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© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit. Supplément à La Libre Belgique - N°136 - Semaine du 16 au 22 février PP. 2-3 ALEXIS HAULOT NOUVELLE VERSION? LE SYNDIC Châteaux Annonces Dans ce supplément, 6 pages pour trouver le bien de votre choix. Zoom sur le château de Schengen, situé sur les bords de la Moselle. PP.4-5 D.R. PP. 6>12

La Libre Immo du 16 février 2012

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Le syndic une nouvelle version

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Page 1: La Libre Immo du 16 février 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Supplément à La Libre Belgique - N°136 - Semaine du 16 au 22 février

PP.2-3

ALEXIS

HAUL

OT

NOUVELLEVERSION?LE SYNDIC

Châteaux AnnoncesDans ce supplément,6 pages pour trouverle bien de votre choix.

Zoom sur le château deSchengen, situé sur lesbords de la Moselle. PP.4-5

D.R.

PP. 6>12

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© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

2 Le dossier SEMAINE DU 16 AU 22 FÉVRIER LIBRE IMMO 3Le dossierSEMAINE DU 16 AU 22 FÉVRIER LIBRE IMMO

l Copropriété l Législation

Mal aimés, les syndics ?h Responsable notamment de lagestion d’une copropriété, le syndicsouffre souvent d’une mauvaiseimage. Et pourtant…

JUIN 2010 : la nouvelle loi sur la copropriété modifiecelle­ci mais aussi les compétences de son organe :le syndic. “Nous avons participé activement à cettenouvelle loi. Elle est un plus”, explique Yves Van Er­men, secrétaire général de l’Absa, l’association belgedes syndics et administrateurs de biens. “Elle a pro­fessionnalisé le secteur”.

Les tâches principales du syndic, organe obliga­toire élu pour trois ans par l’assemblée générale descopropriétaires, restent les mêmes : la gestion jour­nalière de la copropriété, la vérification de la bonneexécution des décisions de l’assemblée générale etl’accomplissement de tous les actes nécessairespour la conservation et l’administration de l’im­meuble.

Avec la récente loi, de nouvelles tâches lui incom­bent. Ainsi, le syndic doit notamment désormaisdemander plusieurs devis pour des interventionsd’une certaine importance; il doit aussi dresser uneévaluation annuelle des contrats de fourniture ré­guliers (mazout, électricité,..). Autre nouveauté :pour éviter les conflits d’intérêts, il doit solliciterl’autorisation préalable de l’AG pour toute conven­tion avec ses proches.

Mais si le métier se professionnalise, il n’en gardepas moins une image assez négative. “C’est unmétierde proximité, relationnel. C’est pour cela qu’il y a par­fois des tensions. Satisfaire tous les copropriétaires n’estpas toujours facile”, explique Yves Van Ermen.“Quand le chauffage tombe en panne, tous les copro­priétaires appellent le syndic. Si la réparation n’est paseffectuée assez vite, on considère que c’est lui qui est res­ponsable”.

“Les gens ont tendance à rouspéter facilement, alorsque quand tout va bien on ne songe même pas à saluerle travail fait. Mais ce constat n’est pas propre au syn­dic bien sûr…”, rajoute Serge Robert, qui reconnaît

quand même que “comme dans tous les secteurs il y ades bons professionnels et des mauvais. En ce qui nousconcerne, il ne faut pas perdre de vue que la professiond’agent immobilier – courtier ou syndic – n’a été recon­nue qu’en 1993 et que l’IPI – Institut professionnel desagents immobiliers – n’a été créé qu’en 1996. Avant,n’importe qui pouvait faire de l’immobilier. Une pre­mière sélection s’est faite naturellement, le nombred’agents passant de 12000 à l’époque à 8000aujourd’hui. En1993, la reconnaissance s’est faite d’of­fice sur base de l’acquis. Il faut dès lors faire la diffé­rence entre les “anciens” et les “nouveaux” qui ont suiviune formation”, précise le président de l’Absa, cetteassociation qui existe depuis 10 ans et dont l’objec­tif est d’élever le niveau de qualité des syndics. Par laformation notamment. “L’IPI impose 20heures de for­mation tous les deux ans, mais ce n’est pas assez”.

