© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Supplément à La Libre Belgique - N°117 - Semaine du 15 au 21 septembre 2011

PP.3>6JEAN

-LUC

FLÉM

AL BATIRENOCAPSUR

Ventes de biens AnnoncesDans ce supplément,10 pages pour trouverle bien de votre choix.

Lignes à haute tension :l’IPI plaide pour uneréglementation claire. p. 8

D.R.

PP> 10-19

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

3Le dossierSEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

l Salon Batireno à Namur

Vendre en se faisant coacher

h Pour vendre au mieux une maison, ilpeut­être bon de s’entourer de conseilspour magnifier l’intérieur et faire partirles mauvaises ondes. Des spécialistesvous attendent à Batireno.

LE COACHING EST À LA MODE. On l’utilise pour toutsans doute parce que les gens ont perdu leurs repères,ne croient pas suffisamment en eux, et sont troubléspar un monde qui avance trop vite. Nous avons tous be­soin de balises. Nous avons de plus en plus souvent en­vie d’un support pour affronter les dures réalités de lavie, pour maintenir un état de forme physique. Jadis lesprêtres avaient la presque exclusivité du soutien auxpersonnes. Ce n’est plus le cas.

Tous les secteurs d’activités humaines sont porteurs detechniques nouvelles permettant d’atteindre un objec­tif dans de meilleures conditions. C’est le cas aussi enimmobilier et l’idée est récente chez nous. Lors du pro­chain salon “Batireno” à Namur, il y aura un stand dé­fendu avec ardeur par Caroline Bachot et Muriel Lefe­vre. Il s’agit d’un espace dévolu au coaching dans le ca­dre d’une vente immobilière.Vendre une maison n’est pas un acte banal. On parle icide la demeure de famille et pas d’une gestion de biensimmobiliers traitée de manière professionnelle. L’idéeest de porter la vente, de supporter les vendeurs etd’apporter des changements dans un panorama men­tal et esthétique qui peuvent être des freins à une négo­ciation. Qui sait si un jour on verra du coaching gouver­nemental pour constituer une équipe; allez savoir. Entous cas, en l’espèce, l’idée semble innovante pour no­

tre petit pays. Ce n’est pas le cas dans l’univers anglo­saxon et au nord de l’Europe où la chose se pratiquedepuis plus de quarante ans; et elle est payante. Caro­line Bachot a monté son entreprise voilà moins de deuxans. Un site internet sommaire donne un lien avec cettefirme dynamique installée à Flostoy dans ce Condroz siattachant qu’y vendre une maison doit être le sommetde la cruauté personnelle. “C’est pour cela que nous de­vons intervenir pour aider les gens à passer le cap. Vendreune maison que l’on aime c’est pénible, que ce soit volon­taire ou pas. Nous intervenons sur le mode volontaire etpas sous la contrainte des banques ou des huissiers, soyonsclairs. Il faut donc procéder par étapes. D’abord regarderlamaison et son potentiel. Ensuite gérer les espaces pour lesorganiser au mieux et les rendre cohérents dans l’espritd’un acheteur. Le vendeur doit désormais s’effacer devantle bien qui occupe nos pensées. Une chambre doit redevenirune chambre et pas un débarras. Un bureau ne peut­êtreune buanderie et ainsi de suite. Nous ferons en sorte dedonner à la demeure une attractivité nouvelle. On peutmême imaginer de repeindre des murs ou de colmater desbrèches. Mais rarement nous poussons à des travauxlourds. Il faut raison garder. L’idée centrale ici est de déper­sonnaliser les lieux”. Sur cette dernière expression, notrecrayon s’arrêta net et une explication plus fine s’im­posa. Nous en étions à penser que justement un inté­rieur bien agencé allait favoriser la vente. Toute la ques­tion sera de savoir de quelle maison on parle. Il ne s’agitpoint de châteaux ou de villas opulentes, mais de bienssitués entre 300 000 et 600000 €.

“Les décorations trop personnelles ne vont pas permettre àl’acheteur” nous dit notre correspondante, “de s’imagi­ner dans le bien convoité. Nous épurons, nous enlevons cer­tains cadres, les photos, des choses trop personnelles quidérangeraient l’œil. Nous, on travaille pour permettre aux

