acide folique, est essen-tielle à partir de la douzième semaine degrossesse. Texte: Tania Araman

Sources:«Le petit guide de la grossesse sans risque»,Catherine Dupin et Alix Leduc,Leduc.s Editions.«Le guide de nutrition pendant et aprèsla grossesse», brochure française publiéepar le Programme national nutrition santé.«L’alimentation de la femme enceinte»,brochure publiée par la Société suissede nutrition.«Alimentation durant la grossesse etla période d’allaitement», brochure publiéepar l’Office fédéral de la santé publique.

dra Badel. Une déficience en fer peut par exemple se traduire par

ments.» Attention, ce n’est pas

menu plus de deux fois par semaine menu plus de deux fois par semaine

teneur en plomb pouvant être trop

Il estconseilléde limiterles produitsà base de sojapendant lagrossesse.

en sus de l’alimentation,d’autres conseils deprudence dansdifférentsdomaines

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Page 68: migros-magazin-32-2012-f-bl

68 |VOITURE | FORD FOCUS ECOBOOST | No 32, 6 AOÛT 2012 | MIGROSMAGAZINE |

de l’eau. En résumé: une semaine«lacustre» placée sous le signe duplaisir.Plaisir d’être avec les siens, maiségalement plaisir de conduire. Eneffet, la nouvelle Ford Focus estsurprenante en tous points. Sonmoteur ne compte que trois cy-lindres, mais son comportement,ses accélérations et son dyna-

Et dans la vraie vie, elle est comment cette voiture?

Par Leïla Rölli,chroniqueuse automobilePar Leïla Rölli,Par Leïla Rölli,

Cette semaine, c’est à bord de lanouvelle Ford Focus Ecoboost que jeme suis baladée. Chaleurs estivalesobligent, c’est autour de quelques-uns de nos plus beaux lacs que s’estdéroulé ce test. De beaux momentsen famille près du lac de Morat, surles rives neuchâteloises ou pour vé-hiculer mon ami Mehdi entre Nyonet Vevey après un concert au bord

misme ne souffrent pas de cettemesure destinée à réduireconsommation et émissions. Tantet si bien qu’avant de lire la fichetechnique, je ne m’en étais toutbonnement pas aperçue. J’ai déjàconduit quelques voitures ayantsubi un «downsizing» – une me-sure destinée à réduire la cylindréed’un moteur tout en préservant

Sûre, à coup sûrLa nouvelle Ford Focus décroche lesmeilleures notes aux tests de sécurité.Mais comment est-elle à conduire? Notre test.

L’ambiancediscoSur option, une petitemolette située en dessusdu rétroviseur centralpermet de changer le rétro-éclairage de l’habitacle,rose, orange, bleu, vert etj’en passe, les différentsvide-poches et la consoles’habillent joyeusementau gré des envies! (rougeuniquement de série)

Le moteurCouronné moteur international del’année, le nouveau bloc Ecoboostde 1,0 l pour 125 CV n’a que troiscylindres et pourtant il développe lamême puissance qu’un modèle tra-ditionnel de 1,8 l. Une petite merveillesynonyme de plaisir de conduire.

Le moteurCouronné moteur international de l’année, le nouveau bloc Ecoboost de 1,0 l pour 125 CV n’a que trois cylindres et pourtant il développe la même puissance qu’un modèle tra-ditionnel de 1,8 l. Une petite merveille synonyme de plaisir de conduire.

La sécuritéLa Focus est l’une des voitures les plus sûres del’industrie automobile et a remporté la note maxi-male de 5 étoiles aux crash-testsEuro-NCAP en matière de sécuri-té et une note exceptionnelledans les catégories protectiondes occupants adultes, sécuritédes enfants et protection despiétons. Elle dispose, entre autres,de la technologie Ford ActiveCity Stop et l’aide au maintiende la trajectoire.

Page 69: migros-magazin-32-2012-f-bl

| 69| MIGROSMAGAZINE | No 32, 6 AOÛT 2012 | VOITURE | FORD FOCUS ECOBOOST

ses performances – et chacune étaitcaractérisée par un bruit de tondeuse àgazon. Etrangement, la Ford Focus enest exempte. Aucune vibration, ni desons assourdissants, des accélérationssouples, un dynamisme certain, le mo-teur Ecoboost de la nouvelle Focus,couronné meilleur moteur de l’année2012, mérite amplement les honneurs.Cerise sur le gâteau, l’intérieur cosy de

ce break auxlignes appré-ciables offre place et rangementsmultiples à ses occupants. Le ta-bleau de bord, avec ses grandesbouches d’aération et ses orne-ments laqués, est un peu chargémais les commandes sont intuitiveset bien pensées. A essayer sansattendre!

ciables offre place et rangements

Aide à la conduiteParmi d’autres: une aide active austationnement pour se garer dansdes espaces très restreints automa-tiquement, une direction assistéeélectronique (EPAS) qui accompagneles mouvements du volant selonla situation, un régulateur de vitesseplus sûr et un détecteur de limitationde vitesse.

