Ré à la Hune n° 126

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126édit ion du

8 septembre 2015

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à notRE nEwSlEttER

Si l’avant-saison et la haute saison touristiques ont été de bonne tenue, avec une météo favorable et une fréquentation soutenue des Britanniques et des Belges, septembre et octobre permettront, si le beau temps se

prolonge, de transformer l’essai, l’arrière-saison jouant le juge-arbitre. Tous les acteurs du territoire s’accordent toutefois à dire qu’une réflexion de fond s’impose à tous, élus et professionnels, afin d’accroître l’attractivité de l’île de Ré, notamment sur les ailes de saison mais aussi lors des soirées estivales.La rentrée des classes s’est globalement bien passée, sans fermeture de classe - la hantise des élus - mais un tassement des effectifs scolaires (- 32 élèves dans le sud, + 14 dans le nord) et collégiens (- 28 élèves) de l’île de Ré

rappelle, s’il le fallait encore, que le maintien de la vie permanente doit constituer LA priorité des politiques menées par les collectivités rétaises au service des habitants.En septembre, après l’agitation estivale, l’île de Ré retrouve un charme plus authentique et les Rétais prennent un réel plaisir à renouer avec les fondamentaux de la vie insulaire. La fête des associations ouvre le bal des festivités, suivie du tournoi de tennis handisport, des journées du patrimoine, de la fête du coquillage... De quoi aborder l’automne prochain avec joie et sérénité. La vie associative s’organise pour une nouvelle année scolaire, petits et grands s’inscrivant aux multiples activités proposées par plus de 200 associations actives.Cette édition de Ré à la Hune accorde justement une grande place à la vie associative, ciment de la vie sociale permanente, tout comme notre Site realahune.fr, qui a connu des records d’audience cet été avec plus de 55 000 visiteurs uniques au mois d’août, référence et présente plus de 220 associations et leur offre la possibilité de publier toute l’année leurs actualités (contact : [email protected]). Nathalie Vauchez

Renouer avec les fondamentaux de la vie rétaise

R é à l a h u n e | é d i t i o n d u 8 s e p t e m b R e 2 0 1 5 | n ° 1 2 62 suivez l ’actual i té de l ’ î le de Ré sur realahune.fr

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ré à la Hune est une publication gratuite éditée par Rhéa Marketing : 19 avenue de Philippsburg / BP 43 17410 Saint-Martin-de-Ré / Tél. 05 46 00 09 19 / Fax : 05 46 00 09 55 / Mail : [email protected] journal vous est offert par les Annonceurs, nous les en remercions vivement. Il est mis à votre disposition par tous les commerçants et lieux qui le souhaitent, merci à eux.Directr ice de la Publ icat ion : Nathal ie Vauchez / Maquette : RC2C / Mise en page : Valér ie Le Louer / R é d a c t i o n , p h o t o s : M i c h e l L a r d e u x , N a t h a l i e Va u c h e z , M a r i e -V i c t o i r e Ve r g n a u d , R o s a l i e Fe r r a r a , J a c q u e s B u i s s o n , D R , s a u f m e n t i o n e x p r e s s e / D e s s i n : P h i l i p p e B a r u s s a u d / Régie publicitaire : Rhéa Marketing : 05 46 00 09 19 – Valérie Darcy : 06 14 29 47 21 – Nathalie Vauchez : 06 71 42 87 88 – [email protected] / Imprimeur : Imprimerie Rochelaise / N° ISSN : 2257-0721 - PEFC 10-31-1240

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une saison intéressante, une destination « île de Ré » à travailler

B i l a n t o u r i s t i q u e

les premières tendances de la saison touristique estivale en Charente-Maritime et sur l’île de Ré montrent une légère hausse par rapport à 2014, et une présence très forte des clientèles étrangères.

Si de nombreux professionnels interrogés sont satisfaits de leur activité, selon les tendances

observées et à ce stade, l’année 2015 ne devrait pas être qualifiée de « sai-son record ». Le mois de septembre, troisième mois le plus important en nombre de nuitées, propice aux réser-vations de dernières minutes, devrait être le « juge-arbitre » de la saison 2015 », estime Charente-Maritime Tourisme.

un démarrage de haute saison très précoce en juillet

Après un début de saison réussi, l’ac-tivité des mois de juillet et août s’an-nonçait prometteuse malgré l’absence du pont du 15 août, contrairement à l’année passée. Les premières tendan-ces confirment l’optimisme affiché par les professionnels en avant saison. En juillet, nombreux sont ceux qui enre-gistrent des résultats très satisfaisants, grâce notamment à un démarrage de la saison précoce, sans doute lié à la météo très favorable. Même constat positif sur la période 14 juillet – 15 août, 80% des professionnels inter-rogés estimant leur activité en hausse ou comparable à 2014. Même si, selon les secteurs d’activité ou d’un établis-sement à l’autre, les perceptions de fréquentation varient quelque peu, et qu’ « août a été un mois étrange » selon Tony Fricot, la saison est globale-ment jugée « satisfaisante ». Le restau-rant l’Aile de Ré, situé au Morinand, qui a bien travaillé souligne que les nombreux ponts du mois de mai ont cette année nui au mois de juin.Nombreux sont les professionnels à souligner la forte fréquentation étran-gère, y compris en juillet/août, notam-ment les Britanniques, Hollandais et Belges. Ainsi Jean-Claude Arnaud, patron du Bistrot Marin a-t-il constaté que sa terrasse était parfois remplie à hauteur de 60 % voire plus par des Britanniques et des Belges. Même son de cloche du côté de la grande distri-bution et de l’hôtellerie de plein air, avec une présence étrangère dense au printemps, en plein été et en arrière-saison. A noter aussi que depuis le début de l’année, 80 % des Français sont partis en vacances, majoritai-rement en France, contre 75 % l’an dernier à la même période.

une activité soutenue des hébergements

En hôtellerie de plein air, l’activité sur l’île de Ré a été soutenue. Certains professionnels ont affiché complet jusqu’à fin août dès l’avant saison.

En hôtellerie, l’activité est globalement stable sur la haute saison par rapport à l’année passée. Beaucoup maintien-nent des taux d’occupation avoisinant 90% sur cette période. Le secteur des meublés maintient de bons résultats malgré la concurrence de plus en plus accrue de sites Internet proposant de la location entre particuliers. A titre d’exemple, au niveau national, la clientèle Airbnb a progressé de 25% au 1er semestre 2015 par rapport à l’ensemble de l’année 2014. Le bilan reste, pour autant, positif pour Gîtes de France en Charente-Maritime. Sur la période juillet-août, les résultats sont équivalents à 2014 avec un taux d’oc-cupation atteignant 95% en août. Le nombre de demandes dans les Office de Tourisme est globalement estimé en hausse par rapport à l’année dernière. L’émission de M6 consacrée à l’île de Ré, si elle a été quasi una-nimement fortement critiquée par les Rétais, a eu un effet dopant dès le lendemain de sa diffusion sur les demandes d’informations auprès des offices et professionnels.

une analyse des typologies des touristes rétais à mener

Stéphane Villain, président de Charente-Maritime Tourisme s’est réjoui sur les réseaux sociaux de La progression du nombre de passages du pont de l’île de Ré. Les chiffres que nous a fournis le Département (voir tableau ci-dessous) montrent en effet une progression située entre + 2 et + 3 % des passages de début mai à fin août 2015. Toutefois, il faudrait qu’une étude fine soit menée, pour-quoi pas sur la base de l’enregistre-ment des plaques d’immatriculation et de l’analyse des passages allers et retours, comme le souligne Séverine Desmereau, patronne d’Intermarché sur l’île de Ré, afin de distinguer les passages à la journée ou pour de très courtes périodes et les allers retours rapprochés, des passages liés à de vraies vacances sur l’île de Ré, les comportements de consommation (et les nuisances) n’étant pas les mêmes entre une clientèle de passage et celle des vacanciers.Autre sujet de satisfaction pour le « Monsieur Tourisme » de Charente-Maritime, le Vélodyssée qui relie Roscoff à Hendaye en passant tout près du Pont de Ré a enregistré une hausse de fréquentation des cycles de + 5 à + 8 %, ce qui l’amènera à proposer dès 2016 des détours par la campagne et les sites remarquables, avec raccordement à la Vélodyssée.

L’île de Ré pourrait ainsi, si les élus et professionnels rétais le souhaitent, constituer une boucle de visite reliée. « Il s’agit d’une tendance majeure, les gens optent de plus en plus pour des vacances à vélo avec leurs enfants » estime Stéphane Villain.Pour lui si « les réseaux de type Airbnb ont fait du tort aux professionnels de l’hébergement, le réajustement des tarifs intégrant la taxe de séjour va sensiblement amoindrir cet épiphéno-mène, qui pourrait toutefois devenir une nouvelle forme de vacances dans quelques années ».Il semblerait que la durée moyenne de séjour de 6,5 jours soit restée stable cette année. Stéphane Villain souli-gne que la Charente-Maritime est la destination touristique N° 1 en juillet/août et domine les autres destinations en plein été mais constate que notre département a perdu des parts de marché sur l’avant et l’après-saison. Pour lui, ceci est lié au mode de fonc-tionnement des acteurs du territoire qui depuis des années se focalisent sur juillet/août.Côté Leclerc et Intermarché, l’avant-saison et la haute saison permettent globalement d’enregistrer en moyenne une très légère hausse, ce qui compte tenu du développement de nouvelles enseignes depuis deux ans et dans un contexte économique de déflation les satisfait plutôt. Michel Desfontaines (Leclerc) et Séverine Desmereau (Intermarché) s’accordent pour dire qu’ils ne peuvent pas s’attendre désor-mais à beaucoup plus. Les produits régionaux ont particulièrement bien répondu aux attentes des clientèles touristiques. Les Français sont aussi de plus en plus sensibles à un achat français.

une réflexion de fond à mener par tous

En termes de comportements, les pro-fessionnels soulignent bien sûr le souhait de rapidité, de praticité des vacanciers, qui réservent de plus en plus en dernière minute, ne veulent pas attendre quand ils font leurs courses, veulent pouvoir accéder facilement partout. Tout ceci expliquant le succès des Drive d’Inter-marché, des restaurants en périphérie du port aussi : Jean-Claude Arnaud, dont le Bistrot Marin ne désemplit pas sur le port, souligne aussi le succès cet été des nouveaux restaurants situés hors du Port de Saint-Martin, que ce soit L’Insolite, O Parloir ou encore La Cible, plus faciles d’accès.Le manque d’animations et les par-kings payants pénalisent fortement les soirées dans certaines communes, Tony Fricot parlant même de « désamour » le soir pour Saint-Martin, mais cela est également souligné au plan de l’île de Ré, même si une commune comme La Flotte tire son épingle du jeu avec un pro-gramme d’animations dense tout l’été.Tous les professionnels interrogés s’ac-cordent à dire qu’il convient de se met-tre autour d’une table pour mener une réflexion de fond en termes d’animations, en journée et en soirée, de stationnements, de positionnement de la « destination île de Ré », afin d’allonger le séjour moyen des vacanciers mais aussi de dynamiser la pleine saison et les ailes de saison. Et d’anticiper les évolutions futures.Les enjeux touristiques sur l’île de Ré sont phénoménaux et compliqués à gérer pour tous compte tenu des for-tes fluctuations : ainsi dans les gran-des surfaces le chiffre d’affaires d’un mois complet en hiver correspond à celui enregistré en une seule journée de plein été !

Passages au Pont de l’île de Ré % mois 2014 2015

2014/2015

Janvier 193 016 191 116 -0,98% Février 190 720 193 292 1,35% Mars 236 198 234 269 -0,82% Avril 291 596 303 594 4,11% Mai 304 877 311 566 2,19% Juin 303 751 311 411 2,52% Juillet 361 044 369 637 2,38% Août 365 636 375 744 2,76% total 2 246 838 2 290 629 1,95%

Nathalie Vauchez

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l e s e s s e n t i e l l e s - r e n t r é e

OuVERTuRE Du BaSSIN ExTÉRIEuR à PaRTIR Du 5 JuILLET

Depuis

15 ans

l’îlE dE Ré, un PARAdIS PouR lES EnfAntS

Comment faire garder ses enfants ?

Soutien scolaire : à qui s’adresser ?

En cette période de rentrée, nombreuses sont les familles qui doivent s’organiser et jongler entre les contraintes professionnelles et les inscriptions et démarches de toutes sortes à entreprendre pour les bambins. l’île de Ré offre un panel d’activités et de loisirs particulièrement riche pour les enfants, une fois solutionnées les questions de garde des petits.

Côté devoirs et soutien sco-laire les associations de parents d’élèves sauront vous

conseiller mieux que quiconque sur ce qui est proposé dans le privé dans l’île et à La Rochelle. Précisons que les cours à domicile bénéficient d’un crédit d’impôt, lorsqu’ils sont déclarés. Côté associations, Ré Clé Ré travaille en partenariat avec le

collège Les Salières de Saint-Martin et assure l’aide aux devoirs pour les enfants des écoles du Bois Plage et de Rivedoux Plage. Les accueils de loisirs proposent aussi pour cer-tains des aides aux devoirs après la classe. Le soutien scolaire donne de bons résultats, la qualité et la compétence des intervenants sont essentielles.

Collectifs ou individuels, les types de garde sont multiples. Passé l’âge des crèches ou des assis-

tantes maternelles, les « Accueils de Loisirs » présents partout sur l’île de Ré prennent le relais. Tous les centres de loisirs, que ce soit en périscolaire ou durant les vacances, proposent des activités variées et structurées, ainsi que des sorties pour profiter de l’environne-ment rétais dès qu’ils le peuvent.

Si vous optez pour l’individuel, l’em-ploi d’une personne à domicile donne droit à une réduction d’impôt, mais il existe également des sociétés spéciali-sées agréées en garde d’enfant dès la naissance. C’est le cas d’Axeo Services île de Ré, qui possédant l’agrément DIRECCTE est habilitée à garder les enfants de tous âges et vous permet de bénéficier d’aides de la CAF et de déductions fiscales.

Enfants : quelles activités pratiquer ?la rentrée est l’occasion de démarrer de nouvelles activités sportives ou culturelles, particulièrement variées sur l’île de Ré, grâce au dynamisme des associations et prestataires spécialisés.

Votre enfant est sportif ?

Dans ce cas il choisira entre sport col-lectif ou individuel, pratiqué en exté-rieur ou en intérieur. Les possibilités sont nombreuses, quasiment toutes les disciplines sportives sont représen-tées sur l’île de Ré. Si votre enfant aime les sports collectifs, en fonction de ses goûts et aptitudes il choisira entre le basket avec les clubs de l’entente terri-toriale (Ars, Saint-Martin, Sainte-Marie, Saint-Clément), le hand ball au Ré hand ball Club du Bois-Plage, le rugby au Sporting club rétais à La Flotte, le football (Saint-Martin, Le Bois, Sainte-Marie) le frisbee avec le Ré Flying Oysters à La Flotte. Si les sports indi-viduels le tentent, dans de nombreux villages il peut pratiquer l’équitation, du poney club au club hippique, la natation à la piscine AquaRé, le tennis, le badminton à Saint-Martin, la gym sportive à la Flotte et à Ars, la gym douce, judo et karaté au dojo de La Flotte à Bel Air, le Viet Vo Dao, la voile dans plusieurs cercles nautiques, la plongée à Saint-Martin...

il est plutôt artiste ?

Nombre de disciplines artistiques et manuelles sont enseignées sur l’île : la danse moderne ou classique avec plusieurs associations et professeurs, la pratique instrumentale ou le chant à l’école de musique au Bois-Plage, des cours de théâtre, des ateliers peintures... offrent une belle palette de possibilités. A noter le dynamisme du milieu asso-ciatif, tel Le Foyer de Jeunes et d’Edu-cation Populaire du Bois-Plage…Le musée Ernest Cognacq et les mai-sons de Pays proposent des activités dédiées aux enfants. Les bibliothèques de village et la médiathèque à Sainte-Marie sont très fréquentées et ont de larges offres de livres, de documents et d’animations tout au long de l’an-née. N’oublions pas les spectacles et le cinéma joués à la Maline, et pour les jeunes fans de musiques actuelles la Sirène à La Pallice, juste de l’autre côté du Pont. Pour les adolescents des foyers de jeunes proposent des activi-tés adaptées et intéressantes.

comment se renseigner ? pour faire votre choix, vous trouverez tous les contacts sur le site realahune.fr (cf liste des associations), ou en mairie. la fête des associations, organisée par la Communauté de Communes de l’île de Ré à la Couarde sur mer, dimanche 13 septembre 2015, constitue un moment privilégié pour découvrir les activités pratiquées sur Ré, et rencontrer les associations et clubs sportifs présents.