La formation est indispensable car le métier estdifficile. “J’ai fait de la restructuration d’entreprises etje peux dire que le métier de syndic est plus difficile. Ilfaut connaître la comptabilité, le droit, les techniquesdu bâtiment et être en plus un bon psychologue. Il n’y apas beaucoup de jeunes qui veulent se lancer dans lemétier”.

Et le métier est de plus en plus difficile. “La nou­velle loi donne beaucoup plus de travail aux syndics. Ilfaut plus de transparence, de détails. Ce qui prenait uneheure hier, prend deux heures aujourd’hui. A quoi ilfaut encore ajouter le fait que plus il y a de détails, plusles copropriétaires demandent d’explications. Les genssont aussi plus méfiants”, note encore Serge Robert,qui estime que “des problèmes de rentabilité peuventse poser”. Si la nouvelle loi date de juin 2010, lesajustements ont pris un peu de temps. “Il a fallu unan pour se rendre compte des changements que la loireprésente. Certains syndics envisagent d’augmenterleurs tarifs. Mais pour cela il faut l’accord de l’assem­blée générale. Or celle­ci est souvent près de ses sous.Quand elle doit choisir un syndic et qu’elle a devant elletrois propositions, elle prend en général la moins chère.C’est une erreur” (voir ci­dessous).

Les affaires récentes – deux syndics ont été accusésd’avoir détourné l’argent de plusieurs copropriétés– n’ont pas arrangé les choses. “Il y a un sentiment de

malaise auprès des copropriétaires qui n’ont pas tou­jours confiance en leur syndic. Or cette confiance est es­sentielle”, note Serge Robert qui estime qu’il y a “desbrebis galeuses dans tous lesmétiers !”, mais qui se veutrassurant. “Dans la loi de 1994 déjà, il y avait déjà uneobligation pour le syndic de s’assurer en responsabilitécivile et en cautionnement de façon à mettre à l’abri lescopropriétaires contre d’éventuelles malversations dusyndic ou d’unmembre de son personnel.”

Mais que faire en cas de conflit ou si l’on s’estimelésé par son syndic ? “Tour dépend de la gravité desfaits”, note Serge Robert. “S’il y a soupçon de fraude, onpeut s’adresser à l’IPI mais surtout au Juge de Paix. L’IPIne prend en compte que les fautes déontologiques et con­damne le contrevenant à des sanctions qui vont del’avertissement à la radiation dans les cas les plus gra­ves. L’IPI ne dédommage pas les victimes. C’est au Juge dePaix qu’il faut s’adresser en premier lieu ou au Tribunalde 1ère Instance”.Solange Berger

