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87"® Année—№ 70 ABONNEMENTS Trois Mo'S. . 4 fr. Six Mois. . . . 7 -fr. Un An . . . . 12 fr. En dshors du départamant: 15 fr. ETRANGER 25 FRANCS INSERTIONS Annonces, la ligne. 1.80 Réclames 2 fr. Faits locaux 2.50 Journal Politique et Littéraire D'Intérêt Local d'Annonces Judiciaires d'Avis Divers — FONDE EN 1841 P A R A I S S A N T L E M E R C R E D I & L E S A M E D I RÉDACTrON & ADMINISTRATION ; PLACE DU MARCHÉ-NOIR Mercredi 2 Septembre 1931 LE NUMERO 1 5 С Les Abonnements sont payables d 'a- vance et l'acceptation d« trois nu> méros engage pour une tnnée. La quittance est présentée i l'aboani sans dérangement pour lui. С/С/ Nantes 154-28 I Directeur: A. a i R ô U A R D | Téléphou« 1-95 Paroles à rappeler A-t-on oublié les paroles pro- noncées, par M. Goolidge, ancien président des États-Unis quelque temps après la guerre,et les a-t-il lui-même, en même temps que son pays, quelque peu oubliées ? Rien ne serait plus regrettable ; elles sont la justice même. M. Goolidge, au lendemain de l'effroyable tourmente,estimait la conférence de la paix inutile si l'Allemagne n'était pas mise dans l'impossibilité de détruire à nou- veau la paix du monde et si la France n'avait pas la force néces- saire pour ne plus paraître « une proie facile à conquérir par une agression allemande ». Le président de la République des Êtats-Uuis ajoutait : « La France a été et sera noire frontière du côté de l'Allemagne.11 faut que cette frontière soit forte et bien protégée.G'estdans ce dessein que nous avons envoyé au sacrifice suprême les plus braves et les meilleurs de nos fils ». Il concluait que toute paix qui n'atteindrait pas ce but rendrait le sacrifice des Américains sur le front français inutile I Donc, « il faut une Allemagne soumise à des restrictions et une France forte ». Dans ses rapports avec nous, ces dernières années, le Président Goolidge et son gouvernement se sé sont-ils toujours inspirés de ces excellents principes et les ont- ils toujours mis en pratique ? Non, malheureusement ; mais ils pourraient nous riposter que ces principes, nous, les premiers intéressés, nous les avons mé- connus, sous l'inspirations et les directives de M. Aristide Briand, àThoiry, à Locarno. M. Edouard Herriot se demande lui-même aujourd'hui ce qu'est devenue la paix « Ge que vaut Locarno. Que vautle pacteBriand- Kellog ? » L'état d'esprit des millions d'Allemands le préoccupe un peu tard. La France est comparativement à VAllemagne,« une petite nation sur son déclin », à natalité trop faible, « débordée par un domaine Colonial sans proportion avec ses forces, son succès est illusoire, précaire et immoral ; un jour elle sera punie ». Voilà ce qu'on enseigne et l'on répète quotidiennementaux Alle- mands, en les invitant à détruire l'équilibre européen par la révi- sion des traités de paix, de telle façon quel'AIlemagneredevienne toute puissante et, comme dans son hymne national, « au dessus de tout ». Ainsi l'on garde, outre-Rhin, 1 "âme de domination, de convoi- tise, de haine, et le désir furieux de la revanche, en qui se résume le germanisme. Au iond, il n'est pas un Alle- mand, qui accepte les frontières fixées à Versailles, et qu'ils appel- lent «leurs intolérables charges ». M. Herriot quand il s'en rend compte, compare le plan Young « à un mauvais pantalon déchiré, bon pour les fripiers », et «t du jour où le droit n'est plus qu'un fétu de paille », il ne voit pas sur quoi l'on pourrait bien construire l'ordre nouveau européen. Le désarmement n'est pas la paix ; mais plutôt une menace de guerre .pour les peuples impru- demment désarmés et devenus une proie trop tentante. Un autre Américain, le séna- teur Fletcher, en 1923, après le Président Goolidge, exprimait la crainte que si l'Allemagne était exonérée du paiement des répa- rations, ses industriels et son gouvernement libérés de leurs dettes, se trouveraient formida- J^lement avantagés « par rapport aux exportateurs des pays qui furent les adversaires de l'Alle- magne pendant la guerre et les victimes de son invasion ». N'avons-nous pas vu, lors de la chute de notre franc, en 1926, sous le régime du cartel des gauches, les Allemands en profi- ter pour acheter à vil prix des rentes françaises ? Il ne faudrait pas qu 'aprèsavoir escroqué des milliards au monde, en ruinant ses propres finances, le Reich ruinât les nôtres, notre commerce et nos industries. Quels que soient nos futurs rapports avec l'Allemagne, ne négligeons pas les avertisse- ments que nous donnèrent, dans le passé, le Président Goolidge, et le Sénateur Américain Fletcher. LÉON PHILOUZE. NOUVELLES EXPRESS L'Allemagne etrAulrichevontrenoncer officiellement à l'Union douanière. Le nouveau gouvernement britannique jrépare activement son projet de réforme )uagétaire. Un accord se dessine entre le Nonce et le Gouvernement espagnol. Ls sultan du Maroc est de retour à Rabat. Douze détenus se sont évadés du bagne ; cinq "se "sont noyés en mer ; les autres sôht incarcérés au Vénézuéla. Gandhi fait un excellent voyage. La France est engagée officiellement dans la coupe Schneider. On enregistre 18.000.ooo d'entrées à l'Exposition Coloniale. .Ilillllllllilillilllllllllllliiillllllllllli Les TraTailllsles reíüsen de Gomoreiire L'Ami du Peuple dénonce l'aveuglement des travaillistes anglais qui ne veulent ac- ceplcr aucune des mesures imposées par la crise financière où ils ont plongé leur pays : (( L'exécutif du parti travailliste de Sea- liam (circonscription du premier ministre) a déclaré qu'il fallait faire porter par les riches la plus grande partie du fardeau des finances nationales et n'admettre aucune réduction dans les allocations aux chô- meurs. » Ameuter les pauvres contre les riches, c'est le premier souci des entrepreneurs de guerre sociale. » L'expérience faite par M. Ramsay Mac- Donald du socialisme dans la légalité ayant ëchoué avec fracas, les partisans des va- cances de la légalité abattent leur jeu. » Paul Faure voit la révolution monter « comme un flot irrésistible ». » M. Léon Blum tient à ce qu'il soit bien établi que íes troubles a apparents » qui ont entraîné la chute du gouvernement travailliste, sont d'ores et déjà de l'histoi- re ancienne. Il semble d'ailleurs que, dans le clan socialiste, on prenne assez allègre- ment son parti d'une baisse possible de la livre.. Les puissances occultes, sur ce point, n'ont sans doute pas dit leur dernier mol. Dans certains milièux libéraux anglais, on se prononce ouvertement pour l'abandon de l'étalon-or. Quand de pareils mots d'or- dre sont lancés, c'est que de vastes opéra- tions se préparent. M. Léon Blum, qui a de si belles relations parmi les banquiers, est peut-être dans le secret des dieux ? » D'ailleurs nos socialistes, dont M. Blum est l'interprète intervertissent bien gratui- tement les responsabilités en s'achernant à soutenir, contre toute évidence, que ce sont les réactionnaires et. les capitalistes qui sont cause de la crise anglaise. Le Temps proteste énergiquement con- tre un telle mauvaise foi : « Toutes les « forces de réaction » s'unis- sent pour calomnier le marxisme innocent. Les loups se concertent pour attaquer et dévorer cet agneau. On lit cela tous les jours dans les feuilles du parti internatio- nal. «Ils bavent sur nous avec ensemble tout ce que leur vilaine âme contient de fiel et de sottises », dit un des pamphlé taires du collectivisme, à qui les injures servent d'arguments. Mais certains de ses congénères, qui dénoncent sur un autre ton (( l'égoïsme et l'impuissance du capi- Ulisme » ne trouvent pas à employer d'ar- guments meilleurs. Quand la malaria ra- vage une contrée, les habitants s'eiforçant de se protéger des moustiques qui la trans- mettent, fomentent de même une conspi- ration contre ces insectes. Discerner le rnal et vouloir s'en préserver, c'est se livrer à une manœuvre sournoise et perfide. » C'est un étrange état d'esprit que cet- te manie de voir partout des ennemis em- busqués. On y doit reconnaître Un signe d'inquiétude. S'ils étaient sûrs d'avoir rai son, les critiques véhéments de l'organi- saton sociale actuelle offenseraient moins volontiers la raison. De toute iwirt, des dé- mentis sont infligiés à leurs affirmations péremptoires. La situation de l'Angleterre et la décision prise par quelques-uns des responsables du gouvernement travailliste illustrent l'erreur commise par plusieurs politiques, qui ne sont pas tous socialistes, mais qui tous hésitent à résister ferme- ment aux impulsions du socialisme. Au nom de la générosité, de la pitié, de la justice, on les contraint à mettre en péril toutes les institutions généreuses et jus- tes; car le prolétariat n'est pas le moins frappé par la crise économique et financiè- re. Devant de si lamentables résultats, le collectivisme coupable crie très fort qu'il (( n'a pas voulu cela », que la faute en est au régime qu'il attaque et qu'il espère rui- ner. Tout de même, les faits ne se laissent pas si docilement travestir. Le papier et la tribune souffrent tout; mais la réalité apporte son témoignage. C'est le socialis- me, ce 'Sont les complaisances, les faibles- ses, les abandons <( socialisants » qui ont créé le mauvais courant. » tniiiniiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiimmiiTïï LaLeçon des catastrophes Figaro, en présence de catastrophes ef- froyables qui viennent de se produire en Chine, où dans la seule région de Yang- Sté, plus de 5o.ooo personnes ont été no- yées, s'apitoie sur le manque de secours dont souffrent les survivants de l'inonda- tion : (( Une misère effroyable règne dans la ré- gion d'Hankéou. Femmes et enfants meu- rant par milliers. Et voici lé fait prodi- gieux. De Ghanghaï, on s'efforce de ravi- tailler ces pauvres gens, mais, disent les dépôches, «dans la crainte d'une émeute de la part de la population exaspérée, les sampans ravitaillews sont armés de mi- trailleuses ». » Abandonnés à leurs impulsions, les hommes se battent sur les ruines de leur pays. Il faut s'armer pour les protéger con- tre la famine ou contre la peste I Ils im- putent à leurs frères en misère les maux qui leur viennent des éléments eux-mêmes ! La religion seule leur apprend à s'épar- gner les uns les autres. Elle lî'est pas seu- lement un besoin de l'homme, elle est une nécessitié de la société. » Bonald disait que « l'homme qui n 'a point de religion, vit protégé par la reli- gion des autres, comme le passager, sans aider à la rnanœuvre, est en sûreté sur le vaisseau qui le porte. Mais ajoutait-il, le passager qui voudrait troubler la manœu- vre serait mis à fond de cale comme un in- sen sé ». Trop de passagers dans la société matérialiste du vingtième siècle ont trou- blé la manœuvre, que personne n'a songé à mettre à fond de cale, et il y a des mo- ments oii le vaisseau semble en perdition. C'est peut-être en répandant l'athéisme en (Asie que le bolchevisme a fait le plus do mal au monde. » IIIIIIIIIHIIIIIIIHIHIIIIIIlillllllliÏÏÎÎT Soviets et Polonais Les nombreux communiqués, mises au point et démentis publiés depuis une di- zaine de jour par l'Agencei Tass, montrent clairement que le gouvernement des So- viets est assez sceptique sur l'issue des né- gociations engagées avec la Pologne. Il ne lient pas, d'ailleurs, à conclure avec son voisin de l'Ouest, une pacte de <( non-agres- sion » qui altérerait, aussi inefficace qu'il soit, les rapports de Moscou et de Berlin. Après avoir prétendu que le memorandum remis récemment par M. Patek, ministre de Pologne, ne faisait faire aux négocia- lions interrompues depuis 1927, ((aucun progrès mais plutôt un pas en arrière », les Soviets se sont décidés à. faire des pro- positions. Le conseil des commissaires du Peuple, réuni en séance spéciale, vient d'arrêter les conditions qu'il estime néces- saires à la reprise des ¡»urparlcrs. Il vou- drait enterrer à jamais le projet d(î pacte qu'il ne formulerait pas aulrement ses exi- gences. Voici d'après un télégramme do l'Agence Havas, la résolution qu'il a adop- tée et dont M. Krestinsky, remplaçant M^ Litvinoff, a fait un rapport : Les décisions prises par le Conseil des commissaires du peuple seraient les sui- vantes : I. Dans ses négocalions avec la Pologne le gouvernement soviétique ¡exclut la possi- bilité de négociations simultanées avec les /niais balteis et la Roumanie : a. Le gouvernem\eni soviétique ne change pas soiiH attitude à l'égard de la question de t afrontière bessarabienne; 3. Les Soviets posent "comme condition que la Pologne garde la neutralité au cciS où les Soviets entreraient en guerre aveo une puissance. Le refus d'associer tous les voisins de l'IJ.R.S.S. aux négociations polono-soviéti- ques éclaire de façon saisissante le désir de paix du gouvernement de Moscou qui ne renonce à aucune de ses revendications en Europe méridionale et orientale. Il persist® à ne reconnaître ni la frontière roumaino — et l'annexion de la Bessarabie par la Roumanie — ni les frontières de la Lithua- nie, de l'Estonie et de la Lettonie. Enfin il exige que la Pologne garde la neutralitxS (( au cas où les Soviets entreraient en guer- re avec une puissance », ce qui est donné une singulière définition au pacte de non- agression. Que la Pologne reste neutre en cas d'une attaque injustifiée dirigée contre l'U.R.S.S. par une autre nation, cela ré- sulte de la nature même du pacte projeté et il était inutile de le spécifier. S'ils de- mandent la neutralité de la Pologne au cas où ils (( entreraient en guerre » — ils ne disent pas « seraient attaqués » — les So- viets veulent sans aucun doute réserver leur liberté d'action dans le cas où ils se décideraient S réaliser par la force leurs ambitions au sud de l'Europe et sur la Baltique. On voit à quel point nous avions raison de dénoncer le danger de négociations en- gagées avec un gouvernement pour lequel la guerre est la raison d'être. — L. B.