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aire.

Une rentrée sous le signe de la stabilitéIl n’y a pas eu d’ouverture ni de fermeture de classe sur l’île de Ré, cette année, malgré une légère baisse des effectifs. Mardi matin, les 51 enseignants de maternelle et d’élémentaire attendaient de pied ferme les 1167 élèves inscrits dans les écoles publiques de l’île. Une légère chute par rapport à l’année dernière (18 écoliers de moins).

Des espoirs déçus, des déceptions évitées

L’école de Saint-Clément des Baleines, faisant partie du RPI (regroupement pédagogique intercommunal) avec Les Portes, espérait une ouverture de classe. A deux élèves près, il n’y aura pas de classe supplémentaire. En revanche, L’école maternelle du Bois-Plage évite, de justesse une fermeture.

D’une manière générale, les écoles des communes de l’ancien canton nord voient, sensiblement, gonfler leurs effectifs. Pour ce qui concerne le sud, Saint-Martin de Ré subit une légère érosion (moins 4), Sainte-Marie de Ré perd 8 élèves, plus inquiétantes sont les baisses d’élèves pour Rivedoux (moins 13) et Le Bois-Plage (moins 15).

Une rentrée apparemment sans problème

Le RPI Ars-Loix fonctionnera prati-quement comme l’an dernier : toute petite section et petite section à Loix qui accueille 25 élèves et en attend 3 de plus pour la fin de l’année civile.

A Ars, les 4 classes seront organisées comme suit : moyenne et grande sections (22), grande section-CP (22), CE1-CE2 (27), CM1-CM2 (22), soit un effectif global de 93, 118 en intégrant Loix. Maryline Girard et Aurélien Lamy, sont les nouveaux arrivants dans cette école.

Comme nous venons de le signaler, la maternelle du Bois-Plage a évité une fermeture. Noëlle Andriot, la Directrice, et ses deux nouvelles collè-gues gèreront 58 élèves (au lieu de 70 l’année dernière). Pour l’élémentaire, les 4 classes se partageront 92 élèves (contre 95 à la rentrée 2014).

A La Couarde, la 4ème classe a été fermée depuis la rentrée 2012. Les 3 enseignants se répartiront l’effec-tif de la manière suivante : petite, moyenne et grande sections (28), CP-CE1 (21) et CE2-CM1-CM2 (28) soit un total de 77 élèves. Marc Irazu, directeur, disposera de peu de temps (celui des TAP – temps d’activité périscolaire) pour assurer les tâches administratives.

La Flotte : une rentrée très républicaine

A La Flotte, mardi matin, avant de regagner leurs « pupitres », les élèves ont assisté, en compagnie de leurs parents, à une cérémonie tout à fait originale dans la cour de récréation où était dressé un panneau réalisé par les classes, l’année dernière. Ce panneau était recouvert du drapeau tricolore. Une fois celui-ci retiré, on pouvait lire sur l’œuvre décorée :

« Liberté, Egalité, Fraternité ». Philippe Couderc, le Directeur, s’est félicité de la présence de Léon Gendre (Maire de La Flotte) et de celle d’Isabelle Tivenin (Adjointe, respon-sable des affaires scolaires). L’école laïque reste un des piliers des valeurs de la République.

Pour cette rentrée, tous les tracés de la cour ont été refaits. Toutes les classes sont équipées de rétropro-jecteurs rétroactifs. Les 6 classes se répartissent de la manière suivante : CP : 24, CE1 : 23, CE2 : 25, CE2-CM1 : 23, CM1-CM2 : 23, CM2 : 25, soit un total de 143. Notons que l’équipe pédagogique accueille 2 nouvelles collègues : Marie- Raphaëlle Vallet et Isabelle Martineau.

Du côté de la maternelle, les 4 ensei-gnantes se partageront 68 élèves : 22 en petite section, 22 en petite et moyenne sections et 24 en grande

section. La classe de grande section sera assurée par Fabienne De Beuvron et Katia Ranson (nouvelles toutes les deux) qui travailleront à mi-temps.

Cette année, les horaires ont changé : 9h-12h15 et 13h45-15h45. 9h-12h pour le mercredi.

A l’école privée Sainte-Catherine de La Flotte, la directrice Isabelle Gilard annonce des effectifs stables de 50 élèves et l’équipe enseignante est inchangée. L’école mène pour la 3ème année son projet « valorisons les talents ». Après les thèmes des jar-dins puis de la photo, ce projet sera décliné cette année autour de la poé-sie et sera clôturé en fin d’année sco-laire par une journée particulière.

La légère hausse enregistrée à la ren-trée 2014, se confirme cette année avec 5 élèves de plus pour le RPI Les Portes - Saint-Clément des Baleines. Pas de changement au niveau de la répartition des classes. L’école de Saint-Clément des Baleines reste une classe unique avec un cours à 3 niveaux : CE2-CM1-CM2 accueillant 29 élèves, placés sous la responsabi-lité de Joan Courtemanche-Lagord qui prend ses nouvelles fonctions. Aux Portes, un cours à 3 niveaux : petite, moyenne et grande sections regroupant 25 élèves, Sylvie Gatabin, la Directrice, garde le CP-CE1 avec 21 élèves.

A Rivedoux-Plage, les choses s’an-noncent plutôt compliquées pour la prochaine rentrée, puisque 29 élè-ves quitteront l’école pour rejoindre le collège. 13 élèves de moins par rapport à la rentrée dernière. L’école compte toujours 7 classes avec un effectif total montant à 156 (48 en maternelle, et 108 en élémentaire).

R e n t R é e d e s c l a s s e s

Christelle Houin, directrice de l’école maternelle de Loix, accueille les nouveaux petits élèves.


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La répartition est la suivante : petite- moyenne sections : 24, moyenne-grande sections : 24, CP : 24, CE1 : 21, CE2-CM1 : 22, CM1-CM2 : 18, CM2 : 23.

La classe de CM1-CM2 sera dirigée par Diane Tornaghi et Sally Bignet, deux jeunes professeures des écoles qui travailleront à mi-temps. Olivier Friloux, le directeur, reste confiant et espère conserver cette même structure pour l’année prochaine, malgré des indicateurs à la baisse.

a Sainte-marie de ré, une 7ème classe avait été ouverte l’année dernière en élémentaire, avec 167 élèves inscrits. A la rentrée 2015, on en recense 163, un léger fléchissement qui ne

semble pas présager d’une éven-tuelle fermeture l’an prochain. Cette « belle école bien entretenue », comme nous le confie Dominique Laud, la Directrice, en place depuis 12 ans, compte essentiellement des classes à un seul niveau : CP, 2 CE1, CE2, CE2-CM1 (seule exception), CM1, CM2.

Les 4 classes de l’école maternelle accueillent 92 élèves répartis en petite section, petite et moyenne sections, moyenne et grande sec-tions et grande section.

Pas de transformations matérielles cette année dans l’école élémen-taire de Saint-martin de ré. Jessica Lathus, la Directrice avoue avoir été

« très gâtée » l’année dernière en obtenant un tableau numérique pour chacune des 4 classes ainsi qu’un lot de 18 ordinateurs porta-bles. Avec 80 élèves inscrits (répartis de la façon suivante : CP-CE1 : 23, CE2 : 19, CM1 : 18 et CM2 : 20), l’école ne craint pas le risque d’une fermeture.

L’école maternelle compte 2 clas-ses : petite et moyenne sections : 17, grande section : 21, soit un total de 38 (l’équivalent de celui de 2014 à 1 élève près).

Pour finir, le collège « Les Salières » à Saint- Martin de Ré, enregistre une baisse de fréquentation scolaire. 550 inscrits l’année dernière, 522

à la rentrée 2015, soit une chute de 28 élèves.

De ce fait, l’établissement, dirigé par Eliane Longeville qui effectue sa 6ème rentrée, a perdu la classe qui avait été créée en 2014. Le col-lège ne compte plus que 21 classes, cependant le nombre de professeurs est en augmentation (42 au lieu de 40). La Principale reste entourée de son adjoint Jean- Yves Sanchez-Opériol qui a pris ses fonctions à la rentrée dernière. Sylvie Camps sera la nouvelle gestionnaire du collège.

Jacques Buisson

opération « Réussis ta rentrée »

En septembre, la Région Poitou-Charentes organise sur l’ensem-ble du territoire une série de

rencontres avec les jeunes autour de la thématique «Réussis ta rentrée» en partenariat avec le Rectorat, le réseau des Centres d’Information et d’Orien-tation (CIO) et les Missions Locales.Les forums « Réussis ta rentrée » pro-posent des solutions concrètes pour

les jeunes de 16 à 25 ans : places vacantes dans les établissements sco-laires, contrats en alternance, missions en service civique… Ces rendez-vous s’inscrivent dans les actions du Service Public Régional de l’Orientation (SPRO) et contribuent à prévenir et combat-tre les interruptions de parcours de formation.

NV

f o r m a t i o n e t e m p l o i

plus d’informations sur le site :https://jeunes.poitou-charentes.fr/Réunions d’information :• Mardi 8 septembre de 14h à 17h,

à La Rochelle (17) - Chambre de Commerce et d’Industrie

• Lundi 21 septembre de 13h30 à 16h30, Rochefort (17) – Palais des Congrès

les effectifs scolaires de la rentrée 2015, comparés à ceux de 2014 nombre rPi rPi

La total Le La

Sainte- Saint- total d’élèves année Les Portes - ars Couarde nord Bois flotte

rivedoux marie martin sud

total

à la rentrée Saint-Clément - Loix île de ré

Maternelle 2015 25 59 28 112 58 68 48 92 38 304 416

2014 24 52 30 106 70 60 54 96 39 319 425

Elémentaire 2015 57 59 49 165 92 143 108 163 80 586 751

2014 53 61 43 157 95 143 115 167 83 603 760

totAl 2015 82 118 77 277 150 211 156 255 118 890 1167

2014 77 113 73 263 165 203 169 263 122 922 1185

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a c t u a l i t é

une voix différente, des débats animésa G d e s a m i s d e l ’ î l e d e r é

C’est « a cappella » que s’est déroulée l’assemblée générale dans la salle municipale des Portes en Ré, devant environ 150 personnes.

Il y avait de l’adversité dans l’air avec une sonorisation défaillante qui obligeait le président Bordier et les

intervenants à porter la voix. Traduction de la ligne politique et de l’activité de l’association des Amis de l’île de Ré, les rapports moraux et financiers furent votés à une grande majorité, avec cinq abstentions pour le rapport moral et six abstentions pour le rapport financier. Le prési-dent, Bernard Bordier, évoqua dans son rapport moral trois grands sujets : le recours contre le SCOT, l’étude de la capacité d’accueil et de dévelop-pement de l’île de Ré en cours avec l’université de Nantes, la situation du PPRL. « Des dossiers qui demandent beaucoup d’investissement humain de la part du bureau et des adminis-trateurs, sans oublier l’investissement financier ».On sentait alors l’assistance pressée d’in-tervenir et de s’exprimer sur ces sujets qui ont fait l’actualité d’un été tendu.

L’annulation du schéma de cohérence territoriale

au cœur des débats Le 9 juillet, la décision d’annulation du SCOT était rendue par le juge du tribunal administratif de Poitiers, suite à la requête portée par les AIR, des associations et des requérants à titre personnel.En contradiction totale avec l’avis du rapporteur public lors de l’audience du 25 juin. « Surprenante peut-être, mais indiscutable » selon l’analyse qui est faite des attendus du jugement par l’AIR. Pour l’association les motivations de cette décision portent sur « le non-respect de la loi par la Communauté de Communes » et le président Bordier évoque autant la forme que le fond. « L’enquête public n’aurait pas suffi-samment tenu compte de l’avis des citoyens, elle a donc été faussée » Il évoque aussi « une modification du SCOT après l’enquête publique. Mais alors il aurait fallu déclencher une

nouvelle enquête publique. La CDC a modifié unilatéralement le SCOT en supprimant des prescriptions et en les remplaçant par des préconisations. Ce n’était pas conforme à la loi. Est-ce que ça ne suffisait pas à faire annuler un document devenu illégal ? »Le ton était donné. Les interventions de Patrick Salez et de Léon Gendre apportèrent à l’assistance un éclairage visant à mieux faire comprendre à cha-cun les déclarations consécutives à des analyses divergentes du jugement rendu. Le fameux équilibre 80/20 fut l’objet d’un débat qui permit à Pierre Bot de redire son attachement à par-ler en surface résiduelle constructible, plutôt que de pourcentage, davantage interprétable.

et maintenant que va-t-il se passer ?

Les élus peuvent choisir entre autres solutions d’élaborer un nouveau SCOT conforme au Grenelle 2 plus prescrip-tif, de s’orienter vers un plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi), ou encore de laisser chaque commune transformer son POS en PLU.Au cours de ce premier débat, le prési-dent Bordier a regretté « la difficulté, voire l’impossibilité, de dialoguer avec la CdC, malgré plusieurs tentatives de ma part ». Il dénonce aussi le caractère diffamatoire de déclarations faites à chaud et rapportées dans les médias qui traiteraient de « poignée de pro-céduriers mettant en danger le futur du territoire » et laisseraient croire à « des interventions de forces occultes parisiennes. Le droit a été respecté tout simplement ! » Pour Léon Gendre, « ce jugement était prévisible car les élus se sont écartés un peu plus à chaque réunion du por-ter à connaissance de l’Etat qui définit les orientations ». Il invita d’ailleurs en le montrant, les personnes intéressées à se procurer ce document qu’il quali-fie de très important pour se faire leur opinion. « Ceci explique pourquoi le

maire et le délé-gué commu-nautaire de La Flotte ont voté contre le SCOT le 25 octobre 2012 ».

L’étude de la capacité

d’accueil et de dévelop-pement de l’île de ré

Lancée et finan-cée par les AIR, cette étude est en cours et répond à la nécessité d’avoir des don-nées fiables pour élaborer un projet de territoire qui prenne en compte la pression humaine, « à la fois porteuse de dynamisme local et de ruptures des équilibres économiques sociaux et environnementaux. Dans le SCOT qui vient d’être annulé, la capacité d’accueil et de développement n’a pas été traitée en profondeur, se bornant à des évaluations chiffrées sur la capa-cité d’hébergement, la consommation d’eau potable, le traitement des eaux usées, la production de déchets, etc. L’étude est prolongée d’un an par nouvelle convention avec le CNRS de l’université de Nantes car il a été dif-ficile d’obtenir la communication de certains dossiers administratifs finan-cés sur fonds publics ». La CADA a été saisie de ces difficultés qui freinent le déroulement de l’étude.

La situation du PPrL

Un projet de règlement reprenant les problématiques de submersion avec les cartes d’aléas pour le plan de pré-vention des risques naturels (PPRN) a été diffusé par les services de l’Etat aux maires. Des rencontres avec les maires ont été mises en place en début d’été avec pour objectif la mise en place des zones à risques pour mai 2016 et

l’approbation du PPRN prévue pour l’été 2016. Les PLU devront être lancés avant le 27 mars 2017.Au cours des échanges, parfois animés et surtout contrariés par la défaillance de la sonorisation, plusieurs voix se sont élevées pour souhaiter un rap-prochement, voire un dialogue avec les élus. Bernard Bordier a répondu que les AIR l’ont proposé à maintes reprises, sans réponse à ce jour, invitant aussi les participants à ne pas sombrer dans la psychose alarmiste. « Il existe encore des lois et des dispositions réglemen-taires qui protègent l’île de Ré ». La Préfecture peut peser sur les dispo-sitions d’un PLUi, pas sur celles d’un SCOT. Des choix seront faits par les élus lors du prochain conseil com-munautaire du 24 septembre, qui détermineront à terme le destin de ce territoire et de sa population per-manente.