Épinglé

Gestion locative. Il ne faut pas confondre régisseur etsyndic, note-t-on du côté de l’Absa. Régisseur ou administra-teur ou gestionnaire pour être précis. “Nous préférons leterme administrateur de biens ou gestion locative”, préciseFrédéric de Bueger (Trevi). “Le terme “régisseur” est trèslarge. De plus ce dernier peut être un employé du proprié-taire. Le gestionnaire est lui un mandataire du propriétaire.Les deux ne sont dès lors pas soumis aux mêmes règles”.Dans le cas qui nous préoccupe, leurs “missions” sont lesmêmes, à savoir, précise l’Absa qu’il “administre les biensimmeubles ou les droits immobiliers qui lui sont confiés,pour le compte du propriétaire qu’il représente vis-à-vis dulocataire et des tiers. Il recherche un locataire, rédige etsigne le bail, effectue les indexations, les rappels, lesdécomptes de charges. Il est le seul correspondant avec lelocataire, lequel lui signale, le cas échéant, les problèmestechniques auxquels il serait confronté et les résout, soitdirectement, soit par l’envoi au propriétaire d’un devisdétaillé des travaux à réaliser. Il informe également lepropriétaire des nouvelles réglementations et lui propose,par devis, de mettre le(s) bien(s) en conformité avec cel-les-ci. Il rend compte de sa gestion périodiquement et verseles fonds recueillis au propriétaire, après avoir honoré lesfactures de petites réparations et les charges éventuelle-ment envoyées par un syndic. Il peut être chargé égale-ment : de travaux divers, de poursuivre un locataire dé-faillant en justice, d’établir des réclamations en matière deprécompte immobilier, d’obtenir, en cas de gros travaux,d’éventuels subsides des organismes concernés. Enfin, ilpeut être chargé aussi de vendre le bien, puisque, mieuxque quiconque, il le connaît et peut en établir la justevaleur.”“Nous proposons une gestion locative qui va au-delà de celaet s’apparente plus à de la gestion de patrimoine”, préciseFrédéric de Bueger. “Nous avons une approche dynamique.Et donnons, par exemple, au propriétaire des conseils pouraméliorer son bien, maximiser ses revenus,… Nous luisuggérons éventuellement de le vendre pour racheter autrechose”.Le service peut se faire à la carte. “Cela va de la gestion trèslimitée (perception des loyers, indexation,…) à une gestioncomplète où le propriétaire ne s’occupe plus de rien. Cela vajusqu’à la gestion complète du patrimoine”, explique Jean-Paul van de Rest, administrateur-délégué de l’Office desPropriétaires, qui fait de la gestion locative depuis 1875.“Nous avons des clients qui sont chez nous depuis plusieursgénérations”.A qui s’adresse la gestion locative ? “Nous avons toute sortede clients”, constate Jean-Paul van de Rest, qui donnequelques exemples : le propriétaire qui a deux ou troisappartements en Belgique mais vit à l’étranger, les person-nes âgées qui n’ont plus envie de s’occuper de leur patri-moine immobilier, les propriétaires en indivision qui n’arri-vent pas à se mettre d’accord sur un gestionnaire, “lespersonnes qui ont un patrimoine suffisant pour justifier lefait de faire appel à quelqu’un pour s’en occuper mais quin’en engagent pas”, précise Jean-Paul van de Rest quiajoute : “Certains propriétaires engagent eux-mêmes unepetite équipe pour s’occuper de leur patrimoine, avec unesecrétaire, un homme à tout faire,…” Parmi les clients, ontrouve aussi des sociétés qui possèdent, par exemple, desblocs d’immeubles.

Quant au coût de la gestion locative, il correspond à unpourcentage sur les loyers. “Dès lors, tout comme le pro-priétaire”, précise Jean-Paul van de Rest, “nous avonsintérêt à avoir le moins de vide locatif et le meilleur possi-ble”.

Mais combien ça coûte un syndic ?h Les prix varient. D’une région à l’autre notamment. Mais tout n’est pas comparable.

Que coûte un syndic ? “Le calcul se faitpar lot en général”, explique SergeRobert, président de l’Absa. “Il y a lathéorie, et puis… beaucoup d’exceptions”.A Bruxelles, vingt­trois euros par ap­partement par mois est un prix qui sepratique régulièrement. “Mais si l’im­meuble compte 20 ou 40 appartements,le prix ne sera pas le même par lot. Pour40 appartements, on sera plutôt autourdes 19 euros”. En province, les prixseront moins élevés.Et les plus petits immeubles ? “S’il y amoins de dix appartements, cela n’inté­resse plus vraiment les syndics car il y atrop de frais fixes. Ce n’est pas rentable”.Dans les petites structures d’ailleursc’est le plus souvent l’un des coproprié­

taires qui joue le rôle de syndic.“Quand la copropriété doit choisir unsyndic, elle se base le plus souvent sur leprix qu’il propose et prend le moins cher.C’est malheureux car on compare despommes et des poires”, constate Frédéricde Bueger, administrateur du groupeimmobilier Trevi, qui propose égale­ment un service de syndic. Un exemple.“Un syndic peut être une personne quitravaille seule. Que se passe­t­il quandelle est seule, quand elle part en vacan­ces ? Dans le cas d’une structure plusimportante, il y a toujours quelqu’unpour répondre aux demandes de lacopropriété”. Autre exemple : “Leslégislations changent tout le temps quece soit pour les ascenseurs, la perfor­

mance énergétique des bâtiments, lechauffage,… Il est important d’avoir desgens compétents qui se tiennent aucourant de ces évolutions”.Pour Frédéric de Bueger, il ne faut pas“voir le syndic comme un coût supplé­mentaire dans les charges de copropriétémais comme une valeur ajoutée”. Trevipropose d’ailleurs plusieurs types decontrat en fonction du profil de copro­priété. Le contrat dynamique (+/­14 euros par mois par lot) s’adresse auximmeubles dont les copropriétairess’investissent énormément dans lagestion au quotidien. “Ce sont eux quiveulent rencontrer les corps de métierslors de travail, suivre les chantiers,… Ilserait injuste de leur faire payer plus de