gens de se projeter dans le futur. Ce que nous voulons c’estprovoquer un coup de cœur. La neutralisation ce n’est pasfaire tout disparaître. C’est enlever ce qui est trop fort. Pourles “repeintures” onmettra des crèmes, des beiges, des cho­ses douces à l’œil”. Ensuite il y a une deuxième appro­che, complémentaire à la première et c’est le Feng Shui.Le procédé est utile pour harmoniser les énergies. “Cer­taines maisons sont affectées par des blocages. Il faut doncles faires partir”. Mais il ne faut pas aller jusqu’à penserque l’on “désensorcelle” les maisons. Encore que si Ca­roline Bachot s’attaquait à un château hanté il y auraitmatière. Le troisième axe de travail repose sur l’étatmental des vendeurs. Pour cela il faut apprendre destechniques spéciales, pour le Feng Shui aussi, ceci dit.“Notre coaching psychologique, qui ne s’immisce pas dansl’univers médical, cherche à “énergiser” les personnes ven­deresses. Nous cherchons à stimuler les points de méridiencomme en acupuncture, sur le visage notamment, pour li­bérer des freins qui se trouvent ancrés chez les gens ven­deurs. Nous devons les aider à se séparer de leur maison etc’est parfois très dur pour nos clients”.

L’utilité de ces manœuvres douces semble absolued’après notre hôte. On sait qu’avec les crises qui se suc­cèdent ou s’éternisent, le délai des ventes devient long.Cinq à sept mois sont devenus choses courantes pourconclure une affaire. D’après Caroline Bachot, de telsdélais peuvent être nettement raccourcis. “Depuis un anque je travaille sur ce segment, j’ai un taux de réussite­temps qui est d’une à trois semaines. Sur ma dernière af­faire à Dilbeek, qui était un bien annoncé à 360 000 €,nous l’avons retravaillé puis placé à 420 000 €. En une se­maine, par le changement complet du contexte, nousl’avons vendu à 410 000 €”. Tout compte fait, cela nedoit pas coûter grand­chose de se renseigner.Philippe Farcy

Le coaching pour faciliter la vente d’un bien immobilier est monnaie cou-rante dans les pays anglo-saxons. Moins chez nous...

En pratique

A savoir Batireno, édition 8. A partirdu 24 septembre et jusqu’au 2 octo-bre 2011, le salon Batireno (ExpoAvenue Sergent Vrithoff 2, 5000Namur) donnera l’occasion à Namurà plus de 150 exposants – profes-sionnels des métiers de la construc-tion, de la rénovation, de la décora-tion et de l’aménagement extérieur –de présenter aux visiteurs services,matériaux, techniques afin d’amélio-rer votre habitat. L’occasion égale-ment au travers de 12000 mètrescarrés d’exposition de découvrir desnouvelles tendances, des idéesinnovantes en termes de construc-tion durable ou d’économie d’éner-gie.Précisons encore que le mardi27 septembre, l’entrée sera gratuitepour les employés de la fonctionpublique. Autre innovation : le 28, ceseront les femmes qui seront àl’honneur avec le “Ladies Day”(entrée gratuite) avec animations etcadeaux à la clé. Le 29, le salon seraaccessible gratuitement pour lesseniors. Et le 30, Batireno ouvrirases portes jusqu’à 21 heures.Tarif plein : 6 € Tarif réduit : 3 €Pour plus de renseignements, ren-dez-vous sur le site www.batireno.beD.

R.

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

3Le dossierSEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

l Salon Batireno à Namur

Vendre en se faisant coacher

h Pour vendre au mieux une maison, ilpeut­être bon de s’entourer de conseilspour magnifier l’intérieur et faire partirles mauvaises ondes. Des spécialistesvous attendent à Batireno.

LE COACHING EST À LA MODE. On l’utilise pour toutsans doute parce que les gens ont perdu leurs repères,ne croient pas suffisamment en eux, et sont troubléspar un monde qui avance trop vite. Nous avons tous be­soin de balises. Nous avons de plus en plus souvent en­vie d’un support pour affronter les dures réalités de lavie, pour maintenir un état de forme physique. Jadis lesprêtres avaient la presque exclusivité du soutien auxpersonnes. Ce n’est plus le cas.

Tous les secteurs d’activités humaines sont porteurs detechniques nouvelles permettant d’atteindre un objec­tif dans de meilleures conditions. C’est le cas aussi enimmobilier et l’idée est récente chez nous. Lors du pro­chain salon “Batireno” à Namur, il y aura un stand dé­fendu avec ardeur par Caroline Bachot et Muriel Lefe­vre. Il s’agit d’un espace dévolu au coaching dans le ca­dre d’une vente immobilière.Vendre une maison n’est pas un acte banal. On parle icide la demeure de famille et pas d’une gestion de biensimmobiliers traitée de manière professionnelle. L’idéeest de porter la vente, de supporter les vendeurs etd’apporter des changements dans un panorama men­tal et esthétique qui peuvent être des freins à une négo­ciation. Qui sait si un jour on verra du coaching gouver­nemental pour constituer une équipe; allez savoir. Entous cas, en l’espèce, l’idée semble innovante pour no­