Michel Lardeux

les calculs élémentaires de totoH u m o u r

C’est la rentrée des classes. toto planche déjà sur un problème proposé par son maître d’école.

Etant donné que 15 000 véhicules franchissent chaque jour le pont de l’île de Ré et posant le postulat

que 50 % de ce trafic journalier sortira de l’île dans une fourchette horaire de 18 h à 21 h, après les bains de mer, sachant que la longueur du pont Ré-Continent est de 2900 m, que la vitesse des véhicules sortant de l’île est de 30 km/h, que la longueur moyenne d’une voiture citadine est d’environ 3,5 m de longueur et que l’espacement de véhicules circulant en file sur une voie de circulation est en moyenne de 1 m, je vous demande de calculer la longueur de la file d’attente qui paralyse Rivedoux-Plage tous les jours d’été ?

Pour ne pas tourner en rond, je vous fais grâce de l’effet des ronds-points et vous ne tiendrez pas compte des ralentissements parasites pouvant sur-venir liés à la présence de cyclistes sur la chaussée, d’accidents, des embarras les jours de marché etc…, autant d’élé-ments qui viennent perturber le trafic. Vous poserez donc l’hypothèse d’un écoulement fluide des véhicules, qui avancent très lentement et considèrerez que les conducteurs doivent prendre leur mal en patience. Je vous donne une heure pour résoudre ce problème.

une heure plus tard, toto propose une réponse :

Lorsque le pont est saturé et que les

véhicules sont immobilisés, le pont contient : 2900 m / (3,5+1) = 645 voitures citadines à l’arrêt sur une voie. Si 15 000 véhicules franchis-sent le pont chaque jour, en posant l’hypothèse que 50 % d’entre eux sortiront de l’île sur une fourchette de 3 heures, ils occuperaient bout à bout 15 000 / 645 = 23 longueurs de pont, soit x 2,9 kms = 67 kms / 3 heures = 22 kms, divisés en deux itinéraires nord et sud. Nous aurions donc sur chaque itinéraire une file d’attente de : 11 kms.

Bien dit le maître, vérifions !

La file d’attente constatée le 22 août à 10 h 30 s’étendait sur l’itinéraire

nord, de Rivedoux à la Croix-Michaud et sur l’axe sud de Rivedoux au Grenettes. Soit environ une longueur de 20 kms en files d’attente cumulées nord-sud pendant plusieurs heures. Tu me sembles donc dans l’ordre de grandeur, avec une méthode simple. Bon début, mais je te trouve timide dans tes hypothèses, tu peux mieux faire !

et qu’en déduis-tu toto ?

M’sieur, l’île de Ré est si attractive qu’il n’est pas facile d’y entrer, mais c’est encore plus difficile d’en sortir, jusqu’à preuve du contraire !

Michel Lardeux

entre deux éditions papier de Ré à la hune, suivez toute l’actualité de l’île de Ré sur www.realahune.fr


a c t u a l i t é

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des ateliers éducatifs autour de la douleur des animaux, uniques en france

c l i n i q u e v é t é r i n a i r e î l e d e r é

Mercredi 2 septembre, thierry Poitte, vétérinaire, et Sabrina thomas, assistante vétérinaire, animaient auprès de 12 maîtres leur premier atelier éducatif sur l’arthrose des chiens. Cette initiative s’inscrit dans une réflexion et une démarche plus générale menées sur l’amélioration de la prise en charge de la douleur des animaux et développées au sein de CAP douleur©.

Le projet CAP douleur© unique en France est déployé depuis plusieurs années à la clinique vétérinaire de

La Flotte, et les efforts de Thierry Poitte ont été récompensés le 1er juillet dernier par le prix de l’Ordre vétérinaire 2015 qui lui a été décerné par la profession (un lauréat tous les trois ans).

un premier atelier thérapeutique très apprécié

Ce prix valorise quinze ans de recher-che dans le domaine de la douleur et sa volonté de partage de connaissan-ces par ses nombreuses publications scientifiques dans la presse vétérinaire, ainsi que par la tenue de conférences contribuant à la formation continue de ses confrères (lire notre précédent article sur realahune.fr). Le président de l’Ordre, Michel Baussier, a souligné que ce prix récompensait une démarche à la fois scientifique, éthique, managériale et de communication.Formée par Thierry Poitte, Sabrina Thomas est de son côté la seule assis-tante vétérinaire référente douleur en France et contribue largement à sensi-biliser les maîtres à une bonne prise en charge de la douleur de leurs animaux.

Le duo avait donc convié une douzaine de personnes à venir assister à leur premier atelier éducatif sur l’arthrose des chiens, qui ont toutes répondu présentes, ont suivi attentivement la présentation qui leur a été faite puis ont participé au débat qui s’en est suivi, disant leur satisfaction de mieux comprendre tout à la fois la pathologie de leur animal, les différents signes de douleur et les alternatives thérapeuti-ques pour la soulager.En médecine humaine l’observance du traitement prescrit par le médecin est de 50 %, toutes maladies chroniques confondues et les responsabilités en sont partagées entre le praticien, le patient et le système de soins. Or la situation est comparable en médecine vétérinaire.

L’alliance thérapeutique, pour améliorer la détection

et l’observanceAinsi l’alliance thérapeutique qu’en-tend développer la clinique vétérinaire de l’île de Ré se propose d’améliorer l’observance par une action conjointe contre la maladie, associant deux alliés complémentaires, le vétérinaire et le

propriétaire de l’animal. La pédago-gie et l’empathie du vétérinaire et l’éducation thérapeutique du maître permettent de gérer de façon la plus optimale possible la qualité de vie d’un animal douloureux chronique. L’accompagnement de l’assistante vétérinaire référente douleur constitue un plus indéniable au quotidien.Durant ce premier atelier éducatif et de sensibilisation-dépistage autour du thème de l’arthrose et de la dou-leur, Thierry et Sabrina ont expliqué de façon accessible à tous et illustrée par des exemples concrets des chiens des personnes présentes les composantes fonctionnelles et comportementales de la pathologie de l’animal et ont décrit l’ensemble des options thérapeutiques en insistant sur leur complémentarité et leur adaptation indispensable à cha-que cas. L’évaluation de la douleur de l’animal paraît alors évidente et la clini-que propose des questionnaires écrits ou via les applications web Dolodog ou Dolocat, conçues par le vétérinaire rétais. De là découle le protocole thé-rapeutique proposé pour atteindre un objectif réaliste et auquel adhère le maître, cette adhésion étant essentielle

à la bonne observance.Traiter la douleur à temps est essen-tiel pour que celle-ci ne s’installe pas dans le temps, ne s’amplifie pas, et ne devienne pas une maladie en soi, qui modifie alors durablement le système nerveux de l’animal.L’Alliance thérapeutique constitue ainsi en premier lieu un contexte relationnel dans lequel s’inscrit l’éducation théra-peutique. Contexte relationnel essen-tiel, en médecine vétérinaire comme en médecine humaine, que devraient privilégier tous les professionnels de santé. Les animaux rétais et leurs maî-tres ont la chance de bénéficier du suivi d’une clinique vétérinaire précurseur en la matière.

Nathalie Vauchez

Vous souhaitez participer au prochain atelier éducatif (gratuit) de thierry poitte et sabrina thomas ? tél : 05 46 09 43 75

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Le docteur vétérinaire, Thierry Poitte, et l’assistante vétérinaire référente douleur, Sabrina

Thomas, animent ensemble l’atelier éducatif.


a s s o c i a t i o n sl o i s i r s

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Un rallye du patrimoine invite les familles incollables à mettre leurs connaissances

à l’épreuve de l’Alambic au Musée Ernest Cognacq, en passant par l’Ancre Maritaise et le Musée du Platin et à redécouvrir le patrimoine de l’île de Ré en vous amusant*.

de nombreuses animations dans les 10 communes

Toutes les com-munes ouvrent les portes de leur patri-moine : expositions et conférences dans les maisons de pays, contes, concerts, visites guidées des villages, des églises, des venelles, des marais salants à vélo à Ars, du Musée du Platin à La Flotte, du Fort de la Prée et du nouveau marché à Rivedoux-Plage, découverte des fortifications, de l’ancien hôpital Saint-Honoré, du temple protestant ou encore de la piscine AquaRé à Saint-Martin, visite de la distillerie et de la cave coopérative des vignerons au Bois-Plage, chasse au trésor à la recher-che de la couronne du roi Henri IV à La Couarde, visite de la Maison de la Dune aux Portes, visite (payante) du phare des Baleines, mais aussi de la vieille tour des Baleines et visite guidée du sémaphore des baleines à Saint-Clément, visite guidée d’une écluse à poissons, de la maison du meunier, de la Souillarde ou encore des chapelles Notre-Dame et Saint-Sauveur à Sainte-Marie, visite ludi-que du village avec le jeu de Loix et artistique avec le carnet de croquis à Loix… sont quelques exemples de ce qui attend les amateurs de patrimoine.

La digue du Boutillon et la défense de l’île de ré

Une visite contée de l’Alambic du

XVIIIè siècle sera à découvrir en famille à Sainte-Marie, animée par la Cie Théâtre Bouche d’or avec de truculentes anecdotes sur le Cognac en paroles et chansons, samedi et dimanche à 11h et 15h. L’Alambic sera accessible en visite libre éga-lement de 14h à 17h.

Sur le thème du patrimoine du XXIè

siècle, la visite de chantier de la digue du Boutillon organi-sée par la CdC et le Département samedi et dimanche à 10 heures permettra de mieux comprendre les travaux mais aussi de retracer l’histoire des digues en décou-vrant les ouvrages réalisés depuis le XVIIIè siècle jusqu’à la période contem-poraine (sur réserva-

tion au 05 17 83 20 53).Des artisans d’art vous ouvrent aussi les portes de leur savoir-faire : visites de l’expo photo de Stéphane Costa à Ars, de l’atelier d’Arno Raposo à Loix, de l’atelier de restauration de Marc Guilloteau à Rivedoux, de l’ébénisterie Terre d’Océan à Sainte-Marie, du Pied d’Alouette à Saint-Martin seront possible durant tout le week-end.

des parcours à la carte pour tous les goûts

Vous êtes plutôt architecte ou plutôt savoir-faire, en tribu ou en solo ? Pour ceux qui ne sauraient choisir parmi cette richesse patrimoniale, la Communauté de Communes a concocté des idées d’itinéraires de visites sous forme de quatre « Parcours à la carte ». Samedi 19, le parcours 1 concernera « le patrimoine contemporain, une histoire d’ave-nir », le parcours 2 « le patrimoine en musique ! », tandis que le 3ème parcours vous invitera à aller à la ren-contre des « Métiers et savoir-faire :

le patrimoine vivant ! ». Dimanche 20, au gré du 4ème parcours, « obser-vez le patrimoine comme un super-héros au-dessus des toits » ou optez pour la découverte ludique en famille avec le 5ème parcours « Pour petits et grands »…Les écogardes de la CdC proposent aussi des sorties nature thémati-ques samedi 19 pour découvrir la patrimoine naturel exceptionnel de l’île : insectes, oiseaux, mam-mifères, flore, estran ou encore les amphibiens**.Pour les inconditionnels des nouvelles technologies, « Le patrimoine 2.0 – Restez connectés » propose diffé-rents itinéraires géolocalisés…

jardins de sensations et déambulation musicale à la CdC

Cerise sur le gâteau, comme chaque année, la Communauté de Communes propose dans ses locaux à Saint-Martin deux anima-tions. Les « Jardins de sensations, parcours sonore et poétique » par

aKousthéa Cie inviteront petits et grands à « écouter les sensations, traverser les sons, voir et toucher le temps d’un jardin » samedi et dimanche de 13h à 18h30 dans le jardin de la CdC, et seront complétés par une déambulation musicale et nocturne dans le jardin et la grande salle, vendredi et samedi à partir de 20h30.

Nathalie Vauchez

le patrimoine de l’île de Ré se donne en spectacleJ o u r n e e s e u r o p e e n n e s d u p a t r i m o i n e

Les « Jardins de sensations ».

Sur le thème « Patrimoine du XXIè siècle, une histoire d’avenir » et autour du patrimoine en général, les Rétais se verront proposer de nombreuses visites et animations, les 19 et 20 septembre prochain.

retrouvez le programme complet des Journées sur www.realahune.fr

* Récupérez votre questionnaire sur l’un des sites participants ou dans les offices de tourisme de Saint-Martin, Sainte-Marie ou La Flotte. Le tirage au sort parmi les bonnes réponses aura lieu dimanche 20 à 19 h au Musée du Platin, avec à la clé de nombreux lots à gagner.

** Contact pour s’inscrire : 05 46 66 56 69 ou offices de tourisme.

programme au musée ernest cognacq

Visite libre du musée et des jardins de 10h à 19h Expositions temporaires - l’âne en culottes :

du souvenir à l’objet sacré - du quotidien au patrimoine de

demain - Jean-pierre Corset

« trésor de musée », à partir de 7 ans le mystère plane sur un trésor retrouvé dans les réserves du musée. menez l’enquête en famille lors d’un grand jeu de piste. Rendez-vous à l’accueil du musée.

rallye du patrimoine Questionnaire disponible à l’accueil 30 minutes de visite

10h30 peintures de l’île de Ré 11h30 les réserves du musée (sur réservation) 12h30 brève histoire de la céramique 14h30 saint-martin-de-Ré, antichambre des bagnes 15h30 les fortifications autour de la maquette 16h30 les réserves du musée (sur réservation) 17h30 histoire de l’hôtel de Clerjotte 18h30 saint-martin-de-Ré, anticham-bre des bagnes 19h Remise des prix du Rallye du patrimoine Rendez-vous au musée du platin, la Flotte en Ré

Contact pour réservation : 05.46.09.21.22 - [email protected]

L’Alambic de Sainte-Marie a rencontré un fort succès en 2014.

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www.biscuiteriedere.frZAC des Clémonirands 17740 Ste Marie de Ré

Sablé Rétais à la fleur de selSablé CaramelGalette citronSablé SaléQuart d’heure CharentaisPain d’épicesCake au citron ou caramel…

A ce jour, 95 asso-ciations se sont inscrites dont les

stands seront répartis en quatre zones : sports et loisirs, environne-ment, socio-éducatif, et culture-patrimoine. E l les proposeront des démonstrations de chants, danses ou arts martiaux sur la scène entre 11h30 et 18h, des activités et des initiations en continu toute la journée – squash, basket, mini-tennis et tennis, beach-volley, matchs, initiations aux sports nau-tiques, animations pour les petits – ou encore de nombreuses initia-tions soit sur des stands dédiés, soit sur l’espace au sol.

Zumba, danse country, hip hop, chorale, viet vo dao, judo, karaté, twirl, activités manuelles ou plus intellectuelles, ateliers de cirque… petits et grands ne sauront plus où donner de la tête tant l’offre associative rétaise est dense et les bénévoles se mettent en quatre pour faire découvrir leurs passions à tous.

Côté environnement, les écogardes feront des animations nature, les guides composteurs expliqueront comment réussir son compost, la LPO proposera de créer des nichoirs, Ré Astronomie invitera à observer le soleil, tandis que le ser-vice Patrimoine de la Communauté de Communes captivera les enfants avec des animations jeune public.

Du fait de la proximité de la plage du Peu Ragot, une zone « Beach Stadium » animée par le Ré Beach Club, une zone « sports nautiques » animée par le Club nautique couardais du Goisil et par le club Le Nautilus, sont spécifiquement proposées sur la plage pour des initiations et démonstrations, ainsi que des tirs de fusées à eau par Ré Astronomie.

des animations tout au long de la journée

Parmi les animations, outre les pro-menades à poney du Poney Club des Gouillauds et des Écuries du Moulin Moreau, qui remportent toujours un vif succès, et le squash gonflable, « L’étrange voyage du Señor Tonet » par la Compagnie Tomb Créatius pro-posera des jeux en bois, de logique et de société, pour jouer en famille.