20 euros par mois”. Le deuxième typede contrat est un contrat standard à20 euros par lot. Enfin, le contrat sécu­rité garantie (27 euros) inclut tous lessuppléments. “Car il faut savoir qu’il ya les prestations usuelles du syndic etpuis les prestations qui font partie de sonmétier mais qui sont exceptionnelles,comme le suivi en cas de sinistre, deprocès,… Souvent ce n’est pas précisé etles gens ne font d’ailleurs pas attention àcela. Mais ils sont surpris quand ilsvoient la facture”, note Frédéric deBueger qui précise : “Nous travaillonssur un nouvel outil “do­it­your­self” : uneplate­forme web où les copropriétairespeuvent trouver les outils pour gérer leurcopropriété”

ALEXIS

HAUL

OT

ALEXIS

HAUL

OT

En chiffres

Professionnels. L’IPI compte quelque 1250-1300syndics professionnels en Belgique. “Dans lesgrandes villes comme Bruxelles, Anvers ou Liège, ontrouve des bureaux qui ne vivent que de cela”,précise Yves Van Ermen (Absa). “En province, engénéral non. Ce ne serait pas rentable. La plupartfont aussi de la vente de biens immobiliers, lalocation, les prêts hypothécaires,…”.Aux chiffres de l’IPI, il faut encore rajouter ceux desavocats, comptables, architectes ou géomètres, “quipeuvent être syndics professionnels mais qui nesont pas rattachés à l’IPI”, précise Yves Van Ermen.“C’est un souci d’ailleurs car tous les syndics nesont pas soumis à la même déontologie”.Autre souci : la confusion au sein de l’IPI entrecourtier immobilier et syndic. “Actuellement, on nefait pas de distinction entre les deux. On projette deles scinder en deux listes”.

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3Le dossierSEMAINE DU 16 AU 22 FÉVRIER LIBRE IMMO

l Copropriété l Législation

Mal aimés, les syndics ?malaise auprès des copropriétaires qui n’ont pas tou­jours confiance en leur syndic. Or cette confiance est es­sentielle”, note Serge Robert qui estime qu’il y a “desbrebis galeuses dans tous lesmétiers !”, mais qui se veutrassurant. “Dans la loi de 1994 déjà, il y avait déjà uneobligation pour le syndic de s’assurer en responsabilitécivile et en cautionnement de façon à mettre à l’abri lescopropriétaires contre d’éventuelles malversations dusyndic ou d’unmembre de son personnel.”

Mais que faire en cas de conflit ou si l’on s’estimelésé par son syndic ? “Tour dépend de la gravité desfaits”, note Serge Robert. “S’il y a soupçon de fraude, onpeut s’adresser à l’IPI mais surtout au Juge de Paix. L’IPIne prend en compte que les fautes déontologiques et con­damne le contrevenant à des sanctions qui vont del’avertissement à la radiation dans les cas les plus gra­ves. L’IPI ne dédommage pas les victimes. C’est au Juge dePaix qu’il faut s’adresser en premier lieu ou au Tribunalde 1ère Instance”.Solange Berger

Mais combien ça coûte un syndic ?h Les prix varient. D’une région à l’autre notamment. Mais tout n’est pas comparable.

Que coûte un syndic ? “Le calcul se faitpar lot en général”, explique SergeRobert, président de l’Absa. “Il y a lathéorie, et puis… beaucoup d’exceptions”.A Bruxelles, vingt­trois euros par ap­partement par mois est un prix qui sepratique régulièrement. “Mais si l’im­meuble compte 20 ou 40 appartements,le prix ne sera pas le même par lot. Pour40 appartements, on sera plutôt autourdes 19 euros”. En province, les prixseront moins élevés.Et les plus petits immeubles ? “S’il y amoins de dix appartements, cela n’inté­resse plus vraiment les syndics car il y atrop de frais fixes. Ce n’est pas rentable”.Dans les petites structures d’ailleursc’est le plus souvent l’un des coproprié­