tre petit pays. Ce n’est pas le cas dans l’univers anglo­saxon et au nord de l’Europe où la chose se pratiquedepuis plus de quarante ans; et elle est payante. Caro­line Bachot a monté son entreprise voilà moins de deuxans. Un site internet sommaire donne un lien avec cettefirme dynamique installée à Flostoy dans ce Condroz siattachant qu’y vendre une maison doit être le sommetde la cruauté personnelle. “C’est pour cela que nous de­vons intervenir pour aider les gens à passer le cap. Vendreune maison que l’on aime c’est pénible, que ce soit volon­taire ou pas. Nous intervenons sur le mode volontaire etpas sous la contrainte des banques ou des huissiers, soyonsclairs. Il faut donc procéder par étapes. D’abord regarderlamaison et son potentiel. Ensuite gérer les espaces pour lesorganiser au mieux et les rendre cohérents dans l’espritd’un acheteur. Le vendeur doit désormais s’effacer devantle bien qui occupe nos pensées. Une chambre doit redevenirune chambre et pas un débarras. Un bureau ne peut­êtreune buanderie et ainsi de suite. Nous ferons en sorte dedonner à la demeure une attractivité nouvelle. On peutmême imaginer de repeindre des murs ou de colmater desbrèches. Mais rarement nous poussons à des travauxlourds. Il faut raison garder. L’idée centrale ici est de déper­sonnaliser les lieux”. Sur cette dernière expression, notrecrayon s’arrêta net et une explication plus fine s’im­posa. Nous en étions à penser que justement un inté­rieur bien agencé allait favoriser la vente. Toute la ques­tion sera de savoir de quelle maison on parle. Il ne s’agitpoint de châteaux ou de villas opulentes, mais de bienssitués entre 300 000 et 600000 €.

“Les décorations trop personnelles ne vont pas permettre àl’acheteur” nous dit notre correspondante, “de s’imagi­ner dans le bien convoité. Nous épurons, nous enlevons cer­tains cadres, les photos, des choses trop personnelles quidérangeraient l’œil. Nous, on travaille pour permettre aux

gens de se projeter dans le futur. Ce que nous voulons c’estprovoquer un coup de cœur. La neutralisation ce n’est pasfaire tout disparaître. C’est enlever ce qui est trop fort. Pourles “repeintures” onmettra des crèmes, des beiges, des cho­ses douces à l’œil”. Ensuite il y a une deuxième appro­che, complémentaire à la première et c’est le Feng Shui.Le procédé est utile pour harmoniser les énergies. “Cer­taines maisons sont affectées par des blocages. Il faut doncles faires partir”. Mais il ne faut pas aller jusqu’à penserque l’on “désensorcelle” les maisons. Encore que si Ca­roline Bachot s’attaquait à un château hanté il y auraitmatière. Le troisième axe de travail repose sur l’étatmental des vendeurs. Pour cela il faut apprendre destechniques spéciales, pour le Feng Shui aussi, ceci dit.“Notre coaching psychologique, qui ne s’immisce pas dansl’univers médical, cherche à “énergiser” les personnes ven­deresses. Nous cherchons à stimuler les points de méridiencomme en acupuncture, sur le visage notamment, pour li­bérer des freins qui se trouvent ancrés chez les gens ven­deurs. Nous devons les aider à se séparer de leur maison etc’est parfois très dur pour nos clients”.

L’utilité de ces manœuvres douces semble absolued’après notre hôte. On sait qu’avec les crises qui se suc­cèdent ou s’éternisent, le délai des ventes devient long.Cinq à sept mois sont devenus choses courantes pourconclure une affaire. D’après Caroline Bachot, de telsdélais peuvent être nettement raccourcis. “Depuis un anque je travaille sur ce segment, j’ai un taux de réussite­temps qui est d’une à trois semaines. Sur ma dernière af­faire à Dilbeek, qui était un bien annoncé à 360 000 €,nous l’avons retravaillé puis placé à 420 000 €. En une se­maine, par le changement complet du contexte, nousl’avons vendu à 410 000 €”. Tout compte fait, cela nedoit pas coûter grand­chose de se renseigner.Philippe Farcy

Le coaching pour faciliter la vente d’un bien immobilier est monnaie cou-rante dans les pays anglo-saxons. Moins chez nous...