Côté Arts de la rue, « Manuel, laveur de mains » par la C o m p a g n i e L e s Veilleurs déambu-lera toute la journée dans les allées et ira à la rencontre des visiteurs, pour leur laver les mains…, mais aussi pour leur parler et leur racon-ter des histoires ! L’ambiance musicale devrait être à la hau-teur de ce grand ren-dez-vous annuel des associations grâce à la « Chorale Public » par la Compagnie Label Z. A 14 h puis à 16h30, durant 45 minutes, Annabelle Froment, dissidente des chorales « à chœur joie », invitera les familles à chanter et danser sur des rythmes de rap, pop ou rock.

Les associations, facteurs de lien social et de vie

permanenteAu-de là du p rogramme chargé (voir le détail sur rea-lahune.fr), cette désormais traditionnelle journée des asso-ciations représente un moment unique et marquant de la ren-trée, où chacun prend plaisir à renouer avec les fondamentaux de la vie permanente rétaise, après la parenthèse estivale au cours de laquelle l’île de Ré n’appartient plus vraiment à ses

habitants.Ce sont ainsi près de 3000 Rétais et visiteurs de septembre qui, chaque année, prennent un réel plaisir à se retrouver, échanger, flâner en famille tout en choisissant les acti-vités sportives, de loisirs ou sociales que petits et grands pratiqueront tout au long de l’année. L’offre asso-ciative rétaise, très dense et variée,

constitue aussi un moyen pri-vi légié pour tous de s’inté-grer dans la vie sociale rétaise.La journée des assoc ia t ions favorise aussi les échanges inter-associa-tifs. Attentive à préserver ce d y n a m i s m e associatif, pré-cieux facteur de lien social et de vie per-manente, la Communauté de Communes met aussi tout au long de

l’année des navettes à disposition des accueils de loisirs, de centres d’adolescents et des associations pour faciliter la fréquentation des activités, propose des formations aux bénévoles associatifs et subven-tionne l’association La Verdinière,

chantier école, qui offre un service de location de matériel et tivolis pour les événements organisés par les associations, à des prix très modiques ([email protected]).

Nathalie Vauchez

100 Associations pour séduire les Rétaisv i e p e r m a n e n t e

« L’étrange voyage du Señor Tonet ».

« Manuel, laveur de mains ».

« Chorale public ».

la 7ème fête des associations de l’île de Ré se déroulera cette année le dimanche 13 septembre sur l’esplanade du Peu Ragot à la Couarde-sur-Mer.

tout le programme surwww.realahune.fr et renseignements au : 05 46 09 00 97Restauration sur place au Café de la plage (plat unique) et buvette associative assurée par la philarmonie de l’île de Ré et Caixa-ça (sandwichs, boissons, goûters).

Dimanche 13 septembre 2015 de 10h à 18h (inauguration à 12h30 par les élus)esplanade du peu Ragot à la Couarde-sur-mer.

guide des associationsle site www.realahune.fr très fréquenté toute l’année, référence et présente plus de 220 associations rétaises. la vôtre n’y figure pas encore ou vous souhaitez actualiser vos informations ? demandez votre code directement sur le site, rubrique « la Vie des associations », ou par mail sur [email protected]. une rubrique « actualité des associations » est aussi à votre disposition.


é V é n e m e n t s

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Pour la première fois de son histoire, le Toyota Open Inter-national de l’île de Ré créé en

2005, se disputera cette année dans la catégorie ITF1.

Les cinq continents représentés

Admise dans le circuit et le cercle très fermé des plus grands tour-nois mondiaux, l’île de Ré est en bonne compagnie : Rotterdam, Pensacola (USA), Baton rouge (USA), Johannesburg, Séoul, Bruxelles, Genève, Sardinia (Italie), Daegu (Corée), Nottingham (GB)... Plus de 110 joueurs et joueuses venus du monde entier participeront

à cette 11ème édition qui, ITF1 oblige, comptera une journée de plus que les précédents tournois. La noto-riété sportive, la convivialité, l’envi-ronnement et l’organisation de ce tournoi font que Yann Maître, son directeur, a dû refuser à regret des inscriptions pour maîtriser l’organi-sation sportive.

Les meilleurs mondiaux

Les meilleurs joueurs et joueuses français et étrangers, venus des cinq continents, ont répondu présents pour prendre les points à gagner sur les courts, nécessaires à leur classement mondial. La dotation

des primes de classement, attrac-tive, atteint globalement 28 000 dollars en ITF1. Côté masculin, le tableau des inscriptions compte 10 joueurs classés dans les 25 meilleurs mondiaux. On retrouvera avec plai-sir les français Nicolas Peiffer (3ème mondial) et Joachim Gérard (4ème mondial). Le tableau féminin est exceptionnel avec 11 joueuses du top 25 mondial, dont 6 du top 10, avec la japonaise Y. Kamiji, la fran-çaise Marjolaine Buis, l’allemande Katharina Kruger etc. Des matchs somptueux en perspective à suivre dès le 15 septembre, car l’opposition sera très forte, très tôt, pour accéder aux phases finales.

une organisation rodée

C’est bien connu, on ne change pas une équipe qui gagne ! L’intendance est assurée sur place par le Lions club île de Ré et de nombreux béné-voles. Les joueurs sont hébergés à l’Atalante ou dans des résidences. Le tournoi investit aussi des courts sur le Bois-Plage et Loix. La retrans-mission télé sur le web est assurée par l’équipe de Ré TV, suivie dans le monde entier en direct, par relais satellite. Une prouesse tech-nique testée lors de la précédente édition. Yann Maître met la dernière main

à ce tournoi sponsorisé principale-ment par Toyota, BNP Paribas et la Communauté de Communes de l’île de Ré. Des démonstrations auront lieu pour sensibiliser le public au tennis handisport sur le port de La Flotte et une opération se prépare avec le Club de Royan. Le Toyota Open International est un évène-ment unique qui figure en troisième position des plus gros tournois mon-diaux en nombre de participants. Il promeut l’image et l’accessibilité de l’île de Ré pour des personnes à mobilité réduite et devient un acteur économique important de l’arrière-saison avec des retombées directes estimées à 150 000 euros.L’entrée est libre pendant les cinq journées du tournoi. Venez nom-breux !

Michel Lardeux

un tournoi de tennis handisport dans le top mondial t o y o t a o p e n i n t e r n a t i o n a l d e l ’ î l e d e r é

Nicolas Peiffer à gauche et Joachim Gérard à droite en 2013.

Le rendez-vous convivial de fin de saison

Dès 16 h 30, le port de Saint-Martin vibrera au son des cornemuses du pipe band écossais qui défilera en tenue traditionnelle, avec le célè-bre kilt. Les roulements de la caisse claire écossaise alterneront avec le son profond et rythmé des percus-sions brésiliennes de la batucada

Batala de La Rochelle. Une ambiance incomparable qui réunit depuis sept ans déjà, les Rétais et les estivants d’arrière-saison, à la période des vendanges. Et cette soirée réservera d’autres surprises à ses convives ! Une superbe tombola, richement dotée, sera tirée dans la soirée et fera des heureux parmi les nom-breux porteurs de billets.

Côté cuisine : des coquillages extra-frais !

C’est autour de tables plus nom-breuses que s’installeront les convi-ves sur l’îlot de Saint-Martin pour déguster huîtres, moules et vannets, avec les frites, le pain, le dessert et le vin. L’organisation et la coordi-nation du service ont été repensées au vu de l’expérience acquise et du succès des précédentes éditions, pour satisfaire le fidèle public.

Nouveauté : les caisses de vente des tickets restauration ouvriront sur le quai à 16 heures.

Prévenez vos amis et réservez votre soirée du 26 septembre pour vivre ensemble ce moment unique de convivialité et de fête, dans l’am-biance d’une taverne à ciel ouvert, un beau soir d’automne, sur l’îlot de Saint-Martin.

Michel Lardeux

Pipe band, batucada batala et coquillages extra-frais ! f ê t e d u c o q u i l l a G e

Le pipe band écossais.

La fête du coquillage attire chaque année de nombreux Rétais et vacanciers de septembre.

Pour réussir le 26 septembre prochain la 8ème édition de la fête du coquillage, le Cercle nautique Martinais, ses partenaires et l’équipe bénévole qui entourent Guy Mallet, ont apporté de nouvelles améliorations pour le confort des nombreux convives.

du mardi 15 au dimanche 20 septembre 2015 sur les courts du tennis Club des Pertuis à la Couarde-sur-Mer, le toyota open International de l’île de Ré verra s’affronter les meilleurs joueurs masculins et féminins de tennis handisport.

Dès le samedi 19 septembre à 11 heures se dérouleront les demi-finales des simples hommes et femmes. les finales des doubles hommes et femmes se disputeront à 17 heures. le dimanche 20 septembre à 11 h aura lieu la finale de la catégorie Quad, à 14 h la finale des femmes et à 15 h celle des hommes.


é V é n e m e n t s

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Des dizaines de milliers de personnes ont envahi l’Ar-senal, la Corderie Royale et

les rues de Rochefort pour accla-mer les gabiers, et dimanche 30 août les festivités ont continué.

un évènement qui s’inscrit dans la mémoire collective

Relayé par de multiples médias venus du monde entier, l’entrée de l’Hermione dans la cale de radoub Napoléon III, avec le premier ministre Manuel Valls à bord, était saluée par des milliers de triple Hourrah ! qui s’élevaient spontanément de l’immense foule entre les coups de canon. Avec une sonorisa-tion impeccable, les chants de marins à bord, les témoignages de l’épopée américaine étaient entendus dans tout l’Arsenal. Dans la foule, on croisait des centaines de personnes en costumes d’épo-que, souvent authentiques, des ani-mations de cape et d’épées, des aubades de musiques baroques, qui ajoutaient à la magie de cette inoubliable journée, parfaitement organisée et maîtrisée.

L’Hermione est la fierté et le symbole de rochefort

Parade dans la ville et reconstitu-tions historiques faisaient le bon-heur de la foule qui se bousculait sur les trottoirs pour acclamer les gabiers de l’Hermione juchés sur des charrettes tractées par des chevaux imperturbables. Le défilé était ouvert par l’excellente musique de l’armée de l’air BA 106 de Bordeaux, suivie par tous les soldats des compagnies

franches qui avaient installé leurs campements et leur centaines de tentes de l’époque du marquis de La Fayette sur les jardins et pelou-ses de la Corderie. Des centaines de personnes costumées de la société d’histoire de Rochefort participaient au défilé qui arrivait à la place Colbert, accueilli par le discours en vieux français d’Hervé Blanché, maire de Rochefort, en costume d’époque, qui égratina « le port huguenot voisin pris par Richelieu ». Comprenez que même dans cette journée de liesse où les différends s’aplanissent, Rochefort n’entend pas se faire prendre l’Hermione. Le soutien de la foule fut totale et certaines tentatives d’instrumenta-lisation, voire plus, de l’Hermione ont visiblement laissé des traces. L’Hermione est née à Rochefort, a grandi à Rochefort et a retrouvé son berceau, bien entourée !

Séquence émotion

Arrivée place Colbert, la musique de l’armée de l’air interpréta suc-cessivement l’hymne Américain et la Marseillaise, repris par une canta-trice et la foule. L’équipage entourait le commandant Yann Cariou, heu-reux et honoré, et les personnalités prenaient place sur le podium pour recevoir une immense ovation de la foule. Alors, le défilé traversait la place Colbert en diagonale, entre deux haies d’honneur. Le son et lumière à la Corderie Royale fut, tout simplement magique! Une foule immense, assise sur les pelouses de la Corderie et installée au balcon naturel des jardins, ouvrait grand les yeux et les oreilles pour suivre le spectacle qui contait l’histoire de Rochefort, de l’arsenal et l’aventure de l’Hermione. La narration envoû-tante était illustrée de tableaux

d’artifices somptueux et d’effets laser artistiques qui mettaient en lumière les 374 mètres de la façade la corde-rie royale. Les artificiers de la maison Ruggiéri sont des magiciens. Ensuite, sous une pleine lune amusée, la place Colbert dansait avec le bal animé par le groupe New-Orleans Oracasse, qui se ter-minait tard dans la nuit.

L’Hermione, un « booster » économique

pour rochefort

Le soleil généreux faisait le bonheur des bars et nom-breuses buvettes, dont cer-taines tombèrent en rupture de stocks. Les restaurateurs

prenaient les réservations et très vite il devenait difficile de trouver une place pour le soir. L’Hermione est un véritable booster économi-que pour Rochefort. La sénatrice de Saint-Pierre et Miquelon, présente au côté des autorités locales, était très émue de l’accueil des Rochefortais. Ceux qui ont eu la chance d’accompa-gner l’aventure aux Amériques témoi-gnaient de la chaleur et du succès populaire de l’accueil des américains à chaque étape, avec en point d’orgue le passage devant la Statue la Liberté. La suite de l’aventure de l’Hermione reste à écrire. Mais personne ne doute qu’elle soit intéressante et exemplaire, pour cette frégate ambassadrice de Rochefort, de la Charente-Maritime et de la région, mais surtout démons-tratrice du savoir-faire et de la volonté françaises.

Michel Lardeux

Retour triomphal pour l’Hermione : Hourrah ! Hourrah ! Hourrah !

p a t r i m o i n e

L’hermione retrouve son berceau : la forme Napoléon III.

© M

iche

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deux

Rochefort a réservé à l’Hermione et à son équipage un accueil triomphal samedi 29 août.

Accueil souriant et sympathi-que, ambiance conviviale, tenue irréprochable, le SWOB

se déroule dans un état d’esprit fait de bonne humeur, de convivialité et de détente. Les amateurs de danses sont comblés, et s’expriment sur des rythmes de west coast swing, de salsa portoricaine, cubaine, kizomba...

9 jours de fiesta et de plaisir

Deux salles proposaient des ambian-ces différentes : West Coast Swing et Salsa. Le planning des cours payants ou gratuits, était plein. Les coaches professionnels ont prodigué leurs conseils à de nom-breux passionnés, avec pédagogie et démonstration à l’appui. De

nombreuses animations ont favo-risé de belles rencontres, comme la croisière des festivaliers à l’île d’Aix, les pique-nique «on the beach»… Et tous les soirs, de 22 heures à 4 heures du matin, les soirées à la salle des fêtes ont réuni tous les festivaliers dans une ambiance décontractée et survoltée.

un concept bien adapté

Avec le succès des émissions “Danse avec les stars” ou encore “La meilleure danse”, les soirées plaisent beaucoup à un public qui s’éclate. Le jury composé d’artistes de haut niveau, est en place sur la scène pour évaluer la prestation des danseurs, avec le soutien d’un public qui exulte. Le show peut commen-cer avec de la bonne musique, des lumières multicolores éclatantes et

des danseurs qui prennent un grand plaisir. Et jusqu’à tard dans la nuit, la piste accueille tous les danseurs dans une ambiance digne des plus grands clubs, joyeuse, simple et saine. Avec une organisation sérieuse, une équipe impliquée, le soutien de la mairie de Rivedoux-Plage et de l’éco-concession Toyota, Achile Dinga fondateur du festival, les artistes et toute son équipe, ont réussi le pari de développer le SWOB et d’en faire un évènement très fréquenté. Le public de 18 à 40 ans est comblé et vient même de l’étranger pour vivre sa passion sur la piste de danse. Déjà la cinquième édition s’annonce avec bonheur! Il sera prudent de réserver vos places et de prévoir votre séjour sur Ré.

Michel Lardeux

dansez maintenant !s a l s a e t w e s t o n B e a c H ( s w o B )

Entre 400 et 600 festivaliers ont participé chaque jour au festival Swob qui se déroulait sur neuf jours du 22 au 30 août, à la salle des fêtes de Rivedoux, au rythme de la Salsa et du west Coast Swing.