Paroles à rappeler - Château de Saumurarchives.ville-saumur.fr/_depot_amsaumur/_depot_arko/fonds/echo_s… · le cla socialisten on prenn, assee allègrez - ment so partn d'uni

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  • 87"® Année—№ 70 ABONNEMENTS

    Trois Mo'S. . 4 fr. Six Mois. . . . 7 -fr. Un An. . . . 12 fr.

    En dshors du départamant: 15 fr . E T R A N G E R 2 5 F R A N C S

    INSERTIONS

    Annonces, la ligne. 1.80 Réclames — 2 fr. Faits locaux — 2.50

    Journal Politique et Littéraire D'Intérêt Local d'Annonces Judiciaires d'Avis Divers

    — FONDE EN 1841 — P A R A I S S A N T L E M E R C R E D I & L E S A M E D I

    R É D A C T r O N & A D M I N I S T R A T I O N ; P L A C E DU M A R C H É - N O I R

    Mercredi 2 Septembre 1931

    LE NUMERO

    1 5 С Les Abonnements sont payables d 'a-

    vance et l'acceptation d« trois nu> méros engage pour une tnnée.

    La quittance est présentée i l'aboani sans dérangement pour lui.

    С / С / N a n t e s 1 5 4 - 2 8 I Directeur: A . a i R ô U A R D | T é l é p h o u « 1 - 9 5

    Paroles à rappeler

    A-t-on oublié les paroles pro-noncées, par M. Goolidge, ancien président des États-Unis quelque temps après la guerre,et les a-t-il lui-même, en même temps que son pays, quelque peu oubliées ?

    Rien ne serait plus regrettable ; elles sont la justice même.

    M. Goolidge, au lendemain de l'effroyable tourmente,estimait la conférence de la paix inutile si l'Allemagne n'était pas mise dans l'impossibilité de détruire à nou-veau la paix du monde et si la France n'avait pas la force néces-saire pour ne plus paraître « une proie facile à conquérir par une agression allemande ».

    Le président de la République des Êtats-Uuis ajoutait : « La France a été et sera noire frontière du côté de l'Allemagne.11 faut que cette frontière soit forte et bien protégée.G'estdans ce dessein que nous avons envoyé au sacrifice suprême les plus braves et les meilleurs de nos fils ».

    Il concluait que toute paix qui n'atteindrait pas ce but rendrait le sacrifice des Américains sur le front français inutile I Donc, « il faut une Allemagne soumise à des restrictions et une France forte ».

    Dans ses rapports avec nous, ces dernières années, le Président Goolidge et son gouvernement se sé sont-ils toujours inspirés de ces excellents principes et les ont-ils toujours mis en pratique ?

    Non, malheureusement ; mais ils pourraient nous riposter que ces principes, nous, les premiers intéressés, nous les avons mé-connus, sous l 'inspirations et les directives de M. Aristide Briand, àThoiry, à Locarno.

    M. Edouard Herriot se demande lui-même aujourd'hui ce qu'est devenue la paix « Ge que vaut Locarno. Que vautle pacteBriand-Kellog ? »

    L'état d'esprit des millions d'Allemands le préoccupe un peu tard.

    La France est comparativement à VAllemagne,« une petite nation sur son déclin », à natalité trop faible, « débordée par un domaine Colonial sans proportion avec ses

    forces, son succès est illusoire, précaire et immoral ; un jour elle sera punie ».

    Voilà ce qu'on enseigne et l'on répète quotidiennementaux Alle-mands, en les invitant à détruire l'équilibre européen par la révi-sion des traités de paix, de telle façon quel'AIlemagneredevienne toute puissante et, comme dans son hymne national, « au dessus de tout ».