En pratique

A savoir Batireno, édition 8. A partirdu 24 septembre et jusqu’au 2 octo-bre 2011, le salon Batireno (ExpoAvenue Sergent Vrithoff 2, 5000Namur) donnera l’occasion à Namurà plus de 150 exposants – profes-sionnels des métiers de la construc-tion, de la rénovation, de la décora-tion et de l’aménagement extérieur –de présenter aux visiteurs services,matériaux, techniques afin d’amélio-rer votre habitat. L’occasion égale-ment au travers de 12000 mètrescarrés d’exposition de découvrir desnouvelles tendances, des idéesinnovantes en termes de construc-tion durable ou d’économie d’éner-gie.Précisons encore que le mardi27 septembre, l’entrée sera gratuitepour les employés de la fonctionpublique. Autre innovation : le 28, ceseront les femmes qui seront àl’honneur avec le “Ladies Day”(entrée gratuite) avec animations etcadeaux à la clé. Le 29, le salon seraaccessible gratuitement pour lesseniors. Et le 30, Batireno ouvrirases portes jusqu’à 21 heures.Tarif plein : 6 € Tarif réduit : 3 €Pour plus de renseignements, ren-dez-vous sur le site www.batireno.beD.

R.

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

4 Le dossier SEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

Libre Immo. Supplément hebdomadaire à La Libre Belgique.Coordination rédactionnelle:Vincent Slits. (02 211 29 13 - vincent.slits@lalibre.be) Illustrations: EtienneScholasse. Réalisation: Sodimco. Directeur général: Denis Pierrard..Rédacteur en chef:Vincent Slits.Rédacteur en chef adjoint: Pierre-François Lovens.Conceptiongraphique: Jean-Pierre Lambert (responsable graphique), Bruno Bausier. Publicité: Véronique Le Clercq (00322 21127 64 - vero.leclercq@saipm.com)

l Salon Batireno à Namur

Créateur d’ambiance

h Olivier Lacroix n’est pas décorateur; iln’est que conseiller. Rencontre.

NAMUROIS, INSTALLÉ À WIERDE, Olivier Lacroixgravite depuis plus de vingt ans dans la sphère desmaisons à remettre aux goûts du jour. Il dirige unemaison de décoration nommée “Chris Oliver”. Il nes’agit pas ici de faire du coaching avant une vente maisd’assister des jeunes à créer une ambiance dans unnouvel espace.Parfois, de moins jeunes ou des parents déchargés de

leurs missions éducatives, désirent renouveller l’espritde la demeure familiale. On peut aussi trouver une de­mande de conseils de la part de personnes voulantrompre avec les décors de générations antérieures.“J’ai commencé ma carrière il y a vingt ans en louant unespace de 80 m². J’étais seul et maintenant nous sommesdouze. Mais ce qui a changé le plus c’est la superficie denotre affaire. Des 80 m² d’origine, nous avons actuelle­ment un espace de convivialité qui atteint les 2000 m². Ilfaut cela pour répondre aux besoins de notre clientèle quiaux début était essentiellement namuroise”.En étant installé sur la nationale 4 à Wierde, notre

correspondant s’est ouvert des perspectives grâce auxfacilités offertes aux amateurs de venir prendre sesconseils. L’expansion de la zone géographique cou­verte par la firme d’Olivier Lacroix file désormais versle Brabant wallon et plus encore vers la province duLuxembourg. Olivier Lacroix donne avant tout desconseils. Et ils sont gratuits. C’est d’ailleurs ce qu’ilfera sur son stand de Batireno la semaine prochaine,avec des plages temps offertes de quinze à trente mi­nutes par client. Minutes précieuses où le spécialisteprend le temps de rencontrer des gens mais aussi deslieux et des espaces, des univers de vie à changer, àaméliorer comme si il s’agissait de se remodeler le vi­sage à partir de sa coiffure.Relooker n’est pas le terme préféré de la firme dirigée

par Olivier Lacroix, mais on n’en est pas loin. Lagrande chance de spécialistes comme Olivier Lacroixc’est de pouvoir compter sur les instruments de com­munication. Entendez par là tout les supports visuelsnumérisés. “Dans le temps, je devais aller sur place, voiren vrai chaque maison, chaque appartement. Mainte­nant, ce sont les clients qui se déplacent jusqu’àWierde. Ilsviennent avec leurs appareils photos, des films, me mon­

trent tout, de l’intérieur et de l’extérieur. J’appréhende leslieux comme si j’y étais. Très vite je prends la mesure desbesoins des personnes qui se trouvent en face demoi. Ils lesexpriment d’abord, puis je les guide pour aller vers l’es­sentiel de leurs requêtes. Parfois il ne faut changer que lescouleurs ; parfois on s’attaque à certains types de fenêtres,on imagine d’enlever ou d’ajouter des poutres, on renou­velle les sols souvent, des meubles sont à changer parfois.Ceux­ci sont parfois trop lourds, sans caractère. On verraà améliorer l’univers des clients avec des proportionsmeublantes plus équilibrées. L’idée est de changer l’am­biance, de l’améliorer, de placer les clients en harmonieavec les espaces dont ils disposent”.Le discours étant tenu, libre aux visiteurs d’abonder