taires qui joue le rôle de syndic.“Quand la copropriété doit choisir unsyndic, elle se base le plus souvent sur leprix qu’il propose et prend le moins cher.C’est malheureux car on compare despommes et des poires”, constate Frédéricde Bueger, administrateur du groupeimmobilier Trevi, qui propose égale­ment un service de syndic. Un exemple.“Un syndic peut être une personne quitravaille seule. Que se passe­t­il quandelle est seule, quand elle part en vacan­ces ? Dans le cas d’une structure plusimportante, il y a toujours quelqu’unpour répondre aux demandes de lacopropriété”. Autre exemple : “Leslégislations changent tout le temps quece soit pour les ascenseurs, la perfor­

mance énergétique des bâtiments, lechauffage,… Il est important d’avoir desgens compétents qui se tiennent aucourant de ces évolutions”.Pour Frédéric de Bueger, il ne faut pas“voir le syndic comme un coût supplé­mentaire dans les charges de copropriétémais comme une valeur ajoutée”. Trevipropose d’ailleurs plusieurs types decontrat en fonction du profil de copro­priété. Le contrat dynamique (+/­14 euros par mois par lot) s’adresse auximmeubles dont les copropriétairess’investissent énormément dans lagestion au quotidien. “Ce sont eux quiveulent rencontrer les corps de métierslors de travail, suivre les chantiers,… Ilserait injuste de leur faire payer plus de

20 euros par mois”. Le deuxième typede contrat est un contrat standard à20 euros par lot. Enfin, le contrat sécu­rité garantie (27 euros) inclut tous lessuppléments. “Car il faut savoir qu’il ya les prestations usuelles du syndic etpuis les prestations qui font partie de sonmétier mais qui sont exceptionnelles,comme le suivi en cas de sinistre, deprocès,… Souvent ce n’est pas précisé etles gens ne font d’ailleurs pas attention àcela. Mais ils sont surpris quand ilsvoient la facture”, note Frédéric deBueger qui précise : “Nous travaillonssur un nouvel outil “do­it­your­self” : uneplate­forme web où les copropriétairespeuvent trouver les outils pour gérer leurcopropriété”

ALEXIS

HAUL

OT

En chiffres

Professionnels. L’IPI compte quelque 1250-1300syndics professionnels en Belgique. “Dans lesgrandes villes comme Bruxelles, Anvers ou Liège, ontrouve des bureaux qui ne vivent que de cela”,précise Yves Van Ermen (Absa). “En province, engénéral non. Ce ne serait pas rentable. La plupartfont aussi de la vente de biens immobiliers, lalocation, les prêts hypothécaires,…”.Aux chiffres de l’IPI, il faut encore rajouter ceux desavocats, comptables, architectes ou géomètres, “quipeuvent être syndics professionnels mais qui nesont pas rattachés à l’IPI”, précise Yves Van Ermen.“C’est un souci d’ailleurs car tous les syndics nesont pas soumis à la même déontologie”.Autre souci : la confusion au sein de l’IPI entrecourtier immobilier et syndic. “Actuellement, on nefait pas de distinction entre les deux. On projette deles scinder en deux listes”.

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4 Vie de château SEMAINE DU 16 AU 22 FÉVRIER LIBRE IMMO 5En pratiqueSEMAINE DU 16 AU 22 FÉVRIER LIBRE IMMO

l Vie de château (611)

Schengen éter nelle frontière

h Sur les bords de la Moselle, rivegauche, le château de Schengen est lapièce maîtresse du village désormaiscélèbre dans toute l’Europe.

ON AURAIT PU PENSER QUE LES ACCORDS de Schen­gen eussent été signés dans la vénérable bâtisse dont unélément, la tour ronde, remonte au XIVe siècle. Ou quela signature aurait pris place dans un petit édifice enbordure du par cet de la voirie longeant la rivière, oùl’on a installé un petit musée. Et pourtant, non; les ac­cords furent signés sur un bateau au milieu de l’eau, aupoint de convergence des trois états locaux, accosté àune îlette où se trouve la limite officielle. Blandine Kie­fer, responsable de la communication du groupe hôte­lier Goeres, nous a aidé dans la rédaction de la présentenotice consacrée au château de Schengen, perle histori­que depuis avril 2010, de cette compagnie hôtelière duGrand­Duché. Le groupe possède quatre autres ensei­gnes dans la capitale. Vincent Merckx a publié Schen­gen dans son très beau livre quadrilingue consacré auxchâteaux du Luxembourg. On y lit que l’antique de­meure servait à surveiller le gué vers Perl, petite cité al­lemande. Il y avait des murailles bien épaisses toutautour du château.La première référence du château remonte au 5 no­