    Ainsi l'on garde, outre-Rhin, 1 "âme de domination, de convoi-tise, de haine, et le désir furieux de la revanche, en qui se résume le germanisme.

    Au iond, il n'est pas un Alle-mand, qui accepte les frontières fixées à Versailles, et qu'ils appel-lent «leurs intolérables charges ».

    M. Herriot quand il s'en rend compte, compare le plan Young « à un mauvais pantalon déchiré, bon pour les fripiers », et «t du jour où le droit n'est plus qu'un fétu de paille », il ne voit pas sur quoi l'on pourrait bien construire l'ordre nouveau européen.

    Le désarmement n'est pas la paix ; mais plutôt une menace de guerre .pour les peuples impru-demment désarmés et devenus une proie trop tentante.

    Un autre Américain, le séna-teur Fletcher, en 1923, après le Président Goolidge, exprimait la crainte que si l'Allemagne était exonérée du paiement des répa-rations, ses industriels et son gouvernement libérés de leurs dettes, se trouveraient formida-J^lement avantagés « par rapport aux exportateurs des pays qui furent les adversaires de l'Alle-magne pendant la guerre et les victimes de son invasion ».

    N'avons-nous pas vu, lors de la chute de notre franc, en 1926, sous le régime du cartel des gauches, les Allemands en profi-ter pour acheter à vil prix des rentes françaises ?

    Il ne faudrait pas qu 'aprèsavoir escroqué des milliards au monde, en ruinant ses propres finances, le Reich ruinât les nôtres, notre commerce et nos industries.

    Quels que soient nos futurs rapports avec l'Allemagne, ne négligeons pas les avertisse-ments que nous donnèrent, dans le passé, le Président Goolidge, et le Sénateur Américain Fletcher.

    LÉON PHILOUZE.

    NOUVELLES EXPRESS

    L'Allemagne etrAulrichevontrenoncer officiellement à l'Union douanière.

    Le nouveau gouvernement britannique jrépare activement son projet de réforme )uagétaire.

    Un accord se dessine entre le Nonce et le Gouvernement espagnol.

    Ls sultan du Maroc est de retour à Rabat.

    Douze détenus se sont évadés du bagne ; cinq "se "sont noyés en mer ; les autres sôht incarcérés au Vénézuéla.

    Gandhi fait un excellent voyage.

    La France est engagée officiellement dans la coupe Schneider.

    On enregistre 18.000.ooo d'entrées à l'Exposition Coloniale.

    . I l i l l l l l l l l i l i l l i l l l l l l l l l l l l i i i l l l l l l l l l l l i

    Les TraTailllsles reíüsen

    de Gomoreiire

    L 'Ami du Peuple dénonce l 'aveuglement des travaillistes anglais qui ne veulent ac-ceplcr aucune des mesures imposées par la crise f inancière o ù ils ont plongé leur pays :

    (( L'exécutif du parti travailliste de Sea-liam (circonscription d u premier ministre) a déclaré qu ' i l fallait faire porter par les riches la plus grande partie du fardeau des f inances nationales et n 'admettre aucune réduction dans les allocations aux chô -meurs.

    » Ameuter les pauvres contre les riches, c 'est le premier souci des entrepreneurs de guerre sociale.

    » L'expérience faite par M. Ramsay Mac-Donald du socialisme dans la légalité ayant ëchoué avec fracas, les partisans des va-cances de la légalité abattent leur jeu.

    » Paul Faure voit la révolution monter « c o m m e un flot irrésistible » .

    » M. Léon Blum tient à ce qu ' i l soit bien établi que íes troubles a apparents » qui ont entraîné la chute du gouvernement travailliste, sont d'ores et déjà de l 'histoi-re ancienne. Il semble d 'ail leurs que, dans le clan socialiste, o n prenne assez allègre-ment son parti d ' u n e baisse possible de la livre.. Les puissances occultes, sur ce point, n ' ont sans doute pas dit leur dernier mo l . Dans certains mil ièux l ibéraux anglais, o n se prononce ouvertement pour l 'abandon de l 'étalon-or. Quand de pareils mots d 'or -dre sont lancés, c 'est que de vastes opéra-tions se préparent. M. Léon Blum, qui a de si belles relations parmi les banquiers, est peut-être dans le secret des dieux ? »

    • •

    D'ailleurs nos socialistes, dont M. Blum est l ' interprète intervertissent bien gratui-tement les responsabilités en s 'achernant à soutenir, contre toute évidence, que ce sont les réactionnaires et. les capitalistes qui sont cause de la crise anglaise.

    Le Temps proteste énergiquement con-tre un telle mauvaise foi :

    « Toutes les « forces de réaction » s 'unis-sent pour calomnier le marxisme innocent. Les loups se concertent pour attaquer et dévorer cet agneau. On lit cela tous les jours dans les feuilles du parti internatio-nal. « I l s bavent sur nous avec ensemble tout ce que leur vilaine âme contient de fiel et de sottises » , dit un des pamphlé taires du collectivisme, à qui les injures servent d 'arguments. Mais certains de ses congénères, qui dénoncent sur u n autre ton (( l ' égo ïsme et l ' impuissance d u capi-Ul isme » ne trouvent pas à employer d 'ar-guments meilleurs. Quand la malaria ra-vage u n e contrée, les habitants s 'ei forçant de se protéger des moust iques qui la trans-mettent, fomentent de m ê m e une conspi-ration contre ces insectes. Discerner le rnal et vouloir s ' en préserver, c 'est se livrer à une manœuvre sournoise et perfide.

    » C'est un étrange état d 'esprit que cet-te manie de voir partout des ennemis em-busqués. On y doit reconnaître Un signe d ' inquiétude. S'ils étaient sûrs d 'avoir rai son, les crit iques véhéments d e l 'organi-saton sociale actuelle offenseraient mo ins volontiers la raison. De toute iwirt, des dé-mentis sont infligiés à leurs aff irmations péremptoires. La situation de l 'Angleterre et la décision prise par quelques-uns des responsables du gouvernement travailliste illustrent l 'erreur commise par plusieurs politiques, qui ne sont pas tous socialistes, mais qui tous hésitent à résister ferme-ment aux impulsions du socialisme. Au n o m de la générosité, de la pitié, de la justice, on les contraint à mettre en péril toutes les institutions généreuses et jus-tes; car le prolétariat n'est pas le moins frappé par la crise économique et f inanciè-re. Devant de si lamentables résultats, le collectivisme coupable crie très fort qu ' i l (( n 'a pas voulu cela », que la faute en est au régime qu ' i l attaque et qu ' i l espère rui-ner. Tout de même, les faits ne se laissent pas si doci lement travestir. Le papier et la tribune souffrent tout; mais la réalité apporte son témoignage. C'est le socialis-me, ce 'Sont les complaisances, les faibles-ses, les abandons

  • INFORMATIONS и. DOUMER. REÇOIT

    Le Président de la République reçu lundi après-midi, au château de Rambouil-let, en audience officielle, M. Portes Git et M. Bœtoloff, qui lui ont remis des lettres les accréditant respectivement en qualité d'envoyé extraordinaire et ministre pléni-potentiaire du Mexique et de Bulgarie à Paris'.

    Les honneurs militaires ont été rendus par un escadron du régiment de hus-sards.

    §§§ M. BRIAND IRA A GENÈVE

    giments d'artiUerie et d'aviation, g,Coupant plus de So.ooo hotnmes, évolueront.

    Le général Weygand, chef d'Etat-Major de l'Armée, suivra les opérations, entouré de plus de vingt généraux étrangers et de nombreux officiers d'état-ma]or.

    ^—ss§ A LA COUR DE LA HAYE

    Le professeur Vaquez a rendu visite sa-medi à M. Brtand qu'il a trouvé en bonfie voie de rétablissemmt.

    Toutefois, avant de peirmettre au minis-tre des Affaires étrangères de reprendre son activité, il a estimé préférable de ¡ui de-mander de prolonger d'une semaine sa cu-re de régime et de repos.

    Daris ces conditions, M. Briand se rendra à Genève pour l'ouverture des tra.vaux de l'assemblée.

    POUR LE SIÈGE SÉNATORIAL DE M. DOUMER

    M. François-Marie! Altiery, ancien agent consulaire de France à Cap-Haitien, cheva-^ lier de la Légion d.'honneur, vice-prudent du Conseil général de la Corse, maire de Baretali, vifnt de poser sa candidature à l'élection sénatoriale du 6 septembre en remplacement de M. Paul Doumer, élu pré-sident de la République.

    Quatre candidats seront ainsi en pré-sence.

    8§§

    LE MINISTRE DE L'AGRICULTURE A SAINT-LO

    De grandes manifestatioris agricoles se dérouleront à Saint-Lô (Manche) le 8 no-vembre prochain, M. André Tardieu, minis-tre de l'Agriculture, vient de promettre aux patementaires du départernent de présider le concours qui sera organisé à cette occa-sion.