Début de soirée le 28 août à Rivedoux-Plage.


a s s o c i a t i o n se n V i r o n n e m e n t

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les cétacés victimes de la pression exercée par l’activité humaine en mer

Ceci en présence d’une soixan-taine de participants, dont l’une des filles du Docteur

Raymond Duguy, qui créa le centre national d’étude des mammifères marins, mis en place les réseaux de correspondants et dirigea le Museum d’Histoire Naturelle de La Rochelle de 1961 à 1992.Un hommage a aussi été rendu au remarquable travail que réalisent

sur le terrain Grégory Ziebacz et Jean-Roch Meslin, acteurs histori-ques du réseau sur l’île de Ré, et présents dans la salle.Après un discours d’ouverture de Gisèle Vergnon, maire de Sainte-Marie, Grégory Ziebacz a, en intro-duction, projeté nombre de photos de mammifères marins prises sur les plages ou au large de l’île de Ré depuis 25 ans et a rappelé combien il est important que chacun envoie ses photos prises au hasard de ses découvertes - les iPhone permettent de prendre nombre de photos sur le vif - aux scientifiques et pas seu-lement aux médias, en précisant le

lieu et l’heure de la prise de vue.La conférence de Vincent Ridoux « mammifères marins : les enjeux » fut l’occasion d’expliquer le travail de suivi des échouages et de sensi-bilisation à l’état des populations de mammifères marins dans le golfe de Gascogne. En 2013, plus de 1200 cétacés se sont échoués sur le litto-ral français, victime de la pression exercée par les activités humaines

en mer. Les scientifiques dist inguent trois types d’espèces : les espèces « embléma-tiques » qui suscitent la mobilisation du publ ic , les espèces « parapluie » qui contri-buent à la protection de l ’ e n s e m b l e d’un écosys-tème et les espèces « sen-tinelle » qui permettent d ’ o b s e r v e r

certains compartiments marins. Les objectifs de conservation sont évidemment d’éviter l’extinction des espèces, de maintenir les fonction-nalités des écosystèmes, de main-tenir des populations prospères et enfin d’éviter la fragmentation des distributions. L’Observatoire Pélagis rochelais coordonne pour tout le littoral métropolitain et d’outre-mer le Réseau National d’Echouages. Plus de 300 membres issus d’associations ou d’institutions et des particuliers recueillent de multiples informations sur les animaux échoués, morts ou vivants (espèces, biométrie, causes

de la mort…) et réalisent des prélèvements. L’Observatoire Pé lag i s a l i -mente a ins i d e s b a s e s de données nécessaires à la réalisation de program-mes d’études en France et à l’ interna-tional ainsi qu’une ban-que de prélèvements biologiques. Les principales actions concernent le suivi de l’abondance et de la démographie, la détermination de la distribution et des habitats critiques ainsi que l’estimation des paramètres biologiques des mam-mifères et oiseaux marins.Après avoir exposé le suivi des espè-ces embléma-tiques comme le grand dau-phin, aperçu régulièrement dans les per-tuis charentais et évoqué le groupe de 80 globicépha-l e s n o i r s , une espèce A t l a n t i q u e mal connue, étudié depuis une quinzaine d’années, cet anniversaire a été l’occasion de remercier les usagers de la mer et observa-teurs des pertuis pour leur pré-cieuse contribution.Une expos i t ion permanente « Tortues et mammifères marins autour de l’île de Ré » dans la salle

Raymond Duguy (fondateur du Réseau d’Echouages) permet au public de découvrir de belles pho-tos dont des nouveautés comme un jeune tursiops ou encore un jeune globicéphale devant sa famille. Les mammifères y sont représentés à taille réelle.

Nathalie Vauchez

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Groupe de globicéphales noirs dans le pertuis Breton.

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Ré nature Environnement a fêté à l’AnCRE Maritaise les 25 ans d’activité du Réseau national d’Echouages (RnE) dans l’île de Ré, avec une conférence de vincent Ridoux, directeur de l’observatoire Pélagis de l’université de la Rochelle, centre de recherche sur les oiseaux et mammifères marins.

n’hésitez pas à signaler au 05 46 44 99 10 tout échouage de mammifères marins et toute observation de mammifères marins au large de l’île de Ré.

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Jeune phoque gris se reposant sur un banc de galets à la Pointe des Baleines.

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Tortue luth femelle échouée à la Pointe du Petit Bec Les Portes en Ré.

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i n i t i a t i V e s

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un Rétais bientôt sur les hippodromes…

Damien est né à La Rochelle en 1998. Il a passé son enfance à Ars où vivaient ses parents. Il a

fréquenté l’école du village, puis le collège des Salières à Saint-Martin. A partir de la 5ème, il est parti en Vendée en section « Sport-études ».

une passion révélée très tôt

Tout a commencé le jour de ses huit ans, ses parents lui ont offert une balade à cheval en cadeau d’anni-versaire. Le soir même, Damien a confié à son papa que, plus tard, il serait jockey.Depuis sa rencontre avec Teddy

Moreau (propriétaire des « petites écuries du marais »), il s’est lancé dans le sport hippique, une pas-sion maîtrisée à la perfection. Il a terminé 14ème sur 300 candidats aux championnats de France de sauts d’obstacles.En septembre 2012, le jeune cava-lier intègre l’AFASEC (Association de formation et d’action sociale des écuries de courses) à Chantilly. Il est encadré par une grosse « poin-ture » du monde des courses : Carlos Laffon Parias, glorieux vainqueur, la même année, du célèbre prix de l’Arc de Triomphe.

un rêve réalisé et construit avec beaucoup de réalisme

Pour lancer sa carrière, Damien est « coaché » par deux expertes hippi-ques : Capucine Nicot et Véronique Vigouroux des écuries « Ile de Ré Galop » situées entre Saint-Clément et Les Portes. Il s’agit d’une société fondée pour présenter le monde des courses aux néophytes.Un projet ambitieux pour soutenir le jeune jockey, Capucine et Véronique ont créé une écurie de partage (aux couleurs de l’île de Ré). Elles nous invitent à participer à cette aven-ture haletante. Elles ont mis en vente 4 000 parts, l’entreprise est acces-sible à tous, on peut obtenir une

part pour quelques dizaines d’euros. Durant un an, Damien montera trois chevaux, achetés et entraînés par l’écurie sur la plage de La Conche. Une manière tout à fait originale de valoriser l’île de Ré. Aussitôt, Lionel Quillet, président de la Communauté de Communes, a compris l’impor-tance de cette aventure humaine et la complicité de la collectivité ne s’est pas fait attendre.L’opération dans laquelle s’est lancée « Ile de Ré Galop » ne se limite donc pas à un simple projet économique. Cette aventure a une âme : « celle qui pousse à faire vivre les rêves, ceux des créateurs de l’écurie et ceux des adhérents à cette histoire » nous confie Véronique Vigouroux. Une symbiose entre l’esprit d’entre-prise et l’humain, un désir profond de réussite, d’innovation en restant dans le partage.N’oublions pas de signaler que Capucine et Véronique ont un autre associé, Michaël Morin, le papa du jeune prodige.Damien effectue sa 4ème et dernière rentrée à l’AFASEC. Les choses com-mencent à vraiment se préciser. Il recevra prochainement sa casaque (de couleur bleue et marron sur laquelle figurera un logo de l’Ile de Ré) des mains du Président de la CdC.

Tout est prêt, les admirateurs, déjà nombreux, du jeune joc-key attendent avec impatience. Nous laisserons le mot de la fin à Véronique Vigouroux qui, fière de la mise en place active et efficace de son initiative, nous glisse avec un trait d’humour très habile : « l’écurie de partage sera un succès et pour Damien, c’est la manière idéale de lui mettre le pied à l’étrier… ».

Jacques Buisson

e c u r i e d e p a r t a G e

Damien Morin à Chantilly.

Damien Morin vit sa passion.

damien Morin envisage une carrière dans le monde des courses hippiques.

Ouvert en continu du lundi

au samedi de 8h à 21h

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i n i t i a t i V e s

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un nouveau bateau rétais présenté au Grand Pavois

de petits villages rétais à ceux du Haut Atlas marocain, une solidarité humaine

p l a i s a n c e

H u m a n i t a i r e

tout juste après avoir reçu sa bénédiction début août par le Père Cottereau et osé ses premières sorties dans le fier d’Ars et dans le Pertuis breton, le « donguila II » devrait faire sensation au Grand Pavois.

Association créée il y a 8 ans par Alain bellegarde et Christian bourgne, « de l’île de Ré à télouet » a pour objectif d’accompagner le développement de petits villages du Haut Atlas marocain situés à télouet et ses environs.

A l’origine de cette nou-velle aven-

ture navale, Fabrice Oppici, propriétaire de « Donguila », une ancienne plate ostréicole aménagée pour une navigation de loisirs, en fait don à L’association Chassalohtrav (créée dans les années 80 pour organiser des régates), lors de son départ de l’île de Ré, il y a huit ans.Après plus de 25 ans de bons et loyaux services et à la suite d’une grosse brèche

irréparable, Pascal Frigière, prési-dent de l’association, propose de construire une nouvelle Donguila.L’architecte Gérard Damolini en dessine les plans, tandis que le chantier naval nantais, Navalu, en fabrique la coque en alumi-nium de 9,50 mètres de long et 3 mètres de large livrée à Ars-en-Ré fin avril 2015. Les chantiers navals Carènes et Abysse Atlantique, basés à Ars et dirigés par Mathieu Boniton, réalisent alors en trois mois l’habillage en bois, le contre-plaqué marine, le pont en teck massif, le plancher en bois exotique… avant que le Donguila II, spécifiquement conçu pour naviguer dans le Fier d’Ars, homologué pour seize person-nes et ayant une autonomie de dix heures, ne prenne la mer début août,

avec à son bord plusieurs membres de l’association. Pour le moment, une SC est pro-priétaire de ce premier prototype, avant qu’une société ne prenne le relais pour la commercialisation. Les contacts que génèrera le Grand Pavois, lors duquel le Donguila II sera présenté au grand public et aux pro-fessionnels et mis en vente, seront déterminants pour concrétiser le projet commercial et décider d’aller au-delà. Avis aux plaisanciers, amateurs d’originalité et de convivialité !

Nathalie Vauchez

Tombé en 1996 sous le charme de cette région éloignée des circuits touristiques, à 60 km

d’Ouarzazate, Alain Bellegarde la fait découvrir deux ans plus tard à son complice de toujours. Ils sympathisent avec le maire de Télouet qui leur parle des nombreux besoins des habitants.Leur premier appui sera relationnel et permettra d’ouvrir un collège à Télouet et d’accompagner le déve-loppement de l’éducation des jeu-nes qui devaient, jusque-là, pour les plus chanceux d’entre eux, rester en internat à Ourzazate. Ils contribue-ront ensuite à la construction de deux châteaux d’eau permettant d’appor-ter l’eau courante dans tout le village, puis à ce qu’une route soit refaite, permettant d’accueillir plus de tou-ristes. Puis un premier container d’ha-bits, fournitures scolaires, vélos, etc

sera acheminé à Télouet même. Cette année, l’association a décidé d’organiser elle-même à Tizgui, sur les contreforts de Télouet (le chef-lieu), la redistribution auprès des respon-sables de villages dans les différents hameaux de Télouet le contenu des deux camions de transporteurs maro-cains avec 2,5 tonnes de chargement récoltées durant deux ans dont 50 vélos, des tableaux d’école et des fournitures scolaires, douze ordina-teurs et imprimantes, des vêtements, couvertures, etc. Outre les nombreux dons de particuliers et notamment des 118 adhérents de l’association, la mairie de Sainte-Marie a remis 20 vélos, les tableaux d’école et ses stocks de fournitures scolaires des années passées.Ainsi deux camions « Leclerc » (dont un mis gracieusement à disposition de

l’association) ont été chargés fin août aux Portes et au Bois-Plage avant de rejoindre à Pibrac, près de Toulouse, l’ « Association Maroc » avec laquelle cette mission est conjointement organisée. Alain Bellegarde, Christian Bourgne et Jean-Pierre Pichot, ainsi que quatre membres de l’associa-tion jumelle, ont pris la route dans un minibus le 30 août dernier pour accompagner le convoi. Le passage de frontière fut assez long : arrivés à 3 h du matin à Tanger le 2 septembre ils en sont repartis… à 22 heures, puis après une bonne nuit de sommeil près de Rabat, ont mis le cap sur Erfoud, puis sur Tizgui, où ils sont arrivés le 4 septembre.Ils devraient rester une dizaine de jours sur place, avec un retour prévu sur l’île de Ré aux alentours du 19 septembre. Après le déchargement,

puis le tri, dimanche 6 septembre a été le grand jour de la distribution.Le coût de la mission est d’envi-ron 6000 € pour « De l’île de Ré à Télouet », sachant que chacun finance sur ses deniers personnels le voyage. Les bénévoles de l’association ont largement contribué au succès de ce voyage, par leur implication et leur bonne humeur.

Nathalie Vauchez

Le Donguila II est directement inspiré d’une plate ostréicole.

Le déchargement à Tizgui a fait des heureux.

Contact : Christian bourgne tel : 06 67 44 42 35 mail : [email protected]

Contact : [email protected]


z a p ’ a r t s

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Vendredi 11 septembre à 21 handre manouKian en duo

“meS reVeS d’orient”L’amour du verbe, la passion des muses, les transpirations psycho-érotiques de la moustache ne font pas oublier qu’André Manoukian est un pianiste de Jazz avant tout. Si ses aventures l’ont conduit de la Berklee School vers des rivages plus médiatiques (Nouvelle Star, France Inter), il n’a jamais perdu pour autant sa boussole musicale.Aujourd’hui, le répertoire sacré arménien de ses ancêtres lui ouvre un monde de nouvelles sonorités.Avec Rostom Khatchikian, maître du Duduk, le duo nous invite vers un Orient rêvé, un paradis perdu, entre Bill Evans et Erik Satie, vers une musique expressive et sensible, portant beau la mélancolie.Crédit photo : Gwen Lebras

Crédit photo : DR

Vendredi 25 septembre à 21 hrona Hartner

“tHe BaLKaniK GoSPeL”Rona Hartner, actrice, chanteuse et danseuse bénéficie d’une renommée nationale en Roumanie, son pays d’origine. En France c’est au cinéma, aux côtés de Romain Duris dans le film de Tony Gatlif Gadjo Dilo, que le public l’a découverte. Avec plus de 10 albums, Rona Hartner participe aux plus grands festivals du genre et est régulièrement l’invitée des talk-show les plus suivis : Laurent Ruquier, Frédéric Taddei ou encore Thierry Ardisson. Mêlant gospel, fanfare, jazz et musique d’inspiration traditionnelle des Balkans, The Balkanik Gospel est une invitation au dépaysement ! Sur scène, avec ses musiciens, « La prin-cesse des Balkans » respire la joie de vivre et dégage une chaleur propre aux pays de l’Est, en emmenant le public avec elle dans un voyage bouillonnant, festif et spirituel.

Vendredi 2 octobre à 19 hSoirée d’ouverture

de la saison - 19h : Présentation et confiden-

ces sur les spectacles à venir- 20h : Vernissage de l’exposition

de peinture de Jonas profil- 20h30 : Concert Chamn’Jo

expo du 2 octobre au 1er novembrejonaS ProfiL

Peintre du sentimentPeintre sensible et inspiré, Jonas Profil est un des peintres les plus talentueux de sa génération. Originaire de Fort Liberté, il se fait vite connaître rapide-ment à Port au Prince en présentant des paysages et des natures mortes. Très vite sa peinture se diversifie et ses réalisations se font plus person-nelles et plus originales. Peintures minutieuses où se mêlent dans des scènes figuratives, des éléments sur-réalistes et symboliques, créant des univers étranges, flous, déformés, où le choix des couleurs contribue

également à l’écriture d’un message humaniste que chaque œuvre cher-che à transmettre.VernissaGe en présenCe de L’artiste.

Concert CHaman’jo en duo« Chercher l’art dans sa vie et faire de sa vie un art », telle est la devise de Jean-Christophe Chavanon, ce barde installé sur l’île de Ré depuis quelques années. Auteur-compositeur-interprète il crée un univers personnel entre chanson intimiste, réalisme, militantisme et utopie. Chaman’Jo marche dans les pas des poètes chantants et s’ins-crit dans la tradition de la chanson à texte. Ses mélodies, volontai-rement simples, faciles à suivre, laissent, avec humanité, les mots s’exprimer au rythme des accords de guitares. Il sera accompagné par Corinne Lacombe, claquettiste et Tap danseuse, qui improvisera, fers aux pieds sur ces mélodies.