vembre 1390. Il aurait possédé trois tours. Le dernierseigneur du château de Schengen était le comte Joseph­Anton de Trauttmannsdorff. Sa veuve vendit le châteauen 1793 à Maria­Françoise de Donnéa, épouse de Char­les­Joseph Collart dit de Dommeldange, né le 15 dé­cembre 1726 à Saint­Hubert et décédé à Fischbach où ilest enterré, en mars 1812. A droite de la porte d’entréede l’église on trouve sa plaque mortuaire, en fonte. LesDonnéa sont d’anciens maîtres de forges et en l’espèce,Marie­Françoise était la fille de François­Gaspar, sire deSy, officier du ban de Xhignesse et de Hamoir, 1er cheva­lier de Donnéa, né à Liège le 25 janvier 1702. Son filsFrançois­Joseph fut industriel, possesseur du manoir etde la fonderie de Sauheid sur lesquels nous viendronssous peu; il avait épousé à Verviers Marie­Agnès Cornet.

Sauheid fut racheté par Charles­Joseph Collart en1782. Il est notable de constater que les écrits signalentque c’est Madame de Donnéa qui devint la propriétairede Schengen. Son mari était pourtant fort bien dans sespapiers puisque lui aussi est métallurgiste et que lesépouses sont toujours mal traitées dans les documentsofficiels. On sait qu’après avoir acheté Dommeldange­Grünewald en 1777 où il résida, Charles­Joseph conti­nua à acheter des biens pour doter ses enfants. C’estainsi qu’il emporta Fischbach, château et usines de fer

et de papeterie, puis il acquit la ferme de Koedange, toutcela en 1803. Fischbach est une délicieuse résidence destyle et d’époque Louis XV appartenant de nos joursaux grands­ducs.

Charles­Joseph ne s’est pas arrêté là car on sait que sesfils héritèrent de jolis domaines. Hubert­Joseph dit deBlochausen (1773­1822) prit Fischbach où il mourut.Jean­Carl­Joseph (1775­1841) hérita de Dommel­dange. Ensuite, Auguste (1782­1870) se vit gratifier duchâteau de Bettembourg. Dommeldange avait été uneexploitation de Thomas Marchant qui dirigeait égale­ment l’usine d’Ansembourg au XVIIe siècle. Il avait faitconstruire à Dommeldange un beau château classique.Les Soleuvres le suivirent à Dommeldange jusqu’à l’ar­rivée du sieur Collart dont la descendance (Charles Col­lart 1829­1910; il avait épousé une baronne d’Anethan,sa lointaine cousine par les Blochausen) transforma lechâteau au XIXe siècle. Il est à présent la résidence del’ambassadeur de Chine et appartient à l’Etat. Revenonsà Schengen car en 1812, un des fils, Jean­Nicolas Collart(1777­1842), dont le nom reste encore inscrit sur unegrille en fer forgé, décida de remanier l’ensemble. Al’exception de la tour qui se dresse encore aujourd’huiau milieu du parc, le bâtiment ancien, en ruine dit Vin­cent Merckx, fut démoli et ses pierres servirent à re­construire le château tel qu’on le connaît maintenantavec ses deux rangées de neuf fenêtres sur deux ni­

veaux et demi qui lui donnent une allure imposante.Seul un magnifique ginko, aussi grand que celui de