    UN VIEUX GENDARME DÉCORÉ

    Le général Moinier, inspecteur de la deu-xième région de gendarmerie de Nancy, vient de remettre la croix de la Légion d'honneur à M. Capus, âgé de 97 ans, an-cien gendarme, qui participa aux guerres de Crimée,, d'Italie et de 1870...

    LES MANŒUVRES DE CHAMPAGNE

    Dans toute la région de Reims d'impor-tants mouvements de troupes appartenant aux 2", 6® et 9° régions, sont signalés, en vue rfe l^ur concentration dans le triangle formé par Lapn, Rethel eit Reims, où. se dé-rouleront, du -j au 17 septembre, les gran-des manœuvres d'automne dirigées par le général Claudel, membre du Conseil Supé-rieur de la Guerre. Quatre divisions d'in-fanterie, une division de cavalerie, des ré-

    FEUILLETON de L'Echo Saumurois N « 1 — 2 Septembre

    L a b o n n e d e m o n o n c l e p a r CHARLES D O D E M A N

    MON оцет Mon père et moi, nous l'appelions a mon

    oncle ». Il n'était, cependant, notre pa-rent qu'au cinquième ou sixième degré. 11 se nomniait Sigismond Céréol. Il avait cinquante-ans. Au physique, il ressem-Iblait à un jeune garçon figé dans sa sei-zième année. 11 avait un visage sans bar-be, piqueté de taches de rousseur, une mi« ne rusée et de petits yeux de rat, toujours en éveil, fureteurs, intelligents et fins. Ses oreilles s'avançaient légèrement en con-ques marines. Son crftne, quelque peu pointu à la façon du crâne des Aztèques, était recouvert d 'une toison follette plutôt que de cheveux. Bien vêtu, il n'eût pas été d'apparence désagréable, mais son torse étroit était resserré eneore dans une ja-quette étriquée, tandis que ses jambes na-geaient dans un. pantalon trop large et î rop court.

    Le motal était à l'avenant, petit, ava-Jricieux, autoritaire et cruel, d 'une cruau-]té bizEure.

    D'après des renseignements puisés à une source généralement bien informée, le ver-dict de la Cour de La Haye, dans l'affaire de l'union douanière, se prononcerait con-tre la réalisation de l'Ansehluss.

    Dans ces conditions te chancelier Scho-ber serait résolu à annoncer, avant la pu-blication dfl l'arrêt de La Haye, que l'Autri-che renonce volontairement à son projet d'uriion douanière avec l'Allemagne.

    LES PACTES DE NON-AGRESSION

    Après un exposé de M. Litvinoff, M, Fran-çois-Poncet, pyani n%0]îtré_ les difficultés d'application des pactes de non-agression, le même M. Litvinoff a déclaré commue con-clusion, se rallier à la proposition de M. Curtius, qui demande qu'un comité de ré-daction examijne les propositions faites et fasse rapport directement à la commission d'études pour l'union européenne.

    La prochaine séance de la squs-commis-sion s'occupera des rapports des comités d'experts.

    §§§ POUR LES CHOMEURS AEHEMANDS

    La Municipalité de Berlin met actuelle-ment sur pie construction d'habitations à bon marché en série, afn de procurer du travail à environ 75.000 chô-meurs.

    La Caisse d'épargne municipale créerait une section spéciale pour le financement de ces consIruétions. Les terrains seraient cédés aux intéressés moyermant un loyer minime, jusqu'à ce que le prix d'achat soit amorti.

    Le programme de construction de la Ville prévoit, en outre, la réparation obligatoire des bâtiments en mauvais état. On espère, ainsi, procurer du travail à ao.ooo autres chômeurs.

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    Voici, entre mille autres, deux traits de son caractère : Un fermier lui redevait deux liards sur un compte. Il les lui ré-clama. Le métayer, pensant que son maî-tre s'amusait, prit la chose en riant. Mon oncle le harcela jusqu'à ce qu'il eût été remboursé des deux liards.

    Il lui restait un neyeu, brigadier dans un régiment de cavalerie. Le jeune hom-me, accablé de dettes, fut bientôt réduit à mettre en vente la maison patrimoniale. Sigismond Céréol fit des offres, évidem-ment bien au-dessous de la valeur réelle de l ' immeuble. Elles furent repoussées.

    Il ne se tint pas pour battu. Il habitait Langeac-sur-Loire, dans les

    monts d'Auvergne. Il avait pour bonne sa sœur de lait, Corentine Giropey.

    Dès l'âge le plus tendre, Corentine avait, pour ainsi dire, vécu dans le rayonnement de cet homme « supérieur ». Elle avait été pour lui, et était encore, d 'un dévouement sans bornes, cimenté par l'affection, par l'habitude, et, aussi — dans les mystères du subconscient, — décuplé par l 'émou-vante certitude d'hériter un jour,

    La fortune de mon oncle augmentée, d'heure en heure, par une somme énorme d'économies minuscules — le damier et les grains de blé, — devait, au moment où sa destinée terrestre était sur le point d'arri-ver à son accomplissement, toucher au de-mi-mijlipn. On conçoit de quel œil fié-vreux la montagnarde devait couver le cof-fre-fort de son maître. Aussi^ dès l'instant

    ET REG ION A Lb

    A propos de Colonies de Vacances

    Il est certainement doux à nos cœurs de grands-pères de voir aujourd'hui nos tout petits choyés et dorlotés et que des cœurs généreux se penchent sur eux pour léur appoiiter, avec de bonnes vacances, les soins et les joies que leur ont mérité le laborieux travail de l'année scolaire.

    D'où la création des Colonies de Vacan-ces 1

    Institution, bonne e(n soi, niais dont il ne faudrait tout de même pas faire un... à cô,té.

    Car si on apprend à l 'enfant qu 'un re-pos lui est dû, en compensation du tra-vail accompli il ne faut pas perdre de vue qu'il doit aussi savoir qu'il a, par là mê-me, contracté des devoirs envers la socié-té et aussi envers la famille et que c'est même à l 'endroit de ses parents qu'il res-te un gros débitciur.

    Ainsi par exemple, un père et une mère qui triment bien souvent toute l'année

    sans vacances — seraient bien heureux de voir leurs rejetons, au retour d 'un sé-jour de Colonie, apporter une entr'aide au logis, en les suppléant dans les .travaux du ménage quelques bonnes leçons du genre au cours du stage à la colonie en complétant très efficacement le bien-être.

    Je sais bien que bon nombre d'organi-sations ont compris toute l'utilité de cette manière de voir et la mettent ëh pratique depuis longtemps; aussi ai-je été surpris en lisant ces jours garjiiera le dialogu* d 'une interview entre le directeur et un visiteur de notre Colonie saumuroise à Champigny.

    (Aux questions posées ledit directeur donnait d'excellentes précisions qui ne pou-vaient que réjouir et satisfaire le visiteur; mais où je trouve que ce môme directeur était un peu à côté c'est dans la réponse qu'il fit à son interlocuteur qui entrait dans le domaine du pratique :

    — Ce ne sont donc pas eux (les gosses) qui, le matin, confectionnent leurs lits et balaient leurs chambres ?

    — Non, Monsieur, les enfants ne sont pas ici pour travailler, mais pour se repo-ser, prendre des forces et du poids I...

    Voyons, cher Monsieur, vous croyez que vos bambins perdraient un pouce de leur taille et un gramme de leur poids s'ils ap-prenaient à retourner leur matelas et à plier leurs draps; et j'irai même plus loin, à balayer le dortoir et peler chacun quel-ques patates...

    Mais non, certainement, ce serait au con-traire autre diversion au régime et excel-lentes leçons ménagères qui ajouteraient à leur bagage intellectuel lorsque l'année scolaire suivante vous leur aurez fait dé-crocher le (( certificat d'études ».

    Du reste vous savez cornme moi que le travail ne tue point et que c'est même avec lui qu 'on trouve le meilleur passe-temps des vacances.

    Et c'est de ces vacances-là que le

  • Une réunhii d'ánciens Poilus

    REMISE D'UN DR^APEAU A LA SECTION DE L'U.N.G. A CERNUSSON

    Une imposante manifestation patrioti-que a eu lieu le dimanche 3o août dans le petit bourg de Cernusson. Ce jour-là, la Section des Combattants nouvellement for-mée, reçut son drapeau.

    A 9 h. 45, M. le Maire, président de la IFcclion, entouré de son Conseil municipal reçut ses invités : MM. de Grandmaison, député; de Champagny, conseiller général; Catroux et de la Selle, conseillers d'arron-dissement; l 'abbé Panaget, commandant de réserve; le Colonel Boisselet, ainsi qu3 la délégation avec drapeau, de i4 Sections du canton.

    A lo heures, formé en cortège et précé-dé d 'une clique de choix, on se rendit à l'église. Ce ne fut que difficilement qu 'on arriva à y placer tout le monde. Au cours de la messe, célébrée par le Curé de la paroisse, celui-ci bénit le drapeau. Le ser-mon de circonstance fut donné par l'abbé Panagefj.