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Aide à la conduiteParmi d’autres: une aide active au stationnement pour se garer dans des espaces très restreints automa-tiquement, une direction assistée électronique (EPAS) qui accompagne les mouvements du volant selon la situation, un régulateur de vitesse plus sûr et un détecteur de limitation

120

ÉMISSION DE CO2 EN G/KM

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200

modèlete

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| 71| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | Jeux

REJOINS-NOUS AU CLUB LILIBIGGSDes surprises t’attendent, comme des jeux, des devinettes,

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Tobi a quatre massifs de fleurs. Les quatre fleurs de couleur différente doiventêtre une fois au moins dans chacun de ces massifs, mais aussi une fois en ran-gée verticale et une fois en rangée horizontale. Peux-tu aider Tobi en coloriantles fleurs correctement? Conseil: si tu n’as pas de crayons de couleur, tu peuxattribuer un numéro à chacune de tes fleurs.

LE SUDOKU FLEURS DE TOBI

Solution:

Nina: «Quelle est la

différence entre Tintin

et Milou?»

Hugo: «Milou n’a pas

de chien, lui!»

Nina: «Que dit un zéroquand il rencontre un huit?»Hugo: «Tu as mis uneceinture?»

2. Quel mois n’estpas un mois d’été?a) octobreb) juilletc) août

4. Qu’est-ce que la protection U.V.?a) une marque de surfeurb) une protection contre lesrayons du soleilc) une assuranceaccident

3. Quelles plantes poussenten juin dans notre pays?a) les fraisesb) les noixc) le chou

Solution:1.b,2.a,3.a,4.b

en juin dans notre pays?en juin dans notre pays?en juin dans notre pays?en juin dans notre pays?

1. Quelle horlogen’existe pas?a) l’horloge solaireb) l’horloge à re-monter le tempsc) l’horloge parlante

c) août

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c) le chou

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Comment participerTéléphone Composez le 0901 591 903(Fr. 1.–/appel depuis le réseau fixe).SMS Envoyez MMF3 suivi de la solution,vos nom et adresse au 920 (Fr. 1.–/SMS).Exemple: MMF3 AHESR Pierre LexempleRue Lexemple 22 8000 ModèlevilleCarte postale (courrier A)Migros Ma-gazine, paroli, case postale, 8074 ZurichInternetwww.migrosmagazine.ch/motsfleches

Délai de participation:dimanche 12.08.2012, à minuit

Le recours juridique est exclu. Aucunecorrespondance ne sera échangée ausujet du concours. Pas de versement enespèces. Concourir au moyen d’un logicielde participation automatisé est exclu.

PAROLI: VALEUR TOTALE DES GAINS 300 FRANCS

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Remplissez la grille avec les dix mots. La solutionse lit dans les cases orange, de bas en haut: elle nedonne pas forcément un mot.

Solution n° 31: SEIAA

Gagnants n° 30:Frédéric Bonvin, Sion;Marie-Claude Monnier, Neuchâtel;Josiane Repond, Cottens FR

LE COIN DES ENFANTS

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72 |jeux |No 32, 6 août 2012 | MigrosMagazine |

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MOTS FLÉCHÉS: VALEUR TOTALE DES GAINS 1250 FRANCS

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| 73| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | jeux

EN PLUS: à gagner, 5 bons d’achat Migros d’une valeurde 50 francs chacun pour la case bleue!Téléphone Composez le 0901 591 905 (Fr. 1.–/appel depuis le réseau fixe).SMS Envoyez MMF5 suivi de la solution, vos nom et adresse au 920(Fr. 1.–/SMS).Chances égales et sans frais supplémentaires par waphttp://m.vpch.ch/MMF12415 (gratuit depuis le réseau portable)

Délai de participation: dimanche 12.08.2012, à minuit

http://m.vpch.ch/MMF12415 (gratuit depuis le réseau portable)

dimanche 12.08.2012, à minuit

Chances égales et sans frais supplémentaires par waphttp://m.vpch.ch/MMF12415 (gratuit depuis le réseau portable)http://m.vpch.ch/MMF12415 (gratuit depuis le réseau portable)http://m.vpch.ch/MMF12415 (gratuit depuis le réseau portable)