Programmation la Malinec u l t u r e

un dîner entre Amis dans les jardins du Muséea s s o c i a t i o n d e s a m i s d u m u s é e e r n e s t c o G n a c q

le 19 août dernier l’association des amis du Musée Ernest Cognacq organisait son dîner annuel dans les jardins du musée, en présence de sa présidente nanou brault de bournonville, d’environ 70 adhérents, de la directrice du Musée, Julia dumoulin, du maire de Saint-Martin et de la présidente des Amis des Arts de la Rochelle.

L’occasion pour sa présidente de rappeler les grandes actions de mécénat menées vis-à-vis

du musée telles la restauration par Pascale Brenelli du tableau « Jeune femme en rouge », celle d’un portefeuille en cuir de la mai-son Déchézeaux et d’une boîte maçonnique en métal peinte de Théodore Phelippot, sans oublier

la restauration et le montage d’un pas-tel sec du 19e siècle, attribué à Honoré Patureau et figu-rant dans les col-lections, ou encore de La Persévérance échouée aux Portes de Gaston Roullet et les gravures issues de l ’ expéd i t ion Bodin.

Le but de l’associa-tion, créée en 1930, à Paris, sous la pré-sidence d’honneur

de Gabriel Cognacq, et qui a été relancée en 1994, est de contribuer au rayonnement du musée en participant à l’acquisition et à la restauration d’œuvres et d’objets des collections du musée, en faisant la promotion du musée et de ses activités, en recherchant des mécè-nes, en participant à la collecte du patrimoine oral, et en soutenant les

diverses activités proposées par le musée en direction de la jeunesse.

La prés idente, dont Patr ice Déchelette a souligné l’état d’es-prit positif et le dynamisme, a laissé entendre qu’elle annoncerait pro-chainement de nouveaux grands

projets et a donné rendez-vous aux adhérents présents pour la soirée du 1er octobre prochain au cours de laquelle seront présentées en avant-première aux adhérents les œuvres restaurées.

Nathalie Vauchez

Les jardins du Musée offrent un cadre idéal en été pour un dîner convivial.

Julia Dumoulin, Patrice Déchelette et Nanou Brault de Bournonville ont participé à la soirée.


z a p ’ a r t s

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18 années de plaisir pour un public fidèle !

la Philharmonie de l’île de Ré, patrimoine musical

f e s t i v a l J a z z e n r é

m u s i q u e

Malgré une météo peu clémente, le public fidèle a répondu présent pour la 18éme édition du festival Jazz en Ré. trois soirées qui ont enchanté les amateurs de blues et de jazz.

Héritière des sociétés musicales apparues dans les villages à la fin du XIXème siècle, la philharmonie de l’île de Ré est aujourd’hui une association loi 1901 qui joue un rôle majeur dans la pratique musicale rétaise.

En ouverture de ce festival, le vendredi

soir le grand blues-man Jérôme Pietri a conquis le public installé sur les 600 chaises du parterre, complètes, et près de 400 personnes debout profitaient d’une belle météo. En deuxième par-tie de cette pre-mière soirée, Yorgui Loeffler trio réussi-sait un concert magnifique de vir-tuosité et de finesse, interprétant les grands succès du jazz manouche et ses compositions.

trois soirées de couleurs différentes :

Le samedi, Jazz en Ré retrouvait l’excellent Jazz Band 007, emmené par l’infatigable Bernard Martin, qui déambulait dans les rues de la

cité martinaise, suivi par une foule joyeuse. C’est un groupe Nimb détendu, qui accompagnait sa pétillante chanteuse Léna Arnaud. Avec une gestuelle élégante et sobre, une voix qui s’affirme, Léna forme avec ses musiciens, un groupe qui se fait un nom sur la scène Jazz. Le roi de la guitare ragtime, un des plus expérimentés des blues fingerpicking, ancien accompagnateur de John Lee

Hooker, Cisco Herzaft trio, était bien l’une des têtes d’affiche de cette édition. Une pres-tation chaleureuse, très applaudie par un public qui a démontré de belle qualité vocale pour accompagner l’artiste, ravi de ces moments partagés. Une météo très mena-çante stressait tout le monde pour clore le festival, le dimanche soir. Néanmoins, Charles

Costenoble et l’association Rock and blues se produisaient à 18 h, suivis à 21 h par le formidable saxophoniste alto de la scène jazz new-yorkaise Dmitry Baevsky, qui assurait malgré la pluie qui s’invitait. A 22h15, les prestigieux New Bumpers Revival Jazz Band, réchauffaient le cœur des 400 personnes abritées sous les parapluies. Une alerte aux vents forts annoncée, obligeait alors les

organisateurs à avancer la fin du concert d’un quart d’heure avec la compréhension des musiciens du New Bumpers Revival Jazz Band, conduit par le cornettiste et trom-pettiste Fred Dupin.

une organisation appréciée des musiciens et du public

Bien accompagnés par le son moel-leux et les lumières d’Alpha audio, avec Philipe et son équipe, tous les musiciens exprimaient leur plaisir au public et leurs remerciements à l’équipe de Jazz en Ré et à Daniel Lagarde, soulignant également l’accueil remarquable des deux res-taurants partenaires le Skipper et le Serghi, sur le port de Saint-Martin. Tous les partenaires institutionnels et privés de ce festival ont été remerciés publiquement par Jazz en Ré, sous les applaudissements d’un public qui s’est donné rendez-vous pour la 19ème édition... mais sous le soleil chaleureux de Ré !

Michel Lardeux

Une philharmonie c’est par définition un ensemble musi-cal formé des quatre familles

d’instruments : cordes, bois, cuivres et percussions. Fondée en 2009, la philharmonie s’est restructurée en association en 2014, sous l’ac-tion fédérative des harmonies de la Couarde et de La Flotte.

des musiciens de tous les villages

Elle regroupe aujourd’hui entre 50 et 60 musiciens qui viennent de toute l’île de Ré, issus des harmonies de La Couarde et La Flotte, des fanfares de Sainte-Marie, des Portes-en-Ré, de la Banda du Bois-Plage ou venant de leur propre initiative. Sous la direc-tion de Vincent Dassonville, profes-seur de cor et de la classe orchestre au Conservatoire de La Rochelle, qui dirige aussi l’orchestre d’harmonie de La Rochelle, assisté par Bernard Perrain, la philharmonie donne des concerts dans toute l’île de Ré. Elle interprète un répertoire varié de morceaux classiques, de musiques de films et de variétés arrangées pour orchestre d’harmonie, qui plaît beau-coup aux mélomanes.

rassembler et former

« La vocation de la philharmonie est de rassembler des musiciens, de former des jeunes pour qu’ils jouent d’un instrument et s’intègrent à l’ensemble musical. Nous avons la

chance d’être parfois accompagnés de musiciens qui ont joué dans des orchestres prestigieux, civils ou mili-taires, qui transmettent leur expé-rience aux jeunes. Une convention entre l’école de musique de l’île de Ré et la philharmonie permet aux élèves d’avoir une activité de pratique col-lective d’orchestre en étant intégrés à l’ensemble de la Philharmonie » précise Véronique Héraud, prési-dente de la philharmonie et per-cussionniste. « L’esprit est très bon entre nous, nous sommes heureux de jouer ensemble, et l’intégration se fait naturellement ».

La philharmonie recrute des musiciens

Néanmoins, la philharmonie recher-che toujours des musiciens, en prio-rité un batteur, et souhaite accueillir des musiciens aux autres pupitres. Pour cela il faut savoir lire la musique, s’engager à suivre assidument les répétitions du samedi soir au com-plexe Bel Air à la Flotte et à participer aux concerts. « N’hésitez pas ! Nous ne faisons pas passer d’audition. Les musiciens intéressés peuvent venir aux répétitions pour essayer, et restent libres de leur décision », confirme Véronique.

une saison 2015 - 2016 qui s’annonce bien

« Le programme des répétitions et concerts de la philharmonie est

arrêté, avec des dates prévues en décembre 2015, avril et juin 2016. Nous donnons au moins quatre concerts par saison », précise la prési-dente. « L’harmonie de La Flotte a de son côté une section jazz « Harmony Swing », chère à Claude Jobert, saxo-phoniste émérite et à tous ses com-plices. Elle donne chaque année de très nombreux concerts de Jazz très suivis qui permettent à des musiciens de la philharmonie et à d’autres qui les rejoignent, de s’exprimer dans un autre genre musical, sous la baguette de Bernard Perrain ».

Soutenue financièrement par la Communauté de Communes de l’île de Ré et le Conseil régional, la Philharmonie de l’île de Ré joue un rôle important dans la vie musicale de notre territoire. Les festivités ou les cérémonies officielles de nos villages, assurées par les formations officielles des villages et des renforts seraient bien tristes sans la participation de cette musique vivante, interprétée par des musiciens du pays !

Michel Lardeux

La philharmonie en représentation.

Jérôme Pietri, dans son formidable “one man band”.


z a p ’ a r t s

17

Private Pepper fait sa déclaration d’amour à l’îlet o u r n a G e d u c l i p « L A f I L L E E N R é »

C’est un beau roman, c’est une belle histoire, mais c’est sur les pistes cyclables qu’ils se sont croisés…

Tourné au Brésil, l’hiver dernier, le premier clip, « Sabado Samba », issu de l’album « Qiu » de

Private Pepper, a cartonné avec plus de 50 000 vues, en moins d’un mois sur la toile. Cette fois, c’est à l’île de Ré, que l’artiste rend hom-mage, et l’autoroute des vacances de Fugain, fait pâle figure à côté des paysages qu’il célèbre… « La fille en Ré », c’est l’histoire dont ont rêvé les rares qui n’ont pas eu la chance de la vivre, l’histoire d’une mélodie amoureuse qui s’intensifie au gré de la découverte de l’île. Une balade à vélo, qui se transforme en coup de cœur fulgurant, au point que le jeune homme devient saunier pour rester sur l’île… Si l’on ne sait pas, finalement, ce qu’il advient des amoureux, Ré, sem-ble avoir gagné la première man-che de ce concours de beauté ! « Le décor était tout trouvé », raconte Private Pepper, « Mais il a fallu déni-cher les deux acteurs ». Le « lover », c’est Paul, le fils de l’artiste que ce dernier, assure avoir eu le plus grand mal à convaincre. Ingrat si l’on en juge par la beauté de Léonore, 18 ans, jeune mannequin parisienne qui passe ses vacances, depuis toujours, en famille à La Couarde. C’est que,

la descendance donne dans le rap (il fait partie du groupe High Five), et ne voudrait pas voir la samba cha-loupée de son père « bisounourser » le flow de sa carrière prometteuse ! Le tournage, débuté vendredi 21 août, à l’aube, à Sablanceaux (où le sable est chaud), s’est achevé au coucher du soleil à Trousse-Chemise (où c’est partie remise). Entre temps, « Ils bavardent à La Couarde, c’est l’apéro à la Pergo, Il l’embrasse à la Passe, elle l’agace sur le port d’Ars »…

un projet qui a réuni toutes les bonnes volontés

Profondément attaché à l’île de Ré, qu’en dépit d’un agenda surbooké, il fréquente assidument depuis les années 80, le chanteur a mis à contribution tout son réseau, pour réaliser ce clip. L’album « Qiu » a d’ailleurs pu être produit grâce à Kiss Kiss Bank Bank, leader euro-péen du financement participatif. Le fan club du compositeur s’est lar-gement mobilisé sur le site. Cédric et Julien, les deux caméramans, ont été recrutés, pour ainsi dire, au dernier moment sur internet. Les deux Charentais ont fait preuve de

créativité tout autant que de pro-fessionnalisme, s’enthousiasme le chanteur. La première jeune fille pressentie, ayant fait faux bond, c’est Denis Chatin (patron de la Pergola et du restaurant La Cible) qui a recommandé la superbe Léonore qui incarne à merveille l’élégance rétaise, toute de sobriété. Quant à Christophe Sanselme de l’Esprit du Sel : « Il nous a donné un sérieux coup de pouce pour le tournage de la scène finale dans les marais salants à Loix », dit l’auteur de la ballade romantique. Juste retour pour un homme qui a passé sa vie à propulser la carrière des autres…

mais qui se cache derrière Private Pepper ?

De Monsieur Éric Dufaure à Mister Private Pepper…

Diplômé de sciences politiques et de la Harvard Business School, titu-laire d’une licence d’histoire, Éric Dufaure a effectué l’essentiel de son parcours professionnel dans l’indus-trie musicale. En 1986, il rejoint la Sacem, puis fut nommé en 97 directeur général d’EMI P u b l i s h i n g France. Une c a r r i è r e toute entière consacrée à la musique et à soutenir les artistes. Il a découvert Grace Jones, c o m p o s é pour Bernard Lavilliers, et mis à profit ses années américaines, pour faire connaître nos chanteurs outre atlantique (Charlélie Couture, Taxi Girl, Chagrin d’Amour, Etienne Daho...), en créant un album de compilations « made in France » diffusé aux Etats-Unis dans

les années quatre-vingt. Celui qui s’était fait vœu de servir la musi-que depuis son coup de foudre pour les Beatles, la vit et en joue depuis toujours. Dès l’âge de 13 ans, alors qu’il est pensionnaire à Londres, il fonde son premier groupe, donne des concerts à 15 et compose ses premières chansons à 16. Armé de sa guitare, il explore le rock, le reggae et la samba de sa voix veloutée. En 2010, un grave accident le voit assigné à résidence en maison de rééducation, où sa plus fidèle compagne, la musique, devient sa thérapeute. Il chante, compose et enregistre même des clips live qui mettent en scène le personnel, les patients et l’équipe médicale du centre. Petit à petit le « late bloomer » ose faire par-ler la petite musique de son cœur et envisage de passer des bureaux à la scène. Un an plus tard, c’est chose faite, Éric Dufaure a quitté sa Chrysalide pour devenir l’in-contournable Private Pepper qui nous régale depuis trois ans, de ses mélodies enjouées.

Marie-Victoire Vergnaud

Les amoureux Eléonore et Paul.

éric Dufaure Alias Private Pepper.

Nouveau : Bruschettas, assiettes de poissons

fumés, assiettes de fromages

le clip « La fille en Ré » sera visible sur youtube mi-septembre.l’album Qiu est d’ores et déjà disponible sur itunes.


s p o r t s à l a h u n e

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une préparation de rentrée studieuse et méticuleuse pour le Sporting Club Rétais

une première saison en dHR pour l’Association sportive Réthaise

r u G B y

f o o t B a l l

Avant d’aborder la saison 2015-2016, Yves Crégut (président) et Emmanuel Aouach (vice-président) du Sporting Club Rétais sont tout à fait confiants.

Président depuis 20 ans de l’Association Sportive Rétaise (ASR), Michel desfontaines est confiant en cette rentrée sportive qui verra l’équipe 1 masculine évoluer en division d’honneur régionale pour la première fois de l’histoire du club de football fondé en 1936.

Tout d’abord, le terrain s’est « refait une beauté ». En effet, un groupe de dirigeants s’est

chargé de l’entretien de la pelouse (arrosage tout l’été) et de l’amélio-ration matérielle du stade.

un club en bonne santéComptant plus de cent cinquante licenciés, le SCR encadre six équipes (ou plutôt six catégories de jeunes) : moins de 6 ans, moins de 8 ans, moins de 10 ans, moins de 12 ans,

moins de 14 ans et moins de 16 ans. Il y a un éducateur par catégo-rie. L’équipe première dispose d’une trentaine de joueurs, elle évolue en promotion d’honneur depuis cinq ans et a terminé en 5ème place la saison dernière.Six nouvelles recrues vont venir renforcer l’effectif. Les ambitions pour l’année à venir sont, bien entendu, le maintien en PH, mais surtout d’essayer de « jouer le haut du tableau » comme nous le confie Manu, le Vice-Président.

une préparation très active

Les entraînements ont déjà repris (les mercredis et vendredis soir) sous la responsabilité de Stéphane Bobinec (arrivé d’Aytré l’année der-nière) et de deux anciens du club : Guillaume Ott et Edouard Pascal, se partageant l’encadrement des

avants et des lignes arrières.Cette année, les dirigeants ont innové en faisant appel aux ser-vices de Didier Ornet, préparateur physique professionnel, qui a déjà officié en Pro D2 (Racing Métro 92).Enfin pour parfaire les préparatifs, un tournoi triangulaire sera orga-nisé le 12 septembre prochain et le club recevra deux équipes : Le LEC (Limoges Etudiants Club) et le RCQ (Racing Club Queyrannais de Villefranche de Queyrans située non loin d’Agen). Un repas convi-vial clôturera l’épreuve.Tout semble se présenter dans les meilleures conditions pour le cham-pionnat qui débutera le 20 septem-bre par un match à l’extérieur, le SCR se déplacera à Fouras.