    ¡Après la messe, sur la place du lx)urg, le Colonel Boisselet remit le drapeau au pré-sident de la Section.

    On se rendit alors au monument aux morts, situé à l'entrée du cimetière. De magnifiques berges de fleurs furent déjw-sées au pied du rnonument.

    Puis, tour à tour, M. le Maire, président de la Section; M. le Colonel Boisselet, dé-légué du Groupe d 'Anjou; M. de Grand-maison, député, glorifièrent les morts et demandèrent aux survivants ^ de conserver très vivace le souvenir de leur sacrifice et de faire en sorte que ce sacrifice ne soit pas perdu pour notre pays.

    La cérémonie officielle se termina par le chant du « De Profondis ».

    Vers i3 heures, un banquet amical réu-nit à nouveau les Anciens Combattants. Au cours de ce banquet, très bien servi, lo président de la Section; M. de Champa-gny, président de la Section de Somloire et conseiller général; M. de Grandmaison, dé-puté et le Colonel Boisselet donnèrent des précisions sur les revendications des A. C. et Victimes de la Guerre, comme aussi sur leurs devoirs d'après-guerre, les exhortant à rester toujours unis comme au front.

    UN TEMOIN.

    COMICE AGRICOLE DE L'ARRONDISSEMENT DE SAUMUR

    PALMARÈS

    A PROPOS DU COMICE AGRICOLE DE L'ARRONDISSEMENT DE SAUMUR

    On nous demande comment il se fait qu'il n'ait pas été fait mention dans le Palmarès cornmuniqué à la Presse de l'ori-gine des 3oo francs offerts par M. de Grand-maison député, et qui ont été distribués aux vieux serviteurs dont les noms suivent;

    VIEUX SERVITEURS Retiveau Aristide-Pierre, à Montsoreau, 87 ans

    de services chez Mm© Veuve Beugnet. Rappel de Diplôme d'Honneur.

    Dejépine Jean, à Satunur, 87 ans de services Etablissements Victor Boret. Rappel de Diplôme d'Honneur.

    Gourdon Louise, à Bagneux, 36 ans de servi-ces chez Mme E. Manceau. Diplôme d'Honneuir et 40 francs.

    Tijou Joseph, à St-Hilaire-St-Florent, 33 ans de services. Communauté de Ste-Anne. Diplôme d'Hoitaeur et 40 francs.

    Besnier Louis, à St-Hilaire-St-Florent, 28 ans de services. Communauté de Ste-Anne. Diplôme d'Honneur et 85 francs.

    Besnier Mélanie, à St-Hilaire-St-Florent, 28 ans de- services, Communauté de Ste-Anne. Diplôme d'Honneur et 3s francs,

    putertre Henri, à Neuillé, 18 ans de services chez Mme Veuve Cloteau. Dipld Î d'Honneur et 80 francs.

    Neveu François, à St-Martin-de-la-Place, n ans de services chez M. Girault. Diplôme d'Honneur et 25 francs.

    Rebuffault Alphonse, à St-Martin-de-la-Place, 10 ans de services chez M. Girault. Di-plôme d'Honneur et 20 francs.

    Mabileau Clémentine, à Vivy, 10 ans de ser-vices chez M. Harrault-Séchet. Diplôme d'Honneur et 20 francs.

    Saillant Yvonne, à Allonnes, 7 ans de services chez M. Meftray. Diplôme d'Honneur et 20 francs.

    Lemer Louis, à St-Larabert-des-Uvées, 6 an-nées de services chez M. Gtiyon. Di-plôme d'Honneur et 15 francs.

    Baillergeau René, à Vivy, 6 années de services chez M. Harrault-Séchet. Diplôme d'Hon-neur et 10 francs,

    poutin Alexandrine, à St-Hilaire-St-Florent, 5 ans de services chez M. Beaufreton. Di- | plôme d'Honneur et 10 francs.

    Menan Victor, à St-Lambert-des-Levées, '8 ans de services chez M. Tenneguin. Diplôme d'Honneur.

    De même pourquoi n'a-t-on pas mention-né l'origine des i5o f rancs obtenus par M. de Grandmaison de la Société agricole du Nouveau cercle de Paris.

    ESPÈCE CHEVALINE

    Juments poulinières demi-sang

    M. Aubin, à Distré. Diplôme d'Honneur. Mé-daille or, offerte par M. Meffray président du Comice et 100 francs.

    M. Reveau, à Distré. Diplôme d'Honneur. Mé-daille de bronze, offerte par la Société d'Encouragement à l'Agriculture et 80 fr.

    M. Guyon, à St-Lambert-des-Levées. Diplôme d'Honneur. Médaille de bronze, offerte par la Société Nationale d'Encouragement à l'Agriculture et 6 0 francs.

    M. Millerand Fernand, à Allonnes. Diplôme d'Honneur. Médaille de bronze, offerte par la Société Nationale d'Encouragement à l'Agriculture et 40 francs.

    M. Cosnard Ferdinand, à St-Lambêrt-des-Le-vées. Diplôme d'Honneur et 20 francs.

    Juments Poulinières (Trait)

    M. Girault, à St-Martin-de-la-Place. Diplôme d'Honneur. Médaille argent, offerte par le Ministre d'Agriculture, 80 francs.

    M. Vauvert, à Distré. Diplôme d'Honneur. Médaille de bronze et 60 francs.

    •Juments demi-mng {un an)

    M. Ricou, à Allonnes. Diplôme d'Honneur. Médaille d'or, offerte par M. Amy, maire de Saumur et 80 francs.

    M. Audineau, à Distré. Diplôme d'Honneur. Médaille de bronze et 50 francs.

    Juments de Trait (un an)

    M. Dechenais-Chignard, à Allonnes. Diplôme d'Honneur. Médaille Argent et 80 francs.

    Chevaux demi-sang (deux ans)

    M. Millerand, à Allonnes. Diplôme d'Honneur. Médaille d'or, offerte par M. de Rougé, sénateur et 100 francs.

    M. Guyon, à St-Lambert-des-Levées. Diplôme d'Honneur. Médaille argent et 80 francs.

    M. Rozière Louis, à St-Lambertndes-Levées. Diplôme. Médaille bronze et 60 francs.

    M. Desbois Auguste, à Allonnes. Diplôme d'Honneur et 40 francs.

    M. Appeau, à St-Lambert-des-Levées. Diplôme d'Honneur et 20 francs.

    Chevaux de Trait (deux ans)

    M. Laizé Aimé, à Va(rennes-sur-Loir©. Di-plôme d'Honneur. Médaille d'argent et 8 0 francs.

    M. Fortier Joseph, à Allonnes. Diplôme. Mé-daille de bronze et 50 francs.

    Chevaux trois ans (demi-sang)

    M. Ricou Auguste, à Allonnes. Diplôme d'Hon-neur. Médaille d'or, offerte par M. Amy, maire de Saumur et 100 francs.

    M. Aubin, à Distré. Diplôme. Médaille de bronze et 70 francs.

    M. Girault, à St-Martin-de-la-Place. Diplôme et 3s francs.

    M. Rétif, à Vivy. Diplôme et 20 francs. Chevaux trois ans (Trait)

    M. Hersart, à Villebernier. Diplôme. Médaille or et 100 francs.

    M. Tranchant Henri, à Villebernier. Diplôme. Médaille argent et 70 francs.

    M. Vauvert, à Distré. Diplôme. Médaille ar-gent et 70 francs.

    M. Deshayes, à St-Martin-de-la-Place. Di-plôme et 40 francs.

    ESPÈCE BOVINE

    Génisses d'un an

    M. Lemoine, à St-Martin. Diplôme. Médaille argent, offerte par M. Amy, maire de Saumur et so francs.

    M. Ricoteau-Dolivet, à Varennes-sur-Loire. Di-plôme. Médaille bronze et 4 0 francs.

    M. Pinguette, à Neuillé. Diplôme et 3o francs. M. Fontaine Louis, à Allonnes. Diplôme et 20

    francs. Génisses de deux ans

    M. Fontaine Louis, à Allonnes. Diplôme. Mé-daille or, offerte par M. de Rougé, sé-nateur et 6 0 francs.

    M. Pinguette, à Neuillé. Diplôme. Médaille bronze et so francs.

    M. Pinguette à Neuillé. Diplôme et 40 francs. M. Abellard, à St-Lambert-des-Levées. Diplô-

    me et 2 0 francs. Génisses de ,six mois

    M. Abellard, à St-Lambert-des-Levées. Di-plôme. Médaille de bronze et 20 francs.

    M. Abellard, à St-Lambert-des-Levées. Di-plôme. Médaille de bronze et 20 francs.

    Taureaux (six mois)

    M. Tranchant Henri, à Villebernier. Diplôme et 2 0 francs..

    Taureaux (un an)

    M. Grellet, à Saint-Clément-des-Levées. Di-, plôme. Médaille d'or et 70 francs.

    M. Hersart-Tranchant, à Villebernier. Diplô-me. Médaille argent et 60 francs.

    M. Pinguette, à Neuillé. Diplôme et 50 francs. • M. Robin-Beaufils, à Varennes-sur-Loire. Di-

    plôme et 20 francs. Taureaux (deux ans)

    M. Tranchant Henri, à Villebernier. Diplôme et 3o francs.

    Taureaux (trois ans)

    M. Grelet Louis, à Saint-Clément-des-Levées, prime de З00 francs pour son taureau de trois ans.

    M. Pinguette Louis, à La Roche-Boire, comr mune de Neuillé, prime de 800 francs pour son taureau de trois ans.

    Ces primes sont accordées pour un an. Elles seront versées à terme échu, sur justification que l'animal qui en fait l'objet a bien été uti-lise pour la reproduction. Il sera représenté lors du prochain concours du Comice.