Huldenberg, résista avec la tour aux affres de la moder­nité et du temps. En 1939, la congrégation des sœurs deSainte Elisabeth acheta la propriété pour en faire unemaison de repos et de retraite pour les sœurs. La tour,qui est restée debout, a gagné une belle notoriété grâceà un dessin qu’en avait fait Victor Hugo lorsqu’il était àSchengen en 1871. Cette tour présente un diamètre de9 mètres. Elle a comme particularité d’être flanquéed’une tourelle dans laquelle un escalier en colimaçondessert tous les étages. Ils sont tous munis d’une chemi­née et d’une petite fenêtre. Cette tour appartenait àl’ancien château­fort et a servi de cachot durant plu­sieurs siècles. Le château apparaît en 1884, dans un im­portant service en faïence d’Echternacht, sorti de lamanufacture des Lamort puis des Zens et offert au roide Hollande, Guillaume III, grand­duc du Luxembourg.Depuis le printemps 2010, le groupe Goeres vous at­tend en son hôtel de charme dans le château et ses dé­pendances.Philippe Farcy

http://www.chateau-de-schengen.lu/fr/index.php 111AVENUE DU 10 SEPTEMBRE 2551 LUXEMBOURG Tél.+352 23 66 38 Fax +352 23 66 38 40 E-mail : [email protected]

La vue arrière du château est d’une grande simplicité. Unepetite orangerie à trois arcades y est accolée. PH

.FY.

CARLOHO

MMEL

Question time

Le sort de l’immeubleen cas de divorce ?Lors d’un divorce par consentement mutuel, les conven­tions qui sont signées entre les époux doivent notammentrégler le partage de tous leurs biens et droits patrimo­niaux. À cet égard, si les époux possèdent ensemble desimmeubles, plusieurs possibilités s’ouvrent à eux. Ils peu­vent décider d’attribuer l’immeuble à l’un d’eux. Un desépoux reprend la part de l’autre, en lui payant éventuelle­ment une contrepartie, qui sera déterminée entre autresen fonction de la valeur actuelle du bien, du solde éven­tuellement dû au créancier hypothécaire, des apports fi­nanciers respectifs de chacun d’entre eux,…Ils peuvent aussi choisir de rester en indivision. Un “pacte

d’indivision” est alors inclus dans les conventions préala­bles. Pendant la durée de cette convention de maximum 5ans, renouvelable, aucun des ex­époux ne pourra forcer lavente de l’immeuble. Vendre l’immeuble reste une solu­tion très commode. Les époux se partageront le prix sui­vant une clé de répartition fixée de commun accord.Dans le cadre de ces conventions, un immeuble propre à

l’un des époux peut également être attribué à l’autre, avecpaiement ou non d’une contrepartie. Cependant, cettedernière solution est assimilée à une vente et celui à qui lebien est attribué devra payer des droits d’enregistrementplus importants qu’en cas de sortie d’indivision.D’autres solutions se rencontrent plus rarement, commela donation de l’immeuble aux enfants. e

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PH.FY.

l Négoce

Les Gofessont à plaireh La belle propriété des Gofes àPailhe est à vendre depuisquelques mois. Une aubaine.

L’agence Renaissance s’est vue confier de­puis quelques mois le rôle de vendre le châ­teau­ferme des Gofes à Clavier. C’est un en­droit discret en bordure du village et quicompte 8 600 m² de terrain. Le bâtimentcentral est daté de 1792. La distribution in­térieure est classique et organisée autourd’un bel escalier en chêne. Les pièces sontde belles proportions, pas trop hautes deplafonds, lesquels sont souvent bien déco­rés de stucages d’époque Louis XVI ou desannées 1840­50, très romantiques. Neufchambres sont installées à l’étage. Dans legrand jardin on trouve les anciens bâti­ments de la basse­cour dont une magnifi­que grange en pierre bleue qui abrite unepiscine pour les grands et une autre pour lespetits. Le domaine jouxte l’ancienne églisedu village construite jadis, en 1847, sur lesplans du célèbre l’architecte hutois EmileVierset­Godin. Un chronogramme surmon­tant la porte d’accès donne toutefois la datede 1852. L’église avait été édifiée avec lesbontés des comtes Cornet d’Elzius et descomtes de Liedekerke de Pailhe. Cette belleéglise, stylistiquement intéressante, toutcomme la magnifique résidence privée del’architecte située au cœur de Huy et dontl’abandon par la Ville est un pur scandale,va être à vendre. Le village qui n’est quandmême pas sur la paille, ne veut plus l’entre­tenir. Madame Devillers nous a fait savoirque le dossier était pendant. “Nous avonsconstaté quelques problèmes dans la procé­dure de vente de l’Eglise de Pailhe que nous de­vons d’abord régler (échange de terrains etchapelle, remise…. ). Ces modifications vontprendre quelque temps et apporter une diffé­rence de prix et nous ne pouvons, dès lors, en­coremettre ce bien en vente dans l’état actuel”.L’évêché aurait donné son blanc­seing. Avisaux amateurs pour ces deux endroits, enpatientant un peu pour la chapelle puisquetout n’est pas encore réglé. Pour les Gofes ilfaut tél au 0476/ 432.681 à M. Coomans deBrachène. Pour l’église à réaffecter contac­tez Bénédicte Devillers à la commune deClavier. Tél : 086/34.94.30. Fax :086/34.94.39. Mail : benedicte.devil­[email protected]. Fy.