Jacques Buisson

Après une longue trêve hiver-nale, nous avons réussi une très bonne fin de saison

2014-2015 avec 11 victoires sur 12 matchs, ce qui nous a promu en division d’honneur régionale de la ligue du centre-ouest de football ».

un mercato très actif

« Nous avons eu des mouvements naturels de joueurs, comme à cha-que inter-saison. Nous enregistrons les départs de cinq joueurs : Gautier Loïc - Yobo Christian - Bouazzaouy Anass- Torchon Jérémy - Lelan Sébastien”. Pour la saison 2015-2016, Stéphane Auboyer, l’entraî-neur de l’équipe fanion, accueille neuf nouveaux joueurs et comptera sur la cohésion entre anciens et nou-veaux pour composer l’équipe qui jouera en DHR.

forte opposition dans la poule a

L’ASR se retrouve en poule A avec les clubs de : Nouaille Es, Chatellerault So 2, Neuville Ca, Thouars Foot 79 -2, St Sauveur Us 79, Parthenay Viennay Rc, St Jean D Angély, Perigny Fc, Saintes Foot Es, Buxerolles Es, Chauray Fc 2. « Notre objectif est de poursuivre sur la dynamique de la 2ème partie de saison dernière. Notre ambition

est de nous maintenir en division honneur régionale » précise Michel Desfontaines, qui fait confiance à son entraîneur Stéphane Auboyer pour réussir l’intégration des nou-veaux arrivants au sein du club.

une vie de club très active

L’Association Sportive Réthaise est propriétaire du fameux annuaire téléphonique rétais « le Fil de Ré » distribué gratuitement et utilisé par tous les Rétais. Le tournoi de football d’envergure nationale, le mémorial Bruno Tesson, qui mobi-lise de nombreux bénévoles et des partenaires fidèles, a réuni 56 équipes de jeunes footballeurs à la pentecôte 2015.

Côtés jeunes, comme les autres clubs sportifs sur l’île de Ré, l’ASR connaît des variations d’effectifs en fonction du parcours scolaire des jeunes, lors du départ au lycée sur le continent. Cette saison, un entraîneur, coordonnateur de l’école de football, Yann Thomas, sera attaché spécifiquement à la formation des jeunes. Sylvio Da Corte entraînera l’équipe réserve. L’ASR peut également se réjouir du parcours réalisé par le jeune Romain Charruau, promu à un bel avenir dans le corps arbitral, et qui officie pour les matchs des moins

de 19 ans au niveau national. Enfin sur le plan logistique, l’ASR dispose d’un club-house au stade Marcel Gaillard et de moyens de transports par bus et minibus pour ses déplacements.

Avec une organisation bien struc-turée, l’investissement de ses dirigeants et de ses membres, le professionnalisme de l’encadre-ment et l’engagement sportif des joueurs qui mouillent le maillot sur le terrain, l’ASR est un grand club sportif qui porte haut les couleurs rétaises.

Michel Lardeux

Didier Ornet, au centre du groupe de joueurs prêts pour l’entrainement.

Les jeunes pousses de l’ASR au mémorial Bruno Tesson 2015.

revue d’effectif du groupe DhrGardiens : brice sauvaget et Florian hell.Défenseurs : Romain le damany, nicolas letouzé, Jérémy teixeira, alhasana Camara, Zakaria Wardi, teddy bureau, thomas planchon, pape modj.Milieux : thibault derrien, J.b lecourt, emilien Coutant, Julien Grivault, nicolas davy.Attaquants : Wielfried auboyer, alexandre Renaud, nassim alioui, mohamed moussier, tony martin.



19

Avec le squash, un nouveau sport voit le jour dans l’île de Ré

une semaine « découverte » à AquaRé pour surfer sur l’ « effet rentrée »

deux salles de squash ont été ouvertes au sein du complexe sportif situé au cœur du village artisanal de loix (seule structure de l’île), le 28 mai dernier.

Avec 22 000 entrées en juillet et août 2015, soit à peine 100 de moins qu’en 2014, et du même niveau qu’en 2013, franck legendre, directeur du centre aquatique AquaRé estime satisfaisant le bilan estival.

o u v e r t u r e d e l a s e c t i o n s q u a s H d u l o i x t e n n i s c l u B

c e n t r e a q u a t i q u e a q u a r é - s a i n t - m a r t i n d e r é

Les dirigeants du LTC (Loix Tennis Club) se sont immédiatement investis pour assurer la promo-

tion de ce sport, jusqu’à présent non pratiqué sur l’île. Ils ont organisé le 30 mai un tournoi « Open » réu-nissant 16 joueurs (dont plusieurs confirmés) venus de La Rochelle, de Niort, de La Roche Sur Yon. L’épreuve, qui a été remportée par Guillaume Doffagne (classé 2A, 49ème joueur français), a été un véritable succès.

des ambitions très concrètes

Le squash aurait vu le jour dans les prisons anglaises. Des détenus auraient joué à la balle en la frappant

de la paume de la main et la faisant rebondir sur les murs à l’intérieur de leurs cellules… Depuis, ce jeu s’est bien structuré. On lui a donné des règles et il est devenu une discipline sportive à part entière.Durant les mois de juillet et août, les salles ont régulièrement été occupées (de 9h à 18h voire plus) avec des séquences de 40 minutes. Eric Franchet (Président du LTC) a plusieurs projets. Il a la ferme inten-tion d’organiser des cours à l’année, de créer une école de squash et de procéder à la formation d’une ou de plusieurs équipes afin de participer à des championnats départementaux, même régionaux.

Dans un premier temps, Cédric Corpechot (Professeur de tennis, nouvellement arrivé au club), va recevoir une formation pour faire de l’initiation chez les débutants.

Il sera épaulé, dans sa tâche, par Fabrice Albeau (Moniteur diplômé d’Etat).Dès aujourd’hui, le club fournit du matériel en location : raquettes, chaussures. De plus, le LTC offre des lunettes, rappelons qu’elles sont obligatoires pour les moins de 19 ans. Le club est d’ores et déjà affilié à la fédération française de squash. Il s’efforce de recruter des joueuses et des joueurs.Beaucoup de sérieux et de déter-mination pour faire découvrir à l’ensemble des Rétais une nouvelle passion…

Jacques Buisson

Stages de natation, activités d’aquagym et d’aquacycling, accès du public à la piscine et

espace détente constituent les trois types de fréquentation d’AquaRé, qui emploie 15 personnes en été.

Cette année, afin de dynamiser les périodes de beau temps (durant lesquelles les vacanciers se tour-nent davantage vers la plage), le centre aquatique avait imaginé des attractions supplémentaires, avec l’installation d’un espace de vente et dégustation de glaces sur la pelouse, un château gonflable sur le thème du rugby pour les enfants, et des mercredis animés sur différents thèmes tels les courses de tobog-gans, les enquêtes policières. Les cours d’aquagym se faisaient eux au rythme des musiques calées sur la programmation des Francofolies. De janvier à août, avec 62 000 entrées, si le chiffre d’affaires est resté stable, la fréquentation a été un peu en baisse, liée à une moindre fréquentation des enfants scolarisés et des activités. Afin de maintenir la fréquentation annuelle autour de

92 000 entrées « rythme de croisière » des précédentes années, Franck Legendre compte bien sur l’effet boostant de la rentrée.

tester toutes les acti-vités en une semaine

Ayant réouvert ses portes dimanche 6 septembre, après la semaine annuelle de vidange et nettoyage complet, AquaRé propose une « semaine découverte » du 7 au 11 septembre pour

ceux qui n’ont encore jamais fré-quenté la piscine : pour 5 € ils pour-ront accéder aux bassins toute la semaine et tester gratuitement* les activités d’aquagym, aquacycling ou aquapalme, cette dernière consti-tuant une nouveauté. L’ensemble des activités des habi-tués reprendront également dès le 7 septembre, tandis que les enfants scolarisés reprendront le chemin de la piscine à partir du14 septembre. Au vu de leur succès cette année, les soirées zen - plus particulière-ment destinées aux adultes - sont maintenues chaque dernier vendredi soir du mois de 19h30 à 22h, avec musique d’ambiance, éclairage à la bougie, tisanerie et petits gâteaux, accès à l’espace détente et massages en bord de piscine (supplément).

Soirées « Zen », après-midis anniversaires et aquapalme au programme

Les nocturnes sont toujours propo-sées tous les mardis et vendredis soirs, de 19h30 à 22 heures. Les offres anniversaires qui ont séduit

les familles en 2014/2015 sont éga-lement reconduites sur trois heures le mercredi et le samedi après-midi. Découpées en trois temps, une heure encadrée par les maîtres-nageurs animateurs, une heure de pratique libre de la piscine sans encadre-ment spécifique d’AquaRé et une heure pour le goûter (qu’il convient d’apporter) dans l’un des vestiaires collectifs « privatisé » et décoré pour l’occasion, ces formules anniversai-res permettant d’accueillir dix enfants pour un forfait global de 60 €. La formule adolescents (12 à 19 ans) à thème de type « Koh Lanta » revient elle à 70 €.Natation artistique, water-polo, activités d’appren-tissage et ludiques, cours d’aquagym (4 niveaux d’intensité) et d’aqua-cycling se verront cette année complétés par un premier cours d’aquapalme (une heure par semaine, sur un jour non encore défini, avec 10 personnes), permettant de retrouver via un pro-gramme d’exercices soutenus tonus et fermeté des jambes, des hanches, etc…Enfin, dans le cadre des Journées européennes du patrimoine, les curieux pourront cette année encore visiter les « dessous de la piscine », c’est-à-dire toutes les installations techniques : chaufferie bois, pom-pes, filtres, traitement de l’air et de l’eau. Ce sera samedi 19 septembre entre 14 h et 17 h. L’an passé plus de 50 personnes avaient profité de cette opportunité.

un nouveau projet sera présenté dans le cadre

du renouvellement de la dSP

Vert Marine sera, au printemps 2016, candidat à sa succession dans le cadre du renouvellement à son terme fin juin 2016 de la DSP (Délégation de service public) que le groupe (Segap Ré, puis Vert Marine depuis 2012, à l’occasion

du rachat de la Segap) gère depuis 2009. Confiant du fait des vingt ans d’expérience du groupe qui gère 60 piscines, Franck Legendre précise que les conditions financières de la DSP ne pourront être les mêmes (la gestion d’AquaRé est déficitaire) et que l’ensemble du personnel du cen-tre aquatique sera maintenu, quel que soit le gestionnaire. En atten-dant, Vert Marine entend présenter un nouveau projet et de nouvelles idées, mais, on le comprend bien, ceux-ci resteront top secret !

Nathalie Vauchez*Hormis pour l’aquagym, il convient de s’ins-crire à l’avance pour les tests de cours d’aqua-cycling et aquapalme, limités à 20 places.

Le squash dans l’île, c’est parti !

Le grand bassin, idéal pour s’entraîner.

La pataugeoire pour les petits et le toboggan contribuent à l’attractivité d’AquaRé.



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l’uSv Ré basket dans la cour des grands B a s k e t

Pour cette rentrée en nationale 2, l’uSv Ré basket a effectué une préparation sérieuse au complexe P. Ruibet à la Rochelle.

Le club a enchaîné face à de bon-nes équipes une série de quatre matchs préparatoires nécessaires

à la cohésion d’un groupe remanié.

des mouvements de joueurs à l’inter-saison

Des joueurs importants de l’équipe masculine 1 : Louis Iglésias, Brian Moutlrie, Dan Autman, Kamel Amour, sont partis vers d’autres horizons spor-tifs. Le président Philippe Giraudeau et l’entraîneur Christophe Baufils ont privilégié la polyvalence aux

différents postes et fait appel à des joueurs de talent pour constituer un groupe qui a fait bonne impression face à l’équipe des pays des Olonnes basket, lors du match de prépara-tion intense du 25 août à la salle des sports d’Ars-en-Ré, devant une belle assistance. Le groupe sur le parquet a montré un potentiel intéressant avec de la solidarité en défense, et réussi de belles combinaisons en attaque. Willy Molongo, Julien Delmas, Olafur Olafson, les nouvelles recrues ont rejoint Marvin Moulart, Charles Albert, Fred Beuzelin, Pape Badiane, Mael Poiroux. Sont encore attendus dans les prochains jours Philippe Papiyon (en provenance de Frontignan) et l’américain Marc Dawson.

une poule sud-ouest difficile

Pour sa première saison en Nationale 2 l’USV Ré Basket va se frotter à des

équipes expérimentées comme le Stade montois - Beyssac Beaupuy Marmande - Tours - Brissac Aubance - CTC Alliance Toulouse - Elan Bearnais Pau – SAS Cognac Charente -Dax Gamarde –ES Gardonne – Luçon - Pays des Olonnes - Valence Condom - Garonne ASPTT. Une poule qui nous promet des matchs enflammés dans une salle des sports d’Ars, très adap-tée, qui accueillera les matchs et les nombreux spectateurs pendant la durée des travaux de la salle fétiche du Godinand.

faire aussi bien, sinon mieux, que la saison dernière

« La qualité de l’opposition est forte. Atteindre les play-offs serait une récompense pour un groupe qui travaille sérieusement et pour le club. Nous voulons jouer le haut du tableau ! » explique Philippe Giraudeau, prési-dent extrêmement motivé et entouré

par un staff qui s’appuie sur la belle 4ème place obtenue lors de la saison 2014 - 2015 et la demi-finale en tro-phée coupe de France. Il peut aussi compter sur la qualité de jeunes pro-metteurs des équipes du club et la dynamique fédératrice de la forma-tion basket sur l’île de Ré.

un match de gala pour un 32ème de finale de coupe de france

Le 11 septembre à 20 h l’USV Ré-basket rencontrera l’équipe de Pro B du Boulazac Basket Dordogne à la salle des sports d’Ars, route de la Prée. Directement qualifiée à ce niveau par son parcours de l’année dernière, l’équipe de l’USV Ré basket pourra compter sur le soutien du fidèle public rétais pour ce match de rentrée. L’ouverture des portes est prévue à 19 heures avec la vente des billets sur place (5 euros la place, gratuit pour les moins de 18 ans).

Michel Lardeux

L’équipe USV Ré Basket.

beaucoup d’espoir pour les deux équipes « séniors » du Ré Handball Club

H a n d B a l l

le RHbC a fêté ses 40 ans l’année dernière. Ce club a vu le jour lorsqu’un groupe de copains, animé notamment par Gilbert Glaziou accompagné de Jean boyer (professeur d’éducation physique au collège de Saint-Martin), de Gérard bégnatborde (directeur de l’école publique du bois-Plage), de Patrick Gilbert (médecin à la flotte) et bien d’autres encore, a décidé de créer une équipe de handball.