    Dans le cas où pour une cause indépendante de la volonté du propriétaire, l'animal devrait être abattu, une prime proportionnelle au temps de service-serait versée, moyennant les justi-fications ci-dessus. M. Grelet, à St-Clément-des-Levées. Diplôme.

    Médaille or et 90 francs. M. Pinguette, 3 Neuillé. Diplôme. Médaille

    argent et 70 francs.

    Vaches laitières

    M. Guérineau Baptiste, à St-Hilaire-St-Florent. Diplôme. Médaille or et 70 francs.

    M. Abellard, à St-Lambert-des-Levées. Diplô-me. Médaille argent et 60 francs.

    M. Guérineau, à St-Hilaire-St-Florent. Diplô-me. Médaille bronze et 50 francs.

    M. Chevalier-Jamain,- à St-Lambert-des-Levées. Diplôme et 40 francs.

    Vaches pleines

    M. Pinguette, à Neuillé. Diplôme. Médaille or et 70 francs.

    M. Harrault-Séchet, à Vivy. Diplôme. Médaille argent et 60 francs.

    M. Beaufils-Duday, à Varennes-sur-Loire. Di-plôme. Médaille de bronze et so francs.

    M. Harrault-Séchet, à Vivy. Diplôme et 40 fr. (A suivre).

    l a i i i n i m n m m n i i i i i m i i i i i a i n i i i m i

    SPORTING-CLUB SAUMUROIS

    Demain jeudi 3 septembre, assemblée générale du Sporting-Club, à 2 0 h. 3o.

    Les membres honoraires et les membres actifs sont instamment priés d'assister à celte importante réunion.

    V i f GRAND PRIX .DE L|A BAULE 7 0 . 0 0 0 francs de prix

    L'épreuve qu'organise, l'Automobile-Club de l'Ouest le i3 septembre prochain sur la plage do La Baule vient de voir le nombre et la valeur de ses prix- augmentés : de nombreuses primes seront en effet distri-buées en cours de course et la lutte n'en sera que plus intéressante.

    Le total des prix et primes atteint à ce jour près de 7 0 . 0 0 0 francs.

    La Coiipe Dunlop

    . borateur ont jugé qu'au surlendemain de • son enterrenient il ne leur élrtit pas pos-

    sible (le fêter, ainsi qu'ils auraient aimé à le faire en d'autres ciiconstances, les avia-teurs ayant participé à la Coupe d'aviation.

    Le banquet qui devait clôturer, diman-che soir, cette importante manifestation aérienne, don lie succès s'avère total, est donc remis à une date ultérieure, ^éan-moins, le Président du Conseil et M. Pe-tavy ont reçu les aviateurs à leur arrivée à Orly et leur ont offert, ainsi qu'à tous ceux qui ont particijii au succès de l'é-preuve, un vin d'honneur dans un local mis aimablement à sa disposition par les dirigeants de l'aérodrome.

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    Demandes d'empïoi.-L'Office dispose: Garçon boucher, cuHtivaleur, m'uinœu-

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    ЕШ-Civil de Saumur Du 29 Août au 2 Septembre 1931

    NAISSANCES

    Madeleine Aïssa Oui HaJef,4, rueBrault. MARIAGES

    Guy Bessor,dessinateur a épousé Gene-viève Lusseau, sténo-dactylo, tous deux à Saumur.

    EugèneMadeUn,cordonnieràSt-Fiorent a épousé Simone Ecot, s. p., à Saumur.

    DÉCÈS

    Louise Crespion, épouse Papillon,53 a. couturière, 10, rue Jules-Ferry.

    James Tètedoye,9 ans,45,rue Rabelais.

    Grand Théâtre d'Angers Direction : P. DOUAI (2' Année)

    La première journée de la Coupe d'avia-tion Dunlop fut, indirectement, attristée par un terrible accident. 1 Une automobile partie de l'aérodrome

    d'Orly avant le défiart des avions, en di-rection de MontlUçOn, but de la première étape, et dans laquelle avaient pris place MM. Dizabeau, chef monteur du service Courses ; Scheck, secrétaire général ; Phi-lippe, chef de Publicité; Lamberton du ser-vice Courses, tous appartenant à la Socié-té Dunlop, fût littéralement télescopé par le chemin de fer économique de Guéret à Argent-sur-Sauldre au passage à niveau, non gardé et mal signalé, de cette derniè-re localité.

    Dizabeau fût tué sur le coup et tous les autres occupants de la voiture plus ou moins blessés et contusionnés.

    Dizabeau était depuis 2C ans employé à la Maison Dunlop, c'était un serviteur d'é-lite qui, par surcroit, ne comptait dans le monde automobile que des sympathies méritées par son affabilité et son dévoue-ment inépuisables.

    Ses obsèques suivies par une assistance considérable, ont eu lieu vendredi et M. j Petavy, Administrateur-Délégué de la So- j ciété Dunlop, d'accord en cela avec M. Du- j treux. Président du Conseil et les autres administrateurs de la Société Dunlop, très , affectés par la disparition de ce bon colla-

    Nous avons publié en temps opportun le tableau de la troupe, le réjDertoire projeté, les artistes (( en représentation », de la pro-chaine saison au Grand-Théâtre d'Angers.

    Nous avons de plus indiqué à nos lec-teurs les conditions fort avantageuses des abonnements qui sont de trois sortes : I. l 'abonnement pour les 1 8 grands Galas lyriques du jeudi ; 2 . l 'abonnement pour les 23 représentations d'opérette, soit le sa-medi soir, soil lei dimanche soir ; 3. l 'abon-nement Baret pour 11 représentations le mardi. Noîis sommes persuadés que le pu-blic répondra avec empressement à l'ap-pel de la Direction.

    Les inscriptions sont reçues au Bureau de location, rue Louis-de-Romain, à An-gers, le mardi et le vendredi, de 11 heures ù 1 2 h. 3o. La date-limite pour s'inscrire est fixée au 2 0 septembre.

    * * *

    AU CIRQUE THÉÂTRE Si la direction de notre Grand-Théâtre,

    ainsi qu'on a pu s'en rendre compte, a éta. bli un programme magnifique pour la sai-son ig3i-i932 au Grand-Théâtre, elle n'a pas négligé pour cela sa fidèle clientèle du Cirque-Théâtre.

    Ayant étudié les goûts du public de cet Etablissement au cours de la précédente saison, elle donnera en 1931-1932 des spec-tacles de tout premier ordre et dignes d'at-tirer, à chaque série, la foule des grands .jours.

    Qu'on en juge plutôt : En Bordée; Biribi; La Tour de Nesle; le

    célèbre comique troupier Delpierre; Les Deux Gosses; La Pocharde; Tournée René Rose; Le Bossu; Revue Clevers; Le Cour-rier de Lyon; Cœur dé Française; Gigolet-te; Spectacle de Music-Hall Boulvardia; Un mois chez les Filles; la Grande Revue Mu. sicania (5o artistes, 1 6 décors, 3oo costu- j mes); Le Tour du Monde d'un gamin de : Paris; Montébus; La Porteuse de Pain; l'a-musant comique Mansuelle; Roger la Hon- | te; la Grande Revue Valmy (45 artistes, 1 2 décors, 2 6 0 costumes); Martyre; L'Assom-

    moir; le célèbre coniique Traber dans sa iîevue, etc., etc.

    On voit donc, par ce simple exposé, qu'au point de vue qualité des spectateurs le Cirque-Thétâre, toutes proportions gar-dées, rivalisera avec son frère aîné : le tùand-Théâlrc.

    iillllllllIlIllIlllllillTÏTlTriTnTITlTffîrri

    & Í V C I UN IVROGNE

    Les gendarmes de Saumur ont conduit au violon municipal, le nommé Théophile Métivier, cultivateur à Dampierre, qui se trouvait en état d'ivresse manifeste, quai Mayaud.

    0 UN ENERGUMENE

    Un nommé Bernard Petel, 2 0 ans, habi-tant Boumois à St-Martin-de-la-Place, où il exerce la profession de maçon, a portó des coups à une débitante du iieu qui ne voulait pas lui servir à boire.

    Petel a en outre brisé des vitres et uno porte du débit.