dans le sens de la démonstration formulée par le spé­cialiste. Nombreux sont ceux qui s’en vont sans riendécider de plus. Plus nombreux sont (et c’est heureuxpour les affaires de notre hôte) ceux qui décident defranchir le pas. Et une fois sortis des bureaux de ré­flexion, ils peuvent aller se balader dans les 2000 m²décorés et mis en scène comme on le voit au Sablon àBruxelles chez Flament. A la question de savoir si Oli­vier Lacroix conseille parfois les gens afin qu’ils achè­

tent des meubles régionaux anciens ou d’autres meu­bles chez les antiquiares, la réponse fut nette : “Nonnon, on ne travaille jamais avec de l’ancien. Au contrairenous allons toujours vers ce qui est tendance, frais, jeunes,branché. Nous suivons les modes et l’an prochain nous sa­vons déjà que nous déployerons une ligne dont la ten­dance sera hyper jeune avec du mobilier aux formes géo­métriques, assorties de quelques couleurs bien franches”.Batireno dans cet esprit là correspond bien à ce qu’es­

père trouver une firme comme Chris Oliver, soit uneclientèle jeune constituée de couples en devenir avecdes familles naissantes, soit des couples plus âgésautour des 45­60 ans qui veulent renouveller leur ca­dre de vie, alors que les enfants sont en kot ou en ap­partement, débutant leur existence indépendante.C’est aussi dans ce genre d’endroit que l’on peut af­fronter la concurrence des Suédois car il y a uneécoute, un service donné aux clients que l’on netrouve nulle part ailleurs que dans les petites structu­res.Philippe FarcyURens. : Olivier Lacroix de chez Chris Oliver ­ +32 81 3300 35 ; site web : http://www.chrisoliver.be

Le salon Batireno donnera l’occasion au visiteur de rencontrer des profes-sionnels et de trouver des idées pour améliorer son cadre de vie.

D.R.

Un salon, des conférences et des conseilsUn salon comme Batireno, c’estévidemment l’occasion dedécouvrir pas mal de nouveau­tés ou des nouvelles tendancesmais c’est aussi l’opportunité derencontrer des professionnelsdu secteur pour concrétiser desprojets de construction ou derénovation. Tout au long deBatireno, un certain nombred’animations sont prévues.Ainsi le mercredi 28 septembre,

un atelier se penchera sur lethème de l’aménagement et dela décoration intérieure. Lepublic aura l’occasion de ren­contrer Olivier Lacroix de chezChris Oliver (lire ci­dessus) quisur base de vos photos ou planspourra vous guider pour embel­lir votre maison. Le même jour,lors d’un autre atelier “Bien­être&Harmonie”, CarolineBachot, conceptrice de Immo­

coach­ EFT (Emotional Free­dom Techniques) donnera despistes concrètes pour que votrehabitation rime avec bien­êtreet harmonie. Au menu : Coa­ching, Home Staging ou FengShui.Le vendredi 30 septembre, onparlera beaucoup de construc­tion avec une conférence“Trucs&Astuces” par Bati­Info,le guide de la construction et de

la rénovation. Avec deux séan­ces. La première sur le thème“Quels sont les pièges à éviterlors de la construction/rénova­tion d’une habitation ?” et lesecond “Tout ce que vous devezsavoir sur le nouveau décretPEB” avec un spécialiste de lacertification énergétique.Enfin le samedi 1er octobre,une séance d’information “C’estle moment de rendre votre

habitation plus écologique” seraorganisée par Livios, le portaildestiné au bâtisseur/rénovateuret bricoleur actif, en collabora­tion avec BNP Paribas Fortis.Construction, rénovation,bien­être, performances éner­gétiques, décoration intérieure :tous les thèmes seront à l’hon­neur lors de cette 8e édition deBatireno, un salon devenu uneréférence en Wallonie. e

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

6 Le dossier SEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

l Salon Batireno à Namur

Commeun gros “Lego”

h Envie de construiresoi­même ? Des entreprisesproposent de vous y aider.

ENVIE DE RÉALISER DES ÉCONOMIESlors de la construction de sa maison ouenvie de construire quelque chose de“ses propres mains”... L’auto­construc­tion permet de réduire certains coûts enmettant la main à la pâte. Diverses for­mules existent sur un marché encore re­lativement jeune.

Trois stands y seront consacrés cetteannée à Batireno: Ethics SCRL, stand 7;Maisons bois Meunier, stand 103 et Ho­meself, stand 125.