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Comment participerTéléphone Composez le 0901 591 901 (Fr. 1.–/appel depuis le réseau fixe).SMS Envoyez MMF1 suivi de la solution, vos nom et adresse au 920 (Fr. 1.–/SMS).Exemple: MMF1 CHAT Pierre Lexemple Rue Lexemple 22 8000 ModèlevilleCarte postale (courrier A) Migros Magazine, mots fléchés, case postale, 8074 ZurichInternet www.migrosmagazine.ch/motsfleches

Délai de participation: dimanche 12.08.2012, à minuit

Le recours juridique est exclu. Aucune correspondance ne sera échangée au sujet du concours. Pasde versement en espèces. Concourir au moyen d’un logiciel de participation automatisé est exclu.

Gagnants n° 30: Béatrice Zufferey, Vissoie VS; Laurent Linder, Villars-sur-Glâne FR; Jan Imhof, Genève;Odette Roh, Genève; Georges Sierro, Euseigne VS

Gagnants «en plus» n° 30: Gabrielle Défago, Troistorrents VS; Fred Rohrer, Malleray BE;Martine Chapuis, Yverdon-les-Bains VD; Liliane Gavillet, Vevey VD; Valérie Décorvet, Savièse VS RÉSILIER

Solution n° 31:

Un an de bonnecuisine pourFr. 39.– seulement12 numéros de Cuisine de Saisonpour Fr. 39.– au lieu de 58.80*.Abonnez-vous surwww.saison.ch/fr/aboou au 0848 877 848.

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74 |JEUX | No 32, 6 AOÛT 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Réussiras-tu à trouver les dix différences?

Solution:

La sève sucrée et parfumée quicoule d’une entaille dans le troncd’un bouleau attire de nombreuxpapillons. Tu peux toi-mêmepréparer une mixture qui attire cesmagnifiques insectes: il te suffitde mélanger du sirop, de la bière,de la compote de pommes etun peu de rhum dans une assiette.Trempe ensuite une servietteen papier dans ce liquide et place-ladans un gobelet de yogourt vide.Pour que le gobelet ressembleà une fleur, il faut que tu découpesses parois latérales en plusieursmorceaux, que tu les aplatisseset que tu les fixes sur un bâtoncomme sur l’image ci-dessus.Tiré de Spiel, «Das Wissen schafft», de Hans Jürgen Press,Editions Ravensburger, prix: Fr. 22.90 (en allemand).

Attirerles papillons

L’EXPÉRIENCE

LE JEU

4 570 000 000Le soleil est apparu il y a plusde 4,5 milliards d’années.Les chercheurs estiment quesa durée de vie sera d’environ14 milliards d’années.

LE CHIFFRE

| No 32, 6 AOÛT 2012

découvre le monde avec…

Société vaudoisepour la protection des animauxComment vivent les animaux abandonnés? Pourquoi le sont-ils? Quedeviennent-ils? La Société vaudoise pour la protection des animaux (SVPA),à Lausanne (VD), t’invite à une visite du Refuge de Sainte-Catherineet de ses «coulisses». En option, promenade d’un chien pour les explorateursaccompagnés d’une personne majeure. Plus qu’une simple visite: possibilitéde découvrir de nombreux aspects de la protection et du respectde l’ensemble des animaux. Activité: les 5.09, 3.10, 7.11 et 5.12,de 13 h 45 à 16 h 45. En cas de nombreuses demandes, possibilité d’ajouterd’autres dates. Participants: 20 maximum, 3 minimum. Entrée: offerte parla SVPA; dons, même modestes, bienvenus. Inscriptions: surwww.animanca.ch/fr (mot-clé sur «tes aventures»: protection des animaux).

PASSEPORT D’EXPLORATEUR

Serviette en papier

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| 75| MigrosMagazine |No 32, 6 août 2012 | jeux

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Un quiz de

sur saison.chsur saison.ch

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4

Comment participerTéléphone Composez le 0901 591 904 (Fr. 1.–/appel depuis le réseau fixe).SMS Envoyez MMF4 suivi de la solution, vos nom et adresse au 920 (Fr. 1.–/SMS). Exemple: MMF4 234 Pierre Lexemple Rue Lexemple 22 8000 ModèlevilleCarte postale (courrierA) Migros Magazine, sudoku, case postale, 8074 ZurichInternet www.migrosmagazine.ch/motsfleches

Délai de participation: dimanche 12.08.2012, à minuit

Le recours juridique est exclu. Aucune correspondance ne sera échangéeau sujet du concours. Pas de versement en espèces. Concourir au moyend’un logiciel de participation automatisé est exclu.

SUDOKU: VALEUR TOTALE DES GAINS 500 FRANCS

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Remplissez les cases blanches avec les chiffres 1 à 9. Chaque chiffre ne peutapparaître qu’une seule fois dans chaque rangée, chaque colonne et chacun desneuf blocs 3×3. La solution s’affiche dans les cases orange, de gauche à droite.

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Remplissez les cases blanches avec les chiffres 1 à 9. Chaque chiffre ne peut apparaître qu’une seule fois dans chaque rangée, chaque colonne et chacun des neuf blocs 3×3. La solution s’affiche dans les cases orange, de gauche à droite.

Remplissez les cases blanches avec les chiffres 1 à 9. Chaque chiffre ne peut apparaître qu’une seule fois dans chaque rangée, chaque colonne et chacun des neuf blocs 3×3. La solution s’affiche dans les cases orange, de gauche à droite.

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Solution n° 31: 913Gagnants n° 30:Ruth Isler,Stäfa ZH;Maria Wäsch,Bad Zurzach AG;Ernst Zaugg,Fällanden ZH;Urban Küng,Hünenberg ZG;Noëlle Richoz,Bulle FR

iMpressuMMIGROSMagazineConstruirecase postale 1766,8031 ZurichHebdomadaire du capitalà but socialwww.migrosmagazine.ch

Tirage contrôlé:505 869 exemplaires(REMP 2011)Lecteurs: 598 000(REMP,MaCH Basic 2012-1)

Direction des publications:Monica Glisenti

Directeur desmédiasMigros:Lorenz Bruegger

Rédaction:[email protected]éléphone: 058 577 12 12Fax: 058 577 12 09

Rédacteur en chef:Steve Gaspoz

Rédacteur en chef adjoint:alain Kouo

DépartementMagazine:tania araman,Patricia Brambilla,Mélanie Haab, Pierre Léderrey,Viviane Menétrey, Laurent Nicolet,alain Portner

DépartementActualitésMigros:Daniel Sidler (responsable),PierreWuthrich (coordinateurpour la Suisse romande),Jean-Sébastien Clément, andreasDürrenberger, Béatrice Eigenmann,Christoph Petermann, anna Meister,MichaelWest

Département Shopping& Food:Jacqueline Jane Can (responsable),Heidi Bacchilega, Emilia Gamito,Dora Horvath, Sonja Leissing, FatimaNezirevic, Nicole ochsenbein, ClaudiaSchmidt, Jacqueline Vinzelberg,anetteWolffram

Mise en pages:Daniel Eggspühler (responsable),Marlyse Flückiger (direction artis-

tique),Werner Gämperli (adj.),Nicole Gut, Petra Hennek,Gabriela Masciadri, tatiana Vergara

Photolithographie: René Feller,Reto MainettiPrépresse:Peter Bleichenbacher, Marcel Gerber,Felicitas HeringService photo:olivier Paky (responsable),Lea truffer (resp. pour la Suisseromande), Susanne oberli

Correction:Paul-andré Loye

Nouveauxmédias: Sarah Ettlinger(responsable), Laurence Caille,Véronique Kipfer, Manuela Vonwiller

Secrétariat:Stefanie Zweifel (responsable),Imelda Catovic Simone, Nadja thoma

Communication& coordinationdesmédias:Eveline Schmid (responsable),Rea tschumi

Département des éditions:PatrickWehrli(chef du département)alexa Julier, Margrit von [email protected]éléphone: 058 577 13 70Fax: 058 577 13 71thomas Brügger,(responsable annonces), Carina Haid(responsable marketing),Patrick Rohner

(responsable Media Services),Nicole thalmann(responsable service interne).Annonces:[email protected]éléphone: 058 577 13 73Fax: 058 577 13 72Abonnements:[email protected] Frick (responsable),téléphone: 058 577 13 13Fax: 058 577 13 01

Editeur:Fédération des coopératives Migros

Imprimerie:Centre d’impression Edipresse,1030 Bussignytamedia Sa, Zurich

Page 76: migros-magazin-32-2012-f-bl

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Page 78: migros-magazin-32-2012-f-bl