    II. a récolté un procès-verbal de la part des gendarmes.

    0 MAUVAISE PLAISANTERIE

    Chaque année, la période du battage des blés amène- à la campagne soit de malheu-reux accidents, soit une suite de faits mal-sonnants conséquences maladroites du trop boire.

    C'est un acte de celte dernière catégorie qui vient de se dérouler à Artannes et qui aurait pu avoir un dénouement plus tra-gique.

    Voici Tes faits : Vendredi soir, les nommés : Camille Roy,

    2 0 ans, domestique de culture; Charles Bi-got, 43 ans, journalier; Louis Babin, 2 8 ans et Armand Stéphan, 1 7 ans, autres domes-tiques de culture, voulurent à la suite d'u-ne journée de battage passée chez M. De-larue cultivateur à Artannos, aller trinquer "i nouveau chez le sieur Renaud Henri, 53 ans, ancien débitant à Artannes et infirme.

    Arrivés choz le père Renaud, le¡ groupe n'obtint pas satisfaction et rebroussa tran-((uillement son chemin.

    Mais soudain, le jeune Stéphan, très énervé et connaissant les aîlres de la maison Renaud, voulut convaincre ses ca-marades à retourner chez l'ex-débitant.

    Tous, à l'exception de Roy, suivirent Stéphan.

    Renaud était couché. Il était à ce mo-ment-là, 2 1 heures 3o.

    Stéphan et ses « copains », firent un ta-lingo infernal, ù tel point que, Renaud, se levant, s'arma d'une canne-fusil.

    Le jeune Armand, entraîneur de l 'équi-]X>, ayant retiré un carton servant de car-reau à la fenêtre, pour ouvrir l'espagnolet-lo, avait le bras gauche engagé à l 'inté-rieur de la chambre à coucher.

    Il reçut la charge de l'arme dans le bi-reps.

    Blessé assez sérieusement, il retourna i hez le propriétaire, M. Frémond, d'Artan-nes, chez lequel il travaille.

    Le docteur Gandar, de Saumur, se ren-dait bientôt sur les lieux pour donner ses soins au blessé qui, samedi matin, était admis à l'hôpital de Saumur, sur les or-dres du praticien,

    La gendarmerie de Saumur a enquêté sur cette affaire, dont les conséquences au-raient pu être beaucoup plus pénibles, pour un groupe de camarades inconscients, à la suite d'une journée de travail.

    CHEMINS DE FER DE L'ETAT UNE .lOURNÉE

    A L'EXPOSITION COLONIALE Trairas spéciaux d'excursion à prix réduits

    De Niort à Paris-Montparnasse : Aller: Nuit du 5/G septembre 1 9 8 1 ; dé-

    part de Niort le 5 septembre à 2 0 h. 4o (Irain 7 6 8 ) ; arrivée à Paris-Montparnasse le 0 septembre à 5 h. 2 0 (train 7 7 0 ) .

    Retour: Nuit du 6/7 septembre 1 9 8 1 ; dé-part de Paris-Montparnasse le G septembre 193? à 2 0 h. 5o (train 7 8 8 ) ; arrivée à Niort le 7 septembre à 7h. (train 7 0 8 ) .

    Parmi les gares autorisées à délivi-ér des billets à dater du 3i août 1931 nous re-marquons Montreuil-Bellay et Saumur P.O. •

    Les voyageurs (qu'ils soient en provenan-ce des gares de lignes d'embranchement ou de gares intermédiaires non desservies par le train d'excursion) ont la possibilité de rejoindre le dit train au premier point d'arrêt en se ïnunissant d 'un billet A.R. ordinaire pour ce point, et, à partir de ce- ' lui-ci, ils pourront profiter des avantages du train d'excursion,

    N.-B. — Consulter Tes gares intéressées quant aux heures de départ et aux prix des placçç.

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    Saumur, départ, soir, 17 heures 10. Ccmdray-Macouard, 17 h. 32. I?pué-la-Fontaine, arr. 18 h.o5; dép. 18 h .ai Uueil-sur-Layon, 19 heures. ¡Vihiers, arrivée, 19 h . 37; dépaét 19 h. 47. fîholet, arrivée, 21 heures 02.

    CHOLET A SAUMUß Cbolet, arrivée, 5 h. 55. IVihiers, arrivée, 7 h . 1 7 ; départ, 7 h. 83. PIueil-sur-Layon, 8 h. 16. ;Doué-la-Fontaine arr. 8 h .5i ; dép., 9 h.o5. Coudray-Macouard, 9 h. 38. gaumur, arrivée, 9 h. 58.

    Pholet, départ soir, i5 h. 12. ¡Vihiers, arrivée, 16 h. 35; départ 16 h. 5i. ^'ueil-sur-Layon, 17 h. 36. Poué-la-Fontaine, arr. 18 h . i o ; dép. 18 h.a5 Cîoudray-Macouard, 18 h. 54. gaumur, arrivée, 19 h. i3.

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    Aller les lundi, mercredi et vendredi : ' Montreuil-Bellay, départ à 9 heures 27;

    gaumur, départ à 9 heures 46; Château-du-l/Jir, départ 10 heures 4 i ; Arrivée à Paris 2t i3 heures 4o.

    Retour: les mardi, jeudi et Samedi : * Départ à Paris à i5 heures; Château-du-

    Loir, arrivée à 17 heures 47; Saumur arri-vé® à 18 heures 38; Montreuil-Bellay, arri- , Vée à 18 heures 58.

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    HORAIRE DES CHEMINS DE FER L I G N E D E L ' É T A T

    PARIS (Montparnasse) S A U M U R - BORDEAUX

    STATIONS 785

    Paris Chartres . . Courtalain Chât-du-L. Cliât-la-V. Noj'ant- M. Liuièi-es-B. Vernantes. I Blou ! Vivy I SAUMUR ( O )

    — dép.! Nantilly ar. I S.IUMUR ( E )

    — dép.! Nantilly ar.'

    — dép. Cliacé-Var. Brézé-St-C. Montreuil. Thouars a.

    — dép. Airvault... Parthenay. Niort Saintes.... Bordeaux.

    5 45 6 17 6 45 6 53

    03 12 20 28 48 55

    7 43 7 49 7 59 8 05 8 12 8 37 9 00 9 15 9 5!

    10 25 11 40 14 00 18 10

    747

    5 33 7 30

    10 06 10 35 10 59 11 07 11 17 11 25 11 32 11 40 12 12 12 19

    12 01 12 09 12 21 12 26 12 33 12 57 13 2Í 14 42 15 17 16 34 20 56 23 20 3 38

    713

    7 35 9 11

    10 44 14 12 14 50 15 22 15 31 15 42 là 52 16 04 18 15 16 55 17 02

    17 03 Í7 08 17 15 17 33 18 02 20 55 21 34 22 H 23 06

    799 RAP.

    9 20 10 31

    12 23

    13 24 13 27

    13 47 14 02 14 03

    14 49 15 52 17 24 19 03

    709 R A P .

    10 00

    13 45 13 48

    14 18 14 25

    15 40

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    14 46 14 48

    16 51 17 50

    18 38 18 40

    19 » 15 19 19 14 13 25 19 20

    16 41 17 40 21 14

    20 » 20 37

    511 789

    13 08 15 15 17 00 20 12 20 42 21 07 21 15 21 24 21 33 21 40 21 48 21 55 22 02

    22 04 22 09 22 16 22 31 22 56

    783 EXPR.

    20 50 22 18 23 23 0 54

    2 05 2 09

    2 34 2 55

    781 EXPR.

    21 50 23 15

    "i 25

    2 36 2 40

    3 18 3 30

    '4 23 5 40 7 40 9 57

    721 EXPR

    22 40 0 02

    '2 Ó2

    3 08 3 11

    3 47 3 56

    5 25

    791 RAP.

    22 50 0 21

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    3 29 3 32

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    '5 58 ' 7 40 ! 9 57

    BORDEAUX - S A U M U R - PARIS (Montparnasse)

    S T A T I O N S

    Bordeaux.. Saintes.... Niort Parthenay. Airvault... Thouars a.

    — dép. Montreuil. Brézé-S'-C. Cliacé-Var. Nantilly a.

    — dép. SAUMUR ( È )

    — dep. Nantilly d. SAUMUR(O)

    — dép. Vivy Blou Vernantes. Liniéres-B. Noyant- M. Chât.-la-V Cliât.-du-L Courtalain Chartres... Paris arr.

    782 RAP.

    0 44

    2 14 2 22

    2 54 3

    4 13

    'é 12 8 00

    5 08 5 41i 5 53; 5 59 6 03

    6 09 6 15 i 6 53 7 04 7 12 7 23 7 34 7 46 8 15 9 07

    12 » 14 02i 15 49

    7 46 8 30

    •9 Ó4 9 11 9 27

    9 44 9 46

    10 41 11 47

    13 46

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    5 41 7 03 7 32 8 10 8 45 9 35 9 47 9 54 9 57 9 58

    10 03

    f i t l ! l Í3 s M O S s ~

    •gag M 3 ^ ca ca cnto

    728 540

    10 10 33 10 45 10 52 10 56 11 12 11 17

    i i Ó4 11 11 11 20 11 31 11 39 11 49 12 12 10 12 40 14 05 16 50 18 45 20 18

    778 (5) RAP.