Homeself, par exemple, propose d’ac­compagner le candidat batisseur dans laréalisation du gros œuvre fermé. Aprèsavoir établi un budget sur base des plans(fournis par l’architecte du client) et

d’une étude de terrain, elle met à dispo­sition de l’auto­constructeur outils etéventuellement ouvriers (la maind’œuvre est non comprise dans l’offre debase) en fonction de ses besoins et de sonprofil. Ainsi il est notamment possible dedisposer d’un container de chantieréquipé d’un coffret électrique avec bu­reau et pièce de stockage; d’une grue; dedivers outils... Une assistance téléphoni­que, la pose des hourdis et un écolagepour la pose des blocs font partie des ser­vices compris dans l’offre de Homeself.Les matériaux quant à eux sont livrés aufur et à mesure de l’état d’avancement duchantier.

Sans doute plus accessible aux néophy­tes – mais bricoleurs tout de même – laformule “construkit” proposée par Mai­sons bois Meunier prend la forme d’unemaison à ossature bois en kit à montersoi­même.

L’équipe de Maison bois Meunier inter­vient après la pose des fondations. A par­

tir des mesures effectuées sur celles­ci,elle réalise une projection en 3D de la fu­ture maison ainsi que les plans de cha­que mur et usine les bois sur mesure. Lerésultat est une sorte de jeu de Lego avectoutes les pièces qui sont numérotées.Les bois sont livrés mur par mur avec lesinstructions de pose. Une assistance dechantier et un syllabus guident l’auto­constructeur pas à pas. L’isolation du bâ­timent est faite par les équipes de Maisonbois Meunier car cela nécessite une ma­chine spécifique d’insufflation.

“Si vous réunissez une petite équipe de 4

ou 5 personnes il est possible de monter lebâtiment couvert et protégé de la pluie en àpeu près un mois”, estime Maison BoisMeunier mais, précise­t­on également,“il est important de bien se rendre comptedu temps que l’on va passer dans sa cons­truction.” Il faut compter en général unan et demi entre le début de la construc­tion et le moment où l’on peut emména­ger dans son nouveau nid douillet.Samuel HosteU Infos: Ethics SCRL, tél: 083.68.88.60;Homeself, tél: 084.22.08.55; Maison boisMeunier, tél: 083.21.57.61.

CHIM

SCOS.A.

Une maison à ossature bois, en kit, se monte un peu “comme un gros Lego”.

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

8 Tendances immobilières 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

l Vente de biens

Ces lignes à haute tensionqui brouillent les ventesh Un bien situé à proximitéd’une ligne à haute tensionperdrait de 15 à 30 % de savaleur. L’IPI demande uneréglementation claire.

L’ENQUÊTE RÉALISÉE PAR L’INSTITUTdes professionnels de l’immobilier (IPI)auprès d’une centaine de ses membresdans tout le pays ne s’inquiète pas dunombre de biens sis à proximité d’une li­gne de haute tension, ni de leur éven­tuelle prolifération. Pas plus d’ailleursque de l’impact de cette tension sur lasanté des habitants – tel n’est pas son rôleet n’a rien à voir avec ses compétences.Par contre, il est plus que normal qu’ils’inquiète du… moral desdits habitants,surtout s’ils décident de vendre leurbien, maison ou terrain à bâtir.

Or, d’après les résultats de l’enquête, 8agents immobiliers concernés sur 10 ju­gent que, malgré leur expertise, ce typede vente est de plus en plus difficile. Plusde la moitié (58 %) ajoute qu’une dimi­nution de la valeur de ces biens de 15 à30 % depuis l’installation à leur proxi­mité de lignes à haute tension n’a riend’exceptionnel. “Il est urgent que les auto­rités compétentes clarifient la réglementa­tion en la matière”, indique Hugues deBellefroid, vice­président de l’IPI, citédans un communiqué. “Sans cela, les pro­priétaires sont doublement victimes : nonseulement ils sont dans le doute concernantun éventuel risque pour leur santé, mais enplus leurs biens sont dévalués sur aucunebase scientifique certaine et sans aucune in­demnité.”

Pour revenir aux résultats de l’enquêtede l’IPI, la majorité des agents indique

rencontrer principalement trois difficul­tés dans un tel cas de figure : la visite nese fait pas; la vente est plus longue; et leprix est négocié. 21 % des agents décla­rent que ces biens ne se vendent (quasi­ment) pas. Et si 58 % chiffrent les déva­luations entre 15 et 30 %, ils sont 2,5 % àestimer cette perte à 50 % mais autant(2,5 %) à juger que la baisse de prixtourne autour de 5 %.“Suite à la récente actualité et à plusieurs

questions parlementaires à ce sujet, lit­ondans le communiqué de l’IPI, les agentsimmobiliers demandent qu’une réglemen­tation claire soit rapidement établie par lesdécideurs. En l’absence d’une telle régle­mentation, certaines communes appliquentle principe de précaution à leur manière.Avec pour résultat une disparité territo­riale : tandis que certaines communes lais­

sent faire, d’autres estiment que les lignes àhaute tension sont dangereuses pour lasanté.”“Les terrains sont déjà assez rares dans

notre pays”, précise Hugues de Bellefroid.“Jusqu’à présent, on ne peut qu’affirmer quela dangerosité d’une telle situation n’est pasformellement établie. Par conséquent, il estinjuste que certains propriétaires, dont lebien n’était souvent pas à proximité de li­gnes à haute tension aumoment de leur ac­quisition, voient leur investissement déva­lué et d’autres doivent le quitter à leurs pro­pres frais.”