Aujourd’hui, Ludovic Glaziou (le fils de Gilbert) dirige le club

qu’il a intégré en 1976, alors minime. Ludovic, après avoir servi le RHBC jusqu’en 2013 (il a joué 20 ans en équipe « sénior » première pour terminer ensuite sa carrière dans l’équipe réserve) dirige le groupe avec beaucoup de dynamisme et de conviction.

une progression constante malgré quelques

imprévusBeaucoup de joueurs font vivre le club, fort de ses 120 licenciés, le RHBC se place en cinquième position départe-mentale au niveau du recrutement.Les jeunes disposent de quatre grou-pes (allant des moins de 18 ans aux moins de 10 ans). Deux équipes « séniors » garçons. La première qui, cette année remonte en excellence régionale et la réserve qui évolue en excellence départementale. Une seule ombre au tableau, il n’y a plus d’équipe féminine. Vu le nombre important de départs (7 joueuses) pour des raisons essentiellement professionnelles, il n’est pas possible cette saison de participer au championnat.Ludovic Glaziou reste très confiant et s’efforce dès maintenant à effectuer un recrutement chez les filles.

des ambitions très concrètesLes entraînements ont repris depuis le 15 août. Cette année une « coache sportive », Fabienne Duhec, assurera la préparation physique des joueurs. Olivier De Sousa reste l’entraîneur

et Ludovic sera le « coach » des deux équi-pes « séniors ». Le RHBC a quasiment réalisé un sans-faute l’année passée, invaincu dans sa poule (19 victoires et 1 match nul), il est arrivé en demi-finale de la coupe 17. L’objectif pour la saison 2015-2016 est de jouer la montée en pré-natio-nale pour la première et de monter en pré-régio-

nale pour la réserve. Pour cela, le club a recruté plusieurs joueurs. Faiz M’Rabet, ancien pro qui a joué 8 ans en Tunisie et 8 ans en Allemagne. Retour cette année de Damien Boucher, après avoir évolué en nationale 3 à Chatellerault. 2 joueurs de pré-nationale : Damien Ziane (qui arrive de Loudun), Amhet Cinar (qui vient de Cognac), et un autre retour, celui de Tarek Belase. Cette année, les quatre premiers matchs auront lieu à l’extérieur pour cause de réfection du gymnase (plancher, plafond, chauffage, peinture). Il sera opérationnel à partir du 5 novembre prochain. La première rencontre du championnat se déroulera à Courlay, le 19 septembre. Une ambiance amicale et solidaire règne au sein du groupe qui a la ferme intention de concrétiser ses objectifs.

Jacques Buisson

Les filles reviendront bientôt au club.

depuis l’année dernière le RhbC a son site : rehandballclub.clubeo.com


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Réouverture de « la Parenthèse »

dimanche on danse à la Guinguette du bord de mer !

Au bois-Plage, le lieu d’accueil Enfants-Parents (lAEP) « la Parenthèse » a ré ouvert ses portes ce mardi 8 septembre.

dimanche 20 septembre, de 15 h à 18 heures, l’esplanade en face du marché de Rivedoux-Plage, accueillera un après-midi dansant, animé par l’orchestre Alain vicenté.

l i e u d ’ a c c u e i l e n f a n t s - p a r e n t s

o s t r o - a r t i . c o m

Géré par la Communauté de Communes, il vous propose des moments de rencontre,

de jeu, de partage entre parents et enfants de moins de six ans. Vous serez accueillis dans des locaux adaptés aux activités ludiques, sans formalité ni inscription.Vous pourrez partager un moment privilégié avec votre enfant autour du jeu, faciliter la rencontre et les échanges entre enfants, entre adul-tes (dont les futurs parents, qui sont les bienvenus), préparer votre enfant à la vie en collectivité, trouver un espace convivial de discussion et

d’échange autour de la parentalité, en toute confidentialité.L’accueil est gratuit pour les familles.

NV

L’entrée est gratuite pour tous et les danseurs pourront offrir à leur cavalière un rafraîchisse-

ment et une collation à la buvette. Ce divertissement convivial est

organisé par la dynamique asso-ciation Ostro-arti.com, présidé par Karine Panafieu. Tout au long de l’année, cette association qui réunit 40 adhérents, ostréicul-teurs, artisans et commerçants de Rivedoux, œuvre pour l’animation commerciale du village. Elle tra-vaille déjà à la traditionnelle soirée du Beaujolais nouveau en novem-bre, à la tombola de Noël et pré-pare sa participation au marché de Noël. Avec votre cavalière ou cavalier préféré, vous aimez le musette, le pasodoble, le tango, la valse et les variétés des années 80 ? Alors ouvrez vite votre carnet de bal et réservez cette date.Une initiative originale et géné-reuse qui devrait réunir un large public sous le beau soleil d’automne !

Michel Lardeux

La Parenthèse propose un accueil et un lieu adaptés pour les parents et petits enfants.

tous les mardis de 9h15 à 11h45 (hors vacances scolaires) Rue des barjottes – le bois-plage-en-Ré (locaux de l’accueil de loisirs)contact : sylvie oliveau Coordinatrice petite enfance, Commu-nauté de Communes de l’île de Rétél. : 05 46 09 01 46

Un après-midi dansant…

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Auvergne en Ré

un trophée orpi du golf de trousse-Chemise très disputé

c o m m e r ç a n t n o n s é d e n t a i r e

c o m p é t i t i o n d e G o l f – l e s p o r t e s - e n r é

un commerçant hors du commun se lance dans la valorisation de la production locale.

120 joueurs ont participé du 20 au 22 août, à la 8ème compétition orpi Saint-Yves qui s’est déroulée au golf de trousse-Chemise.

Né à Feurs (département de la Loire), Frédéric Gravier s’est installé très jeune en

Auvergne. Il vit aujourd’hui avec son épouse et ses trois enfants à Saint Cirgues sur Couzes (Puy de Dôme), petit village de 200 habitants situé entre Issoire et Saint-Nectaire.

a la découverte des produits du terroir

Jusqu’à l’année dernière, Frédéric était commercial dans le surgelé et travaillait aussi dans la vente de « boucherie du terroir » pour un groupement d’agriculteurs.Il a pris la décision d’abandonner ses activités pour se lancer sur les mar-chés avec pour devise d’être l’unique intermédiaire entre le producteur et le consommateur.Connaissant l’île de Ré, où il venait

passer ses vacances depuis sa plus tendre enfance, il a choisi le marché de Sainte-Marie (place d’Antioche) et celui de Loix pour vendre ses produits de qualité (charcuterie fraîche et sèche). On trouve, sur son étalage, une variété importante

de saucissons, jambons, charcuterie de porc fermier. On y trouve aussi les meilleurs fromages d’Auvergne : Saint Nectaire, Cantal, Salers, Fourme d’Ambert…Frédéric travaille également sur com-mandes et assure des livraisons à domi-cile. Il se fournit directement chez des petits producteurs. Présent tous les jours de la semaine, l’été, sur les deux marchés rétais, il a décidé, d’octobre à Pâques, de ne venir vendre que les mardis et mercredis sur l’île et de passer le reste de son temps chez lui.

Les huîtres à la conquête de l’auvergne

Quand il revient au domicile fami-lial, Frédéric a pris le soin de char-ger son fourgon de produits locaux avant de passer le pont. Toujours en privilégiant le circuit de distribution

court, sans intermédiaire, il déballe des bourriches d’huîtres que lui fournissent plusieurs ostréiculteurs rétais, ainsi que des moules livrées par un conchyliculteur de l’Houmeau. Il vend, également le samedi sur le marché d’Issoire et le dimanche sur celui d’Aubière, des palourdes, de la soupe de poisson, du sel produit par les sauniers du nord de l’île. Le reste du temps il livre à domicile.Cet échange de produits du terroir fait de Frédéric un commerçant tout à fait original. Soucieux de la qua-lité de sa vente, il entretient avec sa fidèle clientèle des relations des plus amicales. Il ne se déplace jamais sur les marchés sans porter son tee-shirt « imprimé » de la carte de l’île et sur lequel est écrit en gros caractères : « Auvergne en Ré ».

Jacques Buisson

Depuis 9 ans, Orpi a en effet mis en place un circuit de compétitions régionales,

ouvertes à tous, avec une finale nationale. Chaque année, plus de 2 500 joueuses et joueurs participent à ces compétitions et font du Trophée Orpi un des plus importants circuits amateurs de golf en France. En 2015, 24 compétitions réparties sur toute la France se déroulent le week-end, d’avril à septembre. Ces compéti-tions régionales sont qualificatives pour la finale nationale actuellement en cours de préparation, qui se tien-dra au Golf du Médoc Resort près de Bordeaux les samedi 17 et dimanche 18 octobre 2015.L’organisation de ces compétitions

est confiée à l’agence Parcours 18 qui en assure la mise en place, le déroulement et l’animation tout au long de la saison. Chaque compéti-tion est organisée sur le même for-mat : cadeaux d’accueil, dotation et cocktail de remise des prix.Ainsi, les gagnants de la 8è coupe Orpi Sant-Yves du Golf de Trousse-Chemise, Marie-Eugénie Lillet et Olivier Thierry, représenteront le golf des Portes en Ré à la finale. Cet évènement a été l’occasion pour Pascal Frigière, gérant des agences Saint-Yves Orpi des Portes en Ré, d’Ars en Ré et de La Couarde, de fêter dignement les 25 ans de son agence du nord de l’île de Ré, de remercier ses fidèles équipes et

d’expliquer sa stratégie d’expansion sur le sud de l’île de Ré avec le rachat au printemps 2015, à Chrystelle Longeville de l’Agence du Port, très présente à La Flotte et à Sainte-Marie de Ré. La publication des car-tes d’aléas de l’Etat dans le cadre de la révision du Plan de Prévention des Risques Littoraux (PPRL) - qui ont fortement impacté les transactions immobilières sur le nord de l’île de Ré - explique la volonté du dirigeant de s’étendre au sud.Il a remercié le président, Franck Gentin, et la vice-président, Katrine Caron, de l’Association Sportive, qui gère le Golf de Trousse-Chemise, dont le directeur et pro-fesseur, Bernard Gauchon, part à la

retraite et sera remplacé en début d’année prochaine par Nicolas Horwitz. Âgé de 35 ans, ce golfeur expérimenté, qui a débuté ce sport à l’âge de 5 ans,fait partie depuis 2007 de l’équipe enseignante du Golf de la Grange aux Ormes en Moselle.

Informations recueillies par NV

L’Auvergnat-Rétais devant son stand sur le marché de Loix.

Marie-Eugénie Lillet et Olivier Thierry ont remporté le trophée Saint-Yves Orpi

de Trousse-Chemise.

une Miss pour Rivedoux-Plage

Rosalie, jeune rétaise de 17 ans, nous fait partager depuis quelques mois dans cette nouvelle rubrique ses découvertes, coups de cœur, étonnements, réflexions.

le 6 août dernier, huit candidates motivées ont pu participer dans une ambiance « bon enfant », au concours pour le titre de Miss Rivedoux.

c o n c o u r s d e B e a u t é

L’élection de Miss Rivedoux a été l’occasion pour les participantes comme pour le public de passer

une soirée conviviale et surtout fami-liale, puisque tous les âges se sont réunis autour de cet évènement. Les candidates qui avaient entre seize et vingt ans ont, après avoir été pré-sentées, défilé à quatre reprises pour présenter leur style. D’abord en tenue décontractée, puis dans une tenue de leur choix, elles ont ensuite enfilé une robe de soirée et clos la présen-tation en maillot de bain (bien que cette étape ne fût pas obligatoire pour celles qui auraient eu le trac). Afin que les spectateurs participent, les jeunes filles ont déambulé parmi

le public et ont eu la possibilité de prononcer un petit discours. L’organisatrice, Madame Loquet, de l’association Rêvedoux, tenait particulièrement à ce que les par-ticipantes soient en confiance, c’est pourquoi elle explique avec bienveillance : « toutes celles qui étaient motivées ont été les bienvenues, sans aucun critère particulier, tels que la taille ou le poids ». C’est à ce titre d’ailleurs qu’elle n’a pas souhaité faire par-tie du jury. Ce dernier, composé de quatre membres, a élu Manon comme Miss Rivedoux, puis Eva, pre-mière dauphine, Noémie deuxième dauphine et enfin Coline, troisième

dauphine. Manon, qui a 19 ans, a déclaré avoir participé, pour : « avoir le plaisir de représenter sa commune ».

Le concours était cependant ouvert à toutes les rhétaises. Cette élection fut également l’occa-sion de réunir les commerçants, puis-que les lots pour la gagnante étaient généreusement offerts par des com-merces bien connus de la commune (Fred la boulangerie, chez Ré Monde ou encore U Express). Cette soirée, chaleureuse et ludique, a connu un succès au-delà des espé-rances de l’association. Parmi les candidates, certaines, ravies de l’ex-périence, se sont déjà inscrites pour la prochaine édition. Mais la future Miss Rivedoux est-elle en train de lire ces lignes ? À suivre…

Rosalie Ferrara

Manon, éva, Noémie et Coline.

l e c o i n D e r o s a l i e



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le bon vin, plaisir de la table A la période des vendanges, les clients d’Intermarché se retrouvent à la foire au vin des magasins de la flotte ou de Saint-Martin pour renouveler leur cave et faire des affaires du 8 au 20 septembre.

f o i r e a u x v i n s i n t e r m a r c H él a f l o t t e e t s a i n t - m a r t i n

Les grandes régions viticoles françaises sont présentes avec des vins choisis parmi les

800 références du catalogue du groupement. Sélectionnés par les œnologues sur plusieurs critères, principalement la qualité du bou-quet, l’équilibre harmonique, les arômes en bouche et l’apprécia-tion globale, le client est assuré, quel que soit son goût et son bud-get, d’acheter un vin avec un bon rapport qualité/prix », explique JC Denis, directeur de l’Intermarché de La Flotte, qui a personnalisé la gamme des vins présentés avec Séverine Desmereau, PDG, en par-faite connaissance des préférences de la clientèle rétaise.

des best-sellers et des coups de cœur

Connaisseurs et néophytes auront fait, en avant-première et sur invi-tation, de belles découvertes en blanc, rouge ou rosé lors des soirées de lancement de la foire au vin le lundi 7 septembre à l’Intermarché de Saint-Martin et le 8 septembre à La Flotte. Les vins de Bordeaux et du sud-ouest sont en bon rang dans la sélection. Remarqué par le Club des amateurs de vin Intermarché, Esprit de Pavie, un bordeaux rouge puissant et frais, fait d’assemblages issus des propriétés de Gérard Perse, dont le renommé Château Pavie, est très convoité. Tout comme le côte de bourg du Château Tayac, un coup de cœur ! Crus bourgeois, Graves, Margaux, Pessac-Léognan, Saint-Emilion... le choix est large dans les célèbres appellations. Ajoutons à la gamme sud-ouest, les Gaillac, Cahors, Pécharmant etc... qui sont aussi recherchés. Les amateurs de vins de Bourgogne seront comblés avec des appellations prestigieuses : côtes de Beaune, Pommard, Côte de Nuit, Brouilly, Morgon... Les vins de Val de Loire, d’Alsace, du Rhône, de Provence et de Corse

sont aussi très appréciés et il y a de belles opportunités en blanc comme en rouge. Quelques vins étrangers venus d’Espagne ou du Chili font partie de la sélection, tout comme la gamme des vins Bio qui séduit de plus en plus de connaisseurs.

L’effervescence, la distinction de vos apéros et cocktails

Du Crémant au Champagne vous pourrez choisir en fonction de votre budget et de votre goût. Pour la réussite de vos apéros et de vos cocktails, vous choisirez un crémant d’Alsace ou de Bourgogne, qui se sert nature ou travaillé avec d’autres alcools ou fruits pour composer d’excellents cocktails ou soupes. Le champagne est au rendez-vous avec de très belles bouteilles portant l’étiquette et le prestige des grandes maisons de ce vignoble d’exception.

un bon vin mérite un bon verre !

La foire aux vins, c’est aussi l’occa-sion de renouveler ou d’actualiser les accessoires qui accompagnent le cérémonial du service du vin. Un bon vin s’apprécie dans un verre adapté. Du verre à vin blanc, au verre à vin rouge ou à champagne, sans oublier les « long drink » ou les verres à eau /whisky, vous ferez des affaires à des prix imbattables. Et avec la carte de fidélité Intermarché, les clients disposent d’un avantage de 10 % dès 50 euros d’achats sur toute la foire aux vins.

Qu’il s’agisse de vins jeunes ou vieillis, de vins de garde ou à consommer dans l’année, la foire aux vins c’est l’assurance de bonnes affaires et d’une bonne cave, pour partager avec modération la convi-vialité d’un bon vin autour d’une bonne table. A votre santé !

Michel Lardeux

mon @ccessoiriste19 rue Jean Jaurès 17410 saint-maRtin de Ré [email protected] 84 35 34 90

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La foire aux vins Intermarché attire toujours de nombreux clients.

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Ré à la Hune n° 126