    10 52

    12 08 12 14

    708 RAP.

    11 45

    13 04 13 11

    12 43, 12 451

    16 20

    13 44 13 47

    14 57

    18 Ó5

    798 RAP.

    8 25 10 28 12 00 12 48

    13 24 13 31 13 49

    14 08 14 10

    15 12

    17 15 18 26

    788

    15 §2 16 56 17 20 17 52 18 10 18 49 19 01 19 10 19 14

    18 57 19 20 19 27 20 08 20 19 20 26 20 38 20 49 21 09 21 36 22 04

    2776

    20 59 21 37

    22 02

    770 720 E X P R . E X P R .

    20 40 21 56

    22 51 23 20 23 39

    24 0 04

    1 21

    '3 49 5 20

    22 44

    0 19 0 27

    78Ü E X P R .

    19 21 30 23 02 0 11

    "Ó 50 0 58

    4 35 6 20

    2 57 4 15 5 17 6 40

    L I G N E D ' O R L É A N S PARIS - TOURS - S A U M U R ANGERS - NANTES

    STATIONS

    Paris (Orsay). Tours. . . dep. Langeais Port-Boulet., Varennes Saumur. .arr.

    — dép. St-Martin . . . . St-Clément .. Les Rosiers.. La Ménitré... Angers... arr. Nantes., .arr. St-Nazaire... Le Croisic . . .

    145 Dm'

    22 58 5 12 5 39 6 01

    'é 17 6 22

    7 06 9 Ö3

    10 35 11 41

    3307 OMN.

    23 52 6 32 7 21 7 56 8 06 8 17 8 29 8 40 8 46 8 53 9 03 9 38

    13 48

    101 EXPR.

    7 06 11 42 12 06 12 26

    12 41 12 43

    13 02 13 22 14 51

    103 EXPR .

    9 . 0 3

    13 39 13 41

    14 14 15 29 17 18 18 21

    105 RAP.

    9 45 12 27

    13 28 13 29

    14 02 15 18 16 36 17 35

    3319 OMN.

    8 08 12 59 13 38 14 08 14 18 14 29 14 39 14 50 14 56 15 03 15 13 15 48

    109 EXPR.

    12 35 15 14

    16 20 16 21

    16 54 18 12 19 25 20 19

    3325

    16 33 17 15 17 48 17 58 18 09 18 21 18 32 18 38 18 46 18 56 19 33

    115 RAP.

    17 15 19 49

    20 52 20 53

    21 26 22 38 23 51

    0 46

    3331 OMN.

    14 08 20 12 20 51 21 23 21 33 21 44 21 54 22 05 22 11 22 18 22 27 23 02

    135 RAP.

    20 10 23 24

    0 35 0 38

    1 14 2 34

    141 E X P R .

    2 1 22 1 29

    L.O.

    2 23' 2 28'

    4 38 6 22 7 45

    3 20 3 43 5 19 6 54 8 04

    N A N T E S — ANGERS — S A U M U R — TOURS — P A R I S

    S T A T I O N S

    Le Croisic . . . St-Nazaire... Nantes., dép . Angers., dép . La Méni t ré . . . Les Ros ie rs . . St-Clément.. St-Martin . . . Saumur. arr.

    — dép. Varennes . . . Port-Boulet . Langeais Tours. . . arr. Paris (Orsay).

    3308 OMN.

    5 29 6 03 6 11 6 18 6 24 6 34 6 38 6 49 7 01 7 34 8 10

    12 38

    120 EXPR.

    6 01 7 05 8 16

    8 46 8 47

    9 50 12 38

    A. L. EXPR.

    6 20 7 28 8 45

    10 05

    10 37 10 39

    11 44 15 39

    3316

    10 30 11 05 11 14 11 21 11 27 11 37 11 47 11 58 12 13 12 48 13 24

    3320 OMN.

    9 57 14 FS 14 50 15 00 15 16 15 23 15 33 15 43 15 55 16 11 16 50 17 27 21 37

    102 EXPR.

    9 30 10 40 12 00

    ~13 18

    13 50 13 52

    14 55 18 01

    110 EXPR.

    11 26 12 35 14 42 16 08 16 28

    16 46 16 48

    17 Ó4 17 24 18 06 21 15

    3334 OMN.

    16 53 19 55 20 30 20 39 20 50 20 56 21 07 21 18 21 30 21 53 22 30 23 05

    5 20

    116 KAP.

    16 19 17 24 18 41 19 51

    20 21 20 23

    21 21 24 00

    O.L.

    19 35 20 42 22 14 23 38

    0 01

    0 21 0 24

    'Ó 41 1 04 1 30 6 51

    142 EXPR.

    21 05 22 09 23 19

    0 39

    1 11 1 13

    2 05 6 51

    136 RAP.

    0 41 1 59

    2 31 2 34

    3 43 7 10

    S A U M U R - P O R T - B O U L E T - C H I N O N

    j STATIONS 1803 1809 1307 STATIONS 1802 4836 1 SaumurOrl. .6 38 /a Jeuo'/ 15 4î Cliinon 7 08 13 02 Port-Boulet 7 13 9 08 11 25 16 21 7 26 13 35 'Avoine 7 24 9 19 11 36 16 47 Port-Boulet 7 56 14 Oê

    7 36 9 33 11 50 17 05 SaumurOrl. 8 17 14 29

    1810 /e Jeud/

    1812 20 44 20 57 21 23 21 44

    15 25 15 40 17 48 18 09

    S A U M U R - B O U R G U E I L

    S T A T I O N S

    SaumurOrl. 6 381 11 47 15 43 Bourgueil.. 6 43 Port-Boulet 8 10 12 40 16 20 Port-Boulet 7 56 Bourgueil.. 8 19 12 47 16 27 SaumurOrl. 8 17

    (A) N'a lieu que le Samedi. — (B) N'a pas lieu

    STATIONS (A) 10 54 12 26 12 41

    (B)

    16 45 17 48 18 09

    e Mardi.

    ANGERS — DOUÉ — MONTREUIL — POITIERS

    S T A T I O N S

    Angers St-L. Martigné . . . Doué-la-F"«. lesVercliers. leVaudelnay Montreuil a.

    Montreuil d. Loudun . . . . Moncontour Poitiers . . . .

    1855

    6 10 7 35 7 56 8 02 8 11 8 22

    8 41 9 39

    10 04 H 27

    1857

    11 35 12 51 13 10 13 17 13 25 13 35

    13 57 14 41 15 08 16 25

    1863 EXPR.

    17 03 17 59 18 15

    18 30 OMN. 19 05 19 54 20 22 21 47

    1865

    17 40 19 08 19 37 19 44 19 51 20 04

    20 21

    S T A T I O N S

    Poitiers .. Moncontour L o u d u n . . . . Montreuil a

    Montreuil d. leVaudelnay lesVerchers, Doué-la-F»». Martigné . . . Angers St-L.

    1854 M.V.

    1852 1856 1868

    6 37 10 42 16 40 .. .. 7 58 12 14 18 17 .. .. 8 38 13 » 19 21 .. .. 9 17 13 36 20 08 EXPR.

    6 00 9 33 14 . 20 39 6 15 9 43 14 13 20 51 6 28 14 21 20 59 6 39 '9 54 14 30 21 05 7 02 10 11 14 46 21 20 8 36 11 10 16 02 22 17

    I La Direction du Journal décLint toutes responsflpiliiés pour íes erreurt matérielles qui pourraient s'être glissées ,dans cet horaire. I A moins d'indication contraire, les heures indisuéts sont toujours Les heures de départ.

    ( l ) Mardis, jeudis et samedis. {2) Lundis, mercredis et vendredis .

    ( j ) T o u s les jours, sauf dimanches et fêtes.

    S A U M U R A L A FLÈCHE

    Les Hayas , Brion Jum'« Chartrené . Baugs Clefs La Flèche.,.

    . 8 55 14 34 21 51

    . 9 07 14 45 22 02 , 9 21 14 56 22 13

    9 29 lE 03 22 20 > 9 35 15 08 22 25

    9 42 15 13 22 30 9 56 15 23 22 41

    10 12 15 38 22 56 10 29 15 50 23 08

    L A FLÈCHE A S A U M U R

    La Flèche D, Clefs Baugé Chartrené... Brion-Jum ' " Les Hayes... Longué Vivy Saumur arr.

    6 24 11 10 17 26 6 38 11 24 17 41 6 63 11 40 18 02 7 00 11 47 18 09 7 06 11 54 18 20 7 10 11 58 18 24 7 18 12 08 18 39 7 29 12 21 18 50 7 39 12 31 19 01 • •

    'S» Vu par nous, Maire de Saumur, pour légalisation de la Signatur«; du gérant,

    ,, mm dcrVUle d« Saimskr, U ÏP

    Ce^rtifié par l'imprimeur sounignà.

    «¿s