Les questions soulevées par l’IPI sontnombreuses et devraient, selon ses diri­geants, faire l’objet d’un débat. Qu’arri­vera­t­il aux terrains où les lignes à hautetension sont installées ou le seront bien­

tôt ? Comment les propriétaires de cesterrains peuvent­ils s’assurer que leursbiens ne seront pas dévalués ?

Et de pointer, à titre d’exemple, la légis­lation en place aux Pays­Bas où l’installa­tion de lignes à haute tension s’est ac­compagnée de la délimitation de zonesde sécurité où aucun logement n’estautorisé. L’indemnisation ou l’installa­tion des câbles sous terre sont égalementenvisagées. “Ce n’est pas à nous de déciderde ce qu’il faut faire”, déclare Hugues deBellefroid. “L’IPI – qui le dit aussi bien dansl’intérêt des acheteurs, des vendeurs quedans celui des agents immobiliers – peutseulement proposer son expertise, partagerson expérience et souligner qu’il est urgentd’avoir une réglementation claire, dansl’intérêt de toutes les parties.”C.M.

Les lignes à hautetension ralentissentfortement les ventesde biens qui en sontproches. Et amènent,selon les agentsimmobiliers, despertes de valeur qu’ilsestiment en moyennede 15 à 30%.JE

AN-LUC

FLÉM

AL

Question time

Le passage d’un bien d’une société à une personne physique (2/3)L’acquéreur d’un bien se trouvant dans une so­ciété dispose parfois d’une alternative : l’acquisi­tion des parts de la société propriétaire du bien.En vendant les parts de sa société, le propriétairede celles­ci se sépare de l’ensemble de l’actif deladite société. Si la société ne compte comme actifque le bien vendu, l’objectif est atteint. En bref,l’immeuble reste la propriété de la société. Toute­fois, les parts de celle­ci ont belle et bien changéde mains. Ce sera en revanche difficile si la so­ciété dispose d’autres actifs.Prenons un exemple : Geneviève est kiné et songeà vendre le bien qui appartient à la société dontelle détient les parts. Mais la société permet éga­lement à Geneviève d’exercer son activité profes­sionnelle de kiné. La société possède dès lors le

bien servant à l’exercice de sa profession, mais égale­ment le “fonds de commerce”. Si Geneviève vend sesparts dans la société, elle ne pourra plus exercer sonactivité de kiné dans cette société. La vente des partsd’une société présente un avantage pour le cédantqui reçoit un prix de vente de ses parts net (en prin­cipe donc exonéré d’impôt). Cela présente égale­ment un avantage pour l’acquéreur qui ne doit pasdébourser de droits d’enregistrement. Les avantagess’arrêtent toutefois là. En effet, il apparaît que cettesolution présente – pour le commun des mortels ­ denombreuses difficultés. L’acquéreur ne pourra quetrès difficilement obtenir un financement pour cetachat d’action (il reste extrêmement difficile de con­céder une hypothèque sur un bien appartenant à lasociété pour en financer le rachat des parts). Ce fi­

nancement ne sera en outre quasi­pas déductible.Pour un professionnel, l’acquisition de parts ou ac­tions n’est pas amortissable. Enfin, et c’est souvent làque le bât blesse le plus, la valeur d’un bien en sociétéest souvent nettement moindre que sa valeur “entrepersonnes physiques”. Autrement dit, la valeur desparts d’une société qui détient (comme unique actif)un immeuble de 500000€ n’est évidemment pas de500000€ mais peut être de 400 voire de 300000€selon les amortissements et charges de la société. Cesont donc ces difficultés qui font que les cessionsd’actions restent rares dans la pratique. e

UConsultez votre notaire pour desconseils sur mesure ou rendez­vous surwww.notaire.be.