LE MONDE DE... | MARIANNE DUBUIS |No 32, 6 AOÛT 2012 | MIGROSMAGAZINE |

78 |

D ’un geste aussi précis que léger,la pointe effilée des ciseaux sereferme sur le fin trait de crayon

et entame le papier. Sous la main ex-perte de Marianne Dubuis, décou-peuse d’art, ce ne sont que quelquesmillimètres qui disparaissent, lais-sant place à de minuscules fleurs, despersonnagesde la tailled’unemouche,desvachesquin’ontdemodesteque ladimension tant leurs expressions sontvivantes et variées.«De lapatience, jen’en ai que pour ça!» lance l’artisanedeChâteau-d’Œx.Parceque ledécou-page,«c’est comme unmandala».La référence à cet objet demédita-

tion n’a rien d’involontaire chez cellequi aime se ressourcer dans les forêtsduvoisinage et senourrir des énergiesdes pierres.Cesmoments alimentent lemonde

intérieur dans lequel elle puise soninspiration et lui permettent ensuitede dessiner et découper durant desheures. «J’ai toujours fait des dessinstrès minutieux. Le découpage étaitla suite logique. J’ai fait le premier àl’âge de 10 ans, pour l’anniversaire dema sœur.»Son art,Marianne Dubuis ne le ré-

serve pas qu’aux poyas. Elle l’utilisepour conter des histoires nées de sonimagination,des légendesde la régionou des parcours de vie lorsqu’on luicommande un tableau résumant uneexistence. Et elle le partage dans descours d’initiation comme ceux orga-nisés tous les jeudis d’été par l’Of-fice du tourisme de Château-d’Œx.Même si elle reconnaît volontiers quedanscemétier, il faut savoir jeter et re-commencer, en vraie passionnée, ellerassure: «Tout le monde arrive à fairequelque chose de joli!»D’ailleurs, recommencer,c’est aussi

sedonner lapossibilitéde fairemieux,la libertéd’inventer.Et la liberté, sym-boliséedans toutes sesœuvrespardesoiseaux, est aussi vitale à ses yeux quel’espièglerie du chat qui ronronnepresque toujours dans un coin du dé-coupage. Texte: Anne-Isabelle Aebli

Photos: Catherine Leutenegger

Lapoya commemandalaDécoupeuse d’art depuis trente-trois ans,Marianne Dubuis enseigne sa passionlors de cours d’initiation organisés par l’Office du tourisme de Château-d’Œx.

CARTED’IDENTITÉ

Nom complet:Marianne DubuisDate de naissance:14 mars 1959 à Zurich.Etat civil:mariée,deux enfants adultes.Elle aime: le chantdu vent dans lessapins, la pluie aprèsles grosses chaleurs,une cascade, lescloches des vacheset la paix de la nuitqui tombe.Elle n’aime pas:l’irrespect soustoutes ses formes.Pour soi, pour lesautres, pour uneculture, un pays,la terre.Un rêve: arriver àencore mieuxtoucher les gens àtravers ses tableaux.Leur rendre la vieplus légère.

Un symboleCes chats symbolisentmon couple. D’abordparce quemonmari esttrès grand! Et parce quedans cette statue,le chat intérieur est librede faire ce qu’il veut,il n’est pas enfermé,mais il est protégé.C’est ce que fait monmari. Il m’accompagneet me donne des ailes.

Un tableauIci, tous les animauxsont différents. Ils ontchacun leur expressionpropre. Les feuilles et lesfleurs, je les coupe partrois dans des papiersque je peins d’abord à lagouache ou à l’acryliqueet que je colle ensuiteavec des brucelles.

«De lapatience,je n’en ai quepour ça!»

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| MIGROSMAGAZINE |No 32, 6 AOÛT 2012 | LEMONDE DE…MARIANNE DUBUIS | 79

Des fleursJ’ai fait un apprentis-sage de fleuriste. A16 ans, je ne décou-pais pas encore et j’aieu le coup de foudrepour ce métier, luiaussi créatif. Je tra-vaille un jour par se-maine chez une amiefleuriste par plaisir etpour l’aider. Cela mepermet de voir dumonde et de bouger.

Le gesteDécouper, c’est méditatif. Je suis seule avecmon travail. Avant, je le faisais huit à dixheures par jour et j’ai eu de gros problèmesde nuque. Aujourd’hui, je prends le tempset c’est vraiment une passion.

Des pierresJ’en ramasse chaque fois que je vaisquelque part. Elles symbolisent l’énergiedu lieu et racontent quelque chose. Ellesont une forme de cœur, d’île. Je ne lescherche pas, elles me sautent dessus.

Des pierres

Page 80: migros-magazin-32-2012-f-bl

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Toute personne ayant 18 ans révolus est autorisée à participer au tirage au sort. La participation n’est liée à aucune obligation d’achat. Les collaborateurs de Migros et del’agence de publicité Wirz SA ne sont pas autorisés à participer au concours. La date limite de participation est le 20 août 2012. Les gagnants seront informés par courrier postaljusqu’à fin septembre. Tout recours juridique est exclu. Aucune correspondance ne sera échangée au sujet du concours. Le prix ne peut être ni échangé ni converti en espèces.

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