PH.FY.

La façade avant se veut monumentale.Le contraste est fort entre la bâtisse de1810 et la tourmédiévale dessinée parVictor Hugo qui dédicaça son œuvre àMadame Collart en 1871. La feuille estconservée au château de Vianden.

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5En pratiqueSEMAINE DU 16 AU 22 FÉVRIER LIBRE IMMO

l Vie de château (611)

Schengen éter nelle frontière

veaux et demi qui lui donnent une allure imposante.Seul un magnifique ginko, aussi grand que celui de

Huldenberg, résista avec la tour aux affres de la moder­nité et du temps. En 1939, la congrégation des sœurs deSainte Elisabeth acheta la propriété pour en faire unemaison de repos et de retraite pour les sœurs. La tour,qui est restée debout, a gagné une belle notoriété grâceà un dessin qu’en avait fait Victor Hugo lorsqu’il était àSchengen en 1871. Cette tour présente un diamètre de9 mètres. Elle a comme particularité d’être flanquéed’une tourelle dans laquelle un escalier en colimaçondessert tous les étages. Ils sont tous munis d’une chemi­née et d’une petite fenêtre. Cette tour appartenait àl’ancien château­fort et a servi de cachot durant plu­sieurs siècles. Le château apparaît en 1884, dans un im­portant service en faïence d’Echternacht, sorti de lamanufacture des Lamort puis des Zens et offert au roide Hollande, Guillaume III, grand­duc du Luxembourg.Depuis le printemps 2010, le groupe Goeres vous at­tend en son hôtel de charme dans le château et ses dé­pendances.Philippe Farcy

http://www.chateau-de-schengen.lu/fr/index.php 111AVENUE DU 10 SEPTEMBRE 2551 LUXEMBOURG Tél.+352 23 66 38 Fax +352 23 66 38 40 E-mail : [email protected]

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Question time

Le sort de l’immeubleen cas de divorce ?Lors d’un divorce par consentement mutuel, les conven­tions qui sont signées entre les époux doivent notammentrégler le partage de tous leurs biens et droits patrimo­niaux. À cet égard, si les époux possèdent ensemble desimmeubles, plusieurs possibilités s’ouvrent à eux. Ils peu­vent décider d’attribuer l’immeuble à l’un d’eux. Un desépoux reprend la part de l’autre, en lui payant éventuelle­ment une contrepartie, qui sera déterminée entre autresen fonction de la valeur actuelle du bien, du solde éven­tuellement dû au créancier hypothécaire, des apports fi­nanciers respectifs de chacun d’entre eux,…Ils peuvent aussi choisir de rester en indivision. Un “pacte

d’indivision” est alors inclus dans les conventions préala­bles. Pendant la durée de cette convention de maximum 5ans, renouvelable, aucun des ex­époux ne pourra forcer lavente de l’immeuble. Vendre l’immeuble reste une solu­tion très commode. Les époux se partageront le prix sui­vant une clé de répartition fixée de commun accord.Dans le cadre de ces conventions, un immeuble propre à

l’un des époux peut également être attribué à l’autre, avecpaiement ou non d’une contrepartie. Cependant, cettedernière solution est assimilée à une vente et celui à qui lebien est attribué devra payer des droits d’enregistrementplus importants qu’en cas de sortie d’indivision.D’autres solutions se rencontrent plus rarement, commela donation de l’immeuble aux enfants. e

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PH.FY.

La façade avant se veut monumentale.Le contraste est fort entre la bâtisse de1810 et la tourmédiévale dessinée parVictor Hugo qui dédicaça son œuvre àMadame Collart en 1871. La feuille estconservée au château de Vianden.

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