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

10 Annonces immobilières SEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

11immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

12 Annonces immobilières SEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

MAISONS À VENDREde 250.000 à 375.000 €

21-94450001-01

21-94478407-07

21-94478440-40

MAISONS À VENDREde 375.000 à 500.000 €

21-94478442-42

21-94512603-03

21-94478441-41

21-94478448-48

21-94507406-06

21-94478469-69

21-94478473-73

21-94478464-64

21-94478476-76

MAISONS À VENDREplus de 500.000 €

21-94478403-03

21-94514505-05

21-94450002-02

21-94503305-05

21-94512608-08

21-94503301-01

21-94478428-28

21-94478424-24

21-94507402-02

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

13immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

21-94512602-02

21-94507403-03

21-94509903-03

21-94478430-30

21-94459715-15

21-94478432-32

21-94478434-34

21-94507418-18

21-94509907-07

21-94514506-06

21-94514507-07

21-94459708-08

21-94478449-49

21-94478454-54

21-94503404-04

21-94514003-03

21-94478450-50

21-94514002-02

21-94507411-11

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

15immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

21-94503304-04

21-94459710-10

21-94478472-72

21-94478470-70

21-94512607-07

21-94478429-29

21-94459706-06

21-94478465-65

21-94478462-62

21-94507409-09

21-94509902-02

21-94509904-04

21-94507404-04

21-94478475-75

21-94509906-06

21-94512601-01

21-94509908-08

MAISONS À VENDREprix non précisé

21-94514509-09

21-94514508-08

21-94514510-10

APPARTEMENTSÀ VENDRE

de 125.000 à 250.000 €

21-94478410-10

21-94478404-04

21-94478408-08

21-94478416-16

21-94478422-22

21-94478423-23

21-94478436-36

21-94478439-39

21-94478446-46

21-94503307-07

21-94478457-57

21-94478479-79

APPARTEMENTSÀ VENDRE

de 250.000 à 375.000 €

21-94478405-05

21-94459704-04

21-94478412-12

21-94478413-13

21-94459702-02

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

16 Annonces immobilières SEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

21-94478414-14

21-94503308-08

21-94478417-17

21-94514005-05

21-94478425-25

21-94478426-26

21-94459701-01

21-94503303-03

21-94459712-12

21-94478438-38

21-94478437-37

21-94503406-06

21-94478456-56

21-94459711-11

21-94459709-09

21-94478458-58

21-94478455-55

21-94478452-52

21-94478459-59

21-94514006-06

21-94478471-71

21-94478466-66

21-94478461-61

21-94459713-13

21-94503201-01

APPARTEMENTSÀ VENDRE

de 375.000 à 500.000 €

21-94478409-09

21-94512604-04

21-94503310-10

21-94512605-05

21-94514502-02

21-94507410-10

21-94503309-09

21-94478435-35

21-94459703-03

21-94459707-07

21-94507407-07

21-94503306-06

21-94459705-05

21-94507408-08

21-94478468-68

21-94514007-07

21-94512609-09

21-94509901-01

21-94478477-77

APPARTEMENTSÀ VENDRE

plus de 500.000 €

21-94478418-18

21-94512610-10

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

17immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

21-94512606-06

21-94509905-05

21-94503302-02

21-94478421-21

21-94478433-33

21-94507414-14

21-94514503-03

21-94507405-05

21-94507415-15

21-94507401-01

21-94507416-16

21-94478467-67

21-94507413-13

21-94514501-01

21-94514504-04

LOFTSvente & location

21-94478415-15

21-94507417-17

21-94507412-12

21-94478447-47

21-94478453-53

VIAGER

21-86748901-01

21-83200402-02

21-94112603-03

21-94020601-01

21-94478402-02

21-94112602-02

21-67470109-09

21-94478443-43

21-94478460-60

21-94478463-63

21-94112601-01

21-94112604-04

MAISONSà louer

21-85363901-01

21-94503403-03

APPARTEMENTSà louer

21-94478420-20

21-94478419-19

21-94503405-05

21-94450004-04

21-94478451-51

21-94478478-78

21-94478480-80

TERRAINSà vendre

21-94478474-74

IMMEUBLESDE RAPPORT

21-94478406-06

21-94478411-11

21-94459714-14

21-94478427-27

21-94514004-04

21-94478431-31

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

18 Annonces immobilières SEMAINE DU 15 AU 21 SEPTEMBRE 2011 LIBRE IMMO

21-94478445-45

CHERCHEà acheter

21-94478401-01

ÉTRANGERà vendre

21-94450003-03

COMMERCESà vendre

21-94478444-44

SALLE DE VENTE PAR NOTAIRES34, rue de la Montagne ­ 1000 Bruxelles

21-94458701-01

VENTES PAR NOTAIRESdes autres provinces

21-94267501-01

21-94387401-01

RÉSULTATS DES VENTES PUBLIQUESBruxelles

21-94516304-04

21-94516303-03

21-94516302-02

21-94516301-01

RÉSULTATS DES VENTES PUBLIQUESBrabant

21-94516311-11

21-94516312-12

21-94516310-10

21-94516309-09

21-94516308-08

21-94516305-05

21-94516306-06

21-94516307-